Mon gay

- Par l'auteur HDS Fabriss34 -
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Mon gay Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-04-2012 dans la catégorie A dormir debout
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(6.0 / 10)

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Mon gay
Je reviens enfin en France. Mon contrat est enfin fini. Je dis enfin à cause de la dureté pour trouver une amante comme je veux. Ouf, je peux m’adonner à mon principal plaisir. Je retrouve cet espace de liberté sexuelle un peu changé. C’est que pour moi le plaisir dit charnel est important.
Je me masturbe depuis mon plus jeune âge avec plus ou mois de bonheur au début, maintenant je ne me rate jamais, je me fais toujours jouir facilement, surtout que j’ai mes petits amis : un gode simple, basique, le premier que j’ai eu, ensuite mes boules de geisha que je porte pratiquement tout le temps. J’ai mon autre gode double pour me faire jouir par les deux trous principaux, et enfin mon chapelet comprenant 12 billes de plus en plus grosses dont je me sers souvent pour jouir longtemps en faisant durer ce plaisir intense plus d’un quart d’heure à chaque fois. Inutile de dire que je ne m’en sers pas tout le temps.
J’ai aussi des livres à ne lire que de la main gauche tellement ils sont osés, plein d’aventures extraordinaires de filles en chaleur comme je le suis souvent.
Je ne reconnais plus personne : il faut que je trouve d’abord un homme bien monté, une fille pas farouche et sans doute un couple bien intentionné qui aime faire des trios.
Il est facile de dire que sur Internet on trouve ce qu’on veut : c’est difficile en réalité de tomber sur l’annonce qui correspond à la vérité : je me suis faite avoir une fois par un type qui sous prétexte de me connaitre ne trouvait rien de mieux que me faire coucher avec toute sa tribue de copains. J’avais joui, pas comme j’aurais aimé.
Aussi je ne me fis plus qu’à moi.
Dernièrement j’ai trouvé mon bonheur dans un simple bistrot où je prenais un café. Un homme grand me semblait bien faire l’affaire. C’est lui qui m’a levé. Je me suis laissée entrainer chez lui. Il me propose de faire des choses.
- Qu’elles chose ?
- T’embrasser.
- On vient de le faire, tu en bandes ?
- Oui, j’ai envie de te baiser.
- Moi aussi.
- Tu es salope ?
- Un peu je crois. Tant mieux, j’aime baiser les filles qui en ont.
- Si c’est des couilles, je n’en ai pas, c’est toi qui dois en avoir pour me la mettre.
J’ai fait celle qui met en doute sa capacité, il me prend dans ses bras, m’embrasse longuement : nos langues sont de la partie. J’ai envie qu’il montre ce qu’il sait faire. Je frotte mon ventre contre sa bite qui en effet bande pas mal. Elle me semble un peu grosse ; tant pis, je m’en accommoderais. Il manque quand même d’initiative alors je lui mets une main sur les fesses pour arriver à le débloquer.
J’ai bien fait, il cherche enfin mes seins. A croire qu’il est paralysé de trouver mes seins nus. Je n’aime pas avoir de soutiens gorge qui me gêne, comme je ne porte pas non plus de string ou culotte : c’est plus facile quand j’ai mes boules dans le vagin. Enfin il commence à caresser un sein. Il ne le sait pas, il me fait mal : il les serre trop dans ses mains.
Par contre il trouve l’ouverture de ma robe, derrière, sur mon dos. Il ouvre tous les boutons, je suis nue rapidement. A mon tour de lui enlever ce qu’il porte. Je fais surtout tomber et son pantalon et son slip. C’est-ce que je pensais : il est gros, pas très long mais gros. Je me baisse pour le prendre dans la bouche.
Mes lèvres seules le décalotent : son gland ressort contre ma langue : le but recherché. Là je le trouve tout doux, même la peau de son sexe est douce, plus douce que les autres. Ma langue se promène tout le long de sa tige jusqu’aux couilles poilues. A tant qu’y être je pose un doigt sur sa rondelle. Il me semble qu’il ouvre trop son cul : soit il se fait mettre, ce qui ne m’étonnerais pas, soit il possède un gode.
Je suce un bon moment avant qu’il décharge. Là, encore une surprise, son sperme est l’un des meilleur que je n’ai jamais eu dans la bouche. Dommage qu’il ne m’en ait pas mis davantage. Je pense qu’ensuite il va débander. Miracle, il reste inflexible : sa queue reste bien bandée. Je me relève : il prend ma bouche, sa langue entre cette fois à la recherche de son goût. Mes seins sont bloqués entre nos corps. Je mouille, j’ai envie de sa queue dans mon minou.
Enfin la bonne invitation :
- Allons-nous coucher.
- Tu me veux ?
- Bien sur je te veux partout.
- Même mes fesses ?
- Pas seulement tes fesses, ton cul, j’aime les culs.
- J’aime me faire enculer quand c’est bien fait.
- Je te la mettrai là après.
- Après quoi ?
- T’avoir baisé.
Nous sommes sur le lit. J’aurais bien aimé qu’il me suce la chatte. Tant pis pour moi. Il vient entre mes jambes, insère sa bite dans ma gaine lentement. Mon abricot s’ouvre devant cette pine. Elle me fait à la fois du bien et du mal parce qu’elle est grosse, plus grosse que celles que j’héberge normalement.
Il va-et vient dans mon con, lentement, presque trop. Je sens enfin venir le plaisir, l’immense plaisir d’avoir une bite dans la moule. C’est tellement bon que je sens monter doucement ce plaisir invraisemblable de l’amour physique. Ca commence par un genre de chatouillis autour de mon sexe, avant d’éclater brusquement autour de ma chatte avant d’aller sur mon cul et de remonter vers mes seins et mon cerveaux. Je sens mes spasmes secouer tout mon bas ventre pendant qu’il décharge son poison dans le ventre.
Je me laisse aller à crier mon plaisir en de nombreux :
-Oui, Oui, recommence, c’est bon j’ai jouis.
- Moi aussi j’ai jouis. C’était bon, tu baise bien.
Au fond de moi, je n’ai fit que subir son assaut. Le reste est naturel.
Comme il débande un peu, je le prends dans la main, je le branle pour qu’il relève la tête : il me regarde faire. Ma main caresse sa grosse bite que j’apprécie maintenant. Je remets mon doigt dans son anus : c’est ça qui le fait revivre.
- Tu aimes te faire enculer ?
- Oui, je suis bi sexuel.
- J’avais deviné. Si tu avais un homme à coté de nous tu lui demanderais quoi ?
- Qu’il m’encule pendant que je t’encule.
Il est bien dur aussi :
- Encules moi.
Je me mets de la cyprine sur le rectum pendant qu’il vient sur moi, en levrette. S’il aime se faire enculer, je pense qu’il doit aussi sodomiser ses copains. Je le pense d’autant plus qu’il me pénètre avec une foule de précautions. Je sens à peine son gland. J’ai toute se queue dans le cul. Il me sodomise comme un chef : je sens à peine sa grosseur. Sa bite me fait du bien. Il passe une main sous moi pour chercher ce que j’aime bien : mon clitoris. Le salaud me branle bien. Je gémis fort, de plus en plus, jusqu’au moment d’un orgasme hors norme. Que c’était bon de l’avoir ainsi dans le cul. Je jouis deux ou trois fois avant qu’il décharge son sperme dans le fond de mon ventre. Là, je jouis encore une fois.
Il sort de mon corps et pourtant il a oublié une chose importante : me sucer. Je lui demande de ne pas oublier de me lécher. Il vient entre mes jambes, sa tête presque contre mon intimité. Je sens son souffle que moi. C’est savoureux de sentir quand sa langue me cherche dans ma chatte. Il lèche mon con de haut en bas, en entrant dans le vagin et finissant par prendre le bouton entre ses lèvres : juste ce que j’aime.
Il prolonge mon plaisir plusieurs fois. Je jouis dans sa bouche, il fait comme moi, il avale mes fluides. Ses mains s’adoucissent sur les seins : il fait ressortir mes pointes qui sont fragiles.
Il bande encore rien qu’en me goûtant. Je lui demande un 69. Il connait mieux ceux qu’il fait avec un copain ; c’est facile d’avoir une bite dans la bouche, je le fais presque à chaque fois que je suis avec un homme. Mais de là à lécher une figue !
Il a apprit tout à l’heure. Il recommence à passer sa langue plus bas : sur mon cul. Il la rentre un peu. C’est bon, je jouis encore comme quand cette fois il entre sa langue dans mon trou de devant. J’éclate tellement que quand il jouit dans ma bouche, j’abandonne la partie ; je suis repue de plaisir.
Le lendemain nous nous revoyons, cette fois il est avec son copain/ Il annonce vite la suite : nous allons baiser en trio, seulement c’est lui qui aura droit à une bite dans le cul. Je les regarderais faire. Au fond ça me plait, pour la première fois je verrais des hommes se conduire en gays.
Nous sommes nus, je suis la proie du copain pour me faire embrasser pendant qu’il masturbe déjà mon amant. Au lit, la situation reste la même : je suis au second plan. Pendant qu’ils se sucent, je me branle en voyant les bites dans la bouche d’un autre homme. Je suppose que c’est la même chose que quand un homme voit deux filles se baiser.
Ils se séparent sans avoir déchargé. La suite est simple. Cette fois je participe. Mon amant m’encule normalement pendant qu’il reçoit une autre bite dans l’anus. Je suis excitée comme une puce : je jouis plus qu’hier. Ces bites qui coulissent dans le cul des autres me font du bien.
Je n’ai jamais plus revu l’un et l’autre des deux hommes. Pour moi ça devenait écœurant.

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