Mon Nouvel Oncle (3)
Récit érotique écrit par PassifChaud [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-05-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mon Nouvel Oncle (3)
Lui et Moi
Claude me manquait vraiment… Mais entre son installation, le début de son nouveau boulot et moi, surchargé de TD dans les 3 langues que j’avais choisies à la Fac, les moments ensemble étaient assez rares.
Ni lui, ni moi, ne souhaitions que notre famille sache que nous étions, comment dire, devenus très proches, encore moins, aborder le sujet sexuel évidemment, mais les laisser plutôt dans l’esprit qu’une relation affectueuse s’instaurait petit à petit entre nous. Il était fils unique et moi aussi, donc, à leurs yeux, c’était plutôt la recherche du grand et du petit frère manquant, qui prenait place, vu notre faible différence d’âge.
Il était ingénieur dans le BTP, spécialiste dans les constructions parasismiques. Je comprenais maintenant pourquoi il avait été sollicité à Nice, seconde industrie la plus prospère après le tourisme, et où il avait été coopté par le plus grand groupe local, décidé, compte tenu de notre sol, à ne construire que des bâtiments résistants aux secousses que nous ressentions assez souvent, certes faibles, mais qui pouvaient s’amplifier.
Si j’étais hyper fier des compétences de mon homme, je me disais aussi que cela allait être beaucoup plus facile pour ma mère d’accepter, et d’apprécier son frère. Il n’était pas un « nègre » conçu de la « mauvaise vie » de sa mère, mais un enfant légitime, brillant, avec une excellente situation, dont le professionnalisme était, non seulement respecté, mais sollicité aussi.
De ce fait, une relation plus cordiale, plus régulière s’est instaurée entre mes parents et lui, l’orgueil démesuré de ma mère avait été comblé par la réussite de son frère. Elle avait beaucoup de défauts, mais elle n’était pas raciste. Si la couleur de peau de Claude l’avait surprise au début, normal, elle ne pouvait pas s’y attendre, cela ne la gênait pas vraiment. Elle adorait nos voisins, noirs de chez noir, Antillais, et entretenait, avec eux, d’excellentes relations de bon voisinage, avec visites et échanges de plats réguliers.
Si pour mes parents, Claude devenait à la fois mon oncle et mon « grand frère », pour nous deux, il en était très différent. On était fous l’un de l’autre maintenant, d’un amour, d’une passion, d’une complicité, d’un désir qui atteignaient une intensité qui croissait, encore et encore, pour mon plus grand bonheur, et mon plus grand désarroi aussi.
Un jour où Claude déjeunait chez nous, assis à la table le plus loin de moi possible pour tenter de rester imperturbables, un simple contact nous rendait incontrôlables, il a soudain demandé à ma mère :
« Camille, Marc bosse beaucoup en ce moment, et il a des résultats excellents. »« Oui, Claude, et j’en suis super fière. »« Alors, c’est bientôt les vacances des Pâques (Comme on disait à l’époque), Tu me permets de l’amener avec moi pour lui faire découvrir les calanques de Cassis ? »« Je…. Sais pas…. Pourquoi pas s’il le veut… Mais… »« J’ai compris Camille. C’est à Cassis, pas à Marseille. »« Pas ta mère, d’accord ? » Elle ne pouvait toujours pas dire Maman en parlant de sa mère.
« Non…. Juste lui et moi… Je vais lui apprendre à pêcher, à attraper des langoustes, cuisiner des grillades, je sais qu’il adore ça »« Mais vous allez loger où ? »« Un de mes meilleurs potes de Fac de Marseille a une sorte de cabanon près de Cassis, dans une calanque qu’il me prêtera volontiers. Je ne lui encore rien demandé, je voulais t’en parler avant. Je pense que ça ferait plaisir à Marc de souffler un peu, de se détendre quelques jours, profiter de la mer et du super barbecue, il l’a gagné, non ? »« C’est sûr, mais je sais pas trop…. Marc, tu en penses quoi ? »
Bien évidemment, mon homme adoré ne m’avait absolument pas parlé de ce projet. Il voulait m’en faire une surprise totale, et c’est l’oncle, bien sage et sérieux, qui a demandé à sa sœur, la permission d’amener son neveu en vacances bien méritées. J’ai failli hurler de rire, nerveux je pense, mais nous étions tellement complices tous les deux que j’avais complètement saisi son stratagème. Quelques jours juste lui et moi, sans aucune contrainte. J’ai pris mon air sage, presque contrit pour répondre à ma mère :
« Ma foi Maman, j’aimerais bien, j’adore la mer et avec Claude, je me sentirais en confiance, en sécurité, c’est ton frère. »« Tu l’as mérité Marc, tu as trop bien travaillé, tu as besoin de te profiter aussi »
J’espérais bien que tout en moi allait se détendre complètement avec mon Claude adoré… Bien évidemment, mes parents n’étaient pas du tout au courant de mon homosexualité et ne pouvaient pas imaginer, ne serait-ce qu’un seul instant, que mon oncle, black de surcroit, me défonçait à qui mieux mieux, dès que nous en avions l’occasion, trop rares à notre goût.
« Tu es d’accord toi aussi, Papa ? »
La décision fut prise pour un départ le vendredi suivant, début des vacances. Claude avait entre temps joint son ami qui mettait volontiers le cabanon à notre disposition. Le matin, ma mère avait rempli le coffre de la 4L de Claude, de vêtements, de nourriture, de médicaments aussi, comme si nous nous rendions en plein milieu du Sahara pour des mois, après maintes recommandations.
Sortis de l’autoroute à Fréjus, dont c’était la fin à l’époque, Claude a garé la voiture dans un endroit discret, un bosquet au bout d’un petit chemin, me disant qu’il avait besoin de détendre un peu ses longues jambes. Une fois sortis, j’ai compris très vite que ce qui devait se « détendre » incluait la troisième… Cette énorme barre qui déformait son short, descendant jusqu’à mi-cuisse, dont le gland, gros presque comme une pêche dépassait. Une halte de décontraction… Mais sans doute, pas de tout repos, ni pour l’un ni pour l’autre, notre désir était trop fort.
Être si proche de lui dans ce petit habitacle de la 4L, son incomparable odeur emplissant mes narines, mes yeux ayant du mal à quitter la déformation grandissante du tissu recouvrant avec difficulté le centre de son corps, j’attendais cette pause avec une impatience que j’essayais de montrer très sage… !!!
L’arrêt tant désiré, où nous pourrions nous repaître de notre désir, inassouvi depuis plusieurs jours. J’étais enfin dans ses bras, le caresser de partout, mes mains furetant dans tous ses poils, descendant jusqu’à l’objet de ce fabuleux membre odorant, concentré de testostérone et de phéromones, qui nous liait, qui faisait la jointure de nos deux corps pour n’en faire plus qu’un.
Je l’ai savouré, je m’en suis délecté, le caressant, le léchant, alternant les simples coups de langue sur son gland, prolongé sur toute l’immense longueur de son sceptre, jusqu’à la caresse fatale qui, je le savais, le faisait toujours craquer. Mes doigts aux ongles toujours un peu longs, attisant, à petits coups, ce monstre de chair.
Il ne lui a pas fallu très longtemps pour que le mâle dominant reprenne le dessus. Pendant qu’il appuyait sur mes épaules pour que je le prenne en bouche, le tube de Vaseline était très vite sorti de sa poche, enduisant l’orifice de mon calice mais aussi, son intérieur. En quelques secondes, il m’a courbé sur le capot encore chaud de la voiture, pantalon baissé et a pris possession de ma fente, ouverte et humide, n’attendant que la saillie de son homme.
Il est entré en moi d’un coup, me perforant au 2/3 de sa longueur et cherchant à aller encore plus profond encore. Je voulais autant que lui l’avoir entièrement en moi. Il y était presque parvenu, seul manquait la base, vraiment hyper large pour que je puisse encore parvenir à le sentir en totalité, avec ses couilles si volumineuses tapant enfin sur mes fesses.
Il nous a fallu trois accouplements, où à chacun d’eux, il a pu se déverser au fond de mon calice, tant notre manque était intense pour nous deux. Enfin apaisé, on va dire, en partie le connaissant, nous avons repris la route jusqu’à arriver au « Cabanon ». Ma foi… Une construction en dur, avec un grand salon et cuisine attenante et une super chambre… C’était pas vraiment ce j’avais dans l’esprit, je pensais plutôt à une simple cabane en bois et j’étais agréablement surpris de ce cadre qui allait être le nôtre pour une semaine. Tout ça, au bout d’un chemin et juste au bord de l’eau. Magnifié par ce paysage, je me suis retourné vers Claude, mes mains sur lui, mes lèvres sur les siennes :
« J’ai envie… !!!»
Claude me manquait vraiment… Mais entre son installation, le début de son nouveau boulot et moi, surchargé de TD dans les 3 langues que j’avais choisies à la Fac, les moments ensemble étaient assez rares.
Ni lui, ni moi, ne souhaitions que notre famille sache que nous étions, comment dire, devenus très proches, encore moins, aborder le sujet sexuel évidemment, mais les laisser plutôt dans l’esprit qu’une relation affectueuse s’instaurait petit à petit entre nous. Il était fils unique et moi aussi, donc, à leurs yeux, c’était plutôt la recherche du grand et du petit frère manquant, qui prenait place, vu notre faible différence d’âge.
Il était ingénieur dans le BTP, spécialiste dans les constructions parasismiques. Je comprenais maintenant pourquoi il avait été sollicité à Nice, seconde industrie la plus prospère après le tourisme, et où il avait été coopté par le plus grand groupe local, décidé, compte tenu de notre sol, à ne construire que des bâtiments résistants aux secousses que nous ressentions assez souvent, certes faibles, mais qui pouvaient s’amplifier.
Si j’étais hyper fier des compétences de mon homme, je me disais aussi que cela allait être beaucoup plus facile pour ma mère d’accepter, et d’apprécier son frère. Il n’était pas un « nègre » conçu de la « mauvaise vie » de sa mère, mais un enfant légitime, brillant, avec une excellente situation, dont le professionnalisme était, non seulement respecté, mais sollicité aussi.
De ce fait, une relation plus cordiale, plus régulière s’est instaurée entre mes parents et lui, l’orgueil démesuré de ma mère avait été comblé par la réussite de son frère. Elle avait beaucoup de défauts, mais elle n’était pas raciste. Si la couleur de peau de Claude l’avait surprise au début, normal, elle ne pouvait pas s’y attendre, cela ne la gênait pas vraiment. Elle adorait nos voisins, noirs de chez noir, Antillais, et entretenait, avec eux, d’excellentes relations de bon voisinage, avec visites et échanges de plats réguliers.
Si pour mes parents, Claude devenait à la fois mon oncle et mon « grand frère », pour nous deux, il en était très différent. On était fous l’un de l’autre maintenant, d’un amour, d’une passion, d’une complicité, d’un désir qui atteignaient une intensité qui croissait, encore et encore, pour mon plus grand bonheur, et mon plus grand désarroi aussi.
Un jour où Claude déjeunait chez nous, assis à la table le plus loin de moi possible pour tenter de rester imperturbables, un simple contact nous rendait incontrôlables, il a soudain demandé à ma mère :
« Camille, Marc bosse beaucoup en ce moment, et il a des résultats excellents. »« Oui, Claude, et j’en suis super fière. »« Alors, c’est bientôt les vacances des Pâques (Comme on disait à l’époque), Tu me permets de l’amener avec moi pour lui faire découvrir les calanques de Cassis ? »« Je…. Sais pas…. Pourquoi pas s’il le veut… Mais… »« J’ai compris Camille. C’est à Cassis, pas à Marseille. »« Pas ta mère, d’accord ? » Elle ne pouvait toujours pas dire Maman en parlant de sa mère.
« Non…. Juste lui et moi… Je vais lui apprendre à pêcher, à attraper des langoustes, cuisiner des grillades, je sais qu’il adore ça »« Mais vous allez loger où ? »« Un de mes meilleurs potes de Fac de Marseille a une sorte de cabanon près de Cassis, dans une calanque qu’il me prêtera volontiers. Je ne lui encore rien demandé, je voulais t’en parler avant. Je pense que ça ferait plaisir à Marc de souffler un peu, de se détendre quelques jours, profiter de la mer et du super barbecue, il l’a gagné, non ? »« C’est sûr, mais je sais pas trop…. Marc, tu en penses quoi ? »
Bien évidemment, mon homme adoré ne m’avait absolument pas parlé de ce projet. Il voulait m’en faire une surprise totale, et c’est l’oncle, bien sage et sérieux, qui a demandé à sa sœur, la permission d’amener son neveu en vacances bien méritées. J’ai failli hurler de rire, nerveux je pense, mais nous étions tellement complices tous les deux que j’avais complètement saisi son stratagème. Quelques jours juste lui et moi, sans aucune contrainte. J’ai pris mon air sage, presque contrit pour répondre à ma mère :
« Ma foi Maman, j’aimerais bien, j’adore la mer et avec Claude, je me sentirais en confiance, en sécurité, c’est ton frère. »« Tu l’as mérité Marc, tu as trop bien travaillé, tu as besoin de te profiter aussi »
J’espérais bien que tout en moi allait se détendre complètement avec mon Claude adoré… Bien évidemment, mes parents n’étaient pas du tout au courant de mon homosexualité et ne pouvaient pas imaginer, ne serait-ce qu’un seul instant, que mon oncle, black de surcroit, me défonçait à qui mieux mieux, dès que nous en avions l’occasion, trop rares à notre goût.
« Tu es d’accord toi aussi, Papa ? »
La décision fut prise pour un départ le vendredi suivant, début des vacances. Claude avait entre temps joint son ami qui mettait volontiers le cabanon à notre disposition. Le matin, ma mère avait rempli le coffre de la 4L de Claude, de vêtements, de nourriture, de médicaments aussi, comme si nous nous rendions en plein milieu du Sahara pour des mois, après maintes recommandations.
Sortis de l’autoroute à Fréjus, dont c’était la fin à l’époque, Claude a garé la voiture dans un endroit discret, un bosquet au bout d’un petit chemin, me disant qu’il avait besoin de détendre un peu ses longues jambes. Une fois sortis, j’ai compris très vite que ce qui devait se « détendre » incluait la troisième… Cette énorme barre qui déformait son short, descendant jusqu’à mi-cuisse, dont le gland, gros presque comme une pêche dépassait. Une halte de décontraction… Mais sans doute, pas de tout repos, ni pour l’un ni pour l’autre, notre désir était trop fort.
Être si proche de lui dans ce petit habitacle de la 4L, son incomparable odeur emplissant mes narines, mes yeux ayant du mal à quitter la déformation grandissante du tissu recouvrant avec difficulté le centre de son corps, j’attendais cette pause avec une impatience que j’essayais de montrer très sage… !!!
L’arrêt tant désiré, où nous pourrions nous repaître de notre désir, inassouvi depuis plusieurs jours. J’étais enfin dans ses bras, le caresser de partout, mes mains furetant dans tous ses poils, descendant jusqu’à l’objet de ce fabuleux membre odorant, concentré de testostérone et de phéromones, qui nous liait, qui faisait la jointure de nos deux corps pour n’en faire plus qu’un.
Je l’ai savouré, je m’en suis délecté, le caressant, le léchant, alternant les simples coups de langue sur son gland, prolongé sur toute l’immense longueur de son sceptre, jusqu’à la caresse fatale qui, je le savais, le faisait toujours craquer. Mes doigts aux ongles toujours un peu longs, attisant, à petits coups, ce monstre de chair.
Il ne lui a pas fallu très longtemps pour que le mâle dominant reprenne le dessus. Pendant qu’il appuyait sur mes épaules pour que je le prenne en bouche, le tube de Vaseline était très vite sorti de sa poche, enduisant l’orifice de mon calice mais aussi, son intérieur. En quelques secondes, il m’a courbé sur le capot encore chaud de la voiture, pantalon baissé et a pris possession de ma fente, ouverte et humide, n’attendant que la saillie de son homme.
Il est entré en moi d’un coup, me perforant au 2/3 de sa longueur et cherchant à aller encore plus profond encore. Je voulais autant que lui l’avoir entièrement en moi. Il y était presque parvenu, seul manquait la base, vraiment hyper large pour que je puisse encore parvenir à le sentir en totalité, avec ses couilles si volumineuses tapant enfin sur mes fesses.
Il nous a fallu trois accouplements, où à chacun d’eux, il a pu se déverser au fond de mon calice, tant notre manque était intense pour nous deux. Enfin apaisé, on va dire, en partie le connaissant, nous avons repris la route jusqu’à arriver au « Cabanon ». Ma foi… Une construction en dur, avec un grand salon et cuisine attenante et une super chambre… C’était pas vraiment ce j’avais dans l’esprit, je pensais plutôt à une simple cabane en bois et j’étais agréablement surpris de ce cadre qui allait être le nôtre pour une semaine. Tout ça, au bout d’un chemin et juste au bord de l’eau. Magnifié par ce paysage, je me suis retourné vers Claude, mes mains sur lui, mes lèvres sur les siennes :
« J’ai envie… !!!»
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