Mon frère est un voyeur
Récit érotique écrit par Jean-Pierre [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-02-2011 dans la catégorie A dormir debout
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Mon frère est un voyeur
Mon frère est un voyeur
Mon frère Paul est Jeune étudiant de 18 ans. Il résident dans un immeuble une petite cité un petit appartement. Il est 23h30. Comme tous les jours Paul travaille et surtout joue à l'ordinateur. Il se poste comme toujours juste en face de la fenêtre de sa chambre, celle qui donne sur l'immeuble d'en face. Depuis un mois et qu'il habite là, le voyeurisme est l'activité favorite de mon frère, surtout qu'il n'a pas une télévision, mais plus d'une cinquantaine de fenêtres , dont il peut voir les actions romantiques, les disputes, les câlins, mais Paul a sa petite télévision préférée, une fenêtre juste en face de chez lui.
La fenêtre préféré de Paul est celle de Mireille. Elle a un joli prénom mon frère a vérifier son nom sur la boîte aux lettres de la cage d'escalier. Mireille est une très jolie jeune femme, la vingtaine, aux cheveux châtains, assez mince, elle a l'avantage de n'avoir que de simples petits rideaux très fins qui laissent apercevoir ses formes, ses courbes lorsque la lumière est allumée. Et sa petite voisine a l'air d'être une fille pleine de vie.
Mon frère s'ennui parfois à mourir le soir dans cette ville où il ne connaît pas grand monde à part ces quelques camardes de la fac. Sa petite voisine elle a beaucoup d'amis qui lui rendent visite le soir. Elle semble aussi avoir plusieurs petits amis d'un soir. A trois reprises depuis que Paul a emménagé, il a vu un homme, différent à chaque fois, rester après que la lumière s'est éteinte. Il espère toujours qu'il sera le prochain...
Mireille s'apprête à se coucher. Elle est encore une fois très belle avec sa petite jupe, et avec son petit décolleté. Ce soir elle a l'air fatigué parce qu'elle a oublié de tirer ses rideaux. Mon frère rougit et sent son cœur battre de plus en plus fort. Elle range quelques affaires dans sa chambre. La veilleuse est allumée, dans la chambre. Le cœur de Paul bat à la chamade ! Mireille, debout à côté de son lit, passe ses mains sur son ventre et retire son haut. Pour la toute première fois, Paul a une idée précise de la forme, des courbes des seins de sa belle voisine, même si elle n'a pas encore enlevé son soutien gorge. Mon frère se concentre, pour ne rater aucun détail du spectacle. Ce soutien gorge est blanc, et même un peu transparent, puisqu'il voit une petite marque plus rouge aux bouts de ses seins.
Elle se tourne pour ranger son petit haut. Dommage qu'il n'est pas de jumelles. Mireille passe ses petites mains dans son dos. Paul est devenu écarlate et ne peut s'empêcher de passer une main dans son caleçon. Sa belle dégrafe son soutien-gorge. Mon frère a maintenant une vue plongeante sur ce magnifique dos nu. Sa belle s'en va vers la salle de bain. Mon frère parvient tout juste à apercevoir au passage ce qui semble être le bout de son sein gauche, et un petit téton dressé.
Paul n'était pas loin d'éjaculer. Il imagine ce qu'elle pourrait faire dans cette salle de bain, se laver les seins, son intimité, finir de se changer, enfiler une nuisette sexy ? Mireille réapparaît en chemise de nuit, pas aussi sexy que mon frère l'imaginait. Une chemise de nuit apparemment qui ne laisse rien transparaître si ce n'est ces deux petits tétons qui pointent. Elle n'a pas encore enlevé sa jupe, et donc porte surement toujours sa culotte. Elle s'apprête à le faire lorsque elle se rendre compte qu'elle a oublié de tirer les rideaux. Elle s'y attèle immédiatement et éteint la lumière. Paul tente de distinguer quelque chose mais il fait bien de trop noir.
Le lendemain, mon frère est face à son ordinateur, il joue un peu après une journée très banale. Vers 23h, la lampe de la chambre de sa voisine s'allume. Elle rentre, elle ne tire pas les volets encore un fois et s'installe couchée sur le ventre sur le lit, avec un livre. Paul regarde de plus près (il pense vraiment qu'il faudrait qu'il s'achète des jumelles). Il ne parvient pas à lire le titre du livre mais il distingue au moins une image plutôt sexy, avec des formes roses qui ressemblent bien à des corps entrelacés.
Murielle serait-elle plongée dans de la littérature érotique? Elle garde une main tenant le livre et l'autre se glisse le long de son cou. Un peu plus bas, ses doigts parviennent jusqu'à son décolleté. Sa main part à gauche, elle la plonge dans son soutien-gorge et semble se caresser le sein à pleine main. Paul n'en peut plus et reproduit les même gestes d'une main sur lui.
Murielle laisse son livre de côté, au coin de l'oreiller. Elle se retourne couchée sur son lit, le bras droit toujours plongé dans son soutien-gorge. En vérité, elle n'a même plus de soutien gorge, elle sort carrément son sein de son décolleté, repasse un petit coup de langue sur ses doigts et caresse son téton gauche de ses doigts humides. Son autre main caresse sa cuisse, de l'extérieur vers l'intérieur.
Elle remonte ensuite un peu ses jambes et les écartent. Sa jupe tombe au creux de ses hanches. Paul n'en croit pas ses yeux. C'est ce dont il a rêvé tant de nuits est en train de se réaliser. Murielle rapproche sa main de son entrejambe, la passe doucement par dessus sa culotte. Paul n'en peut plus et vient soudainement dans son caleçon. Il a sa main trempée mais ne décroche pas les yeux de la fenêtre d'en face.
Murielle se caresse toujours à travers sa culotte. Elle tient son sein gauche dans l'autre main qu'elle humidifie régulièrement avec un peu de salive sur ses doigts. Son petit téton tout dur pointe droit au ciel. Elle passe sa main gauche à l'intérieur de sa culotte en faisant des mouvements de plus en plus saccadés. Paul imagine ce doigt passer et revenir le long de son clitoris, vers intérieur du vagin. Murielle ouvre la bouche, se pince les lèvres et se lèche les lèvres, se cambre, puis elle se calme subitement.
Mon frère veut en voir plus. Beaucoup plus. Mais sa belle voisine ne tarde pas à fermer les rideaux puis éteindre la lumière. Elle a donc fait exprès ?Pourquoi? Paul se couche lui aussi. Il s'imagine maintenant avec elle... Le soir suivant. Mon frère se poste à son habitude devant son ordinateur. Il n'espère pas vraiment en voir plus ce soir, il serait trop chanceux. Pourtant, son cœur bat déjà si fort. Un peu avant 23 heures, la fenêtre de Murielle est toujours éteinte. Il semblerait qu'elle soit la tout de même, car une faible lumière se fait apercevoir derrière la porte, probablement d'une autre pièce. La lumière de la chambre s'allume, mais les rideaux sont déjà fermés. Quel dommage. Paul se concentre pour essayer de distinguer quelque chose, et ce soir, il a prévu les jumelles. Il ne voit pourtant que des formes et des ombres. Une silhouette se ballade rapidement, dans tous les sens à l'intérieur de la chambre. Une silhouette féminine, c'est surement Mireille.
Il ajuste le zoom de ses jumelles pour y voir plus clair. Les couleurs se distingue, une surprise. Mireille n'est habillée que de rose ce soir, ou plutôt elle ne semble pas être très habillée, à part peut être une culotte blanche. Elle se tourne encore très rapidement, mais Paul comprend que c'est un string.
Mireille passe d'un bout à l'autre de la pièce. Elle danse. Elle danse rapidement et sensuellement, ondulant son corps telle une divine tigresse, une tigresse voluptueuse qui sait ralentir pour mettre ses formes en valeur. Paul distingue ses seins malheureusement il ne peut constater si ses tétons pointent aussi fort qu'hier soir.
Mon petit frère, en revanche admire sa nuque et ses cheveux qui s'envolent, puis retombent. Il distingue sa taille fine, ses hanches, la courbe de ses reins, et surtout ses fesses qui semblent, à travers ce rideau fin, si rebondis. Ce string les met en valeur et ses pas de danse endiablés doivent la faire suer. Paul imagine la sueur dégoulinante sur les fesses de Mireille, le long de sa croupe, le long de la ficelle de ce string, et le long de ses cuisses, et de ses seins, ou de son sexe qui doit s'humidifier de tous ses frottements...
Mais encore une fois très rapidement, elle sort du champ de vision de Paul, et la lumière s'éteint. Mon frère se demande ce qui a pu arriver à sa belle, ses derniers jours pour qu'elle s'exhibe de la sorte. Car ce ne peut être un hasard qu'en deux jours, elle se masturbe délibérément les rideaux ouverts et la veilleuse de sa chambre allumée, puis qu'elle se met à danser quasiment nue, la lumière complètement allumée. Elle s'exhibe ou elle est vraiment tête en l'air. Peu importe en même temps. Quelle spectacle, quelle excitation ! Il cherche déjà à savoir ce qui va se passer demain.
Après un week-end agité chez nos parents, Paul est de retour dimanche soir devant son ordinateur, et bien sûr à tenir le guet, ses jumelles à disposition, de la moindre action dans l'appartement de Mireille. A son grand désespoir, il est déjà 23h30 et elle n'est toujours pas là.
Peu avant minuit, alors que mon frère s'apprêtait à se coucher, la lumière s'allume dans la chambre de Mireille. Elle entre dans une tenue ravissante, robe de soirée, plutôt moulante, bien décolletée, elle est chaussée de petits talons hauts. Mais elle n'est pas seule ce soir. Un garçon grand et beau gosse, assez baraqué.
Cette homme entre dans la chambre avec Mireille en lui tenant la main. Il l'embrasse avec fougue. Entre eux deux c'est déjà fait, ils ne perdent pas de temps pour se rapprocher et n'attendent plus qu'à passer à l'action.
Alors que le beau gosse passe sa main le long de la cuisse de Mireille, celle-ci lui glisse un petit mot à l'oreille et s'en va tirer les rideaux.
Non ! Ne les tirent pas ma belle se dit mon frère, même s'il se sent terriblement jaloux, il aimerait tellement profiter du spectacle. Mireille aurait-elle lue dans ses pensées ? Elle laisse un petit espace entre les deux rideaux, juste assez pour voir le lit dans l'axe de vue de Paul, et juste assez pour que l'amant de Mireille ne remarque rien. Cette fois-ci, elle a vraiment fait exprès! Sûr !
Mon frère prend alors ses jumelles, défait son pantalon, et se met en position. Prêt à se délecter de ces ébats érotiques. Le beau gosse n'a en effet pas perdu de temps, il s'est de suite déshabillé du haut, pour lui montrer ses biscottos. Mireille ne fait pas la difficile et se jette sur ton torse peu velu, le caresse des mains, et de léchouille.
Elle enlève ses chaussures et il remet sa main sur ses hanches, remonte un peu, le string de Mireille, blanc à dentelles, est apparent. Ce veinard lui retire de suite la robe, laissant retomber les seins de Mireille qui n'étaient pas soutenus ce soir. Il couche Mireille sur le lit, s'agenouille sur elle et lui fait de petits baisers sur la bouche, le long de la nuque, les seins, lui mordille le bout des tétons, passe une main, plus bas, encore plus bas, le long de ses fesses.
Mireille se tire la tête en arrière, de plaisir, elle se lèche les lèvres. Elle ouvre soudain la bouche, un gémissement, la chevelure de beau gosse est face à l'entre jambes de Mireille le string est baissé à ses genoux. Elle se tort de plaisir, se touche les seins d'une main et les cheveux de ce gros veinard de l'autre. Il remonte le long de son corps, ils s'embrassent. Mireille fait de son mieux pour essayer de retirer le pantalon de cet homme à l'allure de mannequin.
Il se lève, plonge une main dans sa poche, en ressort une capote qu'il tend à Mireille et baisse son pantalon et culbute sur le lit d'un seul coup. Mireille s'applique à lui enfiler tout en n'oubliant pas de caresser son pubis, ses couilles, sa verge toute tendue, son gland couvert de latex, elle se débarrasse du string qui trainait à ses pieds et se pousse sur le lit, en attendant.
Il ne se fait pas prier et viens se coincer entre les jambes de Mireille, tout doucement, puis plus brusquement, rentrant sans doute la fin de son engin dans le sexe de la belle danseuse de Paul. Elle se cambre de tout son corps, pendant qu'il la tient par le dos, en faisant des vas et viens prolongés, en alternant le lent et le plus rapide. Elle s'accroche à lui comme une bête, le suis dans son mouvement, fait virevolter ses cheveux dans tous les sens jusqu'au moment où elle lève la tête vers le plafond, la bouche grande ouverte. Paul croit presque entendre ses gémissements de jouissance.
Puis elle repose sa tête sur l'épaule du costaud, et là elle lance un regard de braise contenant rage, plaisir et désir à travers les rideaux de son appartement, Paul a l'impression qu'elle le regarde droit dans les yeux à travers ses jumelles. Il sent d'un coup son sang se glacer, il pose ses jumelles sur son bureau de peur d'être vu. Son cœur bat comme il n'a jamais battu, il continue à regarder la belle Mireille qui est maintenant en grande discussion avec son partenaire. Mon frère regarde son caleçon, il ne s'était même pas rendu compte que son sexe était tendu à l'intérieur.
Le lendemain soir Paul hésite à se poster devant son ordinateur. Hier soir, il est sûr qu'elle l'a vu, qu'elle l'a repéré. Elle pourrait peut-être porter plainte ? Il attend, et se met sur son lit, il se tourne sur son lit, son cœur bat très fort. La tentation est trop grande, il s'assit devant sa petite table, devant son ordinateur, il l'allume, au cas où, pour se donner un alibi.
Installé, il vérifie trois petites choses, et scrute surtout la fenêtre de la chambre de Mireille. Il y a de la lumière dans la chambre, mais personne. Pour être sûr, il prend ses jumelles, il regarde et observe le moindre détail de cette chambre. Une envie pressante, il part aux toilettes. Quand il revient... Malheur ! Elle a tiré les rideaux, mais, elle a laissé un petit écart entre les deux. Ils laissent une vue plongeante sur une chaise, vraisemblablement à côté du lit. Paul prend ses jumelles, intrigué, il y a quelque chose sur cette chaise...
Mon frère zoom sur cette chaise, à son immense étonnement, il reconnaît un godemiché. Un vrai jouet en forme de fusée, non, plutôt un vibromasseur. Paul est dans une incompréhension totale. Qu'est ce que Mireille veut ? Il est méfiant, s'inquiète un peu, mais reste suspendu à ses jumelles, à se petit passage de lumière entre les rideaux de la chambre d'en face, et à cette chaise posée là au milieu de la chambre, sans raison, sans personne, et avec cet objet incongru.
Paul n'a plus le sang glacé de la peur d'hier soir. Il tremble, d'inquiétude, et d'incompréhension et surtout excitation. Un bon quart d'heure plus tard, Mireille revient. Mon frère ne l'a vu que furtivement partir peut-être vers la salle de bain mais il a compris qu'elle n'était vêtue que d'une petite robe de chambre.
Mireille est enfin de retour, avec cette même robe de chambre. Elle sort du champ de vision, la robe de chambre tombe derrière la chaise. Mireille apparaît cette fois divinement sexy, sa même chevelure de feu, et ce corps, mis en valeur par une parure érotique, soutien-gorge noir à dentelle et ses bas satinés.
Mireille allume le vibro. Tourne autour de la chaise. Fait de petits mouvements torrides au-dessus de sa robe de chambre à terre. Elle se courbe, pour laisser apparaître son décolleté voluptueux, elle passe se main le long de son corps et montre déjà des signes de plaisir sur son visage. Qu'est ce qu'elle fait ? Pour qui ? Pourquoi?
Paul l'a droit dans les yeux. Mireille l'embrase d'un coup en lui envoyant un regard de féline coquine, droit dans les jumelles. Mon frère baisse ses jumelles et se cache derrière son ordinateur mais Mireille continue à le regarder en se postant devant la chaise. Elle enlève son soutien-gorge avec une extrême délicatesse, repasse derrière la chaise avec tout autant de sensualité. Elle se caresse les seins de la main droite et imprime des mouvements suaves avec son bassin. Elle passe ses deux mains sur ses seins, pince délicatement ses tétons, glisse sa main gauche vers ses fesses.
Paul n'en peut plus, il la voit, elle le regarde, apparemment, mais en tout cas il ne veut plus manquer une seule goutte du spectacle et reprend ses jumelles qu'il pose juste dessus son ordinateur histoire de ne plus être facilement repéré.
Mireille poursuit sa danse érotique, pendant que le vibromasseur continue de vibrer sur la chaise. Elle fait bouger ses fesses et baisse tout doucement son tanga, au rythme de l'extase de Paul qui n'a plus assez de place dans son caleçon pour le garder. Il découvre la délicieuse courbe de ses reins et la fente de ses fesses. Elle se penche pour finir d'enlever sa mini culotte et la jette sur le lit. Paul a pu voir les petites lèvres coquines de sa voisine. Quel rêve !
Mireille ne veut pas s'arrêter là. Elle repasse de l'autre côté de la chaise, montre sa fine toison fraîchement épilée. Elle y passe justement une main et regarde fixement mon frère en passant un petit bout de sa langue entre ses lèvres.
Mon frère astiquait la verge tout doucement, il voulait profiter de ce plaisir immense jusqu'au bout, et venir en même temps qu'elle. La belle s'est justement reculée un peu, au nivaux de la chaise et juste au dessus du vibro, elle continue à se caresser les seins, le ventre, le bas du ventre, un peu les fesses, entre les fesses, le minou et son entrejambe.
Son visage change du plaisir sensuel au plaisir sexuel lorsqu'elle s'introduit deux doigts. Puis elle écarta les jambes un peu plus. Paul zoom à fond sur son sexe, il voit tous les détails de ses doigts qui viennent et se retirent, titillent son clito... Mireille se baisse juste au dessus du vibro qui marche toujours. Elle se baisse doucement et tient l'objet de sa main droite pendant qu'elle écarte ses lèvres trempées de l'autre. Elle s'empale calmement dessus. Remonte un peu, laisse le bout de l'objet lui faire vibrer le bord de la vulve, puis s'empale dessus une deuxième fois, presque complètement, en se maintenant légèrement en hauteur juste à l'aide de ses cuisses appuyées contre la chaise.
Elle garde une main près de l'engin, qui parcours sa petite chatte, son pubis, ses hanches et le creux de ses fesses. Son autre main passe de sa bouche, son ventre, côtés, ses seins, sur ses tétons. Elle reste dans cette position un bon quart d'heure pendant que mon frère se masturbe, il est même obligé de s'arrêter plusieurs fois pour ne pas jouir tellement le spectacle est divin pour lui.
Mireille jouit, apparemment encore plus fort qu'hier soir. Et le plus fort c'est qu'elle jouit droit dans les yeux de Paul. Cela d'éclanche une réaction en chaîne chez lui qui n'a pas plus à son ordinateur. Mireille lui fait un clin d'œil, ferme les rideaux et éteint la lumière. Paul se demande encore pourquoi lui et est ce bien lui qu'elle regardait ? Un autre soir, Paul attend jusqu'à plus de minuit et demi. Pourtant, il a vu de la lumière chez Mireille ce soir, tout c'est éteint à 23h29, sans qu'il aperçoive Mireille à travers les rideaux encore entre-ouverts.
Paul n'a pas cours cet après-midi. Il passe chez lui et regarde son courrier. Au milieu des pubs, une carte postale d'un copain en vacances, et... un petit mot, avec une trace de rouge à lèvres dessus : "- Salut petit voyeur ! Tu sais que j'ai adoré sentir ton regard sur moi cette dernière semaine. lorsque je t'es vu à la lueur de ton ordinateur me regarder me déshabiller, et jeudi dernier quand tu m'as regardé faire l'amour. J'adore sentir un regard sur moi. Et toi, c'est peu de dire que tu es souvent fidèle au poste. Sois attentif ces prochains jours, si tu le souhaite encore. "
Paul ne s'est pas rendu compte qu'une bosse est apparue sur son pantalon, il est dans un autre monde, dans ses rêves, et il redescend sur terre. Paul est scotché devant sa fenêtre, éclairé à la lueur de son ordinateur. Il n’a pas peur d’être vu, sûr que Mireille ait des vues ses yeux. Les rideaux sont tirés à l’habitude depuis une semaine, légèrement entrouverts, dans l’axe de vue de Paul qui distingue un large pan du lit avec précision. A 22h30, quelqu’un pose une feuille avec des inscriptions sur le lit. Mon frère ne parvient pas à lire sans ses jumelles. Curieux, il s’en saisit et zoom à fond : « Bonsoir petit voyeur… Bonne journée ? Prépare toi pour ton spectacle. Je suis de retour dans une demie-heure et j’aimerais beaucoup profiter de ton corps légèrement éclairé. La silhouette d’en face. »
Paul se met à trembler dans tous les sens. C’est lui le voyeur, pas elle la voyeuse… Elle n’a pas le droit d’inverser les rôles de la sorte ! C’est pas du jeu C’est sacrément excitant ! Paul imagine quand même ce que peut être son spectacle. Il faut nécessairement qu’il se déshabille, peut-être qu’il vaut mieux qu’il soit habillé de façon sexy.
Paul est prêt, il a allumé la veilleuse de sa chambre, éteint son ordinateur, laissé entrouvert ses volets, il est bien peigné, rasé, il a mis une chemise saillante, une jean bien moulant, comme ça et il fait aussi plutôt beau gosse. Il attend 5 minutes, il stresse comme jamais, tourne dans sa chambre, regarde la chambre d’en face avec ses jumelles. Et soudain, un nouveau mot : « GO ! ».
Cela a le mérite d’être clair. Et il voit Marion s’allonger sur son lit, en robe de chambre. Elle s’installe sur le ventre et regarde. Pour s’assurer qu’elle le regarde bien, Paul fait un petit coucou de la main, elle répond. Mon frère n’est pas loin d’avoir une attaque cardiaque. Il tremble, s’écarte un peu de la fenêtre, juste assez pour que seule Marion puisse le voir. Il est stressé et ne préfère pas se risquer à un strip-tease endiablé, il y va calment, sûrement.
Il déboutonne sa chemise, bouton par bouton. Laisse voir les quelques poils noirs qui y ont poussé. Mireille se saisit de jumelles. Paul sursaute. Elle lui envois un bisous en soufflant sur sa main. Mon frère se ressaisit, il continue, il laisse sa chemise ouverte, se met debout sur son lit, et a ouvert la braguette de son jean, il se tourne, le baisse lentement. Mireille a une vue imprenable sur son petit cul de boy-scout., serre dans un boxer très moulant.
Paul n’a rien laissé au hasard. Il enlève son jean, le jette à terre. Marion le regarde sans trop de réaction , si ce n’est une main cachée sous son corps, mais Paul ne peut pas voir ce qui s’y fait, de l’autre main, Mireille regarde toujours à travers ses jumelles. Paul retire sa chemise. Il se caresse le torse en se retournant face à Mireille. Il s’arrête avec un air gêné et interrogatif. Mireille baisse ses lunettes et lui fait un clin d’œil, elle écarte légèrement un battement de sa robe de chambre, laisse apparaître un sein qu’elle se caresse. Elle refait un clin d’œil en montrant en dessous ses seins du doigt.
Paul a compris, et de toutes façons, il ne peut cacher son excitation à travers son boxer traître, il se retourne, montre ses fesses, et baisse son sous-vêtement. Il se prend au jeu et tourne juste la tête en faisant rouler ses fesses. Mireille baisse sa robe de chambre à ses fesses, nues, et passe sa main libre l’autre tient les jumelles. Paul sourit et se retourne, il tient son sexe bandé très dur dans sa main. Mireille semble se masturber. Paul se caresse le torse d’une main, le sexe, les couilles de l’autre. Il commence quelques vas et viens. Mireille sourit fort et ouvre la bouche par moment, comme si elle voulait engloutir ce sexe raidi et branlé dans sa bouche.
Mon frère ne met malheureusement pour lui que quelques minutes à éjaculer à cause de la situation, malgré le rythme lent qu’il imprimait. Tout son liquide retombe par terre, dans sa chambre, il s’en occupera plus tard, pour quelques secondes encore il profite de Mireille qui semble prend son pied avec ses doigts de l’autre côté. Deux secondes à se regarder les yeux dans les yeux et Mireille remet sa robe de chambre sur les épaules, puis éteint la lumière. Paul se retrouve ainsi nu dans la lumière, il se sent con mais heureux, et, sûr qu’elle le regarde encore, il lui renvoie un baiser volant, avant de fermer ses volets.
Le lendemain midi, Paul repasse jeter un œil à la boîte aux lettres, au dessus des pubs, un petit mot, avec encore une trace de rouge à lèvres : "Salut coquin de petit voyeur !" Je t'ai vu... Et j'ai adoré. Tu as un joli torse, une belle chemise, un beau petit cul, et un magnifique sexe. On m'avait dit que c'était proportionnel à la taille du bonhomme, je m'attendais à plus petit que ça sous ton boxer. J'ai la confirmation qu'il faut toujours regarder en dessous des vêtements avant de juger. Mais peut-être que c'était l'excitation qui a fait ça ??? Car justement, tu es rapide... A travailler ! Sois vigilant. Toujours même heure. Ta petite voyeuse d'en face."
Mon frère Paul est Jeune étudiant de 18 ans. Il résident dans un immeuble une petite cité un petit appartement. Il est 23h30. Comme tous les jours Paul travaille et surtout joue à l'ordinateur. Il se poste comme toujours juste en face de la fenêtre de sa chambre, celle qui donne sur l'immeuble d'en face. Depuis un mois et qu'il habite là, le voyeurisme est l'activité favorite de mon frère, surtout qu'il n'a pas une télévision, mais plus d'une cinquantaine de fenêtres , dont il peut voir les actions romantiques, les disputes, les câlins, mais Paul a sa petite télévision préférée, une fenêtre juste en face de chez lui.
La fenêtre préféré de Paul est celle de Mireille. Elle a un joli prénom mon frère a vérifier son nom sur la boîte aux lettres de la cage d'escalier. Mireille est une très jolie jeune femme, la vingtaine, aux cheveux châtains, assez mince, elle a l'avantage de n'avoir que de simples petits rideaux très fins qui laissent apercevoir ses formes, ses courbes lorsque la lumière est allumée. Et sa petite voisine a l'air d'être une fille pleine de vie.
Mon frère s'ennui parfois à mourir le soir dans cette ville où il ne connaît pas grand monde à part ces quelques camardes de la fac. Sa petite voisine elle a beaucoup d'amis qui lui rendent visite le soir. Elle semble aussi avoir plusieurs petits amis d'un soir. A trois reprises depuis que Paul a emménagé, il a vu un homme, différent à chaque fois, rester après que la lumière s'est éteinte. Il espère toujours qu'il sera le prochain...
Mireille s'apprête à se coucher. Elle est encore une fois très belle avec sa petite jupe, et avec son petit décolleté. Ce soir elle a l'air fatigué parce qu'elle a oublié de tirer ses rideaux. Mon frère rougit et sent son cœur battre de plus en plus fort. Elle range quelques affaires dans sa chambre. La veilleuse est allumée, dans la chambre. Le cœur de Paul bat à la chamade ! Mireille, debout à côté de son lit, passe ses mains sur son ventre et retire son haut. Pour la toute première fois, Paul a une idée précise de la forme, des courbes des seins de sa belle voisine, même si elle n'a pas encore enlevé son soutien gorge. Mon frère se concentre, pour ne rater aucun détail du spectacle. Ce soutien gorge est blanc, et même un peu transparent, puisqu'il voit une petite marque plus rouge aux bouts de ses seins.
Elle se tourne pour ranger son petit haut. Dommage qu'il n'est pas de jumelles. Mireille passe ses petites mains dans son dos. Paul est devenu écarlate et ne peut s'empêcher de passer une main dans son caleçon. Sa belle dégrafe son soutien-gorge. Mon frère a maintenant une vue plongeante sur ce magnifique dos nu. Sa belle s'en va vers la salle de bain. Mon frère parvient tout juste à apercevoir au passage ce qui semble être le bout de son sein gauche, et un petit téton dressé.
Paul n'était pas loin d'éjaculer. Il imagine ce qu'elle pourrait faire dans cette salle de bain, se laver les seins, son intimité, finir de se changer, enfiler une nuisette sexy ? Mireille réapparaît en chemise de nuit, pas aussi sexy que mon frère l'imaginait. Une chemise de nuit apparemment qui ne laisse rien transparaître si ce n'est ces deux petits tétons qui pointent. Elle n'a pas encore enlevé sa jupe, et donc porte surement toujours sa culotte. Elle s'apprête à le faire lorsque elle se rendre compte qu'elle a oublié de tirer les rideaux. Elle s'y attèle immédiatement et éteint la lumière. Paul tente de distinguer quelque chose mais il fait bien de trop noir.
Le lendemain, mon frère est face à son ordinateur, il joue un peu après une journée très banale. Vers 23h, la lampe de la chambre de sa voisine s'allume. Elle rentre, elle ne tire pas les volets encore un fois et s'installe couchée sur le ventre sur le lit, avec un livre. Paul regarde de plus près (il pense vraiment qu'il faudrait qu'il s'achète des jumelles). Il ne parvient pas à lire le titre du livre mais il distingue au moins une image plutôt sexy, avec des formes roses qui ressemblent bien à des corps entrelacés.
Murielle serait-elle plongée dans de la littérature érotique? Elle garde une main tenant le livre et l'autre se glisse le long de son cou. Un peu plus bas, ses doigts parviennent jusqu'à son décolleté. Sa main part à gauche, elle la plonge dans son soutien-gorge et semble se caresser le sein à pleine main. Paul n'en peut plus et reproduit les même gestes d'une main sur lui.
Murielle laisse son livre de côté, au coin de l'oreiller. Elle se retourne couchée sur son lit, le bras droit toujours plongé dans son soutien-gorge. En vérité, elle n'a même plus de soutien gorge, elle sort carrément son sein de son décolleté, repasse un petit coup de langue sur ses doigts et caresse son téton gauche de ses doigts humides. Son autre main caresse sa cuisse, de l'extérieur vers l'intérieur.
Elle remonte ensuite un peu ses jambes et les écartent. Sa jupe tombe au creux de ses hanches. Paul n'en croit pas ses yeux. C'est ce dont il a rêvé tant de nuits est en train de se réaliser. Murielle rapproche sa main de son entrejambe, la passe doucement par dessus sa culotte. Paul n'en peut plus et vient soudainement dans son caleçon. Il a sa main trempée mais ne décroche pas les yeux de la fenêtre d'en face.
Murielle se caresse toujours à travers sa culotte. Elle tient son sein gauche dans l'autre main qu'elle humidifie régulièrement avec un peu de salive sur ses doigts. Son petit téton tout dur pointe droit au ciel. Elle passe sa main gauche à l'intérieur de sa culotte en faisant des mouvements de plus en plus saccadés. Paul imagine ce doigt passer et revenir le long de son clitoris, vers intérieur du vagin. Murielle ouvre la bouche, se pince les lèvres et se lèche les lèvres, se cambre, puis elle se calme subitement.
Mon frère veut en voir plus. Beaucoup plus. Mais sa belle voisine ne tarde pas à fermer les rideaux puis éteindre la lumière. Elle a donc fait exprès ?Pourquoi? Paul se couche lui aussi. Il s'imagine maintenant avec elle... Le soir suivant. Mon frère se poste à son habitude devant son ordinateur. Il n'espère pas vraiment en voir plus ce soir, il serait trop chanceux. Pourtant, son cœur bat déjà si fort. Un peu avant 23 heures, la fenêtre de Murielle est toujours éteinte. Il semblerait qu'elle soit la tout de même, car une faible lumière se fait apercevoir derrière la porte, probablement d'une autre pièce. La lumière de la chambre s'allume, mais les rideaux sont déjà fermés. Quel dommage. Paul se concentre pour essayer de distinguer quelque chose, et ce soir, il a prévu les jumelles. Il ne voit pourtant que des formes et des ombres. Une silhouette se ballade rapidement, dans tous les sens à l'intérieur de la chambre. Une silhouette féminine, c'est surement Mireille.
Il ajuste le zoom de ses jumelles pour y voir plus clair. Les couleurs se distingue, une surprise. Mireille n'est habillée que de rose ce soir, ou plutôt elle ne semble pas être très habillée, à part peut être une culotte blanche. Elle se tourne encore très rapidement, mais Paul comprend que c'est un string.
Mireille passe d'un bout à l'autre de la pièce. Elle danse. Elle danse rapidement et sensuellement, ondulant son corps telle une divine tigresse, une tigresse voluptueuse qui sait ralentir pour mettre ses formes en valeur. Paul distingue ses seins malheureusement il ne peut constater si ses tétons pointent aussi fort qu'hier soir.
Mon petit frère, en revanche admire sa nuque et ses cheveux qui s'envolent, puis retombent. Il distingue sa taille fine, ses hanches, la courbe de ses reins, et surtout ses fesses qui semblent, à travers ce rideau fin, si rebondis. Ce string les met en valeur et ses pas de danse endiablés doivent la faire suer. Paul imagine la sueur dégoulinante sur les fesses de Mireille, le long de sa croupe, le long de la ficelle de ce string, et le long de ses cuisses, et de ses seins, ou de son sexe qui doit s'humidifier de tous ses frottements...
Mais encore une fois très rapidement, elle sort du champ de vision de Paul, et la lumière s'éteint. Mon frère se demande ce qui a pu arriver à sa belle, ses derniers jours pour qu'elle s'exhibe de la sorte. Car ce ne peut être un hasard qu'en deux jours, elle se masturbe délibérément les rideaux ouverts et la veilleuse de sa chambre allumée, puis qu'elle se met à danser quasiment nue, la lumière complètement allumée. Elle s'exhibe ou elle est vraiment tête en l'air. Peu importe en même temps. Quelle spectacle, quelle excitation ! Il cherche déjà à savoir ce qui va se passer demain.
Après un week-end agité chez nos parents, Paul est de retour dimanche soir devant son ordinateur, et bien sûr à tenir le guet, ses jumelles à disposition, de la moindre action dans l'appartement de Mireille. A son grand désespoir, il est déjà 23h30 et elle n'est toujours pas là.
Peu avant minuit, alors que mon frère s'apprêtait à se coucher, la lumière s'allume dans la chambre de Mireille. Elle entre dans une tenue ravissante, robe de soirée, plutôt moulante, bien décolletée, elle est chaussée de petits talons hauts. Mais elle n'est pas seule ce soir. Un garçon grand et beau gosse, assez baraqué.
Cette homme entre dans la chambre avec Mireille en lui tenant la main. Il l'embrasse avec fougue. Entre eux deux c'est déjà fait, ils ne perdent pas de temps pour se rapprocher et n'attendent plus qu'à passer à l'action.
Alors que le beau gosse passe sa main le long de la cuisse de Mireille, celle-ci lui glisse un petit mot à l'oreille et s'en va tirer les rideaux.
Non ! Ne les tirent pas ma belle se dit mon frère, même s'il se sent terriblement jaloux, il aimerait tellement profiter du spectacle. Mireille aurait-elle lue dans ses pensées ? Elle laisse un petit espace entre les deux rideaux, juste assez pour voir le lit dans l'axe de vue de Paul, et juste assez pour que l'amant de Mireille ne remarque rien. Cette fois-ci, elle a vraiment fait exprès! Sûr !
Mon frère prend alors ses jumelles, défait son pantalon, et se met en position. Prêt à se délecter de ces ébats érotiques. Le beau gosse n'a en effet pas perdu de temps, il s'est de suite déshabillé du haut, pour lui montrer ses biscottos. Mireille ne fait pas la difficile et se jette sur ton torse peu velu, le caresse des mains, et de léchouille.
Elle enlève ses chaussures et il remet sa main sur ses hanches, remonte un peu, le string de Mireille, blanc à dentelles, est apparent. Ce veinard lui retire de suite la robe, laissant retomber les seins de Mireille qui n'étaient pas soutenus ce soir. Il couche Mireille sur le lit, s'agenouille sur elle et lui fait de petits baisers sur la bouche, le long de la nuque, les seins, lui mordille le bout des tétons, passe une main, plus bas, encore plus bas, le long de ses fesses.
Mireille se tire la tête en arrière, de plaisir, elle se lèche les lèvres. Elle ouvre soudain la bouche, un gémissement, la chevelure de beau gosse est face à l'entre jambes de Mireille le string est baissé à ses genoux. Elle se tort de plaisir, se touche les seins d'une main et les cheveux de ce gros veinard de l'autre. Il remonte le long de son corps, ils s'embrassent. Mireille fait de son mieux pour essayer de retirer le pantalon de cet homme à l'allure de mannequin.
Il se lève, plonge une main dans sa poche, en ressort une capote qu'il tend à Mireille et baisse son pantalon et culbute sur le lit d'un seul coup. Mireille s'applique à lui enfiler tout en n'oubliant pas de caresser son pubis, ses couilles, sa verge toute tendue, son gland couvert de latex, elle se débarrasse du string qui trainait à ses pieds et se pousse sur le lit, en attendant.
Il ne se fait pas prier et viens se coincer entre les jambes de Mireille, tout doucement, puis plus brusquement, rentrant sans doute la fin de son engin dans le sexe de la belle danseuse de Paul. Elle se cambre de tout son corps, pendant qu'il la tient par le dos, en faisant des vas et viens prolongés, en alternant le lent et le plus rapide. Elle s'accroche à lui comme une bête, le suis dans son mouvement, fait virevolter ses cheveux dans tous les sens jusqu'au moment où elle lève la tête vers le plafond, la bouche grande ouverte. Paul croit presque entendre ses gémissements de jouissance.
Puis elle repose sa tête sur l'épaule du costaud, et là elle lance un regard de braise contenant rage, plaisir et désir à travers les rideaux de son appartement, Paul a l'impression qu'elle le regarde droit dans les yeux à travers ses jumelles. Il sent d'un coup son sang se glacer, il pose ses jumelles sur son bureau de peur d'être vu. Son cœur bat comme il n'a jamais battu, il continue à regarder la belle Mireille qui est maintenant en grande discussion avec son partenaire. Mon frère regarde son caleçon, il ne s'était même pas rendu compte que son sexe était tendu à l'intérieur.
Le lendemain soir Paul hésite à se poster devant son ordinateur. Hier soir, il est sûr qu'elle l'a vu, qu'elle l'a repéré. Elle pourrait peut-être porter plainte ? Il attend, et se met sur son lit, il se tourne sur son lit, son cœur bat très fort. La tentation est trop grande, il s'assit devant sa petite table, devant son ordinateur, il l'allume, au cas où, pour se donner un alibi.
Installé, il vérifie trois petites choses, et scrute surtout la fenêtre de la chambre de Mireille. Il y a de la lumière dans la chambre, mais personne. Pour être sûr, il prend ses jumelles, il regarde et observe le moindre détail de cette chambre. Une envie pressante, il part aux toilettes. Quand il revient... Malheur ! Elle a tiré les rideaux, mais, elle a laissé un petit écart entre les deux. Ils laissent une vue plongeante sur une chaise, vraisemblablement à côté du lit. Paul prend ses jumelles, intrigué, il y a quelque chose sur cette chaise...
Mon frère zoom sur cette chaise, à son immense étonnement, il reconnaît un godemiché. Un vrai jouet en forme de fusée, non, plutôt un vibromasseur. Paul est dans une incompréhension totale. Qu'est ce que Mireille veut ? Il est méfiant, s'inquiète un peu, mais reste suspendu à ses jumelles, à se petit passage de lumière entre les rideaux de la chambre d'en face, et à cette chaise posée là au milieu de la chambre, sans raison, sans personne, et avec cet objet incongru.
Paul n'a plus le sang glacé de la peur d'hier soir. Il tremble, d'inquiétude, et d'incompréhension et surtout excitation. Un bon quart d'heure plus tard, Mireille revient. Mon frère ne l'a vu que furtivement partir peut-être vers la salle de bain mais il a compris qu'elle n'était vêtue que d'une petite robe de chambre.
Mireille est enfin de retour, avec cette même robe de chambre. Elle sort du champ de vision, la robe de chambre tombe derrière la chaise. Mireille apparaît cette fois divinement sexy, sa même chevelure de feu, et ce corps, mis en valeur par une parure érotique, soutien-gorge noir à dentelle et ses bas satinés.
Mireille allume le vibro. Tourne autour de la chaise. Fait de petits mouvements torrides au-dessus de sa robe de chambre à terre. Elle se courbe, pour laisser apparaître son décolleté voluptueux, elle passe se main le long de son corps et montre déjà des signes de plaisir sur son visage. Qu'est ce qu'elle fait ? Pour qui ? Pourquoi?
Paul l'a droit dans les yeux. Mireille l'embrase d'un coup en lui envoyant un regard de féline coquine, droit dans les jumelles. Mon frère baisse ses jumelles et se cache derrière son ordinateur mais Mireille continue à le regarder en se postant devant la chaise. Elle enlève son soutien-gorge avec une extrême délicatesse, repasse derrière la chaise avec tout autant de sensualité. Elle se caresse les seins de la main droite et imprime des mouvements suaves avec son bassin. Elle passe ses deux mains sur ses seins, pince délicatement ses tétons, glisse sa main gauche vers ses fesses.
Paul n'en peut plus, il la voit, elle le regarde, apparemment, mais en tout cas il ne veut plus manquer une seule goutte du spectacle et reprend ses jumelles qu'il pose juste dessus son ordinateur histoire de ne plus être facilement repéré.
Mireille poursuit sa danse érotique, pendant que le vibromasseur continue de vibrer sur la chaise. Elle fait bouger ses fesses et baisse tout doucement son tanga, au rythme de l'extase de Paul qui n'a plus assez de place dans son caleçon pour le garder. Il découvre la délicieuse courbe de ses reins et la fente de ses fesses. Elle se penche pour finir d'enlever sa mini culotte et la jette sur le lit. Paul a pu voir les petites lèvres coquines de sa voisine. Quel rêve !
Mireille ne veut pas s'arrêter là. Elle repasse de l'autre côté de la chaise, montre sa fine toison fraîchement épilée. Elle y passe justement une main et regarde fixement mon frère en passant un petit bout de sa langue entre ses lèvres.
Mon frère astiquait la verge tout doucement, il voulait profiter de ce plaisir immense jusqu'au bout, et venir en même temps qu'elle. La belle s'est justement reculée un peu, au nivaux de la chaise et juste au dessus du vibro, elle continue à se caresser les seins, le ventre, le bas du ventre, un peu les fesses, entre les fesses, le minou et son entrejambe.
Son visage change du plaisir sensuel au plaisir sexuel lorsqu'elle s'introduit deux doigts. Puis elle écarta les jambes un peu plus. Paul zoom à fond sur son sexe, il voit tous les détails de ses doigts qui viennent et se retirent, titillent son clito... Mireille se baisse juste au dessus du vibro qui marche toujours. Elle se baisse doucement et tient l'objet de sa main droite pendant qu'elle écarte ses lèvres trempées de l'autre. Elle s'empale calmement dessus. Remonte un peu, laisse le bout de l'objet lui faire vibrer le bord de la vulve, puis s'empale dessus une deuxième fois, presque complètement, en se maintenant légèrement en hauteur juste à l'aide de ses cuisses appuyées contre la chaise.
Elle garde une main près de l'engin, qui parcours sa petite chatte, son pubis, ses hanches et le creux de ses fesses. Son autre main passe de sa bouche, son ventre, côtés, ses seins, sur ses tétons. Elle reste dans cette position un bon quart d'heure pendant que mon frère se masturbe, il est même obligé de s'arrêter plusieurs fois pour ne pas jouir tellement le spectacle est divin pour lui.
Mireille jouit, apparemment encore plus fort qu'hier soir. Et le plus fort c'est qu'elle jouit droit dans les yeux de Paul. Cela d'éclanche une réaction en chaîne chez lui qui n'a pas plus à son ordinateur. Mireille lui fait un clin d'œil, ferme les rideaux et éteint la lumière. Paul se demande encore pourquoi lui et est ce bien lui qu'elle regardait ? Un autre soir, Paul attend jusqu'à plus de minuit et demi. Pourtant, il a vu de la lumière chez Mireille ce soir, tout c'est éteint à 23h29, sans qu'il aperçoive Mireille à travers les rideaux encore entre-ouverts.
Paul n'a pas cours cet après-midi. Il passe chez lui et regarde son courrier. Au milieu des pubs, une carte postale d'un copain en vacances, et... un petit mot, avec une trace de rouge à lèvres dessus : "- Salut petit voyeur ! Tu sais que j'ai adoré sentir ton regard sur moi cette dernière semaine. lorsque je t'es vu à la lueur de ton ordinateur me regarder me déshabiller, et jeudi dernier quand tu m'as regardé faire l'amour. J'adore sentir un regard sur moi. Et toi, c'est peu de dire que tu es souvent fidèle au poste. Sois attentif ces prochains jours, si tu le souhaite encore. "
Paul ne s'est pas rendu compte qu'une bosse est apparue sur son pantalon, il est dans un autre monde, dans ses rêves, et il redescend sur terre. Paul est scotché devant sa fenêtre, éclairé à la lueur de son ordinateur. Il n’a pas peur d’être vu, sûr que Mireille ait des vues ses yeux. Les rideaux sont tirés à l’habitude depuis une semaine, légèrement entrouverts, dans l’axe de vue de Paul qui distingue un large pan du lit avec précision. A 22h30, quelqu’un pose une feuille avec des inscriptions sur le lit. Mon frère ne parvient pas à lire sans ses jumelles. Curieux, il s’en saisit et zoom à fond : « Bonsoir petit voyeur… Bonne journée ? Prépare toi pour ton spectacle. Je suis de retour dans une demie-heure et j’aimerais beaucoup profiter de ton corps légèrement éclairé. La silhouette d’en face. »
Paul se met à trembler dans tous les sens. C’est lui le voyeur, pas elle la voyeuse… Elle n’a pas le droit d’inverser les rôles de la sorte ! C’est pas du jeu C’est sacrément excitant ! Paul imagine quand même ce que peut être son spectacle. Il faut nécessairement qu’il se déshabille, peut-être qu’il vaut mieux qu’il soit habillé de façon sexy.
Paul est prêt, il a allumé la veilleuse de sa chambre, éteint son ordinateur, laissé entrouvert ses volets, il est bien peigné, rasé, il a mis une chemise saillante, une jean bien moulant, comme ça et il fait aussi plutôt beau gosse. Il attend 5 minutes, il stresse comme jamais, tourne dans sa chambre, regarde la chambre d’en face avec ses jumelles. Et soudain, un nouveau mot : « GO ! ».
Cela a le mérite d’être clair. Et il voit Marion s’allonger sur son lit, en robe de chambre. Elle s’installe sur le ventre et regarde. Pour s’assurer qu’elle le regarde bien, Paul fait un petit coucou de la main, elle répond. Mon frère n’est pas loin d’avoir une attaque cardiaque. Il tremble, s’écarte un peu de la fenêtre, juste assez pour que seule Marion puisse le voir. Il est stressé et ne préfère pas se risquer à un strip-tease endiablé, il y va calment, sûrement.
Il déboutonne sa chemise, bouton par bouton. Laisse voir les quelques poils noirs qui y ont poussé. Mireille se saisit de jumelles. Paul sursaute. Elle lui envois un bisous en soufflant sur sa main. Mon frère se ressaisit, il continue, il laisse sa chemise ouverte, se met debout sur son lit, et a ouvert la braguette de son jean, il se tourne, le baisse lentement. Mireille a une vue imprenable sur son petit cul de boy-scout., serre dans un boxer très moulant.
Paul n’a rien laissé au hasard. Il enlève son jean, le jette à terre. Marion le regarde sans trop de réaction , si ce n’est une main cachée sous son corps, mais Paul ne peut pas voir ce qui s’y fait, de l’autre main, Mireille regarde toujours à travers ses jumelles. Paul retire sa chemise. Il se caresse le torse en se retournant face à Mireille. Il s’arrête avec un air gêné et interrogatif. Mireille baisse ses lunettes et lui fait un clin d’œil, elle écarte légèrement un battement de sa robe de chambre, laisse apparaître un sein qu’elle se caresse. Elle refait un clin d’œil en montrant en dessous ses seins du doigt.
Paul a compris, et de toutes façons, il ne peut cacher son excitation à travers son boxer traître, il se retourne, montre ses fesses, et baisse son sous-vêtement. Il se prend au jeu et tourne juste la tête en faisant rouler ses fesses. Mireille baisse sa robe de chambre à ses fesses, nues, et passe sa main libre l’autre tient les jumelles. Paul sourit et se retourne, il tient son sexe bandé très dur dans sa main. Mireille semble se masturber. Paul se caresse le torse d’une main, le sexe, les couilles de l’autre. Il commence quelques vas et viens. Mireille sourit fort et ouvre la bouche par moment, comme si elle voulait engloutir ce sexe raidi et branlé dans sa bouche.
Mon frère ne met malheureusement pour lui que quelques minutes à éjaculer à cause de la situation, malgré le rythme lent qu’il imprimait. Tout son liquide retombe par terre, dans sa chambre, il s’en occupera plus tard, pour quelques secondes encore il profite de Mireille qui semble prend son pied avec ses doigts de l’autre côté. Deux secondes à se regarder les yeux dans les yeux et Mireille remet sa robe de chambre sur les épaules, puis éteint la lumière. Paul se retrouve ainsi nu dans la lumière, il se sent con mais heureux, et, sûr qu’elle le regarde encore, il lui renvoie un baiser volant, avant de fermer ses volets.
Le lendemain midi, Paul repasse jeter un œil à la boîte aux lettres, au dessus des pubs, un petit mot, avec encore une trace de rouge à lèvres : "Salut coquin de petit voyeur !" Je t'ai vu... Et j'ai adoré. Tu as un joli torse, une belle chemise, un beau petit cul, et un magnifique sexe. On m'avait dit que c'était proportionnel à la taille du bonhomme, je m'attendais à plus petit que ça sous ton boxer. J'ai la confirmation qu'il faut toujours regarder en dessous des vêtements avant de juger. Mais peut-être que c'était l'excitation qui a fait ça ??? Car justement, tu es rapide... A travailler ! Sois vigilant. Toujours même heure. Ta petite voyeuse d'en face."
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Vraiment rude à lire et en plus le rôle principal change de nom en cours de route,
vraiment bof !
vraiment bof !