MON MARI - UN AMI ET MOI - histoire érotique

Nous recevions Rémy un vieil ami de longue date.

Ce soir là. Je portais un chemisier blanc boutonné et une petite jupe portefeuille noire, ample et courte. En guise de sous-vêtement, j'avais un soutien gorge corbeille en dentelle blanche et un slip assorti en broderie, des bas auto fixant semi opaque.

N'étant pas particulièrement pudique. J'offre, très régulièrement, des visions parfaites de mon entrejambe à la vue des personnes qui se trouvent face à moi par mes postures volontairement désinvoltes au goût de mes amies un peu plus "coincées"

Je suis toujours très excitée lorsque j’entends le commentaire des hommes sur les femmes lorsqu’ils tentent de deviner le physique au travers des vêtements.

Des conversations chuchotées, des paroles entendues décrivant le corps féminin, me font mouiller à chaque fois.

Mon Mari Alain et notre Ami Rémy étant assis dans le canapé - j'avais pour ma part - pris place dans le fauteuil leur faisant face.

Assise et de fil en aiguille et du pourquoi au comment, l'alcool sûrement. Mais je me suis légèrement avancée sur le fauteuil et je me suis mise à décroiser totalement les jambes afin d'offrir le triangle de mes cuisses. J'offrais ainsi une vision impudique de mon entrejambe et de ma petite culotte blanche tachée de ma stimulation à Remy

J’en devenais toute haletante, excitée et ma culotte se mouillait de plus en plus vite.

J’éprouvais le besoin d’écarter encore un peu plus les cuisses, histoire de refroidir cette chaleur moite et malsaine qui montaient de mon intimité. Mes cuisses s’en trouvèrent plus ouvertes encore.

Avec l'éclairage. Mon petit slip blanc était un phare attirant les regards. Pas une personne se trouvant face à moi ne pouvait ne pas voir la traînée qui indiquait mon excitation.

La discussion prit, à ce moment précis, un tour totalement inattendu. Alain et Rémy se mirent à parler "cul" en des propos vraiment explicites.

J'entrais dans un second monde.

Je me retrouvais donc être la seule femme dans le salon avec 2 Hommes, dont le regard était portés sur moi et sur le spectacle que je leur offrais. Le pire, dans cette situation, c'est que j'aimais cela.

J'étais matée, scrutée, désirée par 2 garçons et en retour j'aimais m'exhiber afin de faire monter la pression. Je voulais en faire plus, en faire voir beaucoup plus.

Je sentis le plaisir monter en moi et je savais que j'allais participer à la réalisation d'un fantasme qui me tenait à cœur depuis mon adolescence. Faire l'amour avec plusieurs partenaires. Mais avant cela. il me fallait aller plus loin qu'un simple plan "cul" . Mon désir, à ce point précis, était indomptable et incontrôlable.

Je voulais montrer les endroits les plus intimes de mon corps dans des positions honteuses, m'offrir totalement, qu'ils me regardent me mettre dans une situation honteuse.

Décidée. Je pris la décision de déboutonner un à un les boutons de mon chemisier. Une fois ouvert. Je passe mes mains dans le dos afin de dégrafer mon soutien gorge, je l'enlève prestement.

Le Déclic…..

Les 2 Garçons bloquent sur la vue de ma poitrine mise à nue et ils se décrochent la mâchoire tant mon effet est réussi

Je commence par m’occuper de ma poitrine. Je mouille mon doigt et je me caresse les tétons qui se mettent à pointer fièrement. Un peu gênée au départ, je commence à prendre du plaisir, de toute façon, je ne peux pas revenir en arrière. Je soulève mes seins et les suce à pleine bouche.

Mes compères de mon exhibition ne perdent pas une miette. Ils en restent sans voix en attendant sûrement la suite du programme.

Je mets les pieds sur les accoudoirs. J’ai l’impression d’être une actrice porno et le pire, c’est que cela me plait et m'excite encore plus.

Mes voyeurs peuvent considérer l’état d’excitation dans lequel je suis car mon sexe est largement ouvert et mon clitoris bien gonflé sous mon slip.

J’aime sentir monter l’adrénaline entre mes reins. Et là, j’étais en transe prête à pousser encore plus loin mon exhibition devant mes voyeurs, prête à dévoiler mon corps et même me masturber devant mon public.

C’est ainsi que j’ai eue mon premier orgasme. J’ai senti monter un désir imparable qui m’a emporté comme une vague. J’ai mordu mes lèvres, j’ai sursauté dans le fauteuil en poussant une longue plainte tout en écartant bien les cuisses et sans pouvoir empêcher ma main libre de s’aventurer sous mon slip pour masser doucement ma fente.

Je quitte quelques secondes ma position pour attraper mon sac à main. Je sors, de celui-ci, un double gong tout neuf que je m’introduis entre mes lèvres après avoir mis mon petit slip sur le coté. Je m’enfonce l’autre partie dans l’anus, ce qui me fait jouir mais je continue les allers retours dans mes deux orifices.

Je joue avec mon jouet pendant un long moment en regardant les 2 garçons dans les yeux. J’aime voir leurs regards sur mes seins et mes cuisses impudiquement ouvertes et offertes.

Enlevant mon jouet. Je me lève lentement et tout en les regardant dans les yeux. Je me défais de ma jupe et je me retrouve en petite culotte devant eux.

Rémy, me fit un compliment qui me fit revivre en quelques secondes cette soirée. Il me précisa que j'étais extraordinairement belle à la lueur de cette lumière en ne portant que ma culotte d'une minceur provocante.

Mes 2 compères se lèvent pour venir vers moi. Mais je le repousse dans le canapé car j’avais encore envie de me montrer plus « salope ».

Je descends doucement mon petit slip que je porte à mon nez afin de sentir mes effluves de femme excitée. Je l’ai jetée vers mes voyeurs afin qu’il puisse en profiter.

Maintenant, je suis debout dans le salon. Ils sont assis dans le canapé. Ils tiennent un verre de whisky la main. J’ai un peu honte de me trouver exhibée en tenue d’Ève devant Rémy qui n'était à cette époque qu'un simple Ami mais il faut dire aussi que je me sens assez excitée pour poursuivre ma prestation.

Ayant compris que je leur demandais d’être, pour l'instant, des voyeurs passifs. Aucun d’eux ne bougea, me regardant, moi et les recoins de mon intimité.

Je suis montée sur la table basse et je me mis en levrette en leur tournant le dos pour offrir la vision inconvenante de mes fesses à mon public très intéressé.

En m'offrant ainsi, nue, à quatre pattes n'était nullement dans l'attente immédiate d'une relation sexuelle. Mais tout simplement, j'offrais la vision de mon sexe possédant une petite toison pubienne bien taillée au-dessus d’un sexe intégralement épilé et de mon anus ouvert à la vue de mes 2 garçons encore totalement habillés. Je tendais mes fesses en arrière afin qu'ils puissent m'admirer et me désirer encore plus. Avec mes deux mains. J’écartais mes fesses afin de m’ouvrir encore plus.

En état second. J'adorais cette position particulièrement choquante et indécente. J'offrais mon intimité entière et sans pudeur.

Dans cette situation. Je ne pouvais voir ce que faisaient mes voyeurs. Alors, j’ai passée ma main entre mes cuisses et j’ai commencé à me caresser le sexe passant largement entre mes fesses pour satisfaire mon petit trou.

Je suis donc à 4 pattes sur une table basse, le cul en l’air en train de me caresser la chatte et le cul et pourtant je n’entendais toujours rien.

Puis, un souffle sur mon sexe, un léger parfum, une brise. J’en ai fermée les yeux de plaisir.
Une langue vint se poser entre mes fesses et me prodigua une légère pression sur mon anus - zone érogène que j’affectionne particulièrement.

Je sens ce léger frisson qui remonte le long de la colonne vertébral. Je frissonne mais je me laisse faire.

L’humidité des deux lèvres se posent, m’effleure, me câline, me lèche. Je ne sais pas qui de mes deux voyeurs a prit l’initiative, mais à ce stade d’exhibition et de plaisir, je ne m’en préoccupe pas.

Je me cambre encore plus pour m’ouvrir à ces lèvres. J’imagine la vision que j’offre.
Je suis prête à jouir.

Délicatement. je sentis un froissement derrière moi. Je ne bouge pas, j'attends.

Doucement, une personne me mit un bandeau de soie sur les yeux. Il était plus là pour le symbole que pour vraiment me cacher la vue. Mais, je respecte ce fait et ne cherche pas à l'enlever ni à chercher à regarder pas dessus ou dessous. J'accepte le fait d'être "aveugle" et cela m'excita encore plus.

Je ne pouvais plus bouger de ma position. J'offrais mon corps outrageusement impudique à tous les caprices qui pourraient venir.

J'ai sentie quelqu'un se rapprocher. Il a glissé sa tête dans mon cou pour me sentir de plus près. Le fait d'avoir son nez au creux de mon cou m'a mis des tremblements partout. De plus, il sentait particulièrement bon avec son parfum qui dégageait une note douce et sensuelle.

4 mains m’amenèrent dans notre chambre à coucher - elle porte bien son nom - et m’allongèrent sur le lit. Ils m'ont touchés - caressés - mangés - dévorés - pas une parcelle de mon corps fut épargnées. J'ai joui plusieurs fois avec passion et amour.

Rémy se mit à coté de moi sur le lit - et irrésistiblement - je me suis mis à le chevaucher pour sentir son sexe en moi que je voulais à grands cris. Cela dura un long moment pendant lequel Alain prit cette petite vidéo avec son téléphone portable. Néanmoins, et ce qui n'est pas sur ce petit film - est le fait qu'après avoir posé son téléphone - il me prit, pendant que Rémy m'offrait son sexe, en une sodomie que j'adore, très profonde.

La nuit ne fut qu'une succession d'actes aussi sensuels que sexuels Je n'ai pas pu voir à quel moment je me suis endormie

A mon réveil le lendemain matin. J’étais seule dans notre grand lit. Je me suis levée doucement et en me dirigeant vers la cuisine pour me faire un café. J'ai retrouvée mes Habits bien rangés sur le canapé avec sur le dessus - ma petite culotte et un petit mot. Celui-ci me disait en substance - Merci pour cette soirée aussi onctueuse que le goût de tes charmes dans le fond de ta petite culotte portant l'ensemble de tes odeurs de Femme. Rémy.

J'ai porté ma petite culotte à mes narines me rappelant nos frasques passées. Pourquoi mes gestes me poussèrent faire à cela - mais étant nue - j'ai remis mon slip "sale" et je me suis sentie bien et légèrement excitée. Cette nuit là - j'avais été "baisée" - "sodomisée" - exhibée et caressée. Je sentais encore l'odeur du sexe en Moi et sur Moi.

Quelques minutes plus tard - Alain est revenu avec les petits pains au chocolat. Il me trouva sur le canapé la main entre les jambes.

Il n'était pas arrivé à ma hauteur que je l'avais déjà empoigné par les hanches afin de lui enlever son pantalon pour m'enfourner son sexe dans la bouche Il me rappela qu'il n'avait pas pris de douche - et que Moi non plus - et qu'il "sentait" un peu le fauve - mais j'en avais rien à faire -

Je le voulais dans ma bouche et je voulais sentir ses lèvres entre mes jambes. je lui offris ma bouche et mon entre cuisse recouverte par ce petit slip qui m'avait si mal caché la veille en plus de mes odeurs, les siennes et de celle de Rémy à l'entrée de l'ensemble de mes orifices.
Rien qu'à penser à sa bouche et la chaleur de son haleine m'excite encore aujourd'hui.