Mon éveil de soumise . Chapitre 9

- Par l'auteur HDS Divinmarkiz -
Auteur homme.
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Récit libertin : Mon éveil de soumise . Chapitre 9 Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-07-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Mon éveil de soumise . Chapitre 9
Mon éveil de soumise
Chapitre 9 : Je domine un homme
Les jours suivants ma découverte de la « hiérarchie » selon Pierre , nous avons beaucoup échangé ; il ne m’avait pas demandé de compte-rendu . A sa place nous avons échangé de nombreux et longs messages dans lesquels il était question de mon ressenti comme du sien ; je ne lui cachais pas l’intensité de mon excitation ni de ma jouissance . Il faisait de même . Nous entrions dans une nouvelle relation ; désirs réciproques , gouts partagés et surtout la confiance que nous partagions .

Il devait partir pour un voyage d’affaires de plusieurs semaines ; il n’était pas question que s’arrête ma vie sexuelle . Il le savait et n’avait aucune objection. Une phrase seulement « Lorsque je reviendrai je suis sur que tu seras plus forte ». « Je ne serai plus jamais une esclave » furent mes mots. Il répondit par des sourires d’emojis.

Je décidais de mener plusieurs expériences, celles de dominer un homme et également une femme ; pour cette dernière je formais le vœu de la former à devenir une esclave comme l’était Sophie (voir chapitres 6,7 et 8).
En second lieu, j’aurais aimé rencontrer une dominatrice capable de m’aguerrir pour notre prochaine rencontre à son retour .
Ca faisait beaucoup ! Je m’en sentais capable seul le temps que me prendrait la sélection de ces sujets me préoccupait.

Je m’inscrivis sur de nouveaux sites et déposais des annonces que j’espérais suffisamment alléchantes pour parvenir à mes fins.

Trouver un soumis est facile en soi, ils sont nombreux à être candidats ; trouver le bon fut ardu . Novice je devais cependant apparaître expérimenté à leurs yeux ; je me gavais de vidéos ou des dominatrices exerçaient pour la plupart leur domination de pacotille. Cela me permit cependant d’apprendre des thèmes de punitions qui, je l’avoue m’excitaient .

J’acquis martinets, plugs , pinces ,poids, liens , etc…Avec ses instruments posés devant moi , j’échafaudais les scénarios auxquels mon soumis devrait se plier ; il fallait que tout ceci soit construit et cohérent, et j’avais en tête d’alterner comme Pierre le faisait , punitions et caresses .

Je jetais mon « dévolu » sur un dénommé Eric , 38 ans , un métier dans l’informatique , dont la photo était agréable .

Vint l’heure de l’échange des numéros de portable ; il me faisait part de ses fantasmes et moi de ce qui l’attendait. J’édictais les règles : il ne pourrait ni me toucher (sauf à ce que je le lui ordonne) , ni me pénétrer . Il accepta bien sûr. Nudité et obéissance allaient de soi. Enfin il devait se présenter après avoir fait un double lavement anal.

Je possédais un petit appartement loin de chez moi que je rentabilisais avec des nuits louées à des touristes de passage et c’est là que je lui donnais rendez-vous.

Je n’avais aucun gout, comme Pierre, d’adopter le côté « théatral » de ces « jeux » ou la Maitresse revêt du cuir ou autres fadaises ; je m’habillais d’un chemisier blanc et d’une jupe avec escarpins (quand même !) mais je ne portais ni soutien-gorge ni culotte.

Lorsqu’Eric se présenta , je constatais qu’il était en effet assez bel homme ; une fois déshabillé je remarquais qu’il était épilé de partout ; un bon point pour mes jeux !

J’ordonnais la position offerte et il se mit sans discuter à quatre pattes ; munie d’un gant de latex, j’explorais sans ménagement son anus dans lequel je pouvais sans difficultés enfoncer trois doigts ; c’était cependant insuffisant pour le gode ceinture que j’avais acheté. Après lui avoir demandé de le lécher , j’enfonçais un premier plug dans son cul et je le gonflais jusqu’à ce qu’il atteigne un diamètre qui me satisfaisait . Le début de raidissement de sa bite signait ses premières punitions !

« Tu aimes te faire enculer, petit chien », il souffla « oui Madame » . « Je vais t’en faire passer l’envie ! Lève toi ! »
Debout je pouvais voir sa queue se dresser de plus en plus sans que je l’aie touché. Je pris une badine souple que j’abattais à répétition sur son sexe ; je l’observais grimacer de douleur sous les coups et , enfin , lentement , sous l’effet de ma badine , il commença à débander .

Une fois qu’elle fut aussi dégonflée que rougie sous les coups je lui demandais de s’agenouiller devant moi ; j’écartais les cuisses et il dut approcher son visage de ma chatte . Je l’ouvrais avec les doigts de ma main gauche , tandis que je me caressais avec la main droite devant ses yeux .

Ma chatte mouillait beaucoup et je pouvais entendre le doux bruit de clapotis que mes doigts faisaient sous mes caresses ; je me gardais de déjà jouir et enfonçait mes doigts gluants dans sa bouche. Il les léchait méthodiquement.

« Lève toi ! » . Debout devant moi , son sexe était de nouveau dur et je pris un lien ; je le nouais d’abord à la base de son sexe et de ses couilles , puis autour de ses testicules pour finir par ficeler sa bite . Il bandait mais je savais que les liens ainsi serrés l’empêcheraient de jouir . J’observais sa queue turgescente que je caressais lentement du bout des doigts.
« Te voilà prêt pour la suite ».
« Oui Madame »
Je passais mes ongles sur ses tétons jusqu’à ce qu’ils deviennent durs et posais une paire de pinces reliée par une chainette ; j’y accrochais un premier poids , puis un second .

«Un peu de marche maintenant ! » Je le fis déambuler dans le salon , mains derrière le dos ; je pouvais ainsi avec ma badine triturer les pinces , faire balancer les poids . Il semblait supporter cette douleur avec résignation et bonheur ; après dix minutes je retirais pinces , poids et liens et lui massait ses tétons meurtris. Nous allions aller crescendo et je voulais que cette séance dure longtemps.

Son sexe dégonfla et il reprit sur un mot la position offerte. Je dégonflais le plug fiché dans son anus le retirais ; il était maintenant bien ouvert .
Mon gode ceinture fermement fixé , je le pénétrais d’abord doucement ; il cambrait les reins pour me faciliter l’entrée dans son cul et je commençai ensuite à lui labourer les reins vigoureusement ; j’aimais entendre ses gémissements plus de plaisir qu’autre chose et lorsque il se mit à haleter de plus en plus fort , je me retirais et m’assis .
« Viens nettoyer mon gode ! » Il ne se fit pas prier et lécha longuement cet appendice qui venait de le pénétrer longuement ; sur mon ordre il eu le « privilège » de détacher mon harnais et là aussi il dut nettoyer la mouille qui l’avait imprégné .

« Tu as droit à une récompense avant ta prochaine punition ; tu vas venir me nettoyer les fesses .» Avec un regard de reconnaissance il me dit « Merci Madame » .
Il fallait que cet acte s’accompagne également de frustration aussi, toujours assise , je relevais mes cuisses pour lui permettre de me lécher ; il avait ainsi son nez et ses yeux dans ma chatte avec l’interdiction de la toucher et de la lécher .

Il passa sa langue longuement dans mon sillon avant de la faire tourner dans mon anus ; divin ! Je me laissais aller à cette caresse avec délice. Je me laissais aller pour un bref moment .

Lorsque je lui ordonnais de se relever, je constatais que sa bite était ferme mais pas assez pour ce qui l’attendais ; je lui attrapai les couilles fermement mais sans excès et le branlais doucement jusqu’à ce qu’il atteigne une érection satisfaisante ;je pris une corde longue et fine que je passais au-dessus du tendon de sa bite , le passais entre ses fesses puis sous les bras pour qu’ensuite les deux brins se rejoignent derrière son cou . Je lui demandais de bien cambrer le dos et là , la corde bien tendue je fis une boucle ; lorsqu’il relâcha le dos , la corde appuyait sur le tendon de sa bite qui devint dure comme du bois ; elle était rouge foncé et en la caressant avec une brosse je pouvais constater à quel point elle était sensible .

Novice comme je l’étais en la matière, j’avais lu de nombreux récits et visionné de nombreuses vidéo et cette punition m’avait séduite. Un collier autour du cou avec une laisse je décidais de le faire marcher ainsi ; ses pas étaient hésitants et j’admirais son sexe qui devenait violacé. Je lui demandais de venir se tenir devant moi ou, munie d’une brosse je frottais ses couilles et la passais sans trop appuyer sur sa verge ; je le regardais souffrir mais il aimait ce traitement car à aucun moment il ne prononça le « safe word » dont nous avions convenu .

Au comble de l’excitation, je décidais d’ajouter une dose de frustration en le faisant s’agenouiller devant moi et là chatte bien ouverte je frottais ma vulve sur son pénis ; je savais qu’ainsi harnaché il ne pouvait avoir d’éjaculation. J’en profitais jusqu’à ce que je décide de le libérer ; il me remercia et je lui laissais quelques minutes de répit. L’épreuve avait été rude et je sentais qu’elle l’avait épuisé.

« Tu as été un bon soumis et je vais donc de nouveau te récompenser. »
Je pris la laisse et l’entraînai vers la salle de bains ; agenouillé sous la douche je plaçais ma chatte contre sa bouche . Il restait immobile. « Tu vas maintenant avaler ma liqueur ; tu aimes cette récompense ? » Eric hocha la tête et me dit « Merci Madame »
Depuis ma dernière séance avec Pierre et Sophie , je m’étais entrainée à contenir l’écoulement de mon urine et je lâchais dans sa bouche des jets maitrisés qui lui laissait le temps de déglutir ; il s’acquitta de sa tache et prit sa récompense avec un bonheur que je pouvais lire dans son regard brillant.

J’allais pouvoir reprendre les sévices que j’avais encore à lui infliger.

Toujours en laisse je le dirigeais vers la chambre ou , à l’instar de ce que j’avais découvert dans la chambre de Pierre , une longue barre était installée en hauteur ; j’avais déjà préparé les deux liens terminés d’un coté par des pinces japonaises , de l’autre par des poids . A son regard je pus voir qu’il savait ce qui l’attendait.

Auparavant j’avais passé deux gros élastiques sur son aine. «Ecarte bien les cuisses » Obéissant il s’exécuta et je plaçais , coincée entre ses couilles et ses cuisses une brosse ronde et dure de chaque côté ; elles étaient maintenues en place par les élastiques ; je voyais qu’il tentait d’écarter encore plus les cuisses pour tenter d’atténuer la morsure des brosses . Elles étaient suffisamment grosses pour que sa tentative soit vaine . Je posais alors les pinces sur ses tétons et l’autre paire sur la peau de ses couilles .
Il faisait des efforts pour ne pas bouger ; chaque mouvement je le voyais le faisait souffrir mais le raidissement de sa queue était éloquent ; il aimait se sentir prisonnier , à ma merci .

« Je vais voir maintenant si tu es capable de recueillir ta récompense »
« Je t’autorise à me lécher et tu devras me faire jouir. » Je m’assis sur le lit cuisses écartées et il devait pour me lécher d’abord se rapprocher de moi pour ensuite s’agenouiller .

Il avançait péniblement et je pouvais voir ses tétons comme ses couilles étirés par les poids ; je mouillais de façon indécente et j’attendais de le voir s’agenouiller . Il devait pour ça poser un genou après l’autre à terre et enfin plier le buste en se faisant encore plus étirer .
Il y parvint après beaucoup d’efforts et commença à me lécher ; il faisait ça bien mais sans un excès de talent . J’étais cependant si excitée que je jouis rapidement et puissamment .
Je le libérais et l’autorisais à s’allonger par terre ; il était couvert de sueur après cette épreuve mais je le voyais satisfait .

« Tu as envie de jouir n’est ce pas » « Oui Madame s’il vous plait »J’étais prête à accéder à son désir mais non sans douleur. Je caressais sa bite et ses couilles et une fois qu’elle fut bien dressée , j’enfilais un gant de crin pour le branler . Je voyais sa queue dressée , rougie par le gant et je ne gênais pas pour la frotter vigoureusement ; il souffrait mais était habité par une violente excitation qui l’amena à l’orgasme . Il lâcha de longs jets de sperme sur mes seins . Une fois vidé il vint , à ma demande , nettoyer le sperme qui coulait sur et entre mes seins ; il léchait sa semence sans appréhension .

Il était tard et je lui demandais de partir . Il se rhabilla et me demanda s’il avait été à la hauteur de mes attentes ; je le rassurais . Peut-être le reverrai-je qui sait .

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