Mon journal très intime - Première fois
Récit érotique écrit par ClarisseJTI [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-08-2023 dans la catégorie Pour la première fois
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Mon journal très intime - Première fois
Comme tous les ans, je rendais visite à mes grands parents durant le mois d’août. Ils habitaient un petit village avec comme seules activités un camping et une petite piscine municipale.
Depuis l’année d’avant, Fabien, le propriétaire de la crêperie de la piscine, m’employait officieusement à mi temps pour l’aider. C’était un homme d’une quarantaine d’années, sportif, qui me rappelait mon ancien professeur de sport. Il était taquin mais gentil et savait me motiver.
Cela faisait quelques années j'étais en crush sur son fils, Martin, le jeune homme mon âge qui collectionnait les filles de passage au camping. Il y avait de quoi : il était grand, beau, et son corps était sculpté par le football qu’il pratiquait au club de la ville.
Suite à mon expérience avec Nicolas, j’avais gagné en confiance et j’avais la ferme intention de coucher avec lui pendant ces vacances. J’ai donc décidé de le faire venir a moi.
Lorsque je terminais mon service à la crêperie et qu’il prenait ma place, j’avais pris pour habitude de me rendre à la piscine et de m’installer sur l’herbe pour bronzer. Quand je savais qu’il me regardait, je tentais de prendre des poses plus suggestives ou de détacher mon haut de maillot pour le faire reposer sur ma poitrine, je laissais volontairement en évidence le côté ou le dessous de mes seins visibles.
Cela à formidablement bien fonctionné, mais pas pour Martin. Je sentais les regards des hommes se poser sur moi. Je regardais discrètement, derrière mes lunettes de soleil, des pères de famille me dévorer du regard, ne laissant aucun doute sur ce qu’ils étaient en train de s’imaginer. J’adorais ça.
Je commençais à m’imaginer des scénarios, de plus en plus tordus, du voyeur au tripoteur. J’ai même imaginé qu’un homme me prenait ici, devant tout le monde.
Je faisais ça à chaque fois que j’étais du service le matin.
Un midi ou je me mettais en maillot de bain dans la réserve, Fabien s’est faufilé derrière moi et ma chuchoté à l’oreille d’une voix inhabituellement sérieuse : “Je savais pas que tu étais une petite joueuse. J’ai hâte de te revoir allongée sur ta serviette, surtout quand je peux voir ton magnifique petit cul bronzer.” tout en attrapant une de mes fesses presque nue dans sa main.
J’étais tétanisée, non pas par peur mais par surprise, surprise de l’effet que cela m’avait fait. J’étais bouillante de désir, je me sentais à la fois menacée et en sécurité. J’étais vulnérable, à moitié nue et extrêmement excitée.
Durant toute l’après midi, je reprenais mes escapades mentales, en me baignant dans les regards affamés des hommes de la piscine. Dès que je voyais le regard de Fabien se poser sur mon corps, mon cœur battait plus intensément. Je lui montrais tous ce qu’il souhaitait voir depuis son comptoir : mes fesses lorsque je me mettais à 4 pattes pour chercher un objet imaginaire dans mon sac, mon ventre, mes aisselles, et l’intérieur de mes cuisses. Je me sentais à la fois puissante, imaginant tous les pervers de la piscine se masturber au dessus de mon corps, mais je savais que je lui appartenais, et qu’il ferait tout ou tard ce qu’il veut de moi.
Le lendemain pendant le service de l’après-midi, le comportement de Fabien à mon égard avait un peu changé. Il voyait que ce qu’il avait fait la veille m’avait affecté. Il m’avait demandé de faire le service en maillot de bain et me caressait le ventre, me tenait par la taille ou la nuque pendant tout le service. J’ai été excitée toute l’après midi.
A la fin du service, après la fermeture de la piscine, il ne restait que nous deux dans l’établissement. Alors que j’allais me changer pour rentrer, j’entends un “Arrête toi”, ferme, derrière moi. Je savais ce qui allait se produire.
J’étais immobile, obéissante, fébrile. L’après midi à été une torture. Voir les clients me reluquer, Fabien me toucher si facilement. C’est un miracle si personne n’a vu l’intérieur de mes jambes mouillées de toute la journée.
Il me donna alors un second ordre, “déshabille toi”. Je me suis exécutée immédiatement puis quand cela fut fini il me donna un dernier ordre, “A genoux. Je veux que tu me suce.”.
J’ai posé un genou puis l’autre au sol, les cuisses écartées, le dos cambré et les mains assurant mon équilibre au sol. Il sortit alors son sexe de son short, une véritable queue de taureau, épaisse et intimidante. Elle n’était pas tout à fait dure mais elle était magnifique, elle tombait sous son propre poids et le gland dessinait une légère courbure vers le haut.
Sans le toucher, je le lèche du plat de la langue, plusieurs fois, du gland au pubis puis au fur et à mesure de l’érection je le léchais du bout de la langue, de la base de son sexe jusqu’au frein. Je le regardais de temps en temps dans les yeux, ces derniers me disaient “suce petite chienne”. La vue d’un de mes yeux était obstruée par son énorme sexe qui reposait sur mon visage.
J’aimais à la folie ce sentiment de soumission, que je connaissais pour la première fois de ma vie.
Une fois que son pénis fut en totale érection, je me suis mise à le mettre en bouche. Comme avec Nicolas, je bavais en abondance pour lubrifier son sexe et créer ces petits bruits que j’adore. Je sentais ses grandes mains attraper mes cheveux et lentement enfoncer sa queue dans ma bouche jusqu’à atteindre la base de ma gorge.
Mon entrainement avait porté ses fruits, ma glotte était moins sensible et il s’insérait avec assez peu de difficulté dans ma gorge. Il commençait à faire des vas et viens avec son bassin puis arrêta en retirant ma tête de son sexe en m’attrapant par les cheveux. j’avais les larmes aux yeux et de la salive coulait sur mon corps.
Il me leva et me plaqua contre le comptoir de la crêperie. Il enfila un préservatif qu’il gardait dans sa poche et m’ordonna de me cambrer et d’écarter les jambes. Je le sentais caresser mon vagin pour lubrifier mon anus. Je sentais son pouce dessiner doucement des cercles autour. En même temps je sentais son sexe me menacer au fur et a mesure qu’il le frottait contre ma vulve. Il s’approcha doucement de mon oreille pour me dire, sans émotions, “Tu es à moi Clarisse”. Il me donna une violente fessée et enfonça son sexe en moi.
Cela avait beau être ma première fois, mes expérience solitaires avaient eu raison de mon hymen, j’ai pu sentir son sexe s’enfoncer sans résistance au maximum possible, savourant chaque centimètres. A ce moment là je n’ai pas pu m’empêcher de pousser un gémissement docile. J’acceptais mon sort avec plaisir.
Ayant commencé doucement, ses mouvements de bassin furent de plus en plus violents, augmentant d’intensité en même temps que mon plaisir. Je sentais sa main droite prendre ma taille, sa main pouvant au moins en attraper la moitié, et sa main gauche saisir d’une poigne ferme mes cheveux qu’il tirait vers le bas. Il manipulait mon corps comme celui d’une marionnette, cambrée de toute part et dédié au seul plaisir.
Alors que le plaisir atteignait son apogée, il attrapa mon cou et de l’autre main il se mit a me masturber rapidement tout en continuant a me baiser violemment. Mes cris ont sans aucun doute atteint des gens en dehors de la piscine et savoir ça me plaisait. Mes jambes commencèrent à trembler et mon esprit se mit à partir alors qu’il tapotait ma vulve, un cri grave sorti du fond de ma gorge pendant que mes muscles arrêtaient de me répondre, je ne pensais pas pouvoir atteindre un orgasme aussi puissant.
Avant même que je m’écroule de plaisir et d’épuisement, frôlant la perte de connaissance, il me retourna et me plaqua contre le même comptoir, je ne tenais qu’a la force de mes avant-bras, le reste du corps se laissant emporter vers le sol.
Il retira son préservatif, se masturba quelques secondes et éjacula sur mon ventre.
Il me lava ensuite dans les douches de la piscine, il était tendre et moi brisée. Il m’avait dressée et allait en profiter tout le reste de l'été.
Depuis l’année d’avant, Fabien, le propriétaire de la crêperie de la piscine, m’employait officieusement à mi temps pour l’aider. C’était un homme d’une quarantaine d’années, sportif, qui me rappelait mon ancien professeur de sport. Il était taquin mais gentil et savait me motiver.
Cela faisait quelques années j'étais en crush sur son fils, Martin, le jeune homme mon âge qui collectionnait les filles de passage au camping. Il y avait de quoi : il était grand, beau, et son corps était sculpté par le football qu’il pratiquait au club de la ville.
Suite à mon expérience avec Nicolas, j’avais gagné en confiance et j’avais la ferme intention de coucher avec lui pendant ces vacances. J’ai donc décidé de le faire venir a moi.
Lorsque je terminais mon service à la crêperie et qu’il prenait ma place, j’avais pris pour habitude de me rendre à la piscine et de m’installer sur l’herbe pour bronzer. Quand je savais qu’il me regardait, je tentais de prendre des poses plus suggestives ou de détacher mon haut de maillot pour le faire reposer sur ma poitrine, je laissais volontairement en évidence le côté ou le dessous de mes seins visibles.
Cela à formidablement bien fonctionné, mais pas pour Martin. Je sentais les regards des hommes se poser sur moi. Je regardais discrètement, derrière mes lunettes de soleil, des pères de famille me dévorer du regard, ne laissant aucun doute sur ce qu’ils étaient en train de s’imaginer. J’adorais ça.
Je commençais à m’imaginer des scénarios, de plus en plus tordus, du voyeur au tripoteur. J’ai même imaginé qu’un homme me prenait ici, devant tout le monde.
Je faisais ça à chaque fois que j’étais du service le matin.
Un midi ou je me mettais en maillot de bain dans la réserve, Fabien s’est faufilé derrière moi et ma chuchoté à l’oreille d’une voix inhabituellement sérieuse : “Je savais pas que tu étais une petite joueuse. J’ai hâte de te revoir allongée sur ta serviette, surtout quand je peux voir ton magnifique petit cul bronzer.” tout en attrapant une de mes fesses presque nue dans sa main.
J’étais tétanisée, non pas par peur mais par surprise, surprise de l’effet que cela m’avait fait. J’étais bouillante de désir, je me sentais à la fois menacée et en sécurité. J’étais vulnérable, à moitié nue et extrêmement excitée.
Durant toute l’après midi, je reprenais mes escapades mentales, en me baignant dans les regards affamés des hommes de la piscine. Dès que je voyais le regard de Fabien se poser sur mon corps, mon cœur battait plus intensément. Je lui montrais tous ce qu’il souhaitait voir depuis son comptoir : mes fesses lorsque je me mettais à 4 pattes pour chercher un objet imaginaire dans mon sac, mon ventre, mes aisselles, et l’intérieur de mes cuisses. Je me sentais à la fois puissante, imaginant tous les pervers de la piscine se masturber au dessus de mon corps, mais je savais que je lui appartenais, et qu’il ferait tout ou tard ce qu’il veut de moi.
Le lendemain pendant le service de l’après-midi, le comportement de Fabien à mon égard avait un peu changé. Il voyait que ce qu’il avait fait la veille m’avait affecté. Il m’avait demandé de faire le service en maillot de bain et me caressait le ventre, me tenait par la taille ou la nuque pendant tout le service. J’ai été excitée toute l’après midi.
A la fin du service, après la fermeture de la piscine, il ne restait que nous deux dans l’établissement. Alors que j’allais me changer pour rentrer, j’entends un “Arrête toi”, ferme, derrière moi. Je savais ce qui allait se produire.
J’étais immobile, obéissante, fébrile. L’après midi à été une torture. Voir les clients me reluquer, Fabien me toucher si facilement. C’est un miracle si personne n’a vu l’intérieur de mes jambes mouillées de toute la journée.
Il me donna alors un second ordre, “déshabille toi”. Je me suis exécutée immédiatement puis quand cela fut fini il me donna un dernier ordre, “A genoux. Je veux que tu me suce.”.
J’ai posé un genou puis l’autre au sol, les cuisses écartées, le dos cambré et les mains assurant mon équilibre au sol. Il sortit alors son sexe de son short, une véritable queue de taureau, épaisse et intimidante. Elle n’était pas tout à fait dure mais elle était magnifique, elle tombait sous son propre poids et le gland dessinait une légère courbure vers le haut.
Sans le toucher, je le lèche du plat de la langue, plusieurs fois, du gland au pubis puis au fur et à mesure de l’érection je le léchais du bout de la langue, de la base de son sexe jusqu’au frein. Je le regardais de temps en temps dans les yeux, ces derniers me disaient “suce petite chienne”. La vue d’un de mes yeux était obstruée par son énorme sexe qui reposait sur mon visage.
J’aimais à la folie ce sentiment de soumission, que je connaissais pour la première fois de ma vie.
Une fois que son pénis fut en totale érection, je me suis mise à le mettre en bouche. Comme avec Nicolas, je bavais en abondance pour lubrifier son sexe et créer ces petits bruits que j’adore. Je sentais ses grandes mains attraper mes cheveux et lentement enfoncer sa queue dans ma bouche jusqu’à atteindre la base de ma gorge.
Mon entrainement avait porté ses fruits, ma glotte était moins sensible et il s’insérait avec assez peu de difficulté dans ma gorge. Il commençait à faire des vas et viens avec son bassin puis arrêta en retirant ma tête de son sexe en m’attrapant par les cheveux. j’avais les larmes aux yeux et de la salive coulait sur mon corps.
Il me leva et me plaqua contre le comptoir de la crêperie. Il enfila un préservatif qu’il gardait dans sa poche et m’ordonna de me cambrer et d’écarter les jambes. Je le sentais caresser mon vagin pour lubrifier mon anus. Je sentais son pouce dessiner doucement des cercles autour. En même temps je sentais son sexe me menacer au fur et a mesure qu’il le frottait contre ma vulve. Il s’approcha doucement de mon oreille pour me dire, sans émotions, “Tu es à moi Clarisse”. Il me donna une violente fessée et enfonça son sexe en moi.
Cela avait beau être ma première fois, mes expérience solitaires avaient eu raison de mon hymen, j’ai pu sentir son sexe s’enfoncer sans résistance au maximum possible, savourant chaque centimètres. A ce moment là je n’ai pas pu m’empêcher de pousser un gémissement docile. J’acceptais mon sort avec plaisir.
Ayant commencé doucement, ses mouvements de bassin furent de plus en plus violents, augmentant d’intensité en même temps que mon plaisir. Je sentais sa main droite prendre ma taille, sa main pouvant au moins en attraper la moitié, et sa main gauche saisir d’une poigne ferme mes cheveux qu’il tirait vers le bas. Il manipulait mon corps comme celui d’une marionnette, cambrée de toute part et dédié au seul plaisir.
Alors que le plaisir atteignait son apogée, il attrapa mon cou et de l’autre main il se mit a me masturber rapidement tout en continuant a me baiser violemment. Mes cris ont sans aucun doute atteint des gens en dehors de la piscine et savoir ça me plaisait. Mes jambes commencèrent à trembler et mon esprit se mit à partir alors qu’il tapotait ma vulve, un cri grave sorti du fond de ma gorge pendant que mes muscles arrêtaient de me répondre, je ne pensais pas pouvoir atteindre un orgasme aussi puissant.
Avant même que je m’écroule de plaisir et d’épuisement, frôlant la perte de connaissance, il me retourna et me plaqua contre le même comptoir, je ne tenais qu’a la force de mes avant-bras, le reste du corps se laissant emporter vers le sol.
Il retira son préservatif, se masturba quelques secondes et éjacula sur mon ventre.
Il me lava ensuite dans les douches de la piscine, il était tendre et moi brisée. Il m’avait dressée et allait en profiter tout le reste de l'été.
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Extrêmement excitant, on aimerait juste que ce soit plus long et développé
Formidable histoire ! Bien écrite
Elle m’a donné une trique d’enfer ( et une super branlee)
Mathieu du 74
Elle m’a donné une trique d’enfer ( et une super branlee)
Mathieu du 74
Écriture dynamique et agréable, j'aime beaucoup.
Très jolie histoire bien écrite Elle ma donnéune trique d’enfer Merci ❤️
Matthieu
Matthieu
Superbe lecture, on s’y croirait ! Le Fabien de l’histoire a du passer un bel été ;)
Récit très excitant!
Extra