Mon Nouvel Oncle (1)
Récit érotique écrit par PassifChaud [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-04-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mon Nouvel Oncle (1)
Mon Nouvel Oncle (1)
La Rencontre
Mes grands-parents avaient divorcé très peu de temps après la naissance de ma mère, la laissant seule à son père pour s’en aller vivre une « mauvaise vie » comme on le disait à l’époque.
Elle a donc été élevée à la campagne, dans sa famille paternelle, des paysans, qui l’ont tout autant choyée que donné de bons coups de trique, lui inculquant régulièrement, tout d’abord une indifférence, puis ensuite une vraie haine vis-à-vis de celle qui lui avait donné le jour et qui l’avait abandonnée… Pour d’autres plaisirs comme on disait pudiquement à l’époque.
Ses rencontres maternelles étaient rares, annuelles, je crois, à l’école du village, entourées de gendarmes pour veiller à ce que la Loi, le droit de visite soit bien respecté, avec leur regard méprisant envers cette femme, et les corrections pleuvant sur ma mère, une fois rentrée, parce qu’elle avait approché cette créature de « mauvaise vie », bien qu’elle n’en ait pas eu vraiment le choix.
Elles ont quand même cessé et ma grand-mère a poursuivi sa vie, on ne savait pas trop où, elle était beaucoup trop taboue dans la famille et le silence était total, sans doute aussi, parce que personne ne savait quoique ce soit à son sujet.
Ma mère est devenue une très jolie jeune fille, a épousé mon père et m’a donné le jour deux ans après. Quelle déception pour elle… Elle voulait tellement une fille, que lorsqu’elle a aperçu le petit appendice à mon bas ventre, elle en a été terriblement déçue. Par malchance, elle n’a plus pu avoir d’enfant par la suite… Hélas.
Je vais passer sur mon enfance et mon adolescence, remplie de joies et de peines, comme chez tous les ados. Mon plus grand bonheur avait été mon dépucelage au Lycée Militaire, où même si j’avais déjà eu le plaisir de sucer quelques bites auparavant, celui de sentir un gros membre viril prendre possession de mon intimité m’avait procuré un bonheur intense, dont je ne me lassais pas, pour le plus grand plaisir de mon sous-off à qui j’avais offert ma virginité et qui en profitait totalement.
Fin de secondaire, Bac en poche avec mention Bien, je devais rejoindre le cocon familial mais surtout, quitter ce mec si viril et qui me possédait avec tant de vigueur.
L’année suivante, vivant toujours chez mes parents à Nice et poursuivant mes études universitaires… Coup de théâtre en rentrant chez moi… !!!
Ma mère était en pleurs, désemparée, ne sachant que dire ou que faire, mon père essayait de la réconforter du mieux qu’il pouvait. Elle avait reçu une lettre de sa mère, sans nouvelles d’elle depuis une vingtaine d’années, et elle souhaitait la rencontrer. Sans beaucoup de détails, elle lui disait qu’elle avait refait sa vie, qu’elle s’était remariée très longtemps après, veuve depuis, et qu’elle avait eu un fils tardivement. Elle désirait une rencontre, même si elle devait être unique, juste pour que ma mère sache qu’elle avait un demi-frère, beaucoup plus jeune qu’elle. Il n’avait à peine que 10 ans de plus que moi.
Après avoir été informé avec un peu plus de détails, et pas mal de palabres, j’ai donné mon avis.
« Tout le monde doit avoir une chance, et, Maman, si tu peux enfin connaitre la vérité, la version de ta mère, tu seras mieux à même de te faire ta propre opinion dans cette histoire qui empoisonne ton existence depuis si longtemps. »« Je ne sais pas si je pourrais Marc, je ne l’ai pas vue depuis des années, et on m’a distillé tant de haine à son égard »« Et bien… Tu mets ça de côté Maman… Finalement, j’ai bien envie de connaitre cette grand-mère que je ne connais pas et cet oncle surgi du ciel… !!! »
La rencontre a eu lieu, pas chez nous mais dans un restaurant de Nice, pour un déjeuner où j’allais rencontrer la partie de ma famille que j’ignorais, sans aucun apriori, comprenant l’angoisse de ma mère et décidé à la soutenir.
Installés à table, j’ai vu s’approcher de nous une très belle femme, copie conforme de ma mère avec quelques années de plus, accompagnée d’un jeune homme… Magnifique… D’un métissage sublime où le noir l’avait emporté quand même, du genre café au lait avec très peu de lait…
En quelques secondes, j’étais « fou » amoureux de lui… (J’ai toujours été Coup de Foudre…) Mais c’était mon oncle. Je le désirais totalement, surtout quand, du fait de ce moment d’hésitation entre ma grand-mère et nous, j’ai pu le contempler à loisir. Je ne pourrais pas vous le décrire tellement il était beau, mais ce qui me fascinait le plus, c’était cette énorme bosse entre ses jambes, à peine compressée dans son pantalon qui laissait deviner un membre viril hors normes… Même si Christian, mon sous-off était très bien gâté par la nature, ce que j’avais devant mes yeux me laissait complètement pantois, d’autant plus que, sage depuis mon retour à Nice, le manque se faisait ressentir… Bien sûr, mon oncle s’en est très vite rendu compte et m’a demandé si cela ne me gênait pas qu’il s’assoit à côté de moi pour le déjeuner.
L’apéritif avait était glacial, personne n’osant prendre la parole, tellement cette réunion semblait ubuesque. Une mère retrouvant sa fille après 20 ans d’absence, lui présentant son demi-frère, Claude, bien noir quand même et rencontrant son petit-fils qu’elle ne connaissait pas. Personne n’osait parler, ne sachant pas trop quoi dire en fait… Comment combler une absence aussi longue… !!!
D’un coup, j’ai senti une main sur ma cuisse, l’enserrant un peu, comme si Claude cherchait un peu de force, et mon approbation pour prendre la parole.
« Je suis trop content d’être enfin avec vous, toi, Camille, ma sœur, François, mon beau-frère, et bien sûr, Marc, mon neveu. Maman ne m’a parlé de votre existence que très récemment, bien après le décès de mon père, et c’est moi qui ai insisté pour vous voir »« Merci Claude, même si je suis désemparée de me trouver face à vous, je suis quand même contente d’avoir un frère… Et…on verra par la suite » En fondant en larmes.
Ma grand-mère est restée de marbre, à mon sens, non pas par froideur, mais surtout ne sachant pas trop comment réagir. Grace à Claude, l’atmosphère s’était quand même relativement détendue, et le déjeuner s’est déroulé d’une manière plus conviviale, où nous avons appris que ma grand-mère vivait à Marseille depuis des années, qu’elle avait eu Claude sur le tard, remariée après la guerre avec un officier français Ivoirien, décédé aux derniers combats de la guerre d’Algérie. Depuis, elle élevait seule son fils, et possédant des mains d’Or, elle excellait dans le domaine de « Brodeuse de Bonne Maison », travaillant pour des couturiers les plus renommés.
Le restaurant où nous déjeunions appartenait à un très bon ami de mon père, qui l’avait informé de cette situation un peu particulière, et qui nous avait mis un salon privé à disposition, si la discussion devait se poursuivre d’une manière plus intime et familiale.
Connaissant le caractère un peu fantasque de ma mère et sa tendance à s’emporter très vite, je ne tenais pas du tout à assister à ce déballage de vieilleries, de rancœur, d’animosité, en comptant sur mon père, dont le calme et la maitrise des situations conflictuelles était exemplaire, il y était habitué depuis si longtemps, le pauvre.
Claude, adorable et charmant avec moi, caressant ma cuisse de plus en plus fréquemment et affectueusement comme pour me rassurer, s’est soudain levé.
« Maman… Allez prendre tous les trois, le café qui vous est servi au salon, Marc et moi ne nous sentons pas très concernés par tout ce que vous avez à vous dire. »« Mais Claude… Tu dois rester, tu dois tout savoir… !!! »« Et bien, tu me le diras après Maman, pour l’instant, je préfère aller me balader dans le jardin avec Marc, mon nouveau neveu, dont j’ai trop hâte de faire la connaissance sans que votre passé y interfère »« Tu me permets de sortir avec Claude, Maman ? Et de vous laisser régler ça entre vous ? »« Oui Marc, je pense que c’est mieux comme ça »« Merci Maman » Je me suis approché à son oreille, comme pour lui faire un bisous en lui chuchotant :« Tu oublies tout ce qu’on a pu te dire sur elle et tu la laisses parler, ensuite, tu lui diras, très calmement, ce que Toi tu as vécu et ressenti, d’accord ? »
Claude m’a conduit vers le jardin, sa main sur mon épaule, s’égarant aussi sur mon dos, d’un geste protecteur, mais qui me donnait des frissons. C’était certes mon oncle, mais surtout un super bel homme et j’en étais privé depuis si longtemps.
Assis sur un banc un peu à l’écart, abrités par un entourage d’arbres et de feuillages, nous avons parlé sereinement, nous sentant, l’un comme l’autre, peu impliqués par ce vieux conflit. Il m’a appris qu’il avait trouvé un travail à Nice et que c’était la raison pour laquelle il y était venu, avec sa mère, pour lui trouver un logement et l’aider à s’installer. C’est après qu’elle lui ait avoué connaitre bien Nice, y avoir vécu, qu’elle lui a révélé tout son passé, son premier mariage, l’existence de ma mère, et la mienne de part là même.
Je buvais ses paroles, et je le contemplais dans toute sa splendeur de mâle. Dieu que mon oncle était beau. Mon regard sur lui ne lui avait pas échappé, bien sûr, ni mon plaisir quand il caressait ma cuisse, ni mon offrande quand je l’ouvrais de plus en plus, pour le laisser remonter, à la limite de l’indécence où il avait pu se rendre compte de l’émotion, on va dire pudiquement, qu’il me procurait.
« Oncle ou pas, je suis trop content de te connaitre, Marc »« Moi aussi Claude… Tu es… merveilleux… !!! »
Il n‘a pas fallu très longtemps pour qu’il me serre dans ses bras, me couvrant de caresses et de bisous, jusqu’à joindre ses lèvres pulpeuses au miennes. J’étais dans les bras de mon « oncle » certes par le sang, mais dont je venais de faire la connaissance, et la preuve de son désir creusait mon ventre d’une manière que je n’avais jamais connue. Je n’avais alors qu’une vague idée de ce que son sexe pouvait être, mais ça me paraissait…. Inimaginable… !!!
Ses immenses mains ont pétri mes fesses, incrustant encore davantage ce monstre de chair sur moi.
« Rassure-moi Marc, je ne me suis pas trompé à ton égard…. Tu aimes les hommes, et surtout… ne le nie pas. »« Comment je pourrais dire le contraire en étant aussi fort dans tes bras…. Mais tu l’as compris comment ? »« Ce n’étaient pas des yeux de neveu que j’avais sur moi quand on s’est vus tout à l’heure, mais le désir suintait par tout ton corps. »« On peut pas Claude… Tu es mon oncle… »« Depuis quelques heures seulement… Non ? »« Oui, c’est vrai »« Alors, on se fout complètement de ce qu’ils se disent là-haut, mais demain, tu viens visiter mon nouvel appartement, et on se découvrira, comment dire… Un peu mieux… Plus profondément…. D’accord ? »« Je me débrouillerais… Mais volontiers… Je crois qu’on a envie l’un et l’autre, comment dire… de se connaitre intimement. »« Tu es puceau ? Vierge ? Pas encore connu l’amour ? »« Non Claude, j’ai déjà connu ce plaisir d’appartenir à un homme… »« J’espère qu’il était bien membré, parce qu’avec moi, comme tu as pu le constater, ça ne sera pas très simple… Toujours d’accord ? »« Plus que jamais… »Même si j’avais été très stupéfié de sa franchise, de son ton très direct, il me rassurait. Cette journée avait tellement étonnante, que plus rien ne me surprenait vraiment.
Nous sommes allés rejoindre la famille au salon, assez dévastée, ma mère et ma grand-mère pleurant autant l’une que l’autre, mais il n’y régnait aucune animosité.
« Maman, je ne sais pas ce que vous vous êtes dit ensemble, on en parlera plus tard. Quoiqu’il en soit, et quel que soit ton choix avec ta mère, Claude est mon oncle. Je viens de faire sa connaissance et il est hors de question que je rompe tout contact avec lui. Ta vie c’est ton choix, ma vie, c’est le mien. »« Camille, je ne sais pas ce que vous avez décidé avec Maman, il vous faudra sans doute beaucoup de temps pour tout comprendre. »« Je sais Claude, tu n’y es pour rien dans tout ça… !!! »« Et Marc non plus… Donc, si vous voulez continuer à vous déchirer entre vous, c’est Votre problème… Pas le nôtre… »« Ça veut dire quoi ça ? »« Que je vais montrer mon nouvel appartement à Nice à Marc et que dorénavant, il sera toujours le bienvenu chez moi… Je suis assez clair Camille ? »
Le surlendemain, je visitais l’appartement de mon Oncle…Et pas que… !!!
La Rencontre
Mes grands-parents avaient divorcé très peu de temps après la naissance de ma mère, la laissant seule à son père pour s’en aller vivre une « mauvaise vie » comme on le disait à l’époque.
Elle a donc été élevée à la campagne, dans sa famille paternelle, des paysans, qui l’ont tout autant choyée que donné de bons coups de trique, lui inculquant régulièrement, tout d’abord une indifférence, puis ensuite une vraie haine vis-à-vis de celle qui lui avait donné le jour et qui l’avait abandonnée… Pour d’autres plaisirs comme on disait pudiquement à l’époque.
Ses rencontres maternelles étaient rares, annuelles, je crois, à l’école du village, entourées de gendarmes pour veiller à ce que la Loi, le droit de visite soit bien respecté, avec leur regard méprisant envers cette femme, et les corrections pleuvant sur ma mère, une fois rentrée, parce qu’elle avait approché cette créature de « mauvaise vie », bien qu’elle n’en ait pas eu vraiment le choix.
Elles ont quand même cessé et ma grand-mère a poursuivi sa vie, on ne savait pas trop où, elle était beaucoup trop taboue dans la famille et le silence était total, sans doute aussi, parce que personne ne savait quoique ce soit à son sujet.
Ma mère est devenue une très jolie jeune fille, a épousé mon père et m’a donné le jour deux ans après. Quelle déception pour elle… Elle voulait tellement une fille, que lorsqu’elle a aperçu le petit appendice à mon bas ventre, elle en a été terriblement déçue. Par malchance, elle n’a plus pu avoir d’enfant par la suite… Hélas.
Je vais passer sur mon enfance et mon adolescence, remplie de joies et de peines, comme chez tous les ados. Mon plus grand bonheur avait été mon dépucelage au Lycée Militaire, où même si j’avais déjà eu le plaisir de sucer quelques bites auparavant, celui de sentir un gros membre viril prendre possession de mon intimité m’avait procuré un bonheur intense, dont je ne me lassais pas, pour le plus grand plaisir de mon sous-off à qui j’avais offert ma virginité et qui en profitait totalement.
Fin de secondaire, Bac en poche avec mention Bien, je devais rejoindre le cocon familial mais surtout, quitter ce mec si viril et qui me possédait avec tant de vigueur.
L’année suivante, vivant toujours chez mes parents à Nice et poursuivant mes études universitaires… Coup de théâtre en rentrant chez moi… !!!
Ma mère était en pleurs, désemparée, ne sachant que dire ou que faire, mon père essayait de la réconforter du mieux qu’il pouvait. Elle avait reçu une lettre de sa mère, sans nouvelles d’elle depuis une vingtaine d’années, et elle souhaitait la rencontrer. Sans beaucoup de détails, elle lui disait qu’elle avait refait sa vie, qu’elle s’était remariée très longtemps après, veuve depuis, et qu’elle avait eu un fils tardivement. Elle désirait une rencontre, même si elle devait être unique, juste pour que ma mère sache qu’elle avait un demi-frère, beaucoup plus jeune qu’elle. Il n’avait à peine que 10 ans de plus que moi.
Après avoir été informé avec un peu plus de détails, et pas mal de palabres, j’ai donné mon avis.
« Tout le monde doit avoir une chance, et, Maman, si tu peux enfin connaitre la vérité, la version de ta mère, tu seras mieux à même de te faire ta propre opinion dans cette histoire qui empoisonne ton existence depuis si longtemps. »« Je ne sais pas si je pourrais Marc, je ne l’ai pas vue depuis des années, et on m’a distillé tant de haine à son égard »« Et bien… Tu mets ça de côté Maman… Finalement, j’ai bien envie de connaitre cette grand-mère que je ne connais pas et cet oncle surgi du ciel… !!! »
La rencontre a eu lieu, pas chez nous mais dans un restaurant de Nice, pour un déjeuner où j’allais rencontrer la partie de ma famille que j’ignorais, sans aucun apriori, comprenant l’angoisse de ma mère et décidé à la soutenir.
Installés à table, j’ai vu s’approcher de nous une très belle femme, copie conforme de ma mère avec quelques années de plus, accompagnée d’un jeune homme… Magnifique… D’un métissage sublime où le noir l’avait emporté quand même, du genre café au lait avec très peu de lait…
En quelques secondes, j’étais « fou » amoureux de lui… (J’ai toujours été Coup de Foudre…) Mais c’était mon oncle. Je le désirais totalement, surtout quand, du fait de ce moment d’hésitation entre ma grand-mère et nous, j’ai pu le contempler à loisir. Je ne pourrais pas vous le décrire tellement il était beau, mais ce qui me fascinait le plus, c’était cette énorme bosse entre ses jambes, à peine compressée dans son pantalon qui laissait deviner un membre viril hors normes… Même si Christian, mon sous-off était très bien gâté par la nature, ce que j’avais devant mes yeux me laissait complètement pantois, d’autant plus que, sage depuis mon retour à Nice, le manque se faisait ressentir… Bien sûr, mon oncle s’en est très vite rendu compte et m’a demandé si cela ne me gênait pas qu’il s’assoit à côté de moi pour le déjeuner.
L’apéritif avait était glacial, personne n’osant prendre la parole, tellement cette réunion semblait ubuesque. Une mère retrouvant sa fille après 20 ans d’absence, lui présentant son demi-frère, Claude, bien noir quand même et rencontrant son petit-fils qu’elle ne connaissait pas. Personne n’osait parler, ne sachant pas trop quoi dire en fait… Comment combler une absence aussi longue… !!!
D’un coup, j’ai senti une main sur ma cuisse, l’enserrant un peu, comme si Claude cherchait un peu de force, et mon approbation pour prendre la parole.
« Je suis trop content d’être enfin avec vous, toi, Camille, ma sœur, François, mon beau-frère, et bien sûr, Marc, mon neveu. Maman ne m’a parlé de votre existence que très récemment, bien après le décès de mon père, et c’est moi qui ai insisté pour vous voir »« Merci Claude, même si je suis désemparée de me trouver face à vous, je suis quand même contente d’avoir un frère… Et…on verra par la suite » En fondant en larmes.
Ma grand-mère est restée de marbre, à mon sens, non pas par froideur, mais surtout ne sachant pas trop comment réagir. Grace à Claude, l’atmosphère s’était quand même relativement détendue, et le déjeuner s’est déroulé d’une manière plus conviviale, où nous avons appris que ma grand-mère vivait à Marseille depuis des années, qu’elle avait eu Claude sur le tard, remariée après la guerre avec un officier français Ivoirien, décédé aux derniers combats de la guerre d’Algérie. Depuis, elle élevait seule son fils, et possédant des mains d’Or, elle excellait dans le domaine de « Brodeuse de Bonne Maison », travaillant pour des couturiers les plus renommés.
Le restaurant où nous déjeunions appartenait à un très bon ami de mon père, qui l’avait informé de cette situation un peu particulière, et qui nous avait mis un salon privé à disposition, si la discussion devait se poursuivre d’une manière plus intime et familiale.
Connaissant le caractère un peu fantasque de ma mère et sa tendance à s’emporter très vite, je ne tenais pas du tout à assister à ce déballage de vieilleries, de rancœur, d’animosité, en comptant sur mon père, dont le calme et la maitrise des situations conflictuelles était exemplaire, il y était habitué depuis si longtemps, le pauvre.
Claude, adorable et charmant avec moi, caressant ma cuisse de plus en plus fréquemment et affectueusement comme pour me rassurer, s’est soudain levé.
« Maman… Allez prendre tous les trois, le café qui vous est servi au salon, Marc et moi ne nous sentons pas très concernés par tout ce que vous avez à vous dire. »« Mais Claude… Tu dois rester, tu dois tout savoir… !!! »« Et bien, tu me le diras après Maman, pour l’instant, je préfère aller me balader dans le jardin avec Marc, mon nouveau neveu, dont j’ai trop hâte de faire la connaissance sans que votre passé y interfère »« Tu me permets de sortir avec Claude, Maman ? Et de vous laisser régler ça entre vous ? »« Oui Marc, je pense que c’est mieux comme ça »« Merci Maman » Je me suis approché à son oreille, comme pour lui faire un bisous en lui chuchotant :« Tu oublies tout ce qu’on a pu te dire sur elle et tu la laisses parler, ensuite, tu lui diras, très calmement, ce que Toi tu as vécu et ressenti, d’accord ? »
Claude m’a conduit vers le jardin, sa main sur mon épaule, s’égarant aussi sur mon dos, d’un geste protecteur, mais qui me donnait des frissons. C’était certes mon oncle, mais surtout un super bel homme et j’en étais privé depuis si longtemps.
Assis sur un banc un peu à l’écart, abrités par un entourage d’arbres et de feuillages, nous avons parlé sereinement, nous sentant, l’un comme l’autre, peu impliqués par ce vieux conflit. Il m’a appris qu’il avait trouvé un travail à Nice et que c’était la raison pour laquelle il y était venu, avec sa mère, pour lui trouver un logement et l’aider à s’installer. C’est après qu’elle lui ait avoué connaitre bien Nice, y avoir vécu, qu’elle lui a révélé tout son passé, son premier mariage, l’existence de ma mère, et la mienne de part là même.
Je buvais ses paroles, et je le contemplais dans toute sa splendeur de mâle. Dieu que mon oncle était beau. Mon regard sur lui ne lui avait pas échappé, bien sûr, ni mon plaisir quand il caressait ma cuisse, ni mon offrande quand je l’ouvrais de plus en plus, pour le laisser remonter, à la limite de l’indécence où il avait pu se rendre compte de l’émotion, on va dire pudiquement, qu’il me procurait.
« Oncle ou pas, je suis trop content de te connaitre, Marc »« Moi aussi Claude… Tu es… merveilleux… !!! »
Il n‘a pas fallu très longtemps pour qu’il me serre dans ses bras, me couvrant de caresses et de bisous, jusqu’à joindre ses lèvres pulpeuses au miennes. J’étais dans les bras de mon « oncle » certes par le sang, mais dont je venais de faire la connaissance, et la preuve de son désir creusait mon ventre d’une manière que je n’avais jamais connue. Je n’avais alors qu’une vague idée de ce que son sexe pouvait être, mais ça me paraissait…. Inimaginable… !!!
Ses immenses mains ont pétri mes fesses, incrustant encore davantage ce monstre de chair sur moi.
« Rassure-moi Marc, je ne me suis pas trompé à ton égard…. Tu aimes les hommes, et surtout… ne le nie pas. »« Comment je pourrais dire le contraire en étant aussi fort dans tes bras…. Mais tu l’as compris comment ? »« Ce n’étaient pas des yeux de neveu que j’avais sur moi quand on s’est vus tout à l’heure, mais le désir suintait par tout ton corps. »« On peut pas Claude… Tu es mon oncle… »« Depuis quelques heures seulement… Non ? »« Oui, c’est vrai »« Alors, on se fout complètement de ce qu’ils se disent là-haut, mais demain, tu viens visiter mon nouvel appartement, et on se découvrira, comment dire… Un peu mieux… Plus profondément…. D’accord ? »« Je me débrouillerais… Mais volontiers… Je crois qu’on a envie l’un et l’autre, comment dire… de se connaitre intimement. »« Tu es puceau ? Vierge ? Pas encore connu l’amour ? »« Non Claude, j’ai déjà connu ce plaisir d’appartenir à un homme… »« J’espère qu’il était bien membré, parce qu’avec moi, comme tu as pu le constater, ça ne sera pas très simple… Toujours d’accord ? »« Plus que jamais… »Même si j’avais été très stupéfié de sa franchise, de son ton très direct, il me rassurait. Cette journée avait tellement étonnante, que plus rien ne me surprenait vraiment.
Nous sommes allés rejoindre la famille au salon, assez dévastée, ma mère et ma grand-mère pleurant autant l’une que l’autre, mais il n’y régnait aucune animosité.
« Maman, je ne sais pas ce que vous vous êtes dit ensemble, on en parlera plus tard. Quoiqu’il en soit, et quel que soit ton choix avec ta mère, Claude est mon oncle. Je viens de faire sa connaissance et il est hors de question que je rompe tout contact avec lui. Ta vie c’est ton choix, ma vie, c’est le mien. »« Camille, je ne sais pas ce que vous avez décidé avec Maman, il vous faudra sans doute beaucoup de temps pour tout comprendre. »« Je sais Claude, tu n’y es pour rien dans tout ça… !!! »« Et Marc non plus… Donc, si vous voulez continuer à vous déchirer entre vous, c’est Votre problème… Pas le nôtre… »« Ça veut dire quoi ça ? »« Que je vais montrer mon nouvel appartement à Nice à Marc et que dorénavant, il sera toujours le bienvenu chez moi… Je suis assez clair Camille ? »
Le surlendemain, je visitais l’appartement de mon Oncle…Et pas que… !!!
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