Mon mari - mon Amant et Moi - Suite
Récit érotique écrit par Goddess [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-01-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mon mari - mon Amant et Moi - Suite
SURPRISE PAR MES VOISINS
Comme chaque Samedi - je due aller faire des courses et malgré mon odeur de petite fille négligée - je me suis habillée d’une petite jupe portefeuille et d’un chemisier blanc - J’ai donc laissé Sylvain et Alain à leur occupation pendant mes courses - la journée se passa tendrement par de petites caresses en passant - des bisous coquins - des attouchements intimes - L’après-midi - nous permis de nous promener en visitant les environs - et 17H00 arriva très vite
Nous étions sur la terrasse quand arriva Mon Amie Françoise pour prendre l’apéritif. Nous avons fait les présentations entre Elle et Sylvain - Nous avons pu constater que le courant passait très bien entre eux deux. Elle était très belle avec ses petits souliers et sa petite robe à fleurs.
La conversation portant sur tout et rien - jusqu’à que Françoise et Moi avons dû aller dans la cuisine pour renouveler les petits gâteaux et les toasts. Ensemble et en toute "confidence". je lui aie - sans aucune honte - racontée nos frasques de la veille et la demande de mes deux Hommes concernant ma lingerie intime. Elle trouva mon histoire amusante et je voyais bien son trouble. Je pouvais deviner sans peine son excitation.
La fraîcheur venant - nous sommes rentrés dans le salon - et Sylvain et Alain prirent les fauteuils faisant face au canapé que nous nous sommes attribuées avec Françoise et moi
La discussion repris et Françoise - comme à son habitude - mit les pieds dans le plat en leur disant qu’ils étaient des petits cochons de m’avoir fait garder mon petit slip - et enchaîna sur quelques confessions intimes qui mit tout le monde dans un état d’intense excitation.
Après quelques verres d'apéro - Françoise et Moi nous nous sommes rapprochées pour nous embrasser. Nos mains ont commencées à nous parcourir dessus et dessous nos vêtements qui n'ont pas résister à la fureur de notre désirs.
Françoise était nue sur le canapé, un bras cachant son visage derrière son avant-bras - réflexe de honte ou de plaisir et moi - nue aussi à part ma petite culotte transparente par son humidité - à 4 pattes - le dos creusé, les jambes et les fesses écartées vu la hauteur du canapé - m'offrant encore plus ouverte à la vue d'Alain et de Sylvain assis dans les fauteuils
Ma bouche plaquée entre les cuisses relevées sur son ventre de Françoise qui projette son bassin sur mon visage en gémissant - je lui dévore autant le sexe d'ou je lèche la cyprine qui s'échappe - que son petit trou en une fleur de rose intense - Nos sexes étaient trempés de désir autant à l'une et qu'autre. Je sentis une douce chaleur glisser en moi. Elle gémit de plaisir intense
Ses mains se posèrent sur ses seins pour les malaxer puis elle joua avec ses tétons. Quel torrent de plaisir en Elle. Alain et Sylvain se masturbaient en nous regardant - nous devions offrir une belle scène "hard" car d'ou ils étaient placés - ils ne pouvaient rien manquer du spectacle que nous leurs offrions sans savoir que.....
A un moment - J'ai ressentie comme un frisson le long de la colonne vertébrale - j'ai tournée la tête - et j'ai vu dans la cuisine - le couple de mes voisins venus nous apporter des légumes qui me regardait avec un regard curieux.
Leurs yeux sont écarquillés - là - moi - en levrette - les seins tombant - une main passée en arrière entre mes jambes cajolant mon clitoris et écartant mes lèvres pendantes et gonflées de désir pour offrir une vue encore plus sexuellement impudique à mes Hommes - la bouche entre les cuisses de ma Chérie de Françoise - ma langue pointée comme un petit sexe dans sa rosette dorée
Je ne savais pas depuis combien de temps ils étaient là - j'ai ressentie de la honte lorsque mon regard croisa le leur - mais pourtant je n'aie pas arrêté et j'ai replongée ma bouche dans l'antre de mon amante.
Étais-ce un fantasme? - mais je voulais qu'il me voient - qu'ils me scrutent - qu'ils me regardent manger l’entrejambe de Françoise. Une force intérieure me poussait à continuer à déguster son sexe, à lui dévorer le cul. Une force traduite par une énorme excitation . C'était fort et troublant à la fois. Dans ma tête se bousculaient tout un ensemble de pensées et des frissons qui me parcouraient les membres.
Est-ce le fait de les savoir - là - entrain de me regarder - mais j'ai mis une ardeur supplémentaire à la déguster. Françoise - les yeux fermés et Alain et Sylvain - tellement absorbés par cette vue - que personne n'avait fait attention à eux. Jetant des coups d'oeil - ils étaient toujours là - ils avaient une vue parfaite de Moi et de Françoise et surtout de ma langue entrant et sortant d'entre ses fesses.
J'avais des frissons de honte de cette exhibe involontaire mais j'étais tellement excitée par le goût et l'odeur du sexe de Françoise que j'ai jouie plus que d'habitude. Je sentais ma mouille couler entre mes jambes. Je ne pensais pas aux conséquences mais seulement au désir qui montait lentement en moi et qui déjà me submergeait physiquement.
A un moment - quand ? - ils n'étaient plus là.
Je savais que je les verrais dans la semaine et je ne savais pas comment je devais réagir - Il faut dire qu'ils ont plus de 70 ans.
Le lendemain - nous nous sommes salués comme d'habitude et ils sont toujours aussi gentils - avec un petit plus - Nous mangeons beaucoup plus de légumes qu'avant.
Comme chaque Samedi - je due aller faire des courses et malgré mon odeur de petite fille négligée - je me suis habillée d’une petite jupe portefeuille et d’un chemisier blanc - J’ai donc laissé Sylvain et Alain à leur occupation pendant mes courses - la journée se passa tendrement par de petites caresses en passant - des bisous coquins - des attouchements intimes - L’après-midi - nous permis de nous promener en visitant les environs - et 17H00 arriva très vite
Nous étions sur la terrasse quand arriva Mon Amie Françoise pour prendre l’apéritif. Nous avons fait les présentations entre Elle et Sylvain - Nous avons pu constater que le courant passait très bien entre eux deux. Elle était très belle avec ses petits souliers et sa petite robe à fleurs.
La conversation portant sur tout et rien - jusqu’à que Françoise et Moi avons dû aller dans la cuisine pour renouveler les petits gâteaux et les toasts. Ensemble et en toute "confidence". je lui aie - sans aucune honte - racontée nos frasques de la veille et la demande de mes deux Hommes concernant ma lingerie intime. Elle trouva mon histoire amusante et je voyais bien son trouble. Je pouvais deviner sans peine son excitation.
La fraîcheur venant - nous sommes rentrés dans le salon - et Sylvain et Alain prirent les fauteuils faisant face au canapé que nous nous sommes attribuées avec Françoise et moi
La discussion repris et Françoise - comme à son habitude - mit les pieds dans le plat en leur disant qu’ils étaient des petits cochons de m’avoir fait garder mon petit slip - et enchaîna sur quelques confessions intimes qui mit tout le monde dans un état d’intense excitation.
Après quelques verres d'apéro - Françoise et Moi nous nous sommes rapprochées pour nous embrasser. Nos mains ont commencées à nous parcourir dessus et dessous nos vêtements qui n'ont pas résister à la fureur de notre désirs.
Françoise était nue sur le canapé, un bras cachant son visage derrière son avant-bras - réflexe de honte ou de plaisir et moi - nue aussi à part ma petite culotte transparente par son humidité - à 4 pattes - le dos creusé, les jambes et les fesses écartées vu la hauteur du canapé - m'offrant encore plus ouverte à la vue d'Alain et de Sylvain assis dans les fauteuils
Ma bouche plaquée entre les cuisses relevées sur son ventre de Françoise qui projette son bassin sur mon visage en gémissant - je lui dévore autant le sexe d'ou je lèche la cyprine qui s'échappe - que son petit trou en une fleur de rose intense - Nos sexes étaient trempés de désir autant à l'une et qu'autre. Je sentis une douce chaleur glisser en moi. Elle gémit de plaisir intense
Ses mains se posèrent sur ses seins pour les malaxer puis elle joua avec ses tétons. Quel torrent de plaisir en Elle. Alain et Sylvain se masturbaient en nous regardant - nous devions offrir une belle scène "hard" car d'ou ils étaient placés - ils ne pouvaient rien manquer du spectacle que nous leurs offrions sans savoir que.....
A un moment - J'ai ressentie comme un frisson le long de la colonne vertébrale - j'ai tournée la tête - et j'ai vu dans la cuisine - le couple de mes voisins venus nous apporter des légumes qui me regardait avec un regard curieux.
Leurs yeux sont écarquillés - là - moi - en levrette - les seins tombant - une main passée en arrière entre mes jambes cajolant mon clitoris et écartant mes lèvres pendantes et gonflées de désir pour offrir une vue encore plus sexuellement impudique à mes Hommes - la bouche entre les cuisses de ma Chérie de Françoise - ma langue pointée comme un petit sexe dans sa rosette dorée
Je ne savais pas depuis combien de temps ils étaient là - j'ai ressentie de la honte lorsque mon regard croisa le leur - mais pourtant je n'aie pas arrêté et j'ai replongée ma bouche dans l'antre de mon amante.
Étais-ce un fantasme? - mais je voulais qu'il me voient - qu'ils me scrutent - qu'ils me regardent manger l’entrejambe de Françoise. Une force intérieure me poussait à continuer à déguster son sexe, à lui dévorer le cul. Une force traduite par une énorme excitation . C'était fort et troublant à la fois. Dans ma tête se bousculaient tout un ensemble de pensées et des frissons qui me parcouraient les membres.
Est-ce le fait de les savoir - là - entrain de me regarder - mais j'ai mis une ardeur supplémentaire à la déguster. Françoise - les yeux fermés et Alain et Sylvain - tellement absorbés par cette vue - que personne n'avait fait attention à eux. Jetant des coups d'oeil - ils étaient toujours là - ils avaient une vue parfaite de Moi et de Françoise et surtout de ma langue entrant et sortant d'entre ses fesses.
J'avais des frissons de honte de cette exhibe involontaire mais j'étais tellement excitée par le goût et l'odeur du sexe de Françoise que j'ai jouie plus que d'habitude. Je sentais ma mouille couler entre mes jambes. Je ne pensais pas aux conséquences mais seulement au désir qui montait lentement en moi et qui déjà me submergeait physiquement.
A un moment - quand ? - ils n'étaient plus là.
Je savais que je les verrais dans la semaine et je ne savais pas comment je devais réagir - Il faut dire qu'ils ont plus de 70 ans.
Le lendemain - nous nous sommes salués comme d'habitude et ils sont toujours aussi gentils - avec un petit plus - Nous mangeons beaucoup plus de légumes qu'avant.
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