Mon jeune voisin

- Par l'auteur HDS MG8895 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Mon jeune voisin Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mon jeune voisin
Peter, mon voisin, jeune étudiant de 19 ans, 1m80, longiligne, cheveux frisés, blonds coupés court, louait le studio, en bas du mien. Lorsqu’il rentait de ses courts, il me faisait toujours un petit signe de la main, je le lui rendais discrètement, seulement par politesse. Très courtois, le petit mot juste, simples relations de bon voisinage. Je le voyais faire des exercices physiques, d’ailleurs, il avait un banc de musculation sur son grand balcon. Son balcon est en contre bas du mien. Ce qui expliquait son corps sculpté, ses pectoraux bien dessinés, ses abdominaux visibles, ses jambes et ses bras étaient proportionnés au reste. Un corps parfait en somme, pour ceux qui aiment bien sûr !
Je le regardais souvent effectuer ses agrès, j’aimais voir ses muscles bander, sa sueur couler sur son torse, ses tenues choisies et très sexy lui moulaient les parties intimes. On devinait un beau paquet. Il faisait tout pour le mettre en évidence. L’intention était palpable, si je puis dire ainsi. Il avait un regard coquin. J’étais troublé à l’idée de le rencontrer ou de me retrouver seul avec lui.
Etant hétéro, je ne suis pas branché mec, mais celui là, ne me laissait pas indifférent. Certes, je m’adonne à quelques plaisirs solitaires avec un sextoy et doigtés avec ma compagne mais je n’ai jamais été attiré par les hommes. Je reconnais que ça fait trois semaines que mon amie est partie en formation à Berlin et que ma libido est à son comble. Mes cessions « aneros » et mes masturbations, ne me suffisent plus. J’avais de plus en plus envie de baiser. La prostate me chatouillait en permanence, comme si j’avais des fourmis qui me butinaient la noix. Malgré mes ressentis, je ne m’imaginais pas du tout dans les bras de ce jeune homme.
Cet après midi là, l’air était particulièrement chargé d’électricité, je suais sans bouger. L’orage ne devrait pas tarder. Je lisais le livre : « La vallée » de Bernard MINIER, lorsque la sonnette retentit dans mon salon. Je suis en short et maillot de course à pied. Tissu très léger qui laisse passer la transpiration lors de l’effort. Vêtements idoines eu égard aux conditions climatiques. Je vérifie dans le judas de ma porte d’entrée. Stupeur, mon voisin sportif. J’entrebâille ma porte et : - Bonjour Mike, je suis vraiment désolé de vous déranger, mais je viens de faire une séance de sport et mon chauffe eau est en panne. Je souhaiterais prendre une bonne douche. Ca vous dérangerait si j’utilisais la vôtre.
- Euh… non ! euh pas du tout… euh … entre… !
Je suis décontenancé par cette situation, je me suis surpris à le tutoyer, son jeune âge peut-être, il paraissait encore plus jeune que je croyais. Il était en débardeur sombre maculé de sueur, il portait un short bermuda très moulant, des tongs terminaient sa tenue vestimentaire. Je devinais aisément son sexe assez conséquent. Mon trouble était patent et il l’avait remarqué. Je le dirigeai vers la salle de bain, il avait prévu les changes et le nécessaire de toilette.


Je l’attendais tranquillement dans le salon, je repris ma lecture, enfin, j’essayais de maitriser mes émotions, j’étais perturbé par la présence de ce jeune nu sous la douche. Des images naissaient malgré moi, dans ma tête. Je ne pouvais plus me concentrer sur mes personnages. J’entendais l’eau couler, je me forgeais l’image de l’eau ruisselant sur son corps, ses mains pleine mousse qui parcourent sa chair, ses doigts passant sur ses parties intimes, qui frottent sa raie et son gland. Une voix m’appelle ?! :- Mike, s’il vous plaît, vous pouvez m’expliquer les réglages de la douche ?!

Je n’y crois pas, il plaisante, c’est un excuse, ma douche est simple à régler, je me lève et me rend à sa rencontre. J’ouvre la porte, la condensation obstrue légèrement les vitres, je devine tout de même les formes de cet athlète, j’admire ses cuisses, ses mollets biens développés. Je ne comprends pas mon émoi. Il s’est tourné et là, je découvre ce sexe long et fin superposant une grosse paire de testicules. Il est imberbe, épilé de partout. Ses pectoraux paraissent plus proéminents avec le luisant du savon. Je suis subjugué par ce corps.

- Ah, merci Mike, comment fait-on pour inverser le jet entre le pommeau et le robinet ?

Effectivement, il y avait une petite astuce, un petit bouton invisible pour les néophytes, placé sous le robinet de réglage.
Après lui avoir expliqué la manipe, je restai là, béatement à le regarder, comme figé. La vue que me présentait Peter provoquait en moi, des événements corporels insoupçonnés et dérangeants. Mon cœur battait, mes jambes se dérobaient, mon sexe durcissait. Ma gorge séchait, je déglutissais mais mes glandes salivaires étaient en panne. Une bosse déformait mon short de course à pied.

Peter me fixait en souriant, il continuait à se rincer tout en se caressant, il insistait sur ses pecs, ainsi que sur sa queue. Volontairement, il glissait ses doigts dans sa raie en me fixant. Il découvrait sa belle denture par un large sourire.
- Je vous trouble ?
- Euh… non …pas du tout ! ajoutai-je rapidement et hypocritement.
- Tu voudrais me laver le dos ? Allez viens ! me dit-il provocateur.
- Tu voudrais ? rétorquai-je, surpris par ma réponse spontanée.
- Si je te le demande…, assura tout hilare Peter
Une chaleur inattendue et soudaine parcourut mon corps tout entier. J’étais comme somnambule, je rentrai dans la douche à l’italienne, Je pris le gant puis je m’appliquai à lui laver le dos. Ces muscles roulaient sous ma paume, malgré le tissu qui nous séparait, je palpais ses fibres musculaires encore gorgées d’acide lactique. Je ne pouvais résister à promener ma main sur ses bras, ses épaules. L’envie était en moi, je vibrais intérieurement. Mon sexe pleurait. Le précum marquait mon short. De percevoir ses muscles rouler ma main, je défaillais. Ma gorge devenait de plus en plus sèche, pourvu qu’il ne me parle pas, je bafouillerais. Brusquement, Peter s’est retourné m’offrant son torse, ses pectoraux, son ventre et son sexe à demi érigé. Je l’excitais visiblement.
Je n’en pouvais plus, l’envie de l’embrassé, de le caresser, de le lécher de le sucer m’obsédaient. Je vais craquer, le gant a quitté ma main, après m’être débarrassé du peu de vêtements portés. J’étais nu devant Peter, nous nous regardions, Peter posa ses mains sur mes épaules, je ne savais pas quoi faire, ce n’est pas le désir qui me manquait mais le courage. Quoi dire ?
- Ne dis rien et laisse toi faire, prononça PeterC’est Peter qui pris les devants et me pris la bouche, je sentais la douceur de ses lèvres sur les miennes, Il était doux et violent à la fois, je ressentais sa force, aucune barbe, que je craignais, ne venait m’irriter, sa langue bougeait contre la mienne, il la cherchait pour jouer. J’acceptais la joute de nos deux mollusques. Nous bandions, nos queues se touchaient. Je perdais pied, ma tête était comme dans du coton, je ne sentais plus le sol, l’eau tiède coulait sur nous, nous nous arrangions pour qu’elle ne nous gêne pas, en évitant l’eau dans les yeux. Nos ventres se frôlaient, nos tétons s’effleureraient. Mes mains, malgré moi, vinrent se balader d’abord sur ses membres supérieurs puis sur son dos. J’étais tendu, j’hésitais beaucoup, est-ce comme ça avec les mecs ? Je n’avais pas de repère, ni d’expérience, je laissais mon instinct agir.
Les mains de Peter me caressaient la nuque, puis il quitta ma bouche pour s’acharner sur mes tétons, oh que c’est bon !!, j’adore ça, mon excitation s’accentua encore, ma queue se dressait davantage, Peter se collait à moi et se masturbait, ayant préalablement placé son sexe, sous mes couilles. Sa tige frôlait mon anus, se faufilait dans ma raie, nos pubis se claquaient, de fait, plaquant ma verge contre son ventre dur garni d’abdominaux. Je devenais dingue, je le voulais en moi, qu’il me prenne et que je m’abandonne. Il savait y faire ce jeunot. Il m’embrassa sur le ventre, fit le tour du nombril, glissait dans l’aine puis, il ajusta ses mains sur mes fesses pour plaquer sa bouche sur ma bite. Il m’aspirait profondément, il me léchait sur la longueur de ma tige. Il avala mes couilles, les suça goulument. Il insistait sur les parties sensibles et érogènes. Pour son âge, il était expert.
Tout en me pompant, il me tordait les tétons. Puis il arrêta brutalement. Je ne comprenais pas, c’est après que j’ai compris.
- On va se sécher s’il te plaît, J’en ai marre de prendre la flotte !
Nous nous essuyâmes, nos érections étaient redescendues mais pas complètement, il ne pouvait pas me laisser dans cet état là ! Alors, il me plaqua contre le lavabo, me retourna, m’écarta les jambes, vint se placer derrière moi. Il parcouru mon épine dorsale du haut vers le bas, ponctuant celle-ci de baisers. Il descendit jusqu’au sacrum, m’élargit les fesses pour y fourrer sa langue sur ma rondelle. Il titillait mon anus du bout de sa langue. Je m’accrochais comme je pouvais, il tenait ma bite d’une main tout en me léchant les couilles et le cul. Jamais ma copine ne m’avait fait ces trucs.
Je bandais comme jamais, j’avais envie qu’il continue, encore et encore. J’avais des sensations énormes dans le bas ventre. Mon cul pompait dans le vide sous ses coups de langue. Je ressentais des chatouillements autour de la prostate. Quel bonheur, cette langue à cet endroit, je n’avais jamais ressenti autant de délices. Peter pressait de plus en plus et essayait de rentrer dans le trou. Je me contractais, mon sphincter ne se détendait pas. J’avais envie, qu’il rentre.
- Détends-toi Mike, ça va bien se passer, toussa Peter.
- Attends, j’ai du gel, je préfère…Il prit le tube de gel, il en posa délicatement quelques gouttes sur ma rosace et badigeonna son sexe fin et long. Sa tige était atypique, on aurait dit un tuyau d’arrosage, surmonté d’un gland plus prononcé circoncis. Alors qu’il m’astiquait les bords du trou, il me préparait pour m’enculer. Je sentais qu’il essayait de s’incérer, je frissonnais, il poussa et me demanda de pousser aussi, pour détendre le sphincter. Le passage fut laborieux, la douleur était vive, je le sentais progresser lentement dans mon cul. Malgré le gel, ça brûlait, je débandais, j’étais déçu, j’espérais avoir du plaisir, eh bien non, au contraire je ne ressentais pas de plaisir, seulement une sorte de gêne. Je n’aimais pas. J’étais déçu.

Peter, râle, souffle et gémi, il pousse des « oh oui … », des « j’aime bien ton petit cul étroit … », « je vais te défoncer le fion …», « tu aimes ça hein ? … »… .
Puis, les coups de rein de Peter vibraient, il claquait son pubis contre mes fesses, il me branlait sévèrement d’une main et me pétrissait les fesses de l’autre. J’essayais de résister, j’étais près à lui demander d’arrêter.

Soudainement, les brûlures et la gêne disparurent, je recommençai à bander, les frottements de queue de Peter dans mon cul et contre ma prostate finirent par provoquer des ondes de bien être. Le plaisir envahissait mon corps tout entier. Je goûtais maintenant cette bite oblongue, qui me frictionnait bien les parois. Peter manipulait bien sa queue et de belle façon. Les soupirs, les souffles courts et saccadés prirent place. Nos râles, nos plaintes, nos suffocations s’entremêlaient. J’ai pris ma queue en main et c’est moi qui me branlais. Peter me défonçait, j’en voulais encore et encore, plus vite. Je lâchais des : « Putain c’est bon… », « oh oui comme ça… », « oh la vache… », « Défonce moi bien », « baise moi bien profond » ? « Je jouis, je vais cracher… », « oh oui, putain c’est bon ce que tu me fais, continue s’il te plaît… ».

Je vais jouir par le derche, malgré le préservatif je sens les giclés de Peter qui frappe mon fion, je jouis par l’anus, mes jambes et mes bras tremblent, j’ai les bras qui tétanisent. Je n’arrive pas à éjaculer, j’ai le cul dilaté. Je suis crevé. J’ai presque honte, ma bite bande encore, mon cul est irrité. Je suis encore excité. Il faut que je crache mon jus. Mon bas ventre me fait mal, ma prostate a été maltraitée par le chibre de Peter. L’orgasme anal ne me suffit pas, il faut que j’éjacule pour me soulager. Le fait d’avoir solliciter, plus que de raison, ma prostate, elle devait expulser le trop plein d’énergie enfouie en moi.

Je demande à Peter de se mettre en levrette, j’enfile un préservatif, je lui pratique un anulingus, comme il me l’a pratiqué, pour le préparer. Je le doigte aussi, après avoir enduis de gel mon membre, je m’introduis dans son trou très facilement. Il pousse pour que je m’immisce. Je me glisse en lui, je le laboure, il couine, il se branle à son tour, je lui tords les couilles, il adore ça le petit blondinet. Il est habitué à recevoir. Je le tamponne, nos couilles s’entrechoquent. Je l’agrippe par les épaules. Il en redemande, il est insatiable, vorace. Je me déchaîne sur et dans son cul. Je vais au plus profond de lui, je voudrais toucher ses entrailles avec ma bite. Il se met à éjaculer pour la deuxième fois. Je vais venir, mes va et vient son rapides, précis et longs.

- Je veux ton foutre, me dit-il,Je me retire, ôte ma protection, je me branle à hauteur de son visage, il me prend en bouche, il me pompe, je lâche difficilement mon jus, ma prostate pompe dans le vide et je suis envahi par des spasmes. La décharge électrique parcourt mon épine dorsale. J’active ma branlette pour lui donner tout ce que je peux de mon nectar, il me boit, il m’avale, il déglutit tout en me doigtant la noix, et en se masturbant.
Je retrouve mes esprits, ma bite est rouge de sucions et pourrait encore pénétrer, mais les forces me font défaut. J’ai tellement pris de plaisir, que je ne voudrais pas que ça s’arrête. La queue de Peter perle encore et repose avachie sur sa cuisse, ses boules d’un côté et sa tige de l’autre.

Nous tombons dans nos bras, nous nous enlaçons. Nos lèvres se rencontrent, tendrement nous échangeons ce baiser qui termine nos ébats et nous promet d’autres rencontres.

Réalité, fiction ou fantasme ?

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