mon entrejambe(suite)
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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mon entrejambe(suite)
j'ai donc 18 ans et je me suis masturbée pour la première fois il y quelque semaines à peine. J'ai fait l'amour avec une copine pendant plusieurs mois, jusqu'à ce qu'elle rencontre un homme avec qui elle a baisé après m'avoir dit qu'elle y avait pris beaucoup de plaisir, elle me convainc que je dois aussi faire l'amour et propose que je le fasse en sa présence avec son ami.
Excitée dans la perspective de devenir une vrai femme j'accepte pour le lendemain: ce soir je me branle pour calmer mon ardeur.
Le lendemain soir, je vais chez ma copine où doit se passer la chose. Je me suis habillée en conséquence: pas de sous vêtement mais une jupe très fendue sur le coté, presque au niveau du pubis, un t-shirt transparent laissant voir mes seins et leur aréole. J'arrive en avance sur l'horaire et ma copine en profite pour me faire un apéritif,comme elle dit: les doigts se glissent dans mon con et me branle un peu, jusqu'à ce que son amant arrive. Elle remet de l'ordre dans ma tenue et m'offre, c'est le cas de la dire. L'homme me prend des ses bras et m'embrasse à pleine bouche: nos langues se touchent et luttent. Il a remarqué que je n'était pas très vêtue et en profite pour me poser une main curieuses sur un sein qu'il pétrit avec beaucoup de délicatesse. Il enlève mon T-shirt et ma poitrine complètement dévoilée, en sans pudeur, je lui offre de me sucer les deux seins. IL le fait encore d'une manière si parfaite et si douce que je n'ai qu'un envie: qu'il ma prenne vite, j'ai un creux dans mon bas ventre, comme lorsque j'ai besoin de me branler. mais il passe sa main sous ma jupe et caresse mes fesses. Il m'enlève le seul vêtement que je porte. me pousse sur le lit et pose sa tête entre mes jambes que j'écarte aussitôt. Il remonte maintenant son visage vers mon sexe et arrivé presque au lèvres et me caresse avec sa langue le clitoris. Je ne résiste pas au plaisir qu'il me procure et je jouis très rapidement. M copine qui regarde depuis le début ne résiste pas et en montrant bien se qu'elle fait se branle en vient m'embrasser pendant que son amant me suce.
Celui-ci maintenant dit qu'on va faire un 69. Je crains un peu qu'il jouisse dans ma bouche: je ne connais pas encore le gout du sperme, mais encore une fois, ma copine me rassure: c'est agréable. Je la crois et prends à pleine bouche ce sexe bandé qui me semble bien gros. pourtant je peux l'engager à fond, mes lèvres l'entourent , ma langue insiste pour lui lécher le gland. Il me dit que je suis doué pour le sucer. Après avoir dit ce là il me suce encore en il me fait jouir, surtout lorsque je reçois son jet au fond de ma gorge. J'en étouffe à moitié et le gout me plait j'en avale une bonne partie, lorsque encore une fois ma copine vient m'en prendre un peu dans la bouche: elle aime aussi ce gout. Son amant remarque le manège de sa maîtresse avec moi. Il sait qu'il pourra nous baiser toutes deux. d'ailleurs il bande toujours même après avoir joui. Pour le prouver il me dit qu'il est temps que je soit dépucelée. Il a raison je lui demande de venir me baiser. Lentement il me caresse les seins, le ventre le con les cuisses qu'il me fait écarter. Enfin il vient sur moi, m'embrasse et enfin pose sa bitte sur l'entrée de mon con. IL y rentre lentement jusqu'à trouver l'endroit de mon hymen et là, d'un seul coup de rein il rentre en moi: je pousse un cri de surprise plus que de douleur. Il rentre et sort et brusquement je sens le plaisir m'envahir: nous jouissons ensemble. Nous restons en position jusqu'à ce qu'il débande en moi. Puis épuisé, il se retire. Pourtant je n'ai pas mon compte je voudrais être enculée par cette bitte qui m'a donné du plaisir. Pour le faire bander à nouveau, ma copine viens sur moi et nous nous caressons et faisons un 69, après notre communes jouissance, son amant bien bandant, sa pine bien haute revient finir sa besogne,il me dit maintenant je vais d'enculer, et pour que tu es plus de plaisir, branle toi en même temps.Ma copine proteste, non je la sucerai; c'est d'accord, Il me fait mettre en ;levrette et demande à ma copine qui me suce de lui mouiller la bitte pour me pénétrer plus facilement. Tout est en ordre. Il pose le bout de sa bitte contre mon petit trou et là, lentement, très lentement il rentre l'entière verge jusqu'au bout . J'en ai le cul entièrement rempli. Mais j'ai enfin ce que je voulais: une pine au cul qui me donne un maximum de plaisir. Je jouis, il continu, je jouis encore deux fois, pourtant les spasme de mon cul sont de plus en plus violant . enfin je sens son sperme qui jailli dans mon rectum. J'en jouis encore une dernière fois: je suis épuisée. Ma copine prent la bitte de son amant pour la faire bander, entre ses lèvres et suce le sperme qui y était encore pour enfin le faire jouir une dernière fois dans sa bouche et me demande de la sucer.Je le fais pour lui faire plaisir et surtout parce que de la voir faire ça avec un homme me donne du plaisir.
Quelques semaine plus tard j'ai trouvé du travail ailleurs, j'étais attristée de devoir quitter ce couple qui me donnait tant de plaisir. Avant de partir, j'ai fait des acquisitions d'objet "intimes" dans un sexe shop, afin de pouvoir me branler en mettant en moi les pines que je laisser, tout au moins leur équivalentes.
Excitée dans la perspective de devenir une vrai femme j'accepte pour le lendemain: ce soir je me branle pour calmer mon ardeur.
Le lendemain soir, je vais chez ma copine où doit se passer la chose. Je me suis habillée en conséquence: pas de sous vêtement mais une jupe très fendue sur le coté, presque au niveau du pubis, un t-shirt transparent laissant voir mes seins et leur aréole. J'arrive en avance sur l'horaire et ma copine en profite pour me faire un apéritif,comme elle dit: les doigts se glissent dans mon con et me branle un peu, jusqu'à ce que son amant arrive. Elle remet de l'ordre dans ma tenue et m'offre, c'est le cas de la dire. L'homme me prend des ses bras et m'embrasse à pleine bouche: nos langues se touchent et luttent. Il a remarqué que je n'était pas très vêtue et en profite pour me poser une main curieuses sur un sein qu'il pétrit avec beaucoup de délicatesse. Il enlève mon T-shirt et ma poitrine complètement dévoilée, en sans pudeur, je lui offre de me sucer les deux seins. IL le fait encore d'une manière si parfaite et si douce que je n'ai qu'un envie: qu'il ma prenne vite, j'ai un creux dans mon bas ventre, comme lorsque j'ai besoin de me branler. mais il passe sa main sous ma jupe et caresse mes fesses. Il m'enlève le seul vêtement que je porte. me pousse sur le lit et pose sa tête entre mes jambes que j'écarte aussitôt. Il remonte maintenant son visage vers mon sexe et arrivé presque au lèvres et me caresse avec sa langue le clitoris. Je ne résiste pas au plaisir qu'il me procure et je jouis très rapidement. M copine qui regarde depuis le début ne résiste pas et en montrant bien se qu'elle fait se branle en vient m'embrasser pendant que son amant me suce.
Celui-ci maintenant dit qu'on va faire un 69. Je crains un peu qu'il jouisse dans ma bouche: je ne connais pas encore le gout du sperme, mais encore une fois, ma copine me rassure: c'est agréable. Je la crois et prends à pleine bouche ce sexe bandé qui me semble bien gros. pourtant je peux l'engager à fond, mes lèvres l'entourent , ma langue insiste pour lui lécher le gland. Il me dit que je suis doué pour le sucer. Après avoir dit ce là il me suce encore en il me fait jouir, surtout lorsque je reçois son jet au fond de ma gorge. J'en étouffe à moitié et le gout me plait j'en avale une bonne partie, lorsque encore une fois ma copine vient m'en prendre un peu dans la bouche: elle aime aussi ce gout. Son amant remarque le manège de sa maîtresse avec moi. Il sait qu'il pourra nous baiser toutes deux. d'ailleurs il bande toujours même après avoir joui. Pour le prouver il me dit qu'il est temps que je soit dépucelée. Il a raison je lui demande de venir me baiser. Lentement il me caresse les seins, le ventre le con les cuisses qu'il me fait écarter. Enfin il vient sur moi, m'embrasse et enfin pose sa bitte sur l'entrée de mon con. IL y rentre lentement jusqu'à trouver l'endroit de mon hymen et là, d'un seul coup de rein il rentre en moi: je pousse un cri de surprise plus que de douleur. Il rentre et sort et brusquement je sens le plaisir m'envahir: nous jouissons ensemble. Nous restons en position jusqu'à ce qu'il débande en moi. Puis épuisé, il se retire. Pourtant je n'ai pas mon compte je voudrais être enculée par cette bitte qui m'a donné du plaisir. Pour le faire bander à nouveau, ma copine viens sur moi et nous nous caressons et faisons un 69, après notre communes jouissance, son amant bien bandant, sa pine bien haute revient finir sa besogne,il me dit maintenant je vais d'enculer, et pour que tu es plus de plaisir, branle toi en même temps.Ma copine proteste, non je la sucerai; c'est d'accord, Il me fait mettre en ;levrette et demande à ma copine qui me suce de lui mouiller la bitte pour me pénétrer plus facilement. Tout est en ordre. Il pose le bout de sa bitte contre mon petit trou et là, lentement, très lentement il rentre l'entière verge jusqu'au bout . J'en ai le cul entièrement rempli. Mais j'ai enfin ce que je voulais: une pine au cul qui me donne un maximum de plaisir. Je jouis, il continu, je jouis encore deux fois, pourtant les spasme de mon cul sont de plus en plus violant . enfin je sens son sperme qui jailli dans mon rectum. J'en jouis encore une dernière fois: je suis épuisée. Ma copine prent la bitte de son amant pour la faire bander, entre ses lèvres et suce le sperme qui y était encore pour enfin le faire jouir une dernière fois dans sa bouche et me demande de la sucer.Je le fais pour lui faire plaisir et surtout parce que de la voir faire ça avec un homme me donne du plaisir.
Quelques semaine plus tard j'ai trouvé du travail ailleurs, j'étais attristée de devoir quitter ce couple qui me donnait tant de plaisir. Avant de partir, j'ai fait des acquisitions d'objet "intimes" dans un sexe shop, afin de pouvoir me branler en mettant en moi les pines que je laisser, tout au moins leur équivalentes.
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