Mon meilleur copain était fou amoureux de ma copine - Suite et fin.

- Par l'auteur HDS Black_lover -
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Récit libertin : Mon meilleur copain était fou amoureux de ma copine - Suite et fin. Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-04-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Mon meilleur copain était fou amoureux de ma copine - Suite et fin.
Après la conversation que nous avions eue, je ne savais que penser. Tout cela allait si rapidement, j’étais dépassé par les évènements. La perspective d’une nouvelle soirée avec Kallyl avant son départ définitif pour l’Afrique n’était pas désagréable bien au contraire mais peut-être n’était-ce en réalité qu’un test d’Axelle pour savoir si je tenais vraiment à elle.
Mais non, ce n’était pas possible, sa voix, son regard le léger tremblement de son corps, tout transpirait la sincérité, tout. Il fallait néanmoins que j’en ai le cœur net si bien que tout en la caressant, je me mis à lui poser un tas de questions pour m’apercevoir que finalement, je ne la connaissais pas si bien que cela.
En effet, c’est elle qui prit avec autorité l’orientation de la discussion, devançant mes questions, me convaincant finalement qu’elle était sincère et même que c’était un de ses fantasmes d’être offerte par son ami (c’est-à-dire moi) à l’un de ses copains.
Ce qui semblait l’intéresser particulièrement c’était la taille du sexe de Kallyl car la rumeur qui accompagne souvent les gens de couleur et en particulier les africains, c’est la taille de leur sexe. Kallyl effectivement possédait un sexe d’ébène très long, hors norme je dirais mais, incroyablement fin avec par contre un gland énorme contrastant étrangement avec le reste de la hampe. Le mien, était beaucoup plus épais, plus large mais bien moins long.
Lorsque je lui confirmais qu’il avait effectivement une longue queue, beaucoup plus longue que la mienne, ses yeux semblaient pétiller d’envie. Cela me persuada que ce n’était pas un test de sa part et encore plus lorsqu’elle finit par se lâcher en m’avouant tout de son fantasme.
A peine étonné après ce qu’elle m’avait déjà confié, Axelle m’affirma qu’elle aimerait être attachée sur un lit, à moitié droguée et offerte à la lubricité d’un gros noir monté comme un âne qui la défoncerait pour finalement éjaculer sur son visage et sa poitrine, en l’abandonnant couverte de grosses traînées de sperme blanchâtre sur sa peau fine de blonde.
Je finissais par lui poser la question franchement en précisant :
- Tu sais mon cœur, j’aimerais que ce soit toi qui me demande de t’offrir à Kallyl. Je veux que ce soit clair entre nous, c’est moi qui t’attacherais et même t’ouvrirait les cuisses pour lui permettre de s’enfoncer dans ton ventre, mais je veux que ce soit qui me le réclame.
- J’ai honte de te demander çà. J’ai envie mais j’ai honte.
- Tu ne vas pas être déçue tu sais, il en a vraiment une grosse. Moi je n’en ai jamais vu d’aussi grosse.
- Arrêtes Kevin, çà m’excite de savoir qu’il est monté comme une bête et que si je le veux, il pourrait me l’enfoncer, m’ouvrir le ventre avec son gros machin.
- J’oubliais, il n’est pas question que tu prennes un cachet et que tu sois dans les vaps pendant la séance. Tu pourras faire semblant mais je te veux bien lucide, je veux que tu sentes bien sa grosse queue quand je la guiderais entre tes lèvres puis qu’elle s’enfoncera jusqu’aux couilles.

Axelle, réfléchit encore un bon moment. Ma main entre ses cuisses sentait qu’elle mouillait un max. J’enfilais un doigt dans son châton en le faisant tourner suivit d’un deuxième qui s’engouffra tout aussi facilement. En même temps je les écartai à l’intérieur en lui faisant remarquer qu’ils étaient loin de la longueur du sexe de Kallyl. Sa poitrine se soulevait de plus en plus rapidement, elle lâcha dans un souffle :
- Oui, j’ai envie qu’il me baise devant toi. Offres-moi à lui, offres-moi à lui.

C’était dit, au moins elle avait décidé d’elle-même. Il me restait à me convaincre d’aller jusqu’au bout car, envisager d’offrir sa copine à la bite d’un ami est une chose, l’offrir vraiment et être là quand une autre queue s’enfoncerait dans le ventre de sa copine est tout autre chose.
Même s’il est vrai que j’avais joui de voir les doigts de Kallyl, entrer et sortir de son ventre, luisants de mouille, atteignant des « sommets » d’excitation lorsqu’elle s’était mise à jouir, commet est-ce que je réagirai au moment fatidique c’est-à-dire lorsque son gros gland forcerait l’entrée et qu’il sera trop tard pour tout arrêter. Comment réagirais-je en la voyant appartenir à un autre homme, en le voyant prendre possession de sa chatte qui jusque-là m’était exclusivement réservé.
J’étais vraiment dans l’expectative, incapable d’y penser calmement, sereinement. Je demandais une dernière fois à Axelle :
- Et si tu aimes trop sa grosse queue. Si tu t’aperçois au bout de quelque temps qu’elle te manque beaucoup plus que tu ne l’avais imaginé ?
- Il n’y a aucun risque. C’est à toi que j’appartiens. Mon fantasme, ce n’est que du sexe. Nous aussi, nous sommes capables de baiser pour baiser, ce n’est pas réservé aux hommes tu sais ?

Le départ définitif de Kallyl approchait à grands pas. Dans moins d’une semaine il ne serait plus là. Axelle le savait mais ne fit rien pour précipiter ma décision. Elle attendit patiemment que finalement, un soir je lui annonce :
- Kallyl vient ce soir. Il va te trouver attacher au lit, les yeux bandés car tu n’es pas censé savoir qui va s’enfoncer dans ton ventre, et je t’offrirai à lui.

Elle me sourit amoureusement puis m’affirma :
- J’espère que je serai à la hauteur et que tu me trouveras aussi belle que la dernière fois.

Rajoutant :
- Mais rappelles-toi, c’est à toi que j’appartiens et à toi seul.

C’était deux jours avant qu’il ne nous quitte définitivement. Tout était prêt, il était inutile de faire des chichis, chacun savait ce pour quoi on avait décidé qu’il passerait à la maison. J’avais dit à Kallyl qu’Axelle avait depuis longtemps le fantasme que je l’offre à l’un de mes copains, rajoutant que je l’avais choisi lui d’une part à cause de son prochain départ définitif et surtout parce qu’il était mon ami et qu’il avait su la dernière fois, la faire jouir sans insister pour la posséder par la suite.
Inutile de vous dire qu’il était aux anges car depuis la dernière fois, il pensait qu’il n’aurait plus jamais l’occasion de la voir nue et encore moins de lui faire l’amour. Il ne savait plus comment me remercier.
Je déshabillais Axelle moi-même, et malgré ses demandes pour conserver son petit string et son soutien-gorge, je refusais tout net, car en tirant sur les draps, je voulais qu’il comprenne ce pour quoi il était là. Inutile de tomber dans le romantisme à deux balles.
D’ailleurs pour qu’elle soit encore plus « disponible, je lui demandais de replier ses jambes contre ses fesses et, je l’attachais aux montants du lit dans cette position. Les bras au-dessus de sa tête, les jambes ouvertes, les chevilles ramassées contre ses fesses, la chatte déjà presque ouverte aux attouchements de son futur amant.
Après avoir terminé de l’attacher, je lui demandais une dernière fois :
- tu es toujours partante n’est-ce pas ? Ce soir, tu vas accueillir dans ton ventre un autre homme que moi, c’est bien ce que tu veux ?
- Oui, mon amour. Je veux que tu me voies jouir en me faisant baiser par un autre mec, car je sais que tu aimes çà.

Je passais mes doigts dans sa fente. Elle était trempée et je le lui dis vertement :
- T’es trempée. Çà t’excite n’est-ce pas, petite salope adorée ?
- C’est vrai, vite qu’il arrive, j’ai envie de sentir une bonne queue dans mon ventre.

Un dernier doigt que j’enfonce dans son fourreau. Un premier gémissement et déjà, quelqu’un frappe à la porte. Je porte mon doigt à mes narines. Çà sent bon, j’ai bien envie de le faire sentir à Kallyl dès qu’il entrera.
J’ouvre. Il est là. Je le fais entrer, il balaye déjà le studio du regard et voit Arielle, recouverte d’un drap, sur le lit.
Je lui précise qu’Arielle voulait être un peu dans les vaps aussi, je lui ai fait prendre un cachet censé la shooter car cela fait parti de son trip. Tout bas, il me demande s’il peut lui parler, je lui réponds que oui car l’appareil auditif qu’elle porte déforme les voix, elle ne pourra donc pas te reconnaître.
Je finis en lui disant qu’elle était toute à lui et qu’il pouvait en faire ce qu’il voulait à partir de maintenant. Je me contenterais pour ma part de regarder puisque c’est ce qu’elle voulait.
Kallyl cachant mal son impatience, s’approcha doucement du lit puis, tira sur le drap, pour la découvrir petit à petit. Ses seins apparurent, les bouts bandaient outrageusement, preuve de son excitation puis son ventre, ses genoux et d’un seul coup, sa chatte blonde, à moitié ouverte comme je l’avais laissé quelques instants auparavant.
Arielle demanda :
- Il est là ?
- Oui, il est en train d’admirer ta chatte.
- Comment il me trouve.

Kallyl répondit lui-même :
- Tu es magnifique. La plus belle fille que j’ai jamais vue.

Ses mains se posaient déjà sur la face interne de ses cuisses pour descendre vers la fente offerte. Kallyl s’allongea sur le lit, le nez en avant et le posa sur le sexe d’Axelle. Il inspira un bon coup en commentant :
- Tu sens bon. J'ai envie de te lécher. Je peux ?

Axelle bien qu’immobilisée, avança son bassin à la rencontre de la bouche qui se posait déjà sur ses lèvres. La langue se fraya un passage entre les grandes lèvres pour parcourir toute la fente du clitoris jusqu’à l’entrée de la vulve puis, se fit plus fine pour entrer dans l’orifice.
- Tu coules. J’adore ton goût.

Axelle ne répondais pas mais commençait à pousser des petits gémissements que je ne connaissais que trop lorsque le plaisir prend peu à peu, possession de son corps.
Se rappelant, la première jouissance qu’il lui avait procuré, il se redressa et, glissa son majeur dans l’orifice cherchant comme la première fois la petite zone rugueuse si sensible. En quelques frottements, il m’annonça :
- Je l’ai. Ah oui. Je la sens bien. Je vais te faire jouir comme çà. Tu veux bien ?

Axelle toute à ses sensations, se contenta de répondre :
- Mon homme m’a offerte à toi. Tu peux me faire tout ce que tu veux. Moi je ne veux qu’une chose, jouir, jouir et jouir encore.

Sa respiration plus courte témoignait qu’il disait vrai. Il avait trouvé comme la dernière fois, son point G, agitant de plus en plus son doigt dans la vulve offerte. Axelle commençait à bouger la tête dans tous les sens. Elle me dit :
- Je veux que tu me voies jouir. Enlève-moi ce bandeau. Je vais jouir. Viiiiiiiiiiite.

D’un coup sec, je tirais sur le nœud derrière sa tête. Le large foulard se déploya autour de son cou, libérant ses yeux. Le temps de s’habituer à la lumière, son regard était déjà dans le mien, elle me fixait intensément, mais pourtant j’avais l’impression qu’elle ne me voyait déjà plus. Tout d’un coup, Kallyl m’annonça tout fier :
- Elle jouit. Elle jouit.
- Aaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhh.

Axelle dont les pupilles venaient de basculer vers l’arrière, laissa échapper un long gémissement plus sourd, plus rauque que les autres. Tout son corps, tendu comme un arc, vibrait au rythme des déferlantes qui lui parcouraient le corps, remontant le long de sa colonne vertébrale jusqu’à la base de son cerveau pour y exploser dans un final étourdissant.Elle resta un long moment tétanisée par l’orgasme qui la secouait, expulsant de sa chatte un liquide translucide que je ne lui connaissais que dans les grandes jouissances, puis, se laissa retomber inerte sur le lit.
Sa poitrine se soulevait à un rythme infernal, elle était au bord d’en perdre le souffle. De longues secondes passèrent avant qu’elle n’arrive à se calmer.
Elle venait de jouir vraiment fort. En général elle aime bien à ce moment, se sentir pénétrée et, c’est ce que je fis comprendre à Kallyl, en l’invitant à la prendre sans tarder.
Il comprenait vite et, en deux secondes, débarrassé de ses vêtements, il était déjà contre ses fesses, son phallus dans la main d’où émergeait l’énorme gland. Sûr de lui, il le fit glisser entre les lèvres, dans la fente pour bien le lubrifier des secrétions d’Axelle puis, fit entrer son gland dans l’ouverture.
Axelle ouvrit les yeux puis, faisant mine de ne découvrir qu'à ce moment précis, qui j'avais choisi pour satisfaire notre fantasme commun, lui dit :
- Kallyl, je suis contente que ce soit toi, qu’il ait choisi mais tu n'es pas vraiment un inconnu.
- Je suis content moi aussi, lui répondit Kallyl. Tu veux bien me laisser goûter au plaisir de ton ventre.
- Viens, Idiot.
Plus qu’un léger mouvement en avant du bassin, et il investissait des lieux connus de moi seul jusqu’à présent. On y était. Le moment fatidique où plus rien ne sera comme avant.
Axelle regardait le sexe posé devant sa grotte le gland à moitié engagé. Elle leva ses yeux vers moi puis me sourit tandis que je lisais sur ses lèvres :
- Je t’aime.

Kallyl poussait déjà. Un premier coup de rein qui fit disparaître une bonne moitié de la tige entre les lèvres de mon amour. Celle-ci ouvrit la bouche mais aucun son ne réussit à sortir. Une deuxième poussée, le mandrin était enfoncé jusqu’à la garde. Ses couilles toutes velues, butaient contre les fesses d’Axelle. Elle poussa un :
- Ouiiiiiiiiiiiiiiii. C’est bon. T’es gros dans ma chatte. Je te sens bien. Baises-moi. Baises-moi maintenant.

Ils se regardaient maintenant, les yeux dans les yeux, échangeant du regard, les sensations qui remontaient de leur sexe étroitement imbriqué l’un dans l’autre. Axelle semblait lui dire, tu me possèdes Kallyl, je sens ta queue dans mon ventre, elle vit en moi, baises-moi.
Je ne pouvais pas m’immiscer dans leur tête à tête. Le monde autour d’eux n’existait plus. Ils étaient liés par le sexe mais aussi par leurs yeux qui ne se quittaient plus. Kallyl commença à bouger, ressortant son vit presqu’entièrement pour replonger le plus profondément possible et le plus lentement possible, ils semblaient se parler pourtant aucun son ne sortait de leur bouche. Seule Axelle, ouvrait la sienne pour accompagner la lente progression entre ses chairs du sexe de Kallyl. Sans jamais se quitter des yeux, Kallyl augmenta progressivement sa cadence, en diminuant l’amplitude de ses mouvements. A chaque coup de rein, des éclairs semblaient illuminés les prunelles d’Axelle, peu à peu, je les voyais se troubler, perdre de leur éclat mais elle les gardait obstinément ouvert, sans doute pour offrir sa jouissance à cet amant si attentionné.
Kallyl la secouait maintenant de plus en plus fort et je voyais son corps reculer en encaissant les assauts. Elle était heureuse. Çà se voyait dans son corps dont les cuisses s’ouvraient un peu plus pour accueillir le vit sur le point de cracher sa semence. Elle se donnait entièrement, sans aucune retenue et à cet instant précis, il aurait pu se retirer brusquement et la sodomiser sans qu’il ne trouve à y redire quoi que ce soit. Le don total, sans condition, elle était magnifique dans le plaisir.
Mais Kallyl n’y pensait même pas. Sa seule préoccupation était de la faire jouir encore et encore, jusqu’à ce qu’elle l’appelle en jouissant. Il contrôlait ses sensations, maîtrisant à la perfection, la montée de son propre plaisir.
Axelle n’en était déjà plus là. D’ailleurs il n’était pas dans ses intentions de retarder son orgasme. Il était là, cognant à la porte de son ventre, tambourinant du gland le fonds de sa matrice.
Tout à coup, sans quitter des yeux son amant, elle tendit sa main dans ma direction :
- Je vais jouir mon amour. Il va me faire jouir avec sa grosse queue. Donnes-moi la main. Je veux partager cette jouissance avec toi. Viiiiiiite. çà vient.
Sans réfléchir, je lui tendais mon bras qu'elle saisit comme s'il s'agissait d'une bouée. Plantant ses doigts dans mes chairs, presqu'à m'en faire mal.
- Oui, çà vient. çà vient. Aaaaaaaaaaaaaaaah.
Elle se laissa aller une nouvelle fois, hurlant presque cette fois pour manifester l’ultime plaisir.
Tandis qu’elle jouissait par tous les pores de sa peau, Kallyl ralentit la cadence pour ne succomber lui aussi à l'appel de l’extase, se contentant de flatter le bouton turgescent qui se raidissait devant lui, hors de son fourreau.
Il était heureux, la plus belle femme du monde à ses yeux, se tordait de plaisir grâce à lui. Elle jouissait à en perdre haleine, manifestant son plaisir sans aucune retenue.
- Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii. Je jouis. c'est trop bon.
Moi aussi, j’étais heureux de la voir jouir aussi fort, encore plus belle dans l’orgasme.
Après cette deuxième jouissance, Axelle semblait beaucoup moins fringuante. Toujours aussi belle mais physiquement émoussée.
Kallyl tendit ses mains vers les foulards qui l’immobilisaient et, tira sur les bouts pour la libérer puis, la retourna, profitant du peu de réaction de sa partenaire. Il attrapa un oreiller pour le placer sous son ventre et, à genoux s’approcha entre ses jambes, la forçant à lui faire plus de place puis, s’allongea sur son dos.
J’étais derrière eux et je pouvais voir qu’il cherchait l’entrée sans s’aider de ses mains puis au mouvement de ses fesses, je compris qu’il était de nouveau en elle. Dès lors, comme un métronome, il s’est mis en mouvement. Le mouvement régulier de ses fesses qui montaient et descendaient, ne mit pas longtemps à faire de nouveau grogner Axelle.
Il la tenait par les poignets, au-dessus de ses épaules, plaqués contre le matelas et, la pénétrait par derrière à grands coups de reins puissants. Axelle, épuisée, râlait de bonheur. Elle subissait avec délices la puissance sexuelle de son infatigable amant. Il avait passé sous son ventre une de ses mains et, caressait de son pouce, son clitoris qui n’en demandait pas tant.
Elle se concentrait pour lui offrir un troisième orgasme. Elle tendait sa croupe pour mieux sentir le vit l’ouvrir, la pourfendre mais çà tardait à venir. Elle décida de prendre les choses en main et, lui fit comprendre de la laisser s’occuper de son bouton elle-même ce qu’il accepta tout de suite, se concentrant lui, sur son propre plaisir.
Là c’était mieux, en peu de temps, le plaisir pointait à nouveau son nez. Elle continua à se masturber de plus en plus vite, se faisant gémir elle-même, concentrée sur ce bouton de chair en pleine effervescence.
- Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhh.

Çà y était. Un nouvel orgasme la transperçait, rapide cette fois, presqu’insupportable dès les premiers spasmes terminés. Kallyl toujours sur son dos, arrivait lui aussi, au point de non-retour. Les mains bien calées sur ses hanches, il se laissait aller, déversant sa semence en longues giclées dans le ventre accueillant.
C’en était trop pour moi, j’explosais à mon tour, sans même m'être touché.
Une soirée magnifique et un cadeau d'adieu inoubliable offert à mon ami grâce à la complicité de celle qui allait devenir ma femme.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Et donc le mec est assez con pour niquer sans capotes !!!



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