Mon éveil de soumise . Chapitre 3 : Première séance
Récit érotique écrit par Divinmarkiz [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-06-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Mon éveil de soumise . Chapitre 3 : Première séance
Mon éveil de soumise
Chapitre 3 : Première séance
Dans l’ascenseur qui me menait chez lui , je me remémorais les 3 règles qu’il avait énoncées lors de nos échanges ; ces règles s’appliquaient dès que j’aurai passé le pas de sa porte m’avait il indiqué :
1-Nudité2-Obéissance3-Absence d’intimité
Si les 2 premières règles m’étaient faciles à appréhender (je les avait bien intégrées), la 3eme m’intriguait ; elle m’intriguait et m’inquiétait aussi car j’avais déjà bien mesurer le degré de perversité de Pierre et son « talent » pour m’humilier .
Je chassais cette pensée pour revenir à cette soirée ou j’allais être initiée ;j’avais peur et j’avais hâte .
Je sonnais , la porte s’ouvrit ; Pierre était élégant et il me sourit en déposant un baiser léger sur mes lèvres . Il m’attrapa la nuque , sans violence mais avec fermeté , se pencha vers mon oreille : « Tu es prête n’est ce pas ? ».
Dans un souffle je m’entendis répondre « Oui Monsieur , je suis prête »
Il me guida à travers une vaste pièce , un salon ; la lumière était douce et étudiée , Pierre ne laissait rien au hasard . En le traversant je pus furtivement découvrir des œuvres d’art de différentes époques mais qui formait un ensemble harmonieux et , comme lui , élégant .
Il me mena vers une pièce attenante ; «Tu te déshabilles en ne gardant que ta culotte » ; je n’avais pas oublié ses paroles à ce sujet et je tremblais de honte ! Mais j’étais là . Il me laissa après m’avoir demandé de le prévenir lorsque je serai nue ou presque .
« Je suis prête Monsieur » ; Pierre s’approcha et me mis un collier de cuir autour du cou a laquelle il crocheta une laisse .
Etrange sentiment de sentir le cuir autour de mon cou , étrange mais excitant aussi il me mena devant un canapé dans le quel il s’assit et me regarda ; j’avais baissé les yeux et je sentais son regard me détailler ; une main vint prendre possession d’un sein puis de l’autre . Il me pinçait fermement les tétons jusqu’à ce qu’ils durcissent .
Visiblement satisfait de ma réaction , ile me demanda d’enlever ma culotte et de la lui présenter . Il me fallut lutter , vainement je le savais , contre ce qu’il me restait d’orgueil .
Je décidais d’obéir mais cette légère hésitation ne lui avait bien sur pas échappé ; il me dit simplement « Tu n’hésiteras plus lorsque je te donne un ordre. Tu as bien entendu » ; je hochais la tête ; il avait gagné .
Je baissais cette culotte de coton blanc que j’avais porté jour et nuit depuis mardi ; l’intérieur était humide et maculé et je la lui tendis . Il la regarda et me la mis sous le nez . « Tu ne pourras pas repartir avec une culotte aussi sale ! Tu devras la nettoyer » .
Je ne pus rien dire d’autre que « Oui Monsieur » .
Il avait disposé sur la table basse qui se trouvait devant le canapé un martinet , une badine , des pinces , des poids et un plug .
Regard toujours baissé , je devinais qu’il prenait un de ces objets ; les pinces. Il en posa deux sur chacune des lèvres de mon sexe puis il enfila un large ruban de caoutchouc sur chacune de mes cuisses jusqu’à l’aine .
Les pinces furent glissées sous le ruban ; lèvres pincées et ouvertes ma chatte était béante .
Il l’inspecta longuement dans tous ses plis et termina par ces mots qui sans être inattendus m’ont mortifiés « Ta chatte est très sale et sent très fort » .
Humiliée certes mais comme il l’avait remarqué très excitée « Tu aimes être humiliée Fabienne » .
Le simple fait de prononcer mon prénom rajoutait à mon humiliation ; oui c’était moi Fabienne nue , offerte et négligée devant un homme qui me soumettait posément et sans efforts à ces perversions .. et je mouillais !
« Tourne toi et penche toi en avant cuisses écartées » , je m’exécutais .
« Maintenant écarte tes fesses » . Après ma chatte ouverte c’était mon cul qu’il pouvait inspecter ; il passa ses doigts le long du sillon jusqu’à atteindre mon anus qu’il caressa avant d’y pénétrer un doigt puis deux .
« Ton cul est encore trop fermé pour ce qui t’attend » . Je sentis ses doigts appliquer une pommade et , tournée vers la table je le vis prendre le plug qu’il fit pénétrer lentement et patiemment dans mon anus .
Je devais m’avouer que j’aimais cette présence bien enfoncée jusqu’au fond de mon cul ; je pus me relever .
Il retira les pinces de ma chatte pour les remplacer par d’autres pinces japonaises celles-ci ; il les réunit et y accrocha un poids .
Je ressentais un étirement douloureux de ma chatte mais , Dieu que j’aimais ça . Il me fit déambuler devant lui ; à chacun de mes pas maladroits le poids se balançait et m’étirait .
« Tu aimes que je maltraite ta chatte » ; « Oui monsieur ! Faites ce que vous voulez avec ma chatte » Il se leva , et m’embrassa longuement tandis que sa main tirait sur le poids qui pendait entre mes cuisses ; j’étais ruisselante .
Il retira alors avec douceur les pinces et celles qui me liront savent combien ce geste peut être douloureux mais , homme d’expérience , Pierre me massa longuement les lèvres et commença à caresser avec insistance mon clitoris tout en m’embrassant .
Il avait abandonné pour un instant mon bouton pour fouiller l’intérieur de mes lèvres , de mon vagin et porta alors ses doigts vers nos bouches collées ; nous léchions chacun ses doigts imprégnés de mon intimité ; ce geste me transporta !
Il reprit ses caresses et au bord de jouir il ralentit et me murmura « Attends petite soumise tu jouiras plus fort tout à l’heure » . Je retins mon orgasme avec obéissance et difficultés .
Il se rassit et m’ordonna de m’allonger , agenouillée sur ses cuisses ; il commença par me caresser les fesses et je savais que ma première fessée viendrait .
Sa main s’abattit sur chacune de mes fesses avec exactitude et constance ; elle dura longtemps , j’avais les larmes aux yeux mais j’aimais aussi cette chaleur qui m’envahissait ; il vérifiait d’ailleurs régulièrement que ma chatte coulait et lorsque ses mains s’arrêtèrent , je ne bougeais pas comme si j’attendais que la punition se poursuive .
Je crois qu’il l’avait compris ; il me demanda de m’agenouiller sur le canapé bras reposé sur le dossier , il se leva et très vite je sentis des lanières m’effleurer les fesses ; le martinet !
Là encore le martinet s’abattit avec précision sur mon cul déjà rougi et je sentais ces lanières me fouetter avec une forme de plaisir ; cette punition dura elle aussi longtemps et lorsqu’elle cessa j’étais en sueur . Pierre me caressa alors les fesses et me murmura que j’étais une bonne soumise même s’il me restait des progrès à faire . J’aimais ce mélange de punitions et de bienveillance . Toujours agenouillée il me caressa en faisant aller et venir le plug fiché dans mon cul ; j’eus mon premier orgasme de la soirée puissant , violent ; il me laissa pantelante .
« Tu dois avoir soif » me dit-il ; je subissais humiliations et punitions depuis déjà plus d’une heure et après avoir tant haleté et transpiré j’étais en effet assoiffée .
« Tu trouveras dans la pièce à côté une bouteille de vin blanc , un verre et une écuelle . Apporte moi un verre de vin et remplis d’eau cette écuelle que tu apporteras elle aussi .
Je dus poser l’écuelle par terre et il m’ordonna de boire à 4 pattes le cul tourné vers lui , cuisses écartées ; je me donnais l’impression d’être un animal , une esclave mais je me sentais consentante et fière ; je bus avidement en lapant l’eau ; une fois terminée je dus aller la remplir de nouveau et toujours dans la même position j’ingurgitais maladroitement son contenu . J’avais du boire près d’un litre d’eau et je craignais déjà les effets sur ma vessie .
« Nous allons continuer ton éducation petite soumise ; tu sais que le plaisir se mérite » .
Je ne le savais que trop :« Je le sais Monsieur, je suis prête ».
Il retira délicatement le plug de mon cul , me releva et la laisse entre ses mains m’entraina vers une autre pièce , la chambre . Y tronait un vaste lit haut , de ceux qu’on trouve dans les palaces .
Une longue barre était fixée le long du mur semblable à celles qu’on peut trouver chez les tailleurs . Pendaient quatre liens avec d’un côté des pinces japonaises et de l’autre des poids ; chaque paire de liens était de longueur inégale .
Il me plaça dos à ce mur , prit la paire la plus courte et fixa deux pinces sur mes tétons ; il fixa l’autre paire sur ma chatte .
« Maintenant tu vas me déshabiller » ; j’allais enfin découvrir son corps et son sexe .
Déboutonner sa chemise se fit sans difficultés mais lorsqu’il s’agit d’ouvrir son pantalon , le lui retirer comme ses mocassins , il fallu m’agenouiller en entrainant les poids qui m’étiraient les seins et la chatte . Douleur vive mais à laquelle il m’avait déjà entrainée ; la morsure sur mes tétons était à la hauteur de mes attentes , celle d’une zone qui chez moi est très érogène .
Je découvrais son sexe déjà dressé , d’une bonne taille sans être démesurée et j’attendais avec impatience de le sentir pénétrer dans mes orifices .
Il s’assit sur le lit ; « je vais te récompenser , tu vas avoir le droit de me lécher et de me sucer , dans cet ordre » .
Le lit se trouvait à quelques pas de l’endroit ou je me tenais mais ses pas furent un doux supplice ; en avançant les liens se tendaient sous l’effet des poids et il me fallu un certain temps pour enfin atteindre son corps ; là je dus m’agenouiller pour me plier à son désir .
Je commençais par lui lécher longuement les testicules , je les avalais goulument mais lorsque je voulus mettre son sexe dans ma bouche il me rappela :« Dans cet ordre t’ai je dit , retourne contre le mur ».
Je me relevais et reculais ; j’attendis jusqu’à ce qu’il m’intime l’ordre de venir le sucer .
De nouveau je m’avançais avec la lenteur que m’imposait les étirements et , enfin , je pus avaler son membre ; c’était si bon ! Ma bouche allait et venait je léchais son gland déjà humide des premières gouttes , j’entrais dans un dérèglement de tous mes sens .
Après un long moment il repoussa doucement mon visage , défit avec la même délicatesse que précédemment les pinces et là encore massa longuement mes lèvres et mes tétons .
« Mets toi à quatre pattes sur le lit » ; allais-je être pénétrée , baisée , pilonnée comme j’en rêvais ?
Je sentis son sexe se présenter à l’entrée de mon anus tandis qu’une nouvelle paire de pinces était placée sur une surface encore intacte de mes lèvres .
Pierre mit le temps qui était nécessaire pour que mon cul s’ouvre sous la pression insistante de son sexe ; une fois pénétrée , je ressenti une chaleur envahir mon fondement et au fur et à mesure je sentais également mon anus s’ouvrir et l’engloutir avidement .
« Ton cul s’ouvre bien attends ce qui va venir » ; en effet sous l’effet de ce nouveau plaisir je sentis son sexe glisser de mieux en mieux , mon cul mouillait ; c’était divin !
A partir de ce moment il m’encula sans retenue en tirant sur les pinces .
Je gémissais , hurlait , haletais jusqu’à ce que les mots m’échappent « Monsieur enculez moi plus fort , étirez moi , encore » et , dans un râle je me mis à jouir longuement pendant que le sexe de Louis me labourais .
Jamais je n’avais ressenti un tel orgasme ; je me remémorais sa phrase sur les plaisirs partagés ; j’en prenais la mesure , j’étais ivre de plaisir .
A suivre
Chapitre 3 : Première séance
Dans l’ascenseur qui me menait chez lui , je me remémorais les 3 règles qu’il avait énoncées lors de nos échanges ; ces règles s’appliquaient dès que j’aurai passé le pas de sa porte m’avait il indiqué :
1-Nudité2-Obéissance3-Absence d’intimité
Si les 2 premières règles m’étaient faciles à appréhender (je les avait bien intégrées), la 3eme m’intriguait ; elle m’intriguait et m’inquiétait aussi car j’avais déjà bien mesurer le degré de perversité de Pierre et son « talent » pour m’humilier .
Je chassais cette pensée pour revenir à cette soirée ou j’allais être initiée ;j’avais peur et j’avais hâte .
Je sonnais , la porte s’ouvrit ; Pierre était élégant et il me sourit en déposant un baiser léger sur mes lèvres . Il m’attrapa la nuque , sans violence mais avec fermeté , se pencha vers mon oreille : « Tu es prête n’est ce pas ? ».
Dans un souffle je m’entendis répondre « Oui Monsieur , je suis prête »
Il me guida à travers une vaste pièce , un salon ; la lumière était douce et étudiée , Pierre ne laissait rien au hasard . En le traversant je pus furtivement découvrir des œuvres d’art de différentes époques mais qui formait un ensemble harmonieux et , comme lui , élégant .
Il me mena vers une pièce attenante ; «Tu te déshabilles en ne gardant que ta culotte » ; je n’avais pas oublié ses paroles à ce sujet et je tremblais de honte ! Mais j’étais là . Il me laissa après m’avoir demandé de le prévenir lorsque je serai nue ou presque .
« Je suis prête Monsieur » ; Pierre s’approcha et me mis un collier de cuir autour du cou a laquelle il crocheta une laisse .
Etrange sentiment de sentir le cuir autour de mon cou , étrange mais excitant aussi il me mena devant un canapé dans le quel il s’assit et me regarda ; j’avais baissé les yeux et je sentais son regard me détailler ; une main vint prendre possession d’un sein puis de l’autre . Il me pinçait fermement les tétons jusqu’à ce qu’ils durcissent .
Visiblement satisfait de ma réaction , ile me demanda d’enlever ma culotte et de la lui présenter . Il me fallut lutter , vainement je le savais , contre ce qu’il me restait d’orgueil .
Je décidais d’obéir mais cette légère hésitation ne lui avait bien sur pas échappé ; il me dit simplement « Tu n’hésiteras plus lorsque je te donne un ordre. Tu as bien entendu » ; je hochais la tête ; il avait gagné .
Je baissais cette culotte de coton blanc que j’avais porté jour et nuit depuis mardi ; l’intérieur était humide et maculé et je la lui tendis . Il la regarda et me la mis sous le nez . « Tu ne pourras pas repartir avec une culotte aussi sale ! Tu devras la nettoyer » .
Je ne pus rien dire d’autre que « Oui Monsieur » .
Il avait disposé sur la table basse qui se trouvait devant le canapé un martinet , une badine , des pinces , des poids et un plug .
Regard toujours baissé , je devinais qu’il prenait un de ces objets ; les pinces. Il en posa deux sur chacune des lèvres de mon sexe puis il enfila un large ruban de caoutchouc sur chacune de mes cuisses jusqu’à l’aine .
Les pinces furent glissées sous le ruban ; lèvres pincées et ouvertes ma chatte était béante .
Il l’inspecta longuement dans tous ses plis et termina par ces mots qui sans être inattendus m’ont mortifiés « Ta chatte est très sale et sent très fort » .
Humiliée certes mais comme il l’avait remarqué très excitée « Tu aimes être humiliée Fabienne » .
Le simple fait de prononcer mon prénom rajoutait à mon humiliation ; oui c’était moi Fabienne nue , offerte et négligée devant un homme qui me soumettait posément et sans efforts à ces perversions .. et je mouillais !
« Tourne toi et penche toi en avant cuisses écartées » , je m’exécutais .
« Maintenant écarte tes fesses » . Après ma chatte ouverte c’était mon cul qu’il pouvait inspecter ; il passa ses doigts le long du sillon jusqu’à atteindre mon anus qu’il caressa avant d’y pénétrer un doigt puis deux .
« Ton cul est encore trop fermé pour ce qui t’attend » . Je sentis ses doigts appliquer une pommade et , tournée vers la table je le vis prendre le plug qu’il fit pénétrer lentement et patiemment dans mon anus .
Je devais m’avouer que j’aimais cette présence bien enfoncée jusqu’au fond de mon cul ; je pus me relever .
Il retira les pinces de ma chatte pour les remplacer par d’autres pinces japonaises celles-ci ; il les réunit et y accrocha un poids .
Je ressentais un étirement douloureux de ma chatte mais , Dieu que j’aimais ça . Il me fit déambuler devant lui ; à chacun de mes pas maladroits le poids se balançait et m’étirait .
« Tu aimes que je maltraite ta chatte » ; « Oui monsieur ! Faites ce que vous voulez avec ma chatte » Il se leva , et m’embrassa longuement tandis que sa main tirait sur le poids qui pendait entre mes cuisses ; j’étais ruisselante .
Il retira alors avec douceur les pinces et celles qui me liront savent combien ce geste peut être douloureux mais , homme d’expérience , Pierre me massa longuement les lèvres et commença à caresser avec insistance mon clitoris tout en m’embrassant .
Il avait abandonné pour un instant mon bouton pour fouiller l’intérieur de mes lèvres , de mon vagin et porta alors ses doigts vers nos bouches collées ; nous léchions chacun ses doigts imprégnés de mon intimité ; ce geste me transporta !
Il reprit ses caresses et au bord de jouir il ralentit et me murmura « Attends petite soumise tu jouiras plus fort tout à l’heure » . Je retins mon orgasme avec obéissance et difficultés .
Il se rassit et m’ordonna de m’allonger , agenouillée sur ses cuisses ; il commença par me caresser les fesses et je savais que ma première fessée viendrait .
Sa main s’abattit sur chacune de mes fesses avec exactitude et constance ; elle dura longtemps , j’avais les larmes aux yeux mais j’aimais aussi cette chaleur qui m’envahissait ; il vérifiait d’ailleurs régulièrement que ma chatte coulait et lorsque ses mains s’arrêtèrent , je ne bougeais pas comme si j’attendais que la punition se poursuive .
Je crois qu’il l’avait compris ; il me demanda de m’agenouiller sur le canapé bras reposé sur le dossier , il se leva et très vite je sentis des lanières m’effleurer les fesses ; le martinet !
Là encore le martinet s’abattit avec précision sur mon cul déjà rougi et je sentais ces lanières me fouetter avec une forme de plaisir ; cette punition dura elle aussi longtemps et lorsqu’elle cessa j’étais en sueur . Pierre me caressa alors les fesses et me murmura que j’étais une bonne soumise même s’il me restait des progrès à faire . J’aimais ce mélange de punitions et de bienveillance . Toujours agenouillée il me caressa en faisant aller et venir le plug fiché dans mon cul ; j’eus mon premier orgasme de la soirée puissant , violent ; il me laissa pantelante .
« Tu dois avoir soif » me dit-il ; je subissais humiliations et punitions depuis déjà plus d’une heure et après avoir tant haleté et transpiré j’étais en effet assoiffée .
« Tu trouveras dans la pièce à côté une bouteille de vin blanc , un verre et une écuelle . Apporte moi un verre de vin et remplis d’eau cette écuelle que tu apporteras elle aussi .
Je dus poser l’écuelle par terre et il m’ordonna de boire à 4 pattes le cul tourné vers lui , cuisses écartées ; je me donnais l’impression d’être un animal , une esclave mais je me sentais consentante et fière ; je bus avidement en lapant l’eau ; une fois terminée je dus aller la remplir de nouveau et toujours dans la même position j’ingurgitais maladroitement son contenu . J’avais du boire près d’un litre d’eau et je craignais déjà les effets sur ma vessie .
« Nous allons continuer ton éducation petite soumise ; tu sais que le plaisir se mérite » .
Je ne le savais que trop :« Je le sais Monsieur, je suis prête ».
Il retira délicatement le plug de mon cul , me releva et la laisse entre ses mains m’entraina vers une autre pièce , la chambre . Y tronait un vaste lit haut , de ceux qu’on trouve dans les palaces .
Une longue barre était fixée le long du mur semblable à celles qu’on peut trouver chez les tailleurs . Pendaient quatre liens avec d’un côté des pinces japonaises et de l’autre des poids ; chaque paire de liens était de longueur inégale .
Il me plaça dos à ce mur , prit la paire la plus courte et fixa deux pinces sur mes tétons ; il fixa l’autre paire sur ma chatte .
« Maintenant tu vas me déshabiller » ; j’allais enfin découvrir son corps et son sexe .
Déboutonner sa chemise se fit sans difficultés mais lorsqu’il s’agit d’ouvrir son pantalon , le lui retirer comme ses mocassins , il fallu m’agenouiller en entrainant les poids qui m’étiraient les seins et la chatte . Douleur vive mais à laquelle il m’avait déjà entrainée ; la morsure sur mes tétons était à la hauteur de mes attentes , celle d’une zone qui chez moi est très érogène .
Je découvrais son sexe déjà dressé , d’une bonne taille sans être démesurée et j’attendais avec impatience de le sentir pénétrer dans mes orifices .
Il s’assit sur le lit ; « je vais te récompenser , tu vas avoir le droit de me lécher et de me sucer , dans cet ordre » .
Le lit se trouvait à quelques pas de l’endroit ou je me tenais mais ses pas furent un doux supplice ; en avançant les liens se tendaient sous l’effet des poids et il me fallu un certain temps pour enfin atteindre son corps ; là je dus m’agenouiller pour me plier à son désir .
Je commençais par lui lécher longuement les testicules , je les avalais goulument mais lorsque je voulus mettre son sexe dans ma bouche il me rappela :« Dans cet ordre t’ai je dit , retourne contre le mur ».
Je me relevais et reculais ; j’attendis jusqu’à ce qu’il m’intime l’ordre de venir le sucer .
De nouveau je m’avançais avec la lenteur que m’imposait les étirements et , enfin , je pus avaler son membre ; c’était si bon ! Ma bouche allait et venait je léchais son gland déjà humide des premières gouttes , j’entrais dans un dérèglement de tous mes sens .
Après un long moment il repoussa doucement mon visage , défit avec la même délicatesse que précédemment les pinces et là encore massa longuement mes lèvres et mes tétons .
« Mets toi à quatre pattes sur le lit » ; allais-je être pénétrée , baisée , pilonnée comme j’en rêvais ?
Je sentis son sexe se présenter à l’entrée de mon anus tandis qu’une nouvelle paire de pinces était placée sur une surface encore intacte de mes lèvres .
Pierre mit le temps qui était nécessaire pour que mon cul s’ouvre sous la pression insistante de son sexe ; une fois pénétrée , je ressenti une chaleur envahir mon fondement et au fur et à mesure je sentais également mon anus s’ouvrir et l’engloutir avidement .
« Ton cul s’ouvre bien attends ce qui va venir » ; en effet sous l’effet de ce nouveau plaisir je sentis son sexe glisser de mieux en mieux , mon cul mouillait ; c’était divin !
A partir de ce moment il m’encula sans retenue en tirant sur les pinces .
Je gémissais , hurlait , haletais jusqu’à ce que les mots m’échappent « Monsieur enculez moi plus fort , étirez moi , encore » et , dans un râle je me mis à jouir longuement pendant que le sexe de Louis me labourais .
Jamais je n’avais ressenti un tel orgasme ; je me remémorais sa phrase sur les plaisirs partagés ; j’en prenais la mesure , j’étais ivre de plaisir .
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