Mon oncle
Récit érotique écrit par la catin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 5 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de la catin ont reçu un total de 28 296 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-08-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 5 647 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Mon oncle
Cette anecdote se situe l’été de mes vingt ans, quelque part en Provence où j’étais en vacances avec ma mère, mon père et mon oncle Yann, le frère de ma mère que j’aimais beaucoup et auquel je confiais tous mes problèmes, depuis toujours.
La maison était fort agréable. Elle disposait d’une piscine et donnait sur des champs d’oliviers à perte de vue.
Presque le paradis.
Curieuse, fouineuse, et rêveuse incorrigible, j’entrepris après quelques jours de partir à la découverte d’un hypothétique trésor enfoui quelque part dans ce majestueux mas. Bien sûr je ne trouvai rien, à l’exception d’une malle dans laquelle je découvris quelques vieilleries sans intérêt ainsi qu’un livre écorné intitulé « Bernadette au couvent » qui piqua ma curiosité. Pourquoi avait-il était si bien caché au lieu de figurer sur une étagère de la bibliothèque ? Il me suffit de l’ouvrir pour comprendre. Il s’agissait d’un livre érotique illustré ça et là par des gravures suggestives. J’en cherchai la date de publication : 1920. De plus en plus étonnant. Je m’assis pour en commencer la lecture mais j’entendis mes parents monter à l’étage. Je me précipitai dans ma chambre pour dissimuler mon trésor que je dus abandonner quelques heures et mes parents, ce soir là, s’étonnèrent de mon empressement à regagner ma chambre.
— Tu ne te sens pas bien, ma chérie ? demanda ma mère
— Un peu mal à la tête
— Tu veux un cachet ?
— Non, non, je préfère me reposer. Ça va passer
— Bonne nuit ma puce, lança mon père alors que je me levai
— Bonne nuit à tous.
Une fois dans ma chambre je plongeai sur mon lit et délogeai mon trésor que j’avais glissé bien modestement sous mon oreiller. Je commençai par regarder les images qui me chauffèrent le sang mais pas autant que la lecture à laquelle je me livrai jusqu’aux frontières du sommeil qui m’emporta peu après minuit.
Dès mon réveil je glissai le livre dans la pochette d’un autre, anodin, car je ne pourrai pas attendre le soir pour en poursuivre la lecture.
— Ça va mieux ma puce ? demanda mon père lorsque je le croisai sur la terrasse
— Oui, oui, ça va. Vous allez où ?
— On doit faire un saut à Nice. On sera de retour dans la soirée. Probablement pas avant vingt heures. Tache de pas trop t’ennuyer avec oncle Yann
— Je vais essayer. Bye !
Oncle Yann émergea sur le coup des onze heures et il me proposa une virée dans un restaurant local. Nous en revînmes vers 15 heures et j’étais follement impatiente de retrouver Bernadette en proie à la libido débordante du père prieur. Je fonçai dans ma chambre pour revêtir mon deux pièces turquoise et je ressortis m’allonger au bord de la piscine. Avec mon livre bien sur !
Yann m’y rejoint moins d’une heure plus tard et lorsque je le vis approcher je posai instinctivement le regard sur son maillot. L’avait-il aussi grosse que celle du père prieur ? Je chassai illico cette pensée grivoise, avec pour seule excuse, la forte chaleur qui m’étreignait le ventre depuis une dizaine de minutes
— Qu’est-ce que tu lis ? demanda-t-il. Je montrai la fausse couverture et il déclara : je connais pas, c’est bien ?
— Ouais. Je te le prêterai si tu veux
— Bof ! tu sais, moi, la lecture
Je le savais, sinon je ne lui aurais jamais proposé, mais c’était le plus sûr moyen de calmer sa curiosité.
Je me replongeai daredare dans les aventures de Bernadette, laquelle venait de se faire pénétrer dans les fesses. L’auteure décrivait si précisément la sodomie que mon ventre s’embrasa. Je dus reposer l’ouvrage et plonger dans l’eau claire pour me calmer l’esprit. De retour je frissonnai en m’apercevant que mon oncle avait touché le livre. Je le regardai. Il avait les yeux fermés :
— C’est de ton âge, lança-t-il soudain, mais ça ne remplace pas la pratique.
Je ne répondis rien et me rallongeai pour reprendre la lecture qui raviva les braises si vite et si intensément que je ne réagis pas lorsque mon oncle posa la main sur ma cuisse. Le contact chaud de sa paume me foudroya le ventre et à l’instant où le père prieur glissait la main sous la tunique de Bernadette, les doigts de mon oncle glissaient sur ma culotte. Je frissonnai puis je gémis lorsqu’il commença à me caresser sans pour autant abandonner ma lecture. Mon degré d’excitation était tel que le repousser m’était impossible. Au contraire, je voulais qu’il me caresse encore et encore. J’avais envie de m’identifier à Bernadette qui jouissait à présent sous les caresses du père prieur. J’avais envie de sentir les doigts de Yann glisser sous ma culotte. Envie qu’il me pétrisse les seins, qu’il me pince les tétons comme appréciait tant Bernadette. Mon corps n’était plus que désirs. Jamais de ma vie je ne m’étais sentie dans un tel état d’excitation et que Yann fut mon oncle, en ces instants où mon corps se consumait, ne me dérangeait pas.
Je frissonnai lorsqu’il lança :
— Tu me montres ta petite chatte, ma puce ? à l’instant précis où le père prieur prononçait ces mêmes paroles et ma culotte et celle de Bernadette glissèrent en même temps le long de nos jambes.
Yann me caressait les cuisses alors que le père prieur déposait un baiser sur la vulve humide de Bernadette. Moi aussi j’en avais envie, alors lentement je remontai les jambes et m’ouvris en une invitation silencieuse. Déjà Bernadette gémissait et comme elle l’avait fait avec son amant, je saisis Yann par les cheveux pour l’attirer. Puis je vibrai de tout mon être lorsque sa langue se promena sur mon clitoris. C’était tellement bon. Tellement mieux qu’avec mon petit copain Paul (le dernier en date). Je jouis deux fois avec une intensité que l’échelle de Richter ne connaissait pas. Mais je n’étais pas pour autant calmée car Bernadette à présent suçait la queue de son partenaire. Alors j’eus envie de gouter celle de Yann. De caresser ses bourses. De le masturber. De le faire jouir dans ma bouche. Il couvrit mon corps de baisers avec une sensualité dont aucun de mes amants jusqu’alors, n’avait fait preuve. J’étais profondément troublée et je me concentrai sur ma lecture au moment où le père prieur traitait Bernadette de chienne en chaleur et je me demandai alors si ce n’était pas ce que j’étais en ces instants, car je n’avais envie que d’une chose : la bite de Yann. La voir, la toucher, la sucer. La sentir dans mon ventre. J’étais dans un état indescriptible d’excitation et je me demandai pourquoi je voulais tant m’identifier à Bernadette. Connaitre son plaisir. Faire ses gestes licencieux. Le père prieur jouissait dans sa bouche lorsque mon oncle me mordilla les tétons. Puis il défit les brides de mon soutien gorge et libéra mes seins. Il les empoigna, les pelota longuement et me suça les mamelons. Il me sembla que ma température gagnait encore quelques degrés. Dès qu’il fut assez près je tendis la main et touchai son sexe. Puis je glissai entre sa cuisse et le tissu pour palper ses bourses.
— Attends ma puce, fit-il en se levant.
Il ôta son bermudas et je saisis aussitôt sa queue dardée. J’eus les mêmes sensations que celles ressenties par Bernadette. Je le décalottai et caressai son gland du bout des doigts tout en poursuivant ma lecture. J’avais besoin d’associer les deux pour nourrir ma fabuleuse excitation. Mais Yann, délicatement me prit le livre des mains puis il remonta jusqu’à avoir le sexe à portée de ma bouche. J’attendais un mot, une phrase de lui. Je voulais que comme le père prieur il exprime son désir. Sans doute l’a -t-il lu dans mes pensées car il lança :
— Suce moi, en roulant sur le dos et je refermai aussitôt mes lèvres autour de son pieu d’acier.
Je crois que je n’ai jamais sucé un homme avec autant de plaisir ni autant d’application, et que Yann manifestât son contentement aussi ouvertement me combla d’aise même si certains de ses mots me firent rougir. J’osai même, pour la première fois de ma vie, deux « gorges profondes » qui le ravirent et lorsqu’il lâcha en me caressant la tête :
— Tu suces divinement bien ma chérie
Je fus en proie à un pur bonheur car je savais que mon oncle était friand de femmes et par ces simples mots il me hissait au rang des meilleures. J’avais envie de le sucer jusqu’au bout. De sentir son sperme inonder ma bouche mais il bougea, s’allongea sur moi, et d’un seul coup de reins me pénétra tout en s’inquiétant :
— Tu prends la pilule ?
Submergée par les sensations je peinai à lui répondre
— Oui. Puis je commençai à gémir tandis qu’il accélérait la cadence.
J’aimais entendre ses grognements, ses mots cochons qui exacerbaient mon excitation. J’aimais l’entendre prendre du plaisir dans mon ventre.
Brusquement j’enserrai sa taille dans l’étau de mes jambes et je me cramponnai à son cou en jouissant. Amant avisé il ralentit ses pilonnages un moment puis lorsque mon corps apparemment repu se détendit il reprit une cadence infernale pour m’emporter dans un second orgasme dont je m’apaisai lentement, impatiente de le sentir éjaculer. Mais il avait d’autre projets.
— Mets toi à quatre pattes, ma puce, ordonna-t-il.
Dès que je fus positionnée il glissa sa verge dans ma raie et lorsque je sentis son gland appuyer sur mon anus je lançai d’une voix chevrotante :
— Va doucement je n’ai pas l’habitude
La douleur de la pénétration fut furtive et je sentis rapidement le plaisir revenir dans mon ventre. Jamais la sodomie ne m’avait apportée tant de sensations. Yann s’arrêta un instant pour me couvrir le dos de baisers… de caresses sensuelles puis il reprit ses pénétrations en me palpant les seins. Je savais que je pourrai pas jouir en étant prise ainsi mais je m’en moquais parce que c’était déjà tellement bon. Soudain il accéléra la cadence jusqu’à me pilonner sauvagement et je hurlai :
— Oh, Yann, Yann, ouiii ! prenant soudain conscience que, contrairement à ce que croyais, s’il continuait ainsi assez longtemps je partirai pour un troisième orgasme.
Il arriva à l’instant même où je l’entendis rugir.
Il m’embrassa les fesses avant de se retirer pour aussitôt glisser la tête entre mes cuisses et me lécher à nouveau pour m’offrir ma quatrième jouissance.
J’étais exténuée. J’avais les jambes en coton et le corps rassasié. Mon esprit flottait dans les limbes de ma conscience.
— Flore, ça va ? s’inquiéta-t-il
Je posai la main sur sa cuisse avant de répondre :
— Oh, oui, oui. On ne m’a jamais fait aussi bien l’amour.
— Je l’ai pas fait exprès
Je tournai la tête et lui souris
— Tu sais ça faisait plus d’un an qu’aucun homme ne m’avait touchée.
— Pourquoi ? Tu es une femme superbe et tu peux avoir tous les hommes que tu veux.
— Je suis toujours tombée sur des salopards alors j’en ai eu marre.
— C’est pour ça que tu vis ta sexualité par procuration ?
— Comment ça ?
— Le livre.
— Oh ! je l’ai trouvé dans la maison. Mais c’est vrai qu’il m’a beaucoup excitée.
— Je l’ai senti
— Je sais. Et sans lui j’aurais jamais pu m’affranchir de notre lien de parenté.
— Tu le regrettes ?
— Oh, non, non. Ça me fait drôle, c’est tout. Et puis ça me fait drôle aussi parce que j’ai eu l’impression d’être envoutée. De ne plus avoir de tabous, d’interdits, et pourtant je suis d’un naturel plutôt timide
Yann se dressa sur les coudes
— Timide, toi ? Mais ma chérie peu de femmes m’ont sucé aussi bien que tu l’as fait
— Tu te moques.
— Oh que non. Tes petits copains sont des veinards.
Je souris en répondant :
— Tu sais, c’est la première fois que j’ai osé faire tout ça. Et toi, tu fais toujours aussi bien l’amour à toutes les femmes
— J’essaie. Mais tu sais, je crois que si je multiplie les conquêtes c’est pour palier mon incapacité à m’engager sur le long terme. Ça fait souvent de moi un salopard
— Pourquoi tu dis ça ?
— Parce que j’ai fait souffrir des femmes qui ne le méritaient pas. Une fois j’ai failli tomber amoureux et ça m’a foutu la trouille. Alors, maintenant je ne couche pas avec une fille plus de deux ou trois fois. Je trouve ça plus simple.
— Ça veut dire qu’il nous reste une fois ou deux ?
— Comment ça ?
— Pour refaire l’amour.
— Toi c’est pas pareil, fit-il en souriant. Mais, tu sais, maintenant je ne sais pas si je pourrai encore. T’es ma nièce, quand même.
— Alors pourquoi l’idée te fait-elle bander ?
— Oh merde tu fais chier Flore lâcha-t-il en se penchant pour me sucer le téton gauche, ravivant les braises en quelques secondes.
Hélas son smartphone sonna. Il était resté à une dizaine de mètres sur un fauteuil. Il alla décrocher mais ne me quitta pas des yeux, et je maintins sa virilité au garde à vous en me caressant les seins. Soudain il masqua le micro pour lancer :
— Arrête Flore, tu me déconcentres.
Ses paroles m’incitèrent à glisser la main entre mes cuisses et lorsqu’il revint, la queue incroyablement raide il lança :
— Tu es une petite salope
— Ça te déplait ?
Pour toute réponse il s’allongea sur moi, tête bêche et dès que sa queue toucha mes lèvres je gobai son gland tandis qu’il commençait à me lécher la vulve. Il me fit encore jouir deux fois puis je le fis rouler sur le côté afin de pouvoir le pomper plus activement. Il rugit en éjaculant et je ne recrachai pas son sperme comme avec mes autres amants.
Nous fîmes encore l’amour deux fois dans la soirée et Yann se montra toujours un amant exceptionnel. Faire l’amour avec d’autres hommes allait me paraitre bien fade à présent !
Nous primes un bain de minuit puis Yann lança en se séchant :
— Je dois partir très tôt demain.
— Ok. Et tu reviens quand ?
Il me prit le menton et répondit d’une voix douce :
— Ma puce. Cette journée a été fabuleuse. Je ne l’oublierai jamais. Mais il n’y en aura pas d’autre. Jamais.
— Même si je trouve un autre livre ? fis-je ironiquement pour calmer ma déception tout en sachant qu’il avait raison.
Il sourit, puis m’embrassa sur le front avant de regagner sa chambre.
La maison était fort agréable. Elle disposait d’une piscine et donnait sur des champs d’oliviers à perte de vue.
Presque le paradis.
Curieuse, fouineuse, et rêveuse incorrigible, j’entrepris après quelques jours de partir à la découverte d’un hypothétique trésor enfoui quelque part dans ce majestueux mas. Bien sûr je ne trouvai rien, à l’exception d’une malle dans laquelle je découvris quelques vieilleries sans intérêt ainsi qu’un livre écorné intitulé « Bernadette au couvent » qui piqua ma curiosité. Pourquoi avait-il était si bien caché au lieu de figurer sur une étagère de la bibliothèque ? Il me suffit de l’ouvrir pour comprendre. Il s’agissait d’un livre érotique illustré ça et là par des gravures suggestives. J’en cherchai la date de publication : 1920. De plus en plus étonnant. Je m’assis pour en commencer la lecture mais j’entendis mes parents monter à l’étage. Je me précipitai dans ma chambre pour dissimuler mon trésor que je dus abandonner quelques heures et mes parents, ce soir là, s’étonnèrent de mon empressement à regagner ma chambre.
— Tu ne te sens pas bien, ma chérie ? demanda ma mère
— Un peu mal à la tête
— Tu veux un cachet ?
— Non, non, je préfère me reposer. Ça va passer
— Bonne nuit ma puce, lança mon père alors que je me levai
— Bonne nuit à tous.
Une fois dans ma chambre je plongeai sur mon lit et délogeai mon trésor que j’avais glissé bien modestement sous mon oreiller. Je commençai par regarder les images qui me chauffèrent le sang mais pas autant que la lecture à laquelle je me livrai jusqu’aux frontières du sommeil qui m’emporta peu après minuit.
Dès mon réveil je glissai le livre dans la pochette d’un autre, anodin, car je ne pourrai pas attendre le soir pour en poursuivre la lecture.
— Ça va mieux ma puce ? demanda mon père lorsque je le croisai sur la terrasse
— Oui, oui, ça va. Vous allez où ?
— On doit faire un saut à Nice. On sera de retour dans la soirée. Probablement pas avant vingt heures. Tache de pas trop t’ennuyer avec oncle Yann
— Je vais essayer. Bye !
Oncle Yann émergea sur le coup des onze heures et il me proposa une virée dans un restaurant local. Nous en revînmes vers 15 heures et j’étais follement impatiente de retrouver Bernadette en proie à la libido débordante du père prieur. Je fonçai dans ma chambre pour revêtir mon deux pièces turquoise et je ressortis m’allonger au bord de la piscine. Avec mon livre bien sur !
Yann m’y rejoint moins d’une heure plus tard et lorsque je le vis approcher je posai instinctivement le regard sur son maillot. L’avait-il aussi grosse que celle du père prieur ? Je chassai illico cette pensée grivoise, avec pour seule excuse, la forte chaleur qui m’étreignait le ventre depuis une dizaine de minutes
— Qu’est-ce que tu lis ? demanda-t-il. Je montrai la fausse couverture et il déclara : je connais pas, c’est bien ?
— Ouais. Je te le prêterai si tu veux
— Bof ! tu sais, moi, la lecture
Je le savais, sinon je ne lui aurais jamais proposé, mais c’était le plus sûr moyen de calmer sa curiosité.
Je me replongeai daredare dans les aventures de Bernadette, laquelle venait de se faire pénétrer dans les fesses. L’auteure décrivait si précisément la sodomie que mon ventre s’embrasa. Je dus reposer l’ouvrage et plonger dans l’eau claire pour me calmer l’esprit. De retour je frissonnai en m’apercevant que mon oncle avait touché le livre. Je le regardai. Il avait les yeux fermés :
— C’est de ton âge, lança-t-il soudain, mais ça ne remplace pas la pratique.
Je ne répondis rien et me rallongeai pour reprendre la lecture qui raviva les braises si vite et si intensément que je ne réagis pas lorsque mon oncle posa la main sur ma cuisse. Le contact chaud de sa paume me foudroya le ventre et à l’instant où le père prieur glissait la main sous la tunique de Bernadette, les doigts de mon oncle glissaient sur ma culotte. Je frissonnai puis je gémis lorsqu’il commença à me caresser sans pour autant abandonner ma lecture. Mon degré d’excitation était tel que le repousser m’était impossible. Au contraire, je voulais qu’il me caresse encore et encore. J’avais envie de m’identifier à Bernadette qui jouissait à présent sous les caresses du père prieur. J’avais envie de sentir les doigts de Yann glisser sous ma culotte. Envie qu’il me pétrisse les seins, qu’il me pince les tétons comme appréciait tant Bernadette. Mon corps n’était plus que désirs. Jamais de ma vie je ne m’étais sentie dans un tel état d’excitation et que Yann fut mon oncle, en ces instants où mon corps se consumait, ne me dérangeait pas.
Je frissonnai lorsqu’il lança :
— Tu me montres ta petite chatte, ma puce ? à l’instant précis où le père prieur prononçait ces mêmes paroles et ma culotte et celle de Bernadette glissèrent en même temps le long de nos jambes.
Yann me caressait les cuisses alors que le père prieur déposait un baiser sur la vulve humide de Bernadette. Moi aussi j’en avais envie, alors lentement je remontai les jambes et m’ouvris en une invitation silencieuse. Déjà Bernadette gémissait et comme elle l’avait fait avec son amant, je saisis Yann par les cheveux pour l’attirer. Puis je vibrai de tout mon être lorsque sa langue se promena sur mon clitoris. C’était tellement bon. Tellement mieux qu’avec mon petit copain Paul (le dernier en date). Je jouis deux fois avec une intensité que l’échelle de Richter ne connaissait pas. Mais je n’étais pas pour autant calmée car Bernadette à présent suçait la queue de son partenaire. Alors j’eus envie de gouter celle de Yann. De caresser ses bourses. De le masturber. De le faire jouir dans ma bouche. Il couvrit mon corps de baisers avec une sensualité dont aucun de mes amants jusqu’alors, n’avait fait preuve. J’étais profondément troublée et je me concentrai sur ma lecture au moment où le père prieur traitait Bernadette de chienne en chaleur et je me demandai alors si ce n’était pas ce que j’étais en ces instants, car je n’avais envie que d’une chose : la bite de Yann. La voir, la toucher, la sucer. La sentir dans mon ventre. J’étais dans un état indescriptible d’excitation et je me demandai pourquoi je voulais tant m’identifier à Bernadette. Connaitre son plaisir. Faire ses gestes licencieux. Le père prieur jouissait dans sa bouche lorsque mon oncle me mordilla les tétons. Puis il défit les brides de mon soutien gorge et libéra mes seins. Il les empoigna, les pelota longuement et me suça les mamelons. Il me sembla que ma température gagnait encore quelques degrés. Dès qu’il fut assez près je tendis la main et touchai son sexe. Puis je glissai entre sa cuisse et le tissu pour palper ses bourses.
— Attends ma puce, fit-il en se levant.
Il ôta son bermudas et je saisis aussitôt sa queue dardée. J’eus les mêmes sensations que celles ressenties par Bernadette. Je le décalottai et caressai son gland du bout des doigts tout en poursuivant ma lecture. J’avais besoin d’associer les deux pour nourrir ma fabuleuse excitation. Mais Yann, délicatement me prit le livre des mains puis il remonta jusqu’à avoir le sexe à portée de ma bouche. J’attendais un mot, une phrase de lui. Je voulais que comme le père prieur il exprime son désir. Sans doute l’a -t-il lu dans mes pensées car il lança :
— Suce moi, en roulant sur le dos et je refermai aussitôt mes lèvres autour de son pieu d’acier.
Je crois que je n’ai jamais sucé un homme avec autant de plaisir ni autant d’application, et que Yann manifestât son contentement aussi ouvertement me combla d’aise même si certains de ses mots me firent rougir. J’osai même, pour la première fois de ma vie, deux « gorges profondes » qui le ravirent et lorsqu’il lâcha en me caressant la tête :
— Tu suces divinement bien ma chérie
Je fus en proie à un pur bonheur car je savais que mon oncle était friand de femmes et par ces simples mots il me hissait au rang des meilleures. J’avais envie de le sucer jusqu’au bout. De sentir son sperme inonder ma bouche mais il bougea, s’allongea sur moi, et d’un seul coup de reins me pénétra tout en s’inquiétant :
— Tu prends la pilule ?
Submergée par les sensations je peinai à lui répondre
— Oui. Puis je commençai à gémir tandis qu’il accélérait la cadence.
J’aimais entendre ses grognements, ses mots cochons qui exacerbaient mon excitation. J’aimais l’entendre prendre du plaisir dans mon ventre.
Brusquement j’enserrai sa taille dans l’étau de mes jambes et je me cramponnai à son cou en jouissant. Amant avisé il ralentit ses pilonnages un moment puis lorsque mon corps apparemment repu se détendit il reprit une cadence infernale pour m’emporter dans un second orgasme dont je m’apaisai lentement, impatiente de le sentir éjaculer. Mais il avait d’autre projets.
— Mets toi à quatre pattes, ma puce, ordonna-t-il.
Dès que je fus positionnée il glissa sa verge dans ma raie et lorsque je sentis son gland appuyer sur mon anus je lançai d’une voix chevrotante :
— Va doucement je n’ai pas l’habitude
La douleur de la pénétration fut furtive et je sentis rapidement le plaisir revenir dans mon ventre. Jamais la sodomie ne m’avait apportée tant de sensations. Yann s’arrêta un instant pour me couvrir le dos de baisers… de caresses sensuelles puis il reprit ses pénétrations en me palpant les seins. Je savais que je pourrai pas jouir en étant prise ainsi mais je m’en moquais parce que c’était déjà tellement bon. Soudain il accéléra la cadence jusqu’à me pilonner sauvagement et je hurlai :
— Oh, Yann, Yann, ouiii ! prenant soudain conscience que, contrairement à ce que croyais, s’il continuait ainsi assez longtemps je partirai pour un troisième orgasme.
Il arriva à l’instant même où je l’entendis rugir.
Il m’embrassa les fesses avant de se retirer pour aussitôt glisser la tête entre mes cuisses et me lécher à nouveau pour m’offrir ma quatrième jouissance.
J’étais exténuée. J’avais les jambes en coton et le corps rassasié. Mon esprit flottait dans les limbes de ma conscience.
— Flore, ça va ? s’inquiéta-t-il
Je posai la main sur sa cuisse avant de répondre :
— Oh, oui, oui. On ne m’a jamais fait aussi bien l’amour.
— Je l’ai pas fait exprès
Je tournai la tête et lui souris
— Tu sais ça faisait plus d’un an qu’aucun homme ne m’avait touchée.
— Pourquoi ? Tu es une femme superbe et tu peux avoir tous les hommes que tu veux.
— Je suis toujours tombée sur des salopards alors j’en ai eu marre.
— C’est pour ça que tu vis ta sexualité par procuration ?
— Comment ça ?
— Le livre.
— Oh ! je l’ai trouvé dans la maison. Mais c’est vrai qu’il m’a beaucoup excitée.
— Je l’ai senti
— Je sais. Et sans lui j’aurais jamais pu m’affranchir de notre lien de parenté.
— Tu le regrettes ?
— Oh, non, non. Ça me fait drôle, c’est tout. Et puis ça me fait drôle aussi parce que j’ai eu l’impression d’être envoutée. De ne plus avoir de tabous, d’interdits, et pourtant je suis d’un naturel plutôt timide
Yann se dressa sur les coudes
— Timide, toi ? Mais ma chérie peu de femmes m’ont sucé aussi bien que tu l’as fait
— Tu te moques.
— Oh que non. Tes petits copains sont des veinards.
Je souris en répondant :
— Tu sais, c’est la première fois que j’ai osé faire tout ça. Et toi, tu fais toujours aussi bien l’amour à toutes les femmes
— J’essaie. Mais tu sais, je crois que si je multiplie les conquêtes c’est pour palier mon incapacité à m’engager sur le long terme. Ça fait souvent de moi un salopard
— Pourquoi tu dis ça ?
— Parce que j’ai fait souffrir des femmes qui ne le méritaient pas. Une fois j’ai failli tomber amoureux et ça m’a foutu la trouille. Alors, maintenant je ne couche pas avec une fille plus de deux ou trois fois. Je trouve ça plus simple.
— Ça veut dire qu’il nous reste une fois ou deux ?
— Comment ça ?
— Pour refaire l’amour.
— Toi c’est pas pareil, fit-il en souriant. Mais, tu sais, maintenant je ne sais pas si je pourrai encore. T’es ma nièce, quand même.
— Alors pourquoi l’idée te fait-elle bander ?
— Oh merde tu fais chier Flore lâcha-t-il en se penchant pour me sucer le téton gauche, ravivant les braises en quelques secondes.
Hélas son smartphone sonna. Il était resté à une dizaine de mètres sur un fauteuil. Il alla décrocher mais ne me quitta pas des yeux, et je maintins sa virilité au garde à vous en me caressant les seins. Soudain il masqua le micro pour lancer :
— Arrête Flore, tu me déconcentres.
Ses paroles m’incitèrent à glisser la main entre mes cuisses et lorsqu’il revint, la queue incroyablement raide il lança :
— Tu es une petite salope
— Ça te déplait ?
Pour toute réponse il s’allongea sur moi, tête bêche et dès que sa queue toucha mes lèvres je gobai son gland tandis qu’il commençait à me lécher la vulve. Il me fit encore jouir deux fois puis je le fis rouler sur le côté afin de pouvoir le pomper plus activement. Il rugit en éjaculant et je ne recrachai pas son sperme comme avec mes autres amants.
Nous fîmes encore l’amour deux fois dans la soirée et Yann se montra toujours un amant exceptionnel. Faire l’amour avec d’autres hommes allait me paraitre bien fade à présent !
Nous primes un bain de minuit puis Yann lança en se séchant :
— Je dois partir très tôt demain.
— Ok. Et tu reviens quand ?
Il me prit le menton et répondit d’une voix douce :
— Ma puce. Cette journée a été fabuleuse. Je ne l’oublierai jamais. Mais il n’y en aura pas d’autre. Jamais.
— Même si je trouve un autre livre ? fis-je ironiquement pour calmer ma déception tout en sachant qu’il avait raison.
Il sourit, puis m’embrassa sur le front avant de regagner sa chambre.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par la catin
4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
histoire très excitante !
Adorable histoire
J'adore cette histoire très excitante. .
Cyrille
Cyrille
j'aime