mon épouse s'offre à un homme
Récit érotique écrit par dometbiche [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-08-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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mon épouse s'offre à un homme
Je tiens à préciser que cette histoire est intégralement vraie et non issue de mon imagination. Si je la raconte aujourd’hui c’est que d’autres évènements plus récents sont arrivés que je vous raconterai prochainement.
Nous sommes mariés depuis 48 ans, Brigitte et moi, plus amoureux que jamais. Notre vie a toujours été très agréable tant sur le plan sexuel que sur le reste.
Du fait de s’être marié très jeune, elle avait 19 ans et moi 21, nous avons tout découvert de la vie ensemble.
En 1987 Brigitte travaillait comme secrétaire commerciale dans une concession automobile de luxe dans la ville voisine de notre village. A cette époque un nouveau directeur commercial est arrivé dans la société, bel homme séduisant, la quarantaine, en célibat géographique. Très rapidement il appréciait de plus en plus la compagnie de ma belle et passait beaucoup de temps dans son bureau. Il faut dire que déjà à cette époque elle attirait le regard des hommes du haut de ses 1m63 pour 50kg. Ses seins quoi que petits sont bien formés et surtout très sensibles. De plus elle a toujours su s’habiller avec goût et élégance.
Brigitte ne travaillant pas le vendredi après midi, après quelques semaines de présence dans l’entreprise il lui proposa de déjeuner ensemble un vendredi, invitation qu’elle déclina. Le soir elle me fit part de cette proposition et je lui demandai ce qu’elle en pensait. Etant plutôt naïve elle ne voyait aucune ambiguïté dans cette demande mais ne trouvait pas bien d’accepter. Comme il revenait assez régulièrement à la charge, je lui fis comprendre que si il insistait ainsi c’était uniquement car il avait envie de passer l’après midi avec elle pour la baiser, ce qui la choqua car elle ne pensait pas à ça de son côté. De semaine en semaine je finis par lui donner l’envie d’accepter le déjeuner en lui disant qu’elle serait toujours libre de refuser d’aller plus loin si elle ne voulait pas mais que de mon côté cela ne me dérangeait pas du tout. Elle finit donc par accepter un vendredi d’aller déjeuner, il l’emmena dans un petit restaurant de campagne. Au sortir du restaurant où il avait passer beaucoup de temps à la complimenter sur sa beauté et son élégance il lui proposa de lui faire visiter la maison qu’il louait, proposition qui n’attendait pas de réponse de sa part.
A son retour à la maison elle me raconta en détail son après midi. Après une visite rapide des lieux il lui retira sa robe légère et son soutien gorge, ne lui laissant que son string déjà humide. Dans le même temps il se mit nu dévoilant une bite dressée de belle taille avec un joli gland rouge bien décalotté, la mienne étant assez petite tant en longueur qu’en épaisseur.
Sans plus tardé il la fit allonger et la pénétra directement. Malheureusement son envie de la baiser étant certainement trop forte il éjacula après seulement quelques coups de queue dans sa chatte ce qui ne procura aucun plaisir à ma belle. De plus aussitôt retiré de la chatte enspermée, il était totalement débandé, ce dont il s’excusa auprès de ma belle en lui disant que le désir était trop intense. Je lui dis que c’était une première fois et qu’il était sans doute lui aussi un peu intimidé et inquiet de voir comment elle réagirait, et je la rassurais en lui disant qu’une prochaine fois serait sans doute meilleure ce à quoi elle me répondait n’être pas certaine d’en avoir envie.
Durant les trois ou quatre semaines qui ont suivi je lui parlait souvent en la baisant de cette belle queue qui pourrait lui donner du plaisir espérant lui donner l’envie de renouveler.
C’est ainsi qu’un jeudi soir elle m’annonça avoir accepter de déjeuner à nouveau avec lui le lendemain. Je m’empressai de savoir si elle avait prévu plus que le déjeuner et à ma grande satisfaction elle me répondit qu’elle était prête pour aller plus loin.
Pour cette deuxième fois il lui demanda de sortir plus tôt afin d’aller dans un petit village voisin où il y avait un petit hôtel. Arrivés sur place il réserva une chambre où ils montèrent immédiatement.
Elle était vêtue d’une robe légère mettant en valeur ses jolies jambes avec juste un string en dentelle dessous. Il n’attendit pas plus pour la faire placer en levrette au bout du lit et l’embrocher jusqu’à sentir ses couilles frapper sur son cul. Après un pilonnage intense de sa chatte il cracha son jus bien au fond sous ses gémissements de plaisir.
Suite à cet assaut rapide il lui dit qu’ils allaient déjeuner dans un petit restaurant proche et qu’ils reviendraient ici après.
Pendant le repas il lui demanda si elle était habituée de baiser avec d’autres hommes que son mari car il sentait chez elle une bonne baiseuse, ajoutant que sa chatte était gourmande et qu’elle était faite pour la bite.Cela la gênait beaucoup d’entendre tout ça et elle avoua qu’elle n’avait jamais connu d’autres hommes que moi.
Après déjeuner ils rejoignirent la chambre d’hôtel où il lui retira robe et string en douceur. Elle lui avoua adoré quand je lui faisait jouir son petit clito longuement avant de la prendre. Il se plaça entre ses cuisses ouvertes pour venir lui sucer longuement tout en branlant des doigts sa chatte béante. Il l’amena aisément à une jouissance intense et vint présenter son gland turgescent devant son visage pour lui faire comprendre que lui aussi aimait être sucer. N’étant pas très coutumière de cette pratique elle prit le gland en bouche et il s’appliqua à lui dire comment s’y prendre, ce qui m’avoua t-elle ne lui a pas déplu. Ensuite il la baisa debout en lui faisant mettre un pied sur une chaise pour ouvrir sa moule bien grand et ainsi la ramoner en profondeur. Tout en la défonçant il l’a traitait de petite salope, de baiseuse, il lui disait qu’elle avait une chatte à bites ce qui l’excitait à ce qu’elle m’a dit. Puis il l’allongea sur le lit pour venir éjaculer en elle copieusement.
A son retour à la maison où elle me raconta en détail, je vis qu’elle était heureuse et très excitée de ce qu’elle avait vécu et elle m’invita à baiser sa chatte encore baillante et poisseuse du jus de son amant. Je la félicitais de m’offrir ce bonheur de se faire prendre et de me raconter les détails. J’étais très heureux de savoir qu’elle avait aimé se faire ramoner comme une petite salope et j’espérais qu’il allait encore la dévergonder d’avantage.
C’est ainsi chaque semaine j’attendais avec fébrilité de savoir si elle allait le retrouver, ce qui arrivait environ une semaine sur deux. Je dois avouer que la voir se libérer sexuellement m’a beaucoup surpris car avant cela elle était plutôt pudique et ne voulait pas entendre parler de tout cela. Je profitais de cet état de grâce pour lui offrir de la lingerie sexy qui visiblement lui plaisait beaucoup d’après ce qu’elle me rapportait.
A chaque fois qu’elle avait droit à une séance de baise, j’attendais avec impatience son retour pour l’entendre me raconter pendant que je m’activais dans sa moule trempée et encore élargie de sa queue. Il la baisait un peu partout, parfois en forêt où il l’a prenait en levrette sur le capot de la voiture mais aussi dans les petits hôtels des villages voisins et bien sûr chez lui où toutes les pièces furent visitées, son imagination de queutard n’avait pas de limite. Une seule fois il lui a demandé si il m’arrivait de la sodomiser car il en avait envie mais sa crainte vu la taille de sa queue a été plus forte que le désir de se faire enculer par lui à mon grand regret.
J’ai tenté à plusieurs reprises de lui dire de venir la baiser à la maison mais elle refusait car ne voulait pas se retrouver avec lui dans notre intimité malgré que la maison était plutôt isolée dans la campagne sans voisins proches.
La dernière fois qu’il a profité d’elle était pour un départ en retraite dans l’entreprise. Cela se passait un vendredi soir dans une salle louée pour l’occasion. Ma belle se prépara avec soin prenant soin d’épiler sa petite chatte gourmande qui devait déjà être trempée. Je lui conseillais de mettre une jolie guêpière en dentelle blanche avec porte jarretelles que je lui avais offerte et un string dentelle et des bas résille blanc. Une jolie robe sur tout cela et ses talons hauts la rendait très désirable. Sachant qu’il allait profiter de cette soirée pour la sauter je lui proposais de la conduire pour lui éviter de prendre sa voiture et qu’il la raccompagnerait à la maison après la fête. Elle finit par accepter ma proposition pour mon grand plaisir.
Comme prévu il ne tenait pas en place n’ayant qu’une hâte, l’emmener pour baiser ce qu’ils firent vers 23H m’a t-elle dit. Il l’emmena dans un petit chemin non loin de notre maison en lui disant qu’il baiserait dans la voiture. Quand il découvrit sa tenue coquine, il la félicita en lui disant qu’elle faisait encore plus salope habillée ainsi et il ne put résister à la prendre en levrette sur le capot en lui faisant garder sa guêpière et ses bas. Comme il se faisait tard il la ramena à la maison où j’attendais son retour. J’ai entendu la voiture s’arrêter devant le portail, de longues minutes se sont alors passées car il a voulu qu’elle lui fasse une fellation avant de remettre sa robe afin de l’asperger de jus de couilles et qu’elle rentre ainsi.
Suite à cette soirée il a été muté dans une autre ville et peu de temps après ma belle a quitté la société pour un nouveau travail.
Cette aventure qui n’a duré que quelques mois a été très intense et nous a beaucoup apporté pour notre vie sexuelle car elle a permit de révéler en elle des envies qu’elle gardait secrète et cela a décupler son envie de baiser pour mon plus grand bonheur.
Nous sommes mariés depuis 48 ans, Brigitte et moi, plus amoureux que jamais. Notre vie a toujours été très agréable tant sur le plan sexuel que sur le reste.
Du fait de s’être marié très jeune, elle avait 19 ans et moi 21, nous avons tout découvert de la vie ensemble.
En 1987 Brigitte travaillait comme secrétaire commerciale dans une concession automobile de luxe dans la ville voisine de notre village. A cette époque un nouveau directeur commercial est arrivé dans la société, bel homme séduisant, la quarantaine, en célibat géographique. Très rapidement il appréciait de plus en plus la compagnie de ma belle et passait beaucoup de temps dans son bureau. Il faut dire que déjà à cette époque elle attirait le regard des hommes du haut de ses 1m63 pour 50kg. Ses seins quoi que petits sont bien formés et surtout très sensibles. De plus elle a toujours su s’habiller avec goût et élégance.
Brigitte ne travaillant pas le vendredi après midi, après quelques semaines de présence dans l’entreprise il lui proposa de déjeuner ensemble un vendredi, invitation qu’elle déclina. Le soir elle me fit part de cette proposition et je lui demandai ce qu’elle en pensait. Etant plutôt naïve elle ne voyait aucune ambiguïté dans cette demande mais ne trouvait pas bien d’accepter. Comme il revenait assez régulièrement à la charge, je lui fis comprendre que si il insistait ainsi c’était uniquement car il avait envie de passer l’après midi avec elle pour la baiser, ce qui la choqua car elle ne pensait pas à ça de son côté. De semaine en semaine je finis par lui donner l’envie d’accepter le déjeuner en lui disant qu’elle serait toujours libre de refuser d’aller plus loin si elle ne voulait pas mais que de mon côté cela ne me dérangeait pas du tout. Elle finit donc par accepter un vendredi d’aller déjeuner, il l’emmena dans un petit restaurant de campagne. Au sortir du restaurant où il avait passer beaucoup de temps à la complimenter sur sa beauté et son élégance il lui proposa de lui faire visiter la maison qu’il louait, proposition qui n’attendait pas de réponse de sa part.
A son retour à la maison elle me raconta en détail son après midi. Après une visite rapide des lieux il lui retira sa robe légère et son soutien gorge, ne lui laissant que son string déjà humide. Dans le même temps il se mit nu dévoilant une bite dressée de belle taille avec un joli gland rouge bien décalotté, la mienne étant assez petite tant en longueur qu’en épaisseur.
Sans plus tardé il la fit allonger et la pénétra directement. Malheureusement son envie de la baiser étant certainement trop forte il éjacula après seulement quelques coups de queue dans sa chatte ce qui ne procura aucun plaisir à ma belle. De plus aussitôt retiré de la chatte enspermée, il était totalement débandé, ce dont il s’excusa auprès de ma belle en lui disant que le désir était trop intense. Je lui dis que c’était une première fois et qu’il était sans doute lui aussi un peu intimidé et inquiet de voir comment elle réagirait, et je la rassurais en lui disant qu’une prochaine fois serait sans doute meilleure ce à quoi elle me répondait n’être pas certaine d’en avoir envie.
Durant les trois ou quatre semaines qui ont suivi je lui parlait souvent en la baisant de cette belle queue qui pourrait lui donner du plaisir espérant lui donner l’envie de renouveler.
C’est ainsi qu’un jeudi soir elle m’annonça avoir accepter de déjeuner à nouveau avec lui le lendemain. Je m’empressai de savoir si elle avait prévu plus que le déjeuner et à ma grande satisfaction elle me répondit qu’elle était prête pour aller plus loin.
Pour cette deuxième fois il lui demanda de sortir plus tôt afin d’aller dans un petit village voisin où il y avait un petit hôtel. Arrivés sur place il réserva une chambre où ils montèrent immédiatement.
Elle était vêtue d’une robe légère mettant en valeur ses jolies jambes avec juste un string en dentelle dessous. Il n’attendit pas plus pour la faire placer en levrette au bout du lit et l’embrocher jusqu’à sentir ses couilles frapper sur son cul. Après un pilonnage intense de sa chatte il cracha son jus bien au fond sous ses gémissements de plaisir.
Suite à cet assaut rapide il lui dit qu’ils allaient déjeuner dans un petit restaurant proche et qu’ils reviendraient ici après.
Pendant le repas il lui demanda si elle était habituée de baiser avec d’autres hommes que son mari car il sentait chez elle une bonne baiseuse, ajoutant que sa chatte était gourmande et qu’elle était faite pour la bite.Cela la gênait beaucoup d’entendre tout ça et elle avoua qu’elle n’avait jamais connu d’autres hommes que moi.
Après déjeuner ils rejoignirent la chambre d’hôtel où il lui retira robe et string en douceur. Elle lui avoua adoré quand je lui faisait jouir son petit clito longuement avant de la prendre. Il se plaça entre ses cuisses ouvertes pour venir lui sucer longuement tout en branlant des doigts sa chatte béante. Il l’amena aisément à une jouissance intense et vint présenter son gland turgescent devant son visage pour lui faire comprendre que lui aussi aimait être sucer. N’étant pas très coutumière de cette pratique elle prit le gland en bouche et il s’appliqua à lui dire comment s’y prendre, ce qui m’avoua t-elle ne lui a pas déplu. Ensuite il la baisa debout en lui faisant mettre un pied sur une chaise pour ouvrir sa moule bien grand et ainsi la ramoner en profondeur. Tout en la défonçant il l’a traitait de petite salope, de baiseuse, il lui disait qu’elle avait une chatte à bites ce qui l’excitait à ce qu’elle m’a dit. Puis il l’allongea sur le lit pour venir éjaculer en elle copieusement.
A son retour à la maison où elle me raconta en détail, je vis qu’elle était heureuse et très excitée de ce qu’elle avait vécu et elle m’invita à baiser sa chatte encore baillante et poisseuse du jus de son amant. Je la félicitais de m’offrir ce bonheur de se faire prendre et de me raconter les détails. J’étais très heureux de savoir qu’elle avait aimé se faire ramoner comme une petite salope et j’espérais qu’il allait encore la dévergonder d’avantage.
C’est ainsi chaque semaine j’attendais avec fébrilité de savoir si elle allait le retrouver, ce qui arrivait environ une semaine sur deux. Je dois avouer que la voir se libérer sexuellement m’a beaucoup surpris car avant cela elle était plutôt pudique et ne voulait pas entendre parler de tout cela. Je profitais de cet état de grâce pour lui offrir de la lingerie sexy qui visiblement lui plaisait beaucoup d’après ce qu’elle me rapportait.
A chaque fois qu’elle avait droit à une séance de baise, j’attendais avec impatience son retour pour l’entendre me raconter pendant que je m’activais dans sa moule trempée et encore élargie de sa queue. Il la baisait un peu partout, parfois en forêt où il l’a prenait en levrette sur le capot de la voiture mais aussi dans les petits hôtels des villages voisins et bien sûr chez lui où toutes les pièces furent visitées, son imagination de queutard n’avait pas de limite. Une seule fois il lui a demandé si il m’arrivait de la sodomiser car il en avait envie mais sa crainte vu la taille de sa queue a été plus forte que le désir de se faire enculer par lui à mon grand regret.
J’ai tenté à plusieurs reprises de lui dire de venir la baiser à la maison mais elle refusait car ne voulait pas se retrouver avec lui dans notre intimité malgré que la maison était plutôt isolée dans la campagne sans voisins proches.
La dernière fois qu’il a profité d’elle était pour un départ en retraite dans l’entreprise. Cela se passait un vendredi soir dans une salle louée pour l’occasion. Ma belle se prépara avec soin prenant soin d’épiler sa petite chatte gourmande qui devait déjà être trempée. Je lui conseillais de mettre une jolie guêpière en dentelle blanche avec porte jarretelles que je lui avais offerte et un string dentelle et des bas résille blanc. Une jolie robe sur tout cela et ses talons hauts la rendait très désirable. Sachant qu’il allait profiter de cette soirée pour la sauter je lui proposais de la conduire pour lui éviter de prendre sa voiture et qu’il la raccompagnerait à la maison après la fête. Elle finit par accepter ma proposition pour mon grand plaisir.
Comme prévu il ne tenait pas en place n’ayant qu’une hâte, l’emmener pour baiser ce qu’ils firent vers 23H m’a t-elle dit. Il l’emmena dans un petit chemin non loin de notre maison en lui disant qu’il baiserait dans la voiture. Quand il découvrit sa tenue coquine, il la félicita en lui disant qu’elle faisait encore plus salope habillée ainsi et il ne put résister à la prendre en levrette sur le capot en lui faisant garder sa guêpière et ses bas. Comme il se faisait tard il la ramena à la maison où j’attendais son retour. J’ai entendu la voiture s’arrêter devant le portail, de longues minutes se sont alors passées car il a voulu qu’elle lui fasse une fellation avant de remettre sa robe afin de l’asperger de jus de couilles et qu’elle rentre ainsi.
Suite à cette soirée il a été muté dans une autre ville et peu de temps après ma belle a quitté la société pour un nouveau travail.
Cette aventure qui n’a duré que quelques mois a été très intense et nous a beaucoup apporté pour notre vie sexuelle car elle a permit de révéler en elle des envies qu’elle gardait secrète et cela a décupler son envie de baiser pour mon plus grand bonheur.
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9 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
très chaude aventure, et j'adore mettre ma queue dans la chatte de ma femme quand un autre lui a remplis son puits d'amour
Belle histoire... C'est merveilleux pour le mari de baiser sa femme alors qu'elle sort de cuisses de son amant !!!
Un vrai récit candauliste. Une suite?
J'ai vécu une histoire
similaire avec mon épouse. Pour ses 50 ans, je l'ai invité à prendre des amants. Ce qu'elle a fait en se faisant baiser par certains de ses confrères dentistes.
similaire avec mon épouse. Pour ses 50 ans, je l'ai invité à prendre des amants. Ce qu'elle a fait en se faisant baiser par certains de ses confrères dentistes.
Bon démarrage le mari serait candauliste et la femme un peu salope attendons la suite
De la bonne salope de la chatte
Magnifique de la bonne salope
N’est ce pas magnifique! Tout le monde est heureux.
Et donc la femme nique comme ça à blanc sans précaution !!!! 🤔