Mon nouveau job

- Par l'auteur HDS Pute-bourgoise -
Auteur femme.
  • • 7 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.4
  • • L'ensemble des récits érotiques de Pute-bourgoise ont reçu un total de 72 127 visites.
Récit libertin : Mon nouveau job Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-07-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 13 856 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

Couleur du fond :
Mon nouveau job
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Mon nouveau boulot

Depuis mon divorce, j'ai pris le temps de réfléchir à beaucoup de chose, et surtout de penser à l'avenir d'une autre manière, et puisque je ne pense pas encore au mariage, je me suis trouvé un emploi dans l'administration grâce à mon avocat, qui a d'abord été opposé à l'idée avant que je n'use de mes atouts pour le convaincre en acceptant de passer une semaine "de noces" en voyage à ses cotés en restant toujours nue sous ma robe. Et tant qu'il en avait fait une condition de notre contrat j'avais pris quelques culottes dans mes affaires pour bien montrer que je pouvais m'arrêter à tout moment.
Sa condition avait été si clairement énoncée que j'étais sienne pour la semaine: "tu seras ma douce petite pute…" et je te prêter quelques fois pour certains besoins d'intérêt communs, tu comprends? il m'avait séré le bras que je me serais débattue… Mais, une femme dans le lit de l'avocat qui lui a obtenu de bonnes conditions de divorce doit bien lui faire des faveurs, et s'il lui demande d'être sa pute pour une semaine, elle ne pourra le lui refuser ses faveurs puisqu'elle s'était déjà donnée.
Alors, bien dans mon rôle de "sa pute", et pour desserrer sa main, j'avais caressé son ventre et ses poils pubiens et notre baiser marquait bien la fin d'une nuit amour, et le début d'une belle semaine où je devais être sa "douce pute" en espérant qu'il serait mon étalon jouissif…
Le premier jour, il était passé me prendre à quatre du matin, et dès le départ, il avait éxigé que je m'assoie en tailleur et le dos contre la portière; "c'est juste pour que tu n'aies plus de complexe de nudité". En dehors de la ville, il ne se gêna pas à entrer profondément sa main dans mon vagin pour l'humidifier, puis son majeur chercha mon anus… en m'enfonçant un peu plus, je me suis arrangée pour lui permettre l'accès désiré.
" C'est trop pour un doigt cet espace…
Si mon maitre le dit… répondis-je dans le rôle de la douce pute soumise
Alors, que faisons-nous?
Je suis ta poupée, fais ce que tu veux…
Tu sais que t'es plus sexy quand tu es douce…
Tu aimes chéri?
Oui ma petite pute chérie, mais tu serais mieux à genoux, en te caressant les seins avec le dossier du coussin…
Sans y penser, je me suis mise dans la position désirée en lui souriant et dans l'attente d'une suite… Il releva le tissu léger qui couvrait mes fesses pour les caresser, me fessant très doucement avant de remonter sur le bas de mon dos.
-Tiens-toi au dossier et tout ira ma chérie… Je sentis alors le dossier se baisser en me mettant en levrette sans voir comment il pourrait tenir derrière moi, mais je le sentis relever ma robe et caresser mon dos, puis mes aisselles… Quand je sentis la voiture quitter la route et s'arrêter, et à la crispation des quelques mots qu'il prononça je compris que son excitation allait bientôt sur le fond de mes entrailles, et avant qu'il ne bouge, j'étais déjà ruisselante. Il ne manqua pas de le noter:
-Maintenant, je crois que ce n'était pas ton mari qui était trop froid, c'est plutôt ta rage qui dépasse les normes…
-J'espère que tu es plus résistant, mon étalon chéri, d'après ma dernière nuit dans ton lit, je suis satisfait… heu du début mon amour…
Il me prit d'abord les deux seins et les malaxa en disant:
-super de te voir jouir quand je les caresse… tes petites boulettes à croquer… mais je ne voudrais pas te voir fondre, ma petite salope…
Il recula un peu son siège et me ramena devant lui, les mains sur le volant ce qui me permit de retenir mon affaissement avant de me laisser choir sur le membre bien droit, alors que mon amant avait repris mes seins… J'avais déjà jouis deux fois quand ses doigts reprirent possession de mon clitoris pour m'achever, ma troisième jouissance se mêla à la jouissance de mon étalon, qui pour finir me demanda de nettoyer son membre pour le rentrer dans son étui; la culotte m'était interdite à moi, mais pas à lui, mais bon… la voir relâchée ne me dirait qu'une chose: la remonter et le reste… et mon étalon doit conduire et je pourrais donc aussi faire quelques caprices pour saler un peu mes fausses noces…
Nous reprîmes la route que lui connaissait alors que sa pute que j'étais devait accepter les surprises et les attendre…

La première arriva vers 7h du matin, il s'arrêta près d'un café de bord de route où les autocars font escales, j'y étais passé en étant étudiante, lors de voyages organisés, et qui restent populaires à mon gout. Quand je le lui ai dit, il répondit avec un rire moqueur que c'était bien qu'une pute revisite un peu son passé. Tu te faisais prendre dans les cars la nuit, je suppose…
Il descendit de voiture, en fit le tour, ouvrit ma portière et me tendit son bras, et dès que je suis hors de la voiture, il me sert très fort contre lui et me demande de l'embrasser.
-Ici, mais on va attirer tous les regards…
-Et alors, c'est rien, tu les connais pas…
-Oui, mais…
-Chérie, tu sais quoi… y a que t'embrasser qui me fera passer l'envie de montrer ton cul aux autres, d'ailleurs tu as de quoi être fière… Si on me voit t'embrasser, on pensera que je dois avoir une bonne raison pour t'aimer, et si je montre ton petit cul, tout le monde saura…
Je l'embrassai avec fougue pour faire passer l'autre envie, et je me laisse même tripoter en public à l'intérieur du café, et il en arrive même à déboutonner le haut de mon corsage…
Mais au moment ou deux cars arrivèrent successivement, les places les plus proches de nous furent investies et quand je voulus remettre mon corsage, il me regarda d'un air si sévère que je ne fis rien… et quand une jeune fille demanda une place dans notre table, il me surprit en lui libérant ma place et me plaçant devant lui en continuant de me tripoter les seins.
Le garçon nous servit rapidement et disparut, alors que l'une des filles posa une main sur mon genou, comme par accident, avant de la remonter progressivement. Mon amant faisait comme s'il n'avait rien vu, alors que je tentais de le lui montrer… mais quand je le vis serrer la main indiscrète, je compris sa complicité… Et pour rester dans le coup, je les questionne sur leur voyage; et comme leur destination est aussi la nôtre, c'est moi qui leur demande de continuer le voyage avec nous… je savais qu'elles avaient déjà prévu cette suite;

En repartant, mon amant sort en premier et toutes les trois le suivons; quand je suis dehors, il ouvrit ses bras pour me recevoir, et sans hésiter je m'y suis jetée en lui offrant mes lèvres… Le baiser fut si chaud que je n'ai réalisé que tardivement que le spectacle de mes fesses nues était public…
-Tu sais qu'il y a une quarantaine de bites que tu fais bander? oui, et ça t'excite, salope…
-Chéri, s'il te plait… on monte…
Il demanda aux deux filles de monter à l'arrière, me prit par les cheveux en me penchant, mes fesses se découvrirent et si claques douloureuses me firent sangloter.
Il me pousse dans la voiture et les deux filles me félicitent pour la fessée en me souhaitant santé et plaisir… c'était la première fois que j'étais ainsi traitée depuis une quinzaine d'années, mais je répondis avec courtoisie:
"Merci mes chéries, que ce soit bientôt votre plaisir…
Ces deux jeunes salopes me rajeunirent et me rappelèrent les temps où pour garder ma virginité j'optais pour les femmes et plus tard la sodomie et la sucette… Depuis mon divorce, je me remets à tous les plaisirs de la chair, en oubliant la honte et la pudeur; c'est d'abord une façon de payer mon avocat qui l'exige, mais aussi une façon de jouer avec ses humiliations…
A entendre les petites garces parler à mon amant, je comprends que leur rencontre de ce jour n'est pas la première et que tout ce qui arrive est un peu préparé pour ne pas dire bien programmé.
-Tu sais ma petite pute, je suis vraiment désolé, je t'aurais bien prise debout, devant tout le monde, mais qui sait ce qui peut arriver… ça t'aurait bien excitée, mais ça viendra;
Face à son regard menaçant je lui dis:
-Merci, mon amour…
Une des garces me rappelle qu'il faut dire "sidi" au maitre… Je fis comme elle dit et lui me tendit sa main pour que je l'embrasse. Ce que je fis sans vrai plaisir, mais sans gêne non plus. Il me fit signe de m'adosser à portière et m'assoir en tailleur…
-en exposant ta belle poitrine fièrement. Montre leur ce que c'est qu'une belle poitrine de salope…
Alors que nous avions atteint la ville de leur destination, il tourna brusquement et pris une route secondaire…
Il rabaissa mon dossier me déséquilibrant un peu puisque mon genoux retomba et mon écart s'amplifia en offrant aux petites garces un spectacle inédit d'impudeur… serrées sur la gauche de la banquette, elles marquèrent leur admiration par des ooooh et des hummm sans rien dire; puis la plus sexy des deux me dit qu'elle veut m'embrasser…
Malgré mon envie de pousser très loin le bouchon, je lui dis:
-je ne serai chaude que si Sidi le demande, et ce sera une envie…
-elle connait bien son cours cette salope, lui dit sa copine en l'embrassant, ton sort c'est moi, alors contente-toi de ta chérie ma chérie…
Elles s'embrassèrent gloutonnement sans rien faire pour être discrètes le moins du monde… et bien que les deux nanas soient bien de mon gout, j'avoue que cette sonorité m'a un peu dérangée… pour ne pas dire plus…
-c'est indécent les petites putes, mais continuez… d'ailleurs je vais bien vous enculer comme vous en avez envie…
A leur grognements, je sentis que la plus jeune n'était pas chaude pour la sodomie, et je n'ai pas manqué d'en faire part à mon amant qui me répondit:
-pour moi, mes deux garces sont adultes, et je vais te le montrer ce soir, en attendant laisse-les te bichonner un moment.
Alors que chacune s'attaqua à un de mes seins, j'entendis des mots salaces et encourageants de mon amant; il leur dit de me faire totalement fondre, en précisant qu'elles doivent me faire jouir un maximum de fois…
Mes deux tétons étant sucés avec tant de douceur mêlée aux secousses du véhicule déclenchèrent un long orgasme que je ne peux qualifier ni quantifier vu sa longueur et l'état de ma conscience; et quand mon amant me demande mon avis, je ne dis qu'un mot:
-heureuse mon amour, heureuse sidi…
Devant la porte d'entré de la cabane au milieu de la ferme, il demanda aux deux autres si la maison était bonnes pour m'accueillir, il leur donna des clefs et elles l'embrassèrent très coquinement et allèrent dans la maison en laissant la porte ouverte… quand je voulus descendre, il me soulève violemment me ramenant sur son pieux qui pénétra tout au fond de mes entrailles, me laissant muette sur le choc à la fois respiratoire et psychique, Il me ramona quelques coups avant de m'ordonner de quitter la voiture…
J'étais à peine descendue et essayait de me tenir droite que je le sentis tenir le devant de mes cuisses nues:
-met tes seins sur le capot que je te prenne en levrette ici, tu aimes-ça, je sais…
A l'entrée de mon vagin, il retint son sexe sur mes grandes lèvres et me dit:
-je crois que j'ai tort de te traiter de putes et de te baiser comme çà…
-non, non, dis-je très vite pour qu'il ne s'arrête pas…
-oh je suis navré chérie… si tu n'aimes pas, je dois arrêter…
-mais baise mois vite stp…
Il prolongea le supplice, jusqu'à me faire dire que j'étais une sale pute qui aime se faire prendre partout et par tous ses accès, puis il insista pour me le faire crier haut et fort, et plusieurs fois; et quand, enfin il me l'enfonça, je le prie pour la récompense que j'avais méritée...
-c'est la première fois qu'on me baisse comme çà, lui dis-je en jouissant la troisième fois, sur un capot…
-Tu connaissais la capote, tu connais le capot… tu aimes, petite pute?
Après un quart d'heure à parler de sexe et de seins, avec beaucoup de douceur de sa part, nous nous dirigeons bras-dessus bras-dessous vers la porte d'entrée… juste avant d'entrer, il m'invita à passer avant lui, me fit lever les bras bers le mur en parlant de fouille… je pensai qu'il s'agissait de caresses et m'en réjoui intérieurement… en fait, il me dénuda de ma petite robe qui commençait à me gêner après plusieurs transpirations et jouissances… Je me sentais même un peu crasseuse, mais pour la pute que je dois être comme il a voulu au départ… et en acceptant, c'était une sorte de parie, garder un amant qui me faisait tant de bien après cette semaine…
-Si tu es une pute pendant la semaine, tu auras payé ton contrat… et si tu es une bonne pute, tu seras mienne pour longtemps…
Et je l'avais embrassé en signe d'acceptation sans discuter…

Alors que j'avais les mains sur le mur, il prit mes seins en m'ordonnant de lever plus les mains en les gardant au mur… Il se tient derrière moi, et je senti son dard sur mon dos… Il joua un peu sur mes seins, puis descendit son majeur sur mes lèvres qu'il écarta pour atteindre mon clitoris qu'il caressa avant de le pincer en me faisant soupirer…
En jouissant sur ses doigts, j'espérais bien qu'il en ferait le bon usage… Quand je sentis ses doigts sur ma rondelle, j'étais satisfaite… Quand il répéta son geste lubrifiant, je lui lançai un je t'aime en retournant ma tête vers lui…
-comme tous ceux qui t'ont enculée, grosse pute…
-chériiiiiiii, défonce-moi…
i
Il commença par se fléchi pour me pénétrer me rappelant ma première enculade dans le bus par trois inconnus… (une autre fois)… puis il me porta par les cuisses qu'il écarta, offrant le spectacle de ma foufoune ouverte au mur en face, puis à un miroir qui m'a permis de voir aussi ses couilles et à l'intérieur aux deux petites poufiasses.
Elles s'étaient débarrassée de tous habits et de caressaient sagement… mais on voyait bien qu'elles étaient dégoulinantes… et si leurs lèvres sont si bien tracées, c'est que la retouche est de quelques minutes…
La plus jeune lui demanda de me prêter pour un moment avec les deux…
-elle termine de me sucer, et je vous la laisse, mais vous devrez la faire jouir encore trois fois
Il s'activa plus vigoureusement dans mon cul avant d'y cracher sa semence tiède couronnant le tout par fessée mêlant claques et caresses…
Quand il me livra "à leurs soins", elles m'installèrent dans un grand fauteuil où elles purent m'écarter et me tripoter à volonté, j'eus droit à deux cunnilingus arrosés par ma seule cyprine et nos salives à toutes les trois, puis elles m'offrir de la bière assez froide en précisant que le congélateur ne fonctionne pas très bien ici… avec leurs câlins tantôt d'amantes, tantôt de putes solidaires, et la chaleur de l'ambiance j'ai du avaler plus des six bières qui font mon état second.
En me sentant un peu lasse, je leur demande combien j'avais bu…
-à entendre ta langue, je dirai une dizaine…dit l'une;
-je dois t'embrasser pour me prononcer…
Bêtement, où par envie de l'embrasser, je lui présentai ma langue pour un bon moment… quand nous nous relâchons je l'entends dire:
-la salope, il ne fallait pas nous trahir…
Je vis que sa copine était prise en levrette par celui qui ne pouvait être que le maitre, puisque je n'ai vu que lui; j'embrassai à nouveau mon amante pour la consoler alors qu'elle me souleva pour prendre ma place et je me retrouve à genoux lui rendant la pareil pour son cunni… au moment où elle jouit abondamment je voulus m'abreuver de sa cyprine mais une main me tira en arrière et récolta le tout pour le porter sur ma rondelle… je soupirais de plaisir croyant être prise par mon maitre…
Le pieu qui m'avait pénétrée me sembla plus épais que d'habitude mais sur le coup, je doutai de mes capacités de reconnaissance, et je n'ai même pas hésité à montrer mon plaisir en lançant mes "je t'aime sidi".
Puis la main me retourna vers ce sexe que je vis clairement ne pas être celui du maitre, mais j'ouvris la bouche pour le recevoir et le sucer… J'aurai pu arrêter ce jeu et faire la femme offensée, mais j'allais recevoir des baffes de cet inconnu… mon maitre, s'il joue le fâché, va peut-être me fesser, mais çà, j'aime bien. Quand cet amant inconnu cracha son foutre sur mon visage et ma poitrine, j'entendis des applaudissements et vis mon maitre me souriant… Il ne fit pas la moindre remarque mais une petite à se mettre en levrette…
Si t'es jalouse, fais comme elle et je t'emmène très haut, ce qu'il fit si violemment et si longtemps que j'ai fini affalées à plat ventre les seins sur le sol dans une semi-inconscience…

A mon réveil, j'entendis plusieurs voix et vis les deux petites danser nues… mais çà, c'est la suite de ma "semaine de pute".

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : Mon nouveau job
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Pute-bourgoise

Mes amants se marient (1) - Récit érotique publié le 11-03-2015
Suite de ma "Semaine de pute". - Récit érotique publié le 09-03-2015
Une bêtise - Récit érotique publié le 05-03-2015
Un amant à la maison (suite2) - Récit érotique publié le 03-03-2015
Un amant à la maison (suite) - Récit érotique publié le 01-03-2015
Un amant à la maison. (1) - Récit érotique publié le 19-11-2014
Mon nouveau job - Récit érotique publié le 24-07-2014