Mon mari cocu : les tout débuts - histoire érotique

Préambule: Nous avons déjà posté ce récit sur un site; il y a longtemps; mais il est bien de nous.

Je suis mariée depuis 1993 et heureuse de l'être. J'ai 42 ans. J'étais vierge ( eh oui à 23 ans!!) lorsque je me suis mariée.
J'ai cependant vécu, avant celà, des rencontres au sortir de discothèque; j'ai pratiqué la masturbation et la fellation ( à fond), mais , curieusement jamais de pénétration.
Je n'y pensais pas et mes partenaires non plus, trop heureux sans doute de se déverser dans ma bouche..
Pendant 5 ans, nous avons mené une vie de couple ordinaire et sexuellement satisfaisante.
Au fil du temps, entre un repas bien arrosé et quelques DVD ou au hasard d’un forum,nous avons découverts d’autres pratiques sexuelles entre couples. Nous nous sommes avoués quelques fantasmes: triolisme avec un homme, soumission soft (pour moi) cocufiage et humiliation pour lui.
Nous avons réalisé ces fantasmes à partir de 1999 et nous en sommes ravis. Notre amour s'est encore accru.
Mon mari s'est découvert,à mon grand bonheur, des envies d'humiliations verbales et ,j'ai pu donner libre cours à mes envies sexuelles .
Notre tournant a été une visite en Hollande dans un sex-shop où nous avons acheté un gode-ceinture. En effet, mon cher époux avait comme fantasme réalisable de se faire sodomiser ( je n'emploie plus ce terme-là, nous continuerons donc par enculer) par moi.

Sitôt rentrés, Noël a commencé par m’embrasser tout en me pelotant. Il m’a doigtée, m’a prise debout, m’a retournée et m’a reprise, mes mains appuyées sur le mur. Sous la violence de l'étreinte, j’ai joui en trois minutes ( véridique !) en proférant des obscénités du style « bourre-moi avec ta grosse bite ». Un vrai régal, il n’avait jamais pris autant d’initative depuis notre mariage (c’est vous dire).
Endurant, il s’est retiré en me lançant :
- Je vais aller faire ma toilette intime et me raser les fesses. France ,STP, on pourrait essayer le gode tout de suite ? Dis oui mon amour .
Et moi de répondre ( en jouant le jeu) :
- Demande ça mieux que ça ; à genoux devant moi et répète poliment !
Il s’est mis à genoux et, à mon grand étonnement, a fait exactement ce que je lui ai demandé.
- Très bien, n’oublie pas de descendre avec du gel. A propos,quand tu redescendras, tu m’appellera Marc. Avec le gode je serai toujours Marc, compris ? Allez et reviens vite !
J’ai déballé le gode, l’ai lavé et je me suis harnachée. Il était magnifique, veiné et assez long, pas trop épais, vraiment fait pour enculer. A l’époque, j’étais encore poilue et les lanières disparaissaient dans ma toison. Je suis allée chercher son peignoir de bain dans la chambre ;en passant devant la salle de bain,j’ai dit :

- Noël avant de descendre,mets une de mes nuisettes,stp.

- D’accord Marc,j’arrive dans 5 minutes.
Je me suis servie un alcool fort pour me désinhiber un peu (ben oui c’était quand même la première fois que nous allions si loin dans l’exécution de nos fantasmes).
Il est descendu en nuisette noire transparente, son sexe à la perpendiculaire qui lui donnait un air incongru. J’ai réussi à ne pas éclater de rire et le plus sérieusement réussis à articuler :
- suce-moi, j’en ai envie ; montre-moi de quoi tu es capable.
Il s’est agenouillé; il s’était mis du rouge à lèvres. Etonnant. Il a défait la ceinture du peignoir et a contemplé le sexe entre mes jambes, d’un air de convoitise : impressionnant.

Ni une, ni deux il se l’est engouffré dans la bouche et a commencé à sucer comme une vrai pro de la pipe. Je donnais de petites saccades mimant la pénétration. Au bout de quelques minutes je lui ai dit de se mettre en position,à quatre pattes. J’ai enduit sa rosette de gel en introduisant un doigt puis deux pour l’assouplir.
- De quoi as-tu envie maintenant , dis-moi.
-Je veux que tu m’encules, Marc stp .
Je me suis présentée devant son œillet et j’ai dirigé le gode vers son anus. J’ai poussé et c’est sans efforts qu’il est rentré. Sensation extraordinaire, je me prenais au jeu. J’ai tout rentré jusqu’à la garde. Après une petite pause,j’ai commencé un va et vient ( sans beaucoup d’expérience à l’époque).

Je lui tenais les hanches comme un homme fait et je le défonçais de plus en plus vite. J’ai passé une main vers son sexe et là j’ai constaté que cela lui faisait bcp de bien : il bandait comme un âne.Je l’ai branlé et après quelques minutes il a joui comme jamais en criant :

- Merci Marc, tu es bon tu es gros.
Voilà comment a commencé notre première étape vers son cocufiage.