Mon italienne rencontrée en boîte, suite et fin

- Par l'auteur HDS John Doe -
Récit érotique écrit par John Doe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Mon italienne rencontrée en boîte, suite et fin Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-02-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mon italienne rencontrée en boîte, suite et fin
Je suis au bureau et mon téléphone personnel sonne : numéro inconnu. Dans le doute je décroche, c'est Federica, l'italienne rencontré en boîte trois semaines plus tôt et dont je n'avais eu aucune nouvelle.

Elle m'explique qu'elle a été agressée et me demande si je peux l'emmener aux urgences ! D'un bond je quitte le boulot, la récupère à la crèche dans laquelle elle travaille hors saison de Kitesurf (elle est instructrice) et file aux urgences. Sur le chemin, je lui demande naturellement ce qui lui est arrivé.

Elle me raconte donc sa mésaventure : c'est son ex, celui de la boîte, qui est aussi son voisin, qui a mal pris d'être rejeté et lui a porté un coup violemment dans les côtes la veille... Elle m'a demandé à moi car elle ne voulait impliquer aucune de ses connaissances.

Je passe donc une partie de la soirée avec elle aux urgences, où elle pose souvent sa tête contre mon épaule et prend ma main, en me remerciant d'être là pour elle. Après le moment passé ensemble, je lui dois bien ça !

La discussion dévie assez vite sur notre rencontre, elle m'indique en rougissant qu'elle avait ses règles à ce moment là, d'où la sodomie et uniquement la sodomie. Je lui avoue que j'avais adoré le moment sous la douche, mais que j'étais resté sur ma faim car j'aurais voulu que ça dure ! Elle rit, c'est déjà ça.

Les résultats tombent : pas de côte cassée, et elle repart avec des antidouleurs et une crème pour l'hématome.

Lorsque l'on arrive dans sa rue, elle me demande si je peux la raccompagner jusqu'à sa porte car elle craint de recroiser son agresseur, j'accepte, mais lui dit que j'ai bien envie d'aller sonner chez lui pour lui faire passer l'envie de cogner une fille ! Elle me supplie de ne rien faire, que c'est son histoire et que cela ne me regarde pas. Après tout, elle est indépendante, sure d'elle et semble plutôt forte, puis elle ajoute en riant qu'elle est italienne et que chez eux, les histoires d'amour sont passionnelles... Ça ne me convainc qu'a moitié.

Arrivés à sa porte, elle m'embrasse, mais avec une sorte de tendresse et de douceur que je n'ai que rarement connu dans un baiser. Puis elle me demande d'une toute petite voix fragile « tu peux rester avec moi cette nuit ? » Sans un mot j'entre chez elle.

Nous commandons quelque chose à manger, puis elle me propose de mettre un film qu'elle veut me montrer, la soirée s'annonce calme.

Après avoir mangé et regardé les trois quart du film en tout bien tout honneur, elle se penche contre moi puis m'embrasse de nouveaux comme sur le pas de sa porte, très vite, j'ai envie d'elle, mais pas comme l'autre fois, pas comme sous la douche où c'était animal et rugueux. J'ai envie de lui faire l'amour, de la réconforter... Je la prend par la main et l'amène à la chambre, puis la déshabille tout doucement, en embrassant et léchant les parties de son corps qui s'offrent à moi, elle sent divinement bon, ses seins sont fermes, ses fesses rebondies et son visage d'ange la rend tellement attendrissante.

Je l'allonge sur le lit et lui demande où a t elle mis la crème apaisante pour sa blessure. Elle me répond que la douleur est calmée par les médicaments, mais qu'elle a des huiles de massages dans sa table de chevet. J'en saisis une qui est comestible et utilisable pour le sexe et lui en étale une grande quantité sur la totalité du corps après avoir pris soin de la réchauffer dans la paume de ma main.

Je masse ses cuisses sportives, son ventre plat, ses seins robustes, ses bras, l'intérieur de ses mains, elle est a présent totalement luisante. Je l'embrasse à pleine bouche pendant plusieurs minutes tandis qu'elle me branle délicatement... Je continue ensuite en léchant et mordillant ses tétons qui pointent très fort depuis mon massage et enchaîne sur son antre. Son sexe est rose et vierge de tout poil, et son goût est exquis. Je suis donc entre ses cuisses, je pratique un cunnilingus doux et délicat, c'est l'état d'esprit dans lequel je suis, je veux que ça soit beau. Je lèche l'intérieur de ses cuisses, puis chacune de ses lèvres avant de poser ma langue sur son bouton, je l'embrasse, le titille, l'aspire désormais pour en insérant deux doigts dans son temple désormais trempé de désir.

Je m'installe sur elle en 69 et continue mon travail buccal. Quant à elle, fidèle à mes souvenirs, me suce comme une reine, alternant entre gobage de gland, de couilles et gorges profondes baveuses.

Soudain, je la sens qui se crispe et qui gémit, puis hurle véritablement et je reçois sur la langue deux jets de liquide délicieux, madame est femme fontaine ! Elle me demande de continuer encore avec mes doigts, puis elle jouit de plus belle, aspergeant mes mains et les draps, je suis au sommet de l'excitation !

Elle me dit qu'elle a envie de moi, je m'installe donc en missionnaire sur elle, classique je vous dit, et la pénètre en un éclair tellement sa chatte est prête à me recevoir. Mes va et vient se font, lents, puis rapides au rythme de ses cris et de ses spasmes. Nos corps s’enchevêtrent, ils sont huilés et s’emboîtent parfaitement tandis que ses yeux sont plongés dans les miens et qu'elle se mord les lèvres de plus en plus fort à chaque coup de boutoir.

Je la prends ensuite en levrette, toujours délicatement, j'ai une sensation étrange comme si nos corps fusionnaient, comme si nous n'étions qu'un ! J'arrivais à saisir l'huile, et j'en faisais couler une belle quantité sur son dos et ses fesses et l'étalaient pendant que je continuais à la prendre, elle hurlait de plus en plus, du jamais vu pour moi !

La vue d'un anus ouvert devant moi a toujours éveillé des envie... Celui là était très régulier et luisant désormais. Après l'avoir léché et embrassé quelques instants, j'y insérais mon sexe tendu comme un arc, jusqu'à la garde, et commençais les aller retour dans son rectum. Elle agrippait et mordait les oreillers avec une telle force que je compris qu'elle allait jouir de nouveau ! Son anus se contracta autour de ma queue et elle poussa un long râle de satisfaction tandis que je me retirais lentement.

Je m'allongeais ensuite sur le dos, puis elle vint immédiatement s'empaler sur moi. Je pouvais maintenant contempler son superbe visage et son regard profond, ainsi que ses seins qui rebondissaient voluptueusement au rythme de ses coups de reins.

Elle s'est mise à les malaxer, à se pincer les tétons, toujours en se mordant les lèvres et en se déhanchant comme une danseuse son mon bâton toujours aussi vigoureux.

Je l'attrapais par la nuque, l'approchais de moi et l'embrassais en prenant le contrôle du rythme. Nous étions peau contre peaux, elle me mordant le cou avec la force idéale, le souffle haletant. J’accélérais le rythme et le force de mes coups de queue, jusqu'à sentir son sexe se serrer, sa mâchoire se fermer plus fort sur mon cou et ses muscles se tendre. Je me laissais moi aussi aller en elle avec des spasmes que je ne m'explique toujours pas aujourd'hui, déversant une grande quantité de sperme à l'intérieur de son vagin dans un orgasme intense et simultané.

Le mélange de la cyprine et du sperme de nos deux éjaculations coulaient le long de nos corps lorsque nous décidions de nous diriger vers la douche, qui fut elle aussi très sensuelle.

C'était un vendredi soir. Et je ne pus me séparer d'elle que le dimanche soir, après un weekend entier passé nu, entre le lit et la douche, pendant lequel nous avons vidé la bouteille d'huile de massage et perdu quelques calories...

Je ne l'ai pas revue ensuite, mais je crois que je me souviendrai de ce weekend toute ma vie.

Fin

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Histoire sexe : Une rose rouge
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