Mon mari voulait que je baise avec son meilleur ami. - histoire érotique

Je n’avais jamais imaginé que ma vie prendrai une telle tournure.
Je m’appelle Sandrine, très belle femme de trente quatre ans, mariée à Thomas depuis huit ans. Nôtre relation a toujours était solide, du moins, c’est ce que je croyais. Comme dans tous les mariages, il y avait des haut et des bas, mais nous avons toujours réussi à surmonter nos épreuves ensemble.
Un jour, Thomas, mon mari, m'a fait une demande qui a tout bouleversé. Nous étions sur le canapé, nous remettant d’une torride relation, quand il a commencé à parler d’un de ses fantasmes. Quelque chose que je n'avais jamais entendu de lui auparavant. Il voulait que je couche avec son meilleur ami, Julien.
Au début, je pensais que c'était une plaisanterie, quelque chose de fou, qui sortirait de n'importe quelle conversation sans lendemain. Mais il était sérieux. Plus je l'écoutais plus je réalisais qu'il avait vraiment envie de me voir dans les bras de Julien. Je ne savais quoi penser. Je connaissais Julien depuis des années, un garçon très séduisant, considéré comme de la famille, mais de là à imaginer une telle situation.
Jamais je n’aurai cru que Thomas pourrai désiré quelque chose d’aussi étrange.
Pourtant, l’idée a commencé à germer en moi, lentement, dangereusement. Après cette conversation étrange, je n'arrivais plus à dormir. L'idée que Thomas puisse avoir ce genre de désir me hantait. Pourquoi voulait-il que je sois avec un autre homme, et surtout pourquoi avec Julien, son meilleur ami. Je pensais que c'était peut-être une phase, une sorte de fantasme inoffensif qui finirait par passer, mais au fond de moi, je savais que ce n'était pas si simple.
Les jours suivant, Thomas a continué à revenir subtilement sur le sujet. Lorsqu’on faisait l’amour, il me demandait si j’avais déjà pensé à quelqu’un d’autre, si Julien me paraissait plaisant. A chaque fois,je répondais non, espérant que mes réponses suffiraient à faire taire ses interrogations. Mais au lieu de cela, il semblait devenir de plus en plus obsédé par cette idée. Un soir, après une soirée entre amis, alors que nous étions au lit, Thomas a commencé à parler plus ouvertement. Il m’a confié qu’il trouvait très excitant de m’imaginer avec un autre homme, et surtout avec Julien. Il m’a expliqué que ce fantasme le hantait depuis longtemps, mais qu’il n’avait jamais osé m’en parler, par peur de ma réaction. Il pensait que cela pourrait renforcer nôtre relation, qu’en franchissant cette ligne, nous serions plus connectés, plus complices.
Je ne comprenais pas. Comment coucher avec son meilleur ami pourrai améliorer nôtre mariage. Mon esprit était embrouillé de questions. Thomas ne m’aimait-il plus comme avant ? Était il lassé de moi, essayait-il de vivre à travers moi quelque chose sans avoir le courage de le faire lui même. Je me suis surprise de regarder Julien différemment après cette confession. C’était étrange, presque perturbant. Il était toujours là, souriant, mais désormais, je ne pouvais m’empêcher de me demander à quoi il ressemblerait dans une situation intime. Cela ma mettait mal à l’aise, en même temps une curiosité s’installait en moi. Thomas ressentait-il ce mélange de désir, d’interdit. Nous avons revu Julien plusieurs fois après cette révélation. Chaque fois, Thomas lançait des regards complices, des sous entendus. Je ne pouvais plus être naturelle avec Julien.
Lors d’un dîner à la maison, je me suis surprise à me demander à ce que Thomas pensait en nous regardant. Nous imaginait-il déjà en train de faire l’amour, s’imaginait-il à ce que j’accepte sa proposition de me voir empalée la queue de Julien. Alors que les deux amis était en grande conversation, une lueur malicieuse traversa mon esprit, je m’imaginais au lit avec Julien.
« A peine avions-nous franchi la porte de la chambre, que nos lèvres se rencontrèrent dans un baiser passionné, tout le désir refoulé se précipitant d'un seul coup. Les mains de Julien étaient partout, arrachant mes vêtements, tandis que l’une d'elle me poussait vers la chambre. J'étais tout aussi impatiente, ses doigt zippant la fermeture éclair de ma robe. Nous tombâmes sur le lit dans un enchevêtrement de membre, nos baisers s'intensifiant de seconde en seconde. Cette fois il n'y avait pas besoin d'hésitation, pas de cadre pour nous retenir. Nous avons explorer nos corps respectifs avec abandon. Chaque contact, chaque caresse envoyaient des vagues de plaisir à travers nous. Il déposé des baisés dans mon cou, se délectant des doux sons de plaisir que j’émettais. Quand sa bouche descendit, je me cambrais, mes doigts s’emmêlant dans ses cheveux.
- S'il te plaît, ai-je haleté la voix chargée d'envie.
J'étais heureuse quand sa langue explora les zones dites sensibles. Mes gémissements s'amplifiaient, mon corps se tordait, tandis qu’il m'emmenait plus près de l'orgasme. Lorsque nous avons enfin joui, c'était le plus beau spectacle que je n'ai jamais vu.
- C’est à mon tour, dis-je avec un sourire malicieux, prenant sa queue en bouche.
Ce qui suivit fut une nuit de passion comme je n’en avais jamais connu. Nous nous sommes donné du plaisir, explorant chaque centimètre de peau, trouvant tous les endroits qui nous faisaient haleter et gémir de plaisir. C’était intense, intime, c’était tout ce dont je rêvais depuis ce jour ou Thomas m’avais parlé de son fantasme. Alors que nous étions allongés l’un contre l’autre, essoufflés et rassasiés, j’ai ressenti un contentement que je n’avais pas connu depuis longtemps. Ma tête reposait sur la poitrine de Julien, ma main emprisonnant sa queue, tandis que ses doigts traçaient des motifs sur mon fin duvet. Cette nuit là, je lui ais offert tous les interdits. C’était incroyable, époustouflant. »
C’est un éclat de rire qui me tira de mes pensées, ternissant ainsi la fin de mon rêve. Je parvenais malgré tout, à reprendre le fils de la discussion.
Puis il y eu cette soirée qui a tout changé. Nous étions invités chez Julien à l'occasion d'un barbecue. Toit semblait normal. Julien était de bonne humeur, comme toujours, et Thomas n’arrêtait pas de plaisanter. Mais à mesure que la soirée avançait, une tension imperceptible s’installait. Il y avait un non dit entre nous, un jeu auquel je n’étais pas sûre de vouloir participer. A un moment donné, Thomas est allé chercher des boissons, me laissant seule avec Julien.
Nous avons commencé à discuter comme à notre habitude, mais je sentais que son regard sur moi avait changé. C'est alors que j'ai compris. Thomas lui avait parlé, Julien savait, c'était visible dans ses yeux, dans son sourire, comme s'il attendait que je fasse le premier pas. Je me sentais piégée entre le désir de plaire à Thomas, et cette curiosité grandissante envers Julien. J'avais peur de ce que cela pourrait signifier pour notre mariage, peur ce que cela ferait de moi, mais une partie de moi, se demandait aussi ce qui se passerait si je disais oui. A cet instant précis, je ne savais plus ce que je voulais.
La seule certitude que j'avais, c'était que ma vie ne serait plus jamais la même.
Les jours qui suivirent ce barbecue chez Julien, furent empreint d'une tension palpable.
Mon esprit était un champ de bataille oscillant entre la curiosité et la culpabilité. Chaque fois que je croisais le regard de Thomas, je me remémorai sa confession et l'obsession qu'il semblait avoir pour cette idée. Était-ce vraiment ce que je voulais, étais-je prête à franchir cette ligne. Je commençais à m'isoler dans mes pensées, à me demander si je ne devenais pas la marionnette de mes propres désirs, manipulée par les fantasmes de Thomas. J'avais toujours considéré mon mariage comme solide, basé sur la confiance et l'amour, mais maintenant je me demandais si ce que Thomas proposait ne risquait pas de le détruire. Comment pouvais-je envisager de coucher avec Julien, l'un de ses plus proches amis. Cela ne serait-il pas une trahison.
Il y avait une partie de moi qui était excité à l'idée de vivre quelque chose d'inconnu, quelque chose de risqué. Chaque fois que je pensais à Julien, je ressentais un frisson, je me surprenais à imaginer ce que cela ferait de l'embrasser, de toucher sa peau, de sentir sa queue en moi, me laisser aller à des désirs enfouis. Mais tout cela était-il suffisant pour justifié le fait de mettre en péril ma relation avec Thomas.
Quand nous rentrions à la maison, nous faisions l’amour une partie de la nuit. Je me suis offerte comme jamais à Thomas. C’était intense, passionné, mais la vision de Julien rôdait dans la chambre. Malgré tout, nous parvenions à jouir, ensemble.
Chaque réunion avec Julien et Thomas, je devenais de plus en plus nerveuse. La tension était telle que je m'enfermais dans un silence, évitant de croiser le regard de Julien, me demandant s'il pouvait lire en moi, s'il savait ce que je ressentais.
Il y a eu un moment où Thomas m'a surprise à le fixer, perdu dans mes pensées. Il a ri et a plaisanté, disant que j'avais l'air de rêvasser à quelque chose de secret. J'ai ri, mais mon cœur battait la chamade. Que se passerait-il si je lui avouais ce que je ressens. Je savais que cette révélation pourrait détruire notre mariage, mais en même temps, ne pouvait-elle pas également ouvrir la porte à une nouvelle dimension de notre relation.
Les semaines passèrent et j'étais de plus en plus tiraillée.
Une nuit, après un dîner tranquille, je décidais de parler à Thomas. Je lui ai demandé ce qu'il pensait réellement de cette fantaisie. Au lieu de me répondre, il m'a regardé intensément, comme s'il pesait ses mots. Il a enfin confessé qu'il avait commencé à se demander si je n'étais pas intéressé à passer à l'acte. J'étais choqué.
- Tu veux vraiment que cela arrive, lui ai-je demandé la voix tremblante.
Il m’a répondu que cela n’était pas obligatoire, mais que s’il pouvait avoir l’assurance que cela nous rapprocherait, il serait prêt à envisager cette éventualité. Mon cœur battait à tout rompre. Était-il sérieux, qu’est-ce qu’il l’empêchait de réaliser son fantasme lui-même. Ce soir là, je me suis retrouvé à réfléchir longuement. J’étais piégée entre le désir d’explorer ce qui semblait être une opportunité d’élargir nôtre intimité, et la peur de perdre tout ce que j’avais construit avec Thomas. Je me demandais si j’étais prête à sacrifier mon mariage, pour satisfaire un besoin de curiosité personnel.
Les jours qui suivirent, chaque interaction avec Julien était marquée par une tension différente. Lorsque je le croisais, un mélange d’excitation, de culpabilité m’envahissait.
Je savais qu’il ressentait une attirance pour moi, les petits gestes, les sourires complices ne faisaient qu'ajouter à ma confusion.
J’avais peur que chaque mots émis, chaque rire échangés soit un pas de plus vers cette réalité que je redoutais tant. Je pris la décision de l’ignorer. Je commençais à réduire mes interactions avec Julien, expliquant à Thomas que je voulais qu’on passe plus de temps ensemble, en mari et femme.
Mais à chaque fois que je voyais Thomas, je voyais aussi Julien dans un coin de ma tête. Chaque instant passé avec Thomas était teinté de penser sur ce que serait ma vie, si je disais oui à cette proposition, jusqu'à ce que cette question ne cesse de tourner dans ma tête, menaçant de tout engloutir. Et si je disais oui. Je savais que le moment était venu après des semaines de tensions sous-jacentes et de réflexions interminables. Il me fallait enfin en parler à Thomas. J'étais à la fois nerveuse et déterminée. Je ne pouvais continuer à vivre dans cette ambiguïté, ce jeu dangereux de désir inavoué. Il était temps d'affronter la vérité. Un soir, alors que nous étions assis sur le canapé, je pouvais sentir l'atmosphère charger. Thomas regardait la télévision, mais je le savais préoccupé par autre chose. Ses yeux pétillants, semblaient absents. Je pris une profonde inspiration et brisait le silence.
- Thomas, il faut que nous parlions. De Julien, de ce que tu as dit, de ton fantasme.
Il tourna la tête, inquiet, me demanda de quoi je voulais parler. Je me sentais trahie par mes propres émotions, mais je savais que je ne pouvais plus garder cela pour moi.
- Qu'est-ce que tu veux dire, dit-il en se redressant, visiblement pris au dépourvu..
- Je veux dire que je ne peux m'empêcher de penser à ce que cela signifierait pour nous si je devais le faire.
Thomas blêmit, les larmes aux yeux. J’imaginais les pensées défiler dans son esprit.
- Tu envisages vraiment de le faire, n'est-ce pas ? Lâcha-t-il d’une voix tremblante.
Les mots m'assaillirent. J'avais toujours cru que ce fantasme resterait un fantasme, mais maintenant, face à la réalité, la peur et la confusion se mêlaient en moi.
- Je ne sais pas Thomas, j'ai été prise dans un tourbillon de pensées et d'émotions, mais je veux être honnête avec toi.
Il se leva, faisant les cent pas dans le salon. Je pouvais voir la colère et la frustration monter en lui. Thomas me reprochais de ne pas lui avoir dit que ça me travaillait. Il me reprochaut de ne pas avoir été claire, d'avoir laisser cette situation traîner.
Je lui dis que c'était compliqué, que chaque fois que je voyais Julien, je pensais à lui, à nous, je pensais à ce que cela pourrait signifier pour nôtre mariage.
- Et qu'est-ce que cela signifie pour toi, as-tu réellement envie de coucher avec lui ?
Je restais sans voix. Je ne voulais le blesser, mais savais que je ne pouvais plus reculer.
- Je ressens quelque chose pour lui, oui, mais je ne sais pas si je suis prête à le faire, c'est juste que je ne peux pas ignorer ce que tu as dit, ça me hante.
Thomas me fixa intensément, cherchant des réponses dans mes yeux.
- Est-ce que tu pense que cela nous rapprochera, que cela va renforcer notre relation.
- Je ne sais pas, peut-être que ça nous détruira, mais je suis perdu Thomas, je ne sais pas comment gérer tout ça.
Un silence lourd s'installa entre nous, je voyais la déception se peindre sur son visage.
- Si tu décides de le faire, je ne sais si je pourrais le supporter, te regarder de la même manière, tu sais que cela peut tout change, tout détruire, n'est-ce pas ?
Je me sentait acculé, chaque mot qu'il prononçait creusait un fossé entre nous.
- Je sais, je ne veux pas te perdre, je veux juste être honnête sur ce que je ressens.
- Si tu le fais je ne pourrais jamais t'en vouloir, mais ça détruira notre mariage, au fond de moi, je n’ai jamais voulu que cela aille aussi loin.
Je sentais les larmes montaient.
- Je ne veux pas ça non plus, mais je ne peux ignorer ce que je ressens, devrions-nous peut-être en parler à un thérapeute, trouver un moyen de traverser cela ensemble.
- Peut-être, mais je crains que ce soit trop tard.
Je me levais et l'enlaçais, le serrais fort contre moi.
- Je t'aime, je ne veux pas que cela se termine comme ça.
Il me serra fort, mais je pouvais sentir son cœur lourd. Je savais que le chemin devant nous, serait semé d'embûche, mais j'étais déterminé à affronter mes peurs, mes désirs, peu importe le coût, nous avions besoin d'une solution, d'une voie pour avancer, sinon nous risquions de perdre ce que nous avions bâti ensemble.
Les jours qui suivirent notre confrontation était teinté d'une mélancolie persistante.
Thomas et moi échangions à peine, comme si un mur invisible s'était érigé entre nous Nous parlions de banalité, évitant soigneusement le sujet brûlant qui nous consumait. Chaque regard échangé, chaque silence prolongé était un rappel constant de ce que nous avions perdu, de l'intimité qui s'était effritée.
Cependant, l’idée de coucher avec Julien ne me quittait pas, au contraire, elle devenait de plus en plus séduisante, se frayant un chemin dans mon esprit, comme une douce mélodie obsédante. Je me surprenais à imaginer ses mains caresser mon corps, ses doigts pénétrer mon intimité, sa bouche effleurant ma peau, ses lèvres aspirant mon clitoris. Je ressentais une montée d’adrénaline à l’idée de franchir cette ligne.
Un soir, alors que j'étais seule à la maison je reçu un message de Julien.
« Salut, tu veux qu'on se voit, j'ai besoin de parler ».
Mon cœur s'emballa, que voulait-il vraiment. J'hésitais, une partie de moi, audacieuse était impatiente de le voir. Je me retrouvais à réfléchir à tout ce que cela impliquerait,
à l'excitation de passer du temps avec lui sans la présence de Thomas. Je lui répondis.
« Oui pourquoi pas ».
Nous décidâmes de nous retrouver dans un petit café tranquille en dehors de la ville.
En me préparant, je ressentais un mélange d'excitation, d’anxiété. Que se passerait-il si j'allais trop loin, était-ce le moment de céder à la tentation.
Lorsque je le vis assis à une table dans un coin, mon cœur fit un bon.
Il était toujours aussi séduisant, un sourire qui illuminait son visage. Julien vint à ma rencontre, m’embrassa à la commissure des lèvres, me prit par la taille, m’accompagna à la table. Ce geste enflamma mon cœur. Après avoir commande, nous avons engagé la conversation, parlant de tout et de rien, mais rapidement, la tension entre nous devint palapble. Je pouvais sentir un désir irrésistible croître entre nous. Julien me regardait avec une intensité qui me faisait frissonner.
- Tu sais, j’ai pensé à ce que Thomas a dit, commença-t-il. Je ne peux pas m'empêcher de me demander si c'est quelque chose que j’envisageais réellement. Je ne veux pas te mettre mal à l'aise, mais sache que je suis attiré par toi.
Ces mots eurent un effet électrisant, une partie de moi voulait reculer, mais une autre partie, plus audacieuse, me poussait à explorer cette attraction, à céder à la tentation.
- Je ne sais pas Julien, je suis si confuse en ce moment, c'est tellement compliqué. Cette idée, elle me hante aussi.
Il se pencha, ses yeux plongés dans les miens, un souffle d'air effleurant mes lèvres.
- Je sais que c’est risqué, mais je ne peux pas m’empêcher de penser à toi, à ce que nous pourrions vivre ensemble.
Je ressentis une montée de désir, mais la culpabilité me paralysa. Chaque fois qu’il me regardait dans les yeux, je me disais que je connaîtrais peut-être jamais la connexion que nous aurions pu avoir, que je ne connaîtrais jamais la texture de son membre dans ma bouche, du goût de son sperme, pas plus que la pénétration de son sexe en moi. J’allais peut-être regretter cela.
- Je suis mariée Julien, je ne veux pas te blesser, ni blesser Thomas.
Julien s'approcha encore plus, sa voix douce et séduisante me fascinait.
- Mais que ressens-tu vraiment, n'as-tu jamais rêvé d’être libre, vivre une vrai passion.
Ces mots me touchaient directement au cœur de mes désirs. La tentation m'incitait à le rejoindre. Mon esprit luttait entre le désir et la culpabilité, la passion et la raison. Chaque seconde passée avec Julien intensifiait l'attraction que je ressentais pour lui.
Je me levais pour aller aux toilettes, essayant de me ressaisir. Dans le miroir. je vis mon reflet. Qu’étais-je devenue, une femme en proie à la tentation, hésitant entre l'amour pour son mari et le désir pour un autre homme. Lorsque je sortis, je trouvais Julien, le regard plongé dans le vide. Je m'assis face de lui, le cœur battant. Je savais qu’il fallait prendre une décision, mais à cet instant, j'étais perdu, pensant aux conséquences.
- Que fais-tu vraiment, me demanda-t-il doucement, rompant le silence.
Je savais que je devais répondre, mais ne savais pas quelle était la bonne réponse. La tentation était forte, l'idée de me libérer de mes chaînes, même pour un instant, m'attirait irrésistiblement. Je regardais Julien, hésitant entre le désir et la loyauté. Chaque mot qu'il prononçait résonnait en moi, amplifiant mes doutes. Je savais que je me trouvais à un tournant décisif, un moment qui pourrait changer le cours de ma vie.
- Que vas-tu faire vraiment.
Sa voix me fit sursauter, il semblait si sérieux, si déterminé à connaître ma réponse. Je pris une profonde inspiration, essayant de rassembler mes pensées éparpillées.
- Je ne sais pas Julien, tout cela est si nouveau et si effrayant. Je ne veux pas blesser Thomas, mais je ne peux pas ignorer ce que je ressens pour toi.
- Parfois il faut prendre des risques pour être heureux, répondit-il. Peut-être que c'est le moment pour toi de choisir ce que tu veux vraiment.
Ces mots m'ont saisi comme une vague, j'étais tiraillé entre la vie que j'avais construite avec Thomas, et cette intense attirance pour Julien. Je ne pouvais oublier les voeux que j'avais prononcé, mais la passion qui émergeait en moi, me poussait à envisager l'interdit. Le moment était venu de faire un choix.
- Je dois rentrer, murmurai-je enfin, les yeux plein de larmes. Je ne peux pas faire cela.
Il baissa les yeux et je pouvais voir la déception sur son visage.
- Je comprends, dit-il, avec tristesse, mais dis-toi Sandrine qu’une telle opportunité risque de ne plus se représenter.
Je quittais le café avec un mélange d'émotion, une bataille intérieure qui ne semblait pas vouloir se résoudre.
En rentrant chez moi, je réalisais que je n'avais pas seulement fui Julien, mais aussi la possibilité d'affronter mes désir. J'avais aussi respecté mon mari, qui ne méritait pas une telle trahison. Thomas dormait déjà. Je me glissait sous les draps, me serra contre lui. En sentant la chaleur de son corps, je me dis que j’avais pris la bonne décision.




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