Mon journal très intime - Première escapade
Récit érotique écrit par ClarisseJTI [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Mon journal très intime - Première escapade
Bonjour ! Petit disclaimer avant lecture :
Tout acte décrit dans ce chapitre à été consenti. J’y raconte et décris une situation extrême, d'où la catégorie "fil rouge" et le tag "extrême". Les faits décrits sont seulement issus d’une volonté de soumission / humiliation et les actes de violence proférés ont été faits et appréciés dans le cadre d’un jeu de domination désiré. Merci de ne pas surinterpréter ce que je raconte dans ce journal.
Bisous, Clarisse.
***
Depuis deux ans je vis seule pour mes études, j’ai eu la chance de pouvoir récupérer l’ancienne voiture de mes parents pour me permettre de la mobilité dans ma nouvelle ville.
J’étais enfin libre d’aller où je voulais quand je le souhaitais. Le fait de ne plus avoir personne sur mon dos m’offrait une montagne de possibilité.
J’ai donc décidé sur un coup de tête que j’allais me rendre dans une ville loin de chez moi pour assouvir mes désirs. Je prétextais l’envie de voyager, et tout le monde y croyait vu que je postais des stories de mon week-end sur Instagram.
Comme vous vous en doutez, la vraie raison était l’assouvissement de mes pulsions dans un endroit où personne ne me connaissait. Je pouvais donc me lâcher. Au cas ou, je partageais ma position en permanence à Nicolas qui en cas de problème pouvait prévenir les bonnes personnes.
Pour ma première « escapade » comme j’aime les appeler, j’ai décidé de me rendre au Touquet. Il faisait encore beau en septembre donc je pouvais habiller suffisamment peu pour jouir continuellement de mes désirs d’exhibitionniste débutante.
J’ai donc trouvé la plage comme excuse pour passer la journée en maillot de bain, et j’avais un paréo dans mon sac dans le cas ou on je n’avais pas d’autre choix. J’avais acheté pour l’occasion un super deux pièces qui ne couvrait pas grand chose sans pour autant être vulgaire.
J’ai passé la journée à me balader en ville, longer la côte, faire les boutiques et m’allonger sur la plage. Je savourais chaque instant de cette journée. Je voyais des hommes sonder en permanence la moindre parcelle de ma peau, je sentais leurs yeux caresser mon ventre, mes cuisses et mes seins. Des que que croisait le regard d’un de ces hommes, je leur adressais un sourire candide. Je ne savais pas pourquoi je faisais ça mais j’aimais ça et c’est tout ce qui m’importait.
Pour pimenter ma journée, je m’étais donnée un défi, je devais coucher avec le premier homme qui m’aborderait.
Je voulais aussi tester quelque chose que je voulais faire depuis longtemps, le topless. J’ai donc retiré mon haut à la vue de tous. Je n’en revenais pas, j’étais seins nus au milieu de plein d’hommes et de femmes. Je retrouvais enfin cette sensation de vulnérabilité que j’aime tant. Je n’avais qu’un bout de tissu qui m’empêchait d’être totalement nue devant tous ces gens.
Je me suis donc allongée sur ma serviette feignant le sommeil, la tête posée sur mon sac et les mains s’y accrochant. Exposer mes aisselles à toujours démultiplié ce sentiment de vulnérabilité, et les exposer en plus de mes seins créait en moi une sensation encore inédite.
Je prenais plaisir à regarder tous les hommes passer me reluquer plus ou moins discrètement et à entendre certaines femmes dénoncer mon manque de pudeur. Certains hommes me jetaient des coups d’œil timides, tandis que d’autres restaient plus longtemps pour regarder. Ma gêne mélangée à mon plaisir à crée une pensée obsédante.
Je m’imaginais ligotée dans cette position, nue et jambes écartées, tandis que les hommes de cette plage pouvaient faire ce qu’ils souhaitaient de mon corps luisant de sueur au soleil. Je les imaginais attendre les uns derrière les autres leur tour pour venir me prendre. J’en imaginais des dizaines abuser de mon corps bloqué par les ligatures, comme un objet. J’imaginais certains me bâillonner avec leur maillot, me cracher dessus, se masturber sur mon corps et frotter leurs sexes sur mon visage.
Je bouillonnais d’envie de me masturber, immédiatement, ici, sur cette plage, devant tout le monde.
Puis un homme est venu poser sa serviette à côté de la mienne.
C’était un homme d’âge mûr, très certainement un père de famille. Physiquement, il ne m’attirait absolument pas, je dirais même qu’il aurait pu sexuellement m’écœurer si je n’avais pas été aussi excitée. Il était fortement dégarni, négligé, en sueur et en surpoids, mais sur le moment, tout ça m’excitait. Je souhaitais tomber sur un pervers et un homme qui s’asseyait à côté de moi pour me regarder était le choix parfait.
Je le voyais, posé à côté de moi, me mater sans gêne. J’ai soulevé mes lunettes et lui aie timidement fait signe de s’approcher et j’ai dit à son oreille « je peux coucher avec vous si vous voulez ». Il était surpris et visiblement sans voix. J’ai ajouté « Emmenez moi juste dans votre hôtel, si vous le pouvez ». Après quelques secondes il ajouta « ma femme et mes enfants sont à l’hôtel, je peux nous prendre une chambre dans un autre ».
Je me suis relevée, j’ai réenfilé mon haut de maillot, pris mes affaires et je l’ai suivi.
Nous sommes arrivés dans un petit hôtel à bas prix, nous avons pris une chambre double propre, mais mal décorée, aux couleurs fades. J’avais envie d’être dégradée par cet inconnu. De lui même, il s’est déshabillé et s’est assis sur le lit.
Son sexe ne demandait qu’a être stimulé. Je l’ai mis dans ma bouche encore au repos et j’ai joué de ma langue pour le réveiller. Au fur et a mesure, il devenait de plus en plus dur et moi je le suçais tendrement. Je jouais de ma langue, de mes lèvres et de ma gorge pour lui donner la meilleure fellation de sa vie, du moins j’espérais.
Je me suis ensuite allongée sur le lit, attendant qu’il fasse ce qu’il voulait. Il a commencé par m’embrasser le corps, à me sucer les tétons puis s’est mis à me malaxer les seins, les fesses et le ventre. Après avoir fini, il m’a écarté les cuisses.
Il s’est mis à me masturber avec son pouce et a approché son visage pour lécher mon sexe. La langue parcourait mes lèvres, titillait frénétiquement mon clitoris et s’enfonçait dans mon vagin. Quand il a fini, j’ai rampé à quatre pattes jusqu’au bout du lit. J’ai levé mes fesses et ai cambré mon dos, à un point où mon corps entier était tendu. L’homme pouvait voir mon vagin et mon anus l’appelant, je les sentais vibrer au rythme de mes battements de cœur. Je lui ai seulement indiqué mon sac en le pointant du doigt, pour qu’il prenne un préservatif.
J’entendais les bruits d’enfilage de préservatif puis de son placement sur le lit. Je lui confie ma seule demande : « Lâchez vous sur moi, j’ai envie que vous m’humiliez. Faites ce que vous voulez de moi. ». Il me répondu seulement « d’accord ma chérie, ferme ta gueule et laisse toi faire ».
Sans prévenir, il enfonça sa queue au fond de moi et m’attrapa par la taille. Il se mit à me baiser violemment. Il donnait à chaque coup une force brutale qui fait de déplacer mon corps, ma tête se cognant de temps en temps contre l’oreiller et la tête de lit rembourrée.
Il se donnait à cœur joie avec les insultes : « petite salope », « petite chienne », « petite pute » Chacune de ces insultes me faisait me sentir comme une chose, une moins que rien.
Soudainement, il se retira, et quelques secondes après je le sens m’attraper par les chevilles et me retourner. Il commença à soulever mes fesses d’une main puis me pénétra de nouveau, me baisant avec violence et sans considération. L’autre main se posa d’abord sur mon ventre, puis sur un de mes seins, qu’il malaxait et tirait. La seule chose qui arrivait à sortir de ma bouche entre deux cris était « brisez moi s’il vous plait ».
Comme un réflexe, il se mit à me donner une première gifle, sans retenue. Puis une seconde, et une troisième. Elles me faisaient mal mais me donnaient tout autant de plaisir. Tout en me baisant, il attrapait ma mâchoire en insérant quatre doigts dans ma bouche et son pouce sous mon menton. Je sentais enfin la sensation que je cherchais, l’humiliation totale que je convoitais, ce sanglot humiliant. J’étais brisée et je pleurais pendant que lui déversait toute sa rage sur mon corps fragile. Il le souillait, le dégradait, l’humiliait.
Cela continua pendant au moins 5 minutes. Pendant que je pleurais, il continuait à me gifler et m’étrangler. Même après son éjaculation, il restait dur et continuait à me prendre. Je sentais l’orgasme monter jusqu’à son explosion. C’était une expérience incroyable.
Une fois son affaire terminée il m’a laissé étalée sur le lit, usée et épuisée, en nage et essoufflée. Je me sentais à la fois heureuse et coupable. Je me disais que j’allais peut être trop loin et que j’avais besoin de plus de cadre dans l’exploration de ce type de relations sexuelles.
Il s’est rhabillé et est parti en me remerciant. J’ai gardé la chambre d’hôtel et je suis rentrée chez moi le lendemain.
Tout acte décrit dans ce chapitre à été consenti. J’y raconte et décris une situation extrême, d'où la catégorie "fil rouge" et le tag "extrême". Les faits décrits sont seulement issus d’une volonté de soumission / humiliation et les actes de violence proférés ont été faits et appréciés dans le cadre d’un jeu de domination désiré. Merci de ne pas surinterpréter ce que je raconte dans ce journal.
Bisous, Clarisse.
***
Depuis deux ans je vis seule pour mes études, j’ai eu la chance de pouvoir récupérer l’ancienne voiture de mes parents pour me permettre de la mobilité dans ma nouvelle ville.
J’étais enfin libre d’aller où je voulais quand je le souhaitais. Le fait de ne plus avoir personne sur mon dos m’offrait une montagne de possibilité.
J’ai donc décidé sur un coup de tête que j’allais me rendre dans une ville loin de chez moi pour assouvir mes désirs. Je prétextais l’envie de voyager, et tout le monde y croyait vu que je postais des stories de mon week-end sur Instagram.
Comme vous vous en doutez, la vraie raison était l’assouvissement de mes pulsions dans un endroit où personne ne me connaissait. Je pouvais donc me lâcher. Au cas ou, je partageais ma position en permanence à Nicolas qui en cas de problème pouvait prévenir les bonnes personnes.
Pour ma première « escapade » comme j’aime les appeler, j’ai décidé de me rendre au Touquet. Il faisait encore beau en septembre donc je pouvais habiller suffisamment peu pour jouir continuellement de mes désirs d’exhibitionniste débutante.
J’ai donc trouvé la plage comme excuse pour passer la journée en maillot de bain, et j’avais un paréo dans mon sac dans le cas ou on je n’avais pas d’autre choix. J’avais acheté pour l’occasion un super deux pièces qui ne couvrait pas grand chose sans pour autant être vulgaire.
J’ai passé la journée à me balader en ville, longer la côte, faire les boutiques et m’allonger sur la plage. Je savourais chaque instant de cette journée. Je voyais des hommes sonder en permanence la moindre parcelle de ma peau, je sentais leurs yeux caresser mon ventre, mes cuisses et mes seins. Des que que croisait le regard d’un de ces hommes, je leur adressais un sourire candide. Je ne savais pas pourquoi je faisais ça mais j’aimais ça et c’est tout ce qui m’importait.
Pour pimenter ma journée, je m’étais donnée un défi, je devais coucher avec le premier homme qui m’aborderait.
Je voulais aussi tester quelque chose que je voulais faire depuis longtemps, le topless. J’ai donc retiré mon haut à la vue de tous. Je n’en revenais pas, j’étais seins nus au milieu de plein d’hommes et de femmes. Je retrouvais enfin cette sensation de vulnérabilité que j’aime tant. Je n’avais qu’un bout de tissu qui m’empêchait d’être totalement nue devant tous ces gens.
Je me suis donc allongée sur ma serviette feignant le sommeil, la tête posée sur mon sac et les mains s’y accrochant. Exposer mes aisselles à toujours démultiplié ce sentiment de vulnérabilité, et les exposer en plus de mes seins créait en moi une sensation encore inédite.
Je prenais plaisir à regarder tous les hommes passer me reluquer plus ou moins discrètement et à entendre certaines femmes dénoncer mon manque de pudeur. Certains hommes me jetaient des coups d’œil timides, tandis que d’autres restaient plus longtemps pour regarder. Ma gêne mélangée à mon plaisir à crée une pensée obsédante.
Je m’imaginais ligotée dans cette position, nue et jambes écartées, tandis que les hommes de cette plage pouvaient faire ce qu’ils souhaitaient de mon corps luisant de sueur au soleil. Je les imaginais attendre les uns derrière les autres leur tour pour venir me prendre. J’en imaginais des dizaines abuser de mon corps bloqué par les ligatures, comme un objet. J’imaginais certains me bâillonner avec leur maillot, me cracher dessus, se masturber sur mon corps et frotter leurs sexes sur mon visage.
Je bouillonnais d’envie de me masturber, immédiatement, ici, sur cette plage, devant tout le monde.
Puis un homme est venu poser sa serviette à côté de la mienne.
C’était un homme d’âge mûr, très certainement un père de famille. Physiquement, il ne m’attirait absolument pas, je dirais même qu’il aurait pu sexuellement m’écœurer si je n’avais pas été aussi excitée. Il était fortement dégarni, négligé, en sueur et en surpoids, mais sur le moment, tout ça m’excitait. Je souhaitais tomber sur un pervers et un homme qui s’asseyait à côté de moi pour me regarder était le choix parfait.
Je le voyais, posé à côté de moi, me mater sans gêne. J’ai soulevé mes lunettes et lui aie timidement fait signe de s’approcher et j’ai dit à son oreille « je peux coucher avec vous si vous voulez ». Il était surpris et visiblement sans voix. J’ai ajouté « Emmenez moi juste dans votre hôtel, si vous le pouvez ». Après quelques secondes il ajouta « ma femme et mes enfants sont à l’hôtel, je peux nous prendre une chambre dans un autre ».
Je me suis relevée, j’ai réenfilé mon haut de maillot, pris mes affaires et je l’ai suivi.
Nous sommes arrivés dans un petit hôtel à bas prix, nous avons pris une chambre double propre, mais mal décorée, aux couleurs fades. J’avais envie d’être dégradée par cet inconnu. De lui même, il s’est déshabillé et s’est assis sur le lit.
Son sexe ne demandait qu’a être stimulé. Je l’ai mis dans ma bouche encore au repos et j’ai joué de ma langue pour le réveiller. Au fur et a mesure, il devenait de plus en plus dur et moi je le suçais tendrement. Je jouais de ma langue, de mes lèvres et de ma gorge pour lui donner la meilleure fellation de sa vie, du moins j’espérais.
Je me suis ensuite allongée sur le lit, attendant qu’il fasse ce qu’il voulait. Il a commencé par m’embrasser le corps, à me sucer les tétons puis s’est mis à me malaxer les seins, les fesses et le ventre. Après avoir fini, il m’a écarté les cuisses.
Il s’est mis à me masturber avec son pouce et a approché son visage pour lécher mon sexe. La langue parcourait mes lèvres, titillait frénétiquement mon clitoris et s’enfonçait dans mon vagin. Quand il a fini, j’ai rampé à quatre pattes jusqu’au bout du lit. J’ai levé mes fesses et ai cambré mon dos, à un point où mon corps entier était tendu. L’homme pouvait voir mon vagin et mon anus l’appelant, je les sentais vibrer au rythme de mes battements de cœur. Je lui ai seulement indiqué mon sac en le pointant du doigt, pour qu’il prenne un préservatif.
J’entendais les bruits d’enfilage de préservatif puis de son placement sur le lit. Je lui confie ma seule demande : « Lâchez vous sur moi, j’ai envie que vous m’humiliez. Faites ce que vous voulez de moi. ». Il me répondu seulement « d’accord ma chérie, ferme ta gueule et laisse toi faire ».
Sans prévenir, il enfonça sa queue au fond de moi et m’attrapa par la taille. Il se mit à me baiser violemment. Il donnait à chaque coup une force brutale qui fait de déplacer mon corps, ma tête se cognant de temps en temps contre l’oreiller et la tête de lit rembourrée.
Il se donnait à cœur joie avec les insultes : « petite salope », « petite chienne », « petite pute » Chacune de ces insultes me faisait me sentir comme une chose, une moins que rien.
Soudainement, il se retira, et quelques secondes après je le sens m’attraper par les chevilles et me retourner. Il commença à soulever mes fesses d’une main puis me pénétra de nouveau, me baisant avec violence et sans considération. L’autre main se posa d’abord sur mon ventre, puis sur un de mes seins, qu’il malaxait et tirait. La seule chose qui arrivait à sortir de ma bouche entre deux cris était « brisez moi s’il vous plait ».
Comme un réflexe, il se mit à me donner une première gifle, sans retenue. Puis une seconde, et une troisième. Elles me faisaient mal mais me donnaient tout autant de plaisir. Tout en me baisant, il attrapait ma mâchoire en insérant quatre doigts dans ma bouche et son pouce sous mon menton. Je sentais enfin la sensation que je cherchais, l’humiliation totale que je convoitais, ce sanglot humiliant. J’étais brisée et je pleurais pendant que lui déversait toute sa rage sur mon corps fragile. Il le souillait, le dégradait, l’humiliait.
Cela continua pendant au moins 5 minutes. Pendant que je pleurais, il continuait à me gifler et m’étrangler. Même après son éjaculation, il restait dur et continuait à me prendre. Je sentais l’orgasme monter jusqu’à son explosion. C’était une expérience incroyable.
Une fois son affaire terminée il m’a laissé étalée sur le lit, usée et épuisée, en nage et essoufflée. Je me sentais à la fois heureuse et coupable. Je me disais que j’allais peut être trop loin et que j’avais besoin de plus de cadre dans l’exploration de ce type de relations sexuelles.
Il s’est rhabillé et est parti en me remerciant. J’ai gardé la chambre d’hôtel et je suis rentrée chez moi le lendemain.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
En effet, c'est du lourd !
Bon, le paréo a dû servir, puisque la ville du Touquet est très explicite et rigoureuse quand à la tenue à adopter en dehors de la plage.
Bon, le paréo a dû servir, puisque la ville du Touquet est très explicite et rigoureuse quand à la tenue à adopter en dehors de la plage.
Top, ça devait etre quelque chose !