Mon ouvrier - 3
Récit érotique écrit par Chrisjean [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-04-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mon ouvrier - 3
La matinée est longue : impossible de me concentrer sur mon travail avec ce plug qui
se remet en place à chaque mouvement. Même la pause-café n’apporte aucun réconfort et
l’incertitude quant à savoir ce qui va se passer à midi me rend nerveux.
Peu avant midi, je quitte le travail. Heureusement que son chantier est dans mon
quartier, cela me laisse plus de temps pour être avec lui. Arrivé sur place, je
remarque que je ne suis pas le seul à venir sans être en habits de chantier. Dans quel
traquenard me suis-je fourré ? Je le vois enfin arriver, il me salue et me dit:
— Mon petit Chris, c’est bien, tu ne t’es pas dégonflé. Je n’étais pas sûr que tu
viennes aujourd’hui !
À la question de savoir qui est l’autre qui attend à côté de la cabane du
contremaître, il me répond que c’est l’assistant de l’architecte qui vient faire
pardonner l’arrogance et le mépris de son patron. Et il ajoute:
— Comme ça, tu assisteras une fois pour de vrai à un gang bang.
Puis nous entrons dans le bâtiment, rejoignons le quatrième étage dans un recoin
derrière deux palettes de matériel qui nous permettent de voir sur le plateau de
l’étage non encore divisé en appartements sans être vu. Il y a déjà une quinzaine
d’ouvriers présents qui discutent et plaisantent entre eux. Le monte-charge extérieur
arrive et une acclamation accueille l’assistant de l’architecte. Un homme d’une
cinquantaine d’année, un peu bedonnant, donne de la voix et exige qu’il leur fasse un
striptease en musique. Alors qu’il met en route la radio-cd prévu pour cela, mon
ouvrier me précise à l’oreille qu’il s’agit du contremaître et que de toute façon, il
passera en premier quoi qu’il arrive.
Une fois nu, l’assistant est installé à quatre pattes sur deux palettes vides sur
lesquelles un peu de mousse isolante et du plastique ont été installés. Le
contremaître me tourne le dos, ouvre sa braguette et lui ordonne de le sucer. Le sexe
semble avoir de la peine à rentrer dans la bouche étant donné que le contremaître le
gifle plusieurs fois et ce n’est qu’à la quatrième tentative qu’il se met à lui baiser
la gueule. Après quelques minutes, il se retire, se place maintenant dans mon axe de
vue, tâte l’anus d’un puis de trois doigts. Le gland, très large, aura de la peine à
passer! Il est encore plus large que celui d’Antoine mais la queue est plus courte.
D’un grand coup de reins, le sexe du contremaître pénètre l’anus et arrache un grand
cri à l’assistant. Cette première pénétration est suivie immédiatement, sans tenir
compte des cris du jeune homme, d’allées et venues du large sexe. Les ouvriers se
débraguettent les uns après les autres, comme si la pénétration avait été le top
départ et se font sucer à tour de rôle. Certains éjaculent très rapidement sur le
visage ou dans les cheveux du jeune homme, d’autres observent la rondelle défoncée.
Dans un grand cri, le contremaître éjacule sur le dos de l’assistant. Il est
immédiatement remplacé par l’un des ouvriers qui sera suivi par tous ceux n’ayant pas
éjaculé ou ayant rebandé.
Au bout d’une heure, le contremaître est seul avec l’assistant. Il se fait sucer
encore une fois et lui éjacule sur le visage. Il lui donne ensuite l’ordre de repasser
la semaine suivante à la même heure.
Depuis le début, je sens la queue toute raide d’Antoine dans mon dos. Il me demande de
me dénuder. Je prends appui sur notre cachette et il me pénètre brutalement après
avoir enduit mon petit trou d’un peu de gel. Nous jouissons presque en même temps. Il
me dit ensuite de retourner travailler et de passer le chercher à la sortie du bureau.
Le soir venu, lorsque j’arrive à proximité du chantier, Antoine me fait signe de le
suivre à nouveau dans le bâtiment, direction le sous-sol cette fois-ci. Arrivé dans
une petite cave, je vois un confortable nid d’amour: un grand lit et une table avec un
couvert pour deux. Nous prenons rapidement notre repas puis nous allongeons sur le
lit. Quelques instants plus tard, j’ai sa belle verge dans ma bouche. Puis il me prend
par les hanches et m’empale sur son engin. Après plusieurs changements de position, il
éjacule sur mon ventre puis me branle jusqu’à ma jouissance.
Plus tard dans la soirée, il me demande si ce que j’ai vu à midi m’a excité, si cela
correspond à mon fantasme de gang-bang et, après avoir tourné autour du pot, si cela
me tente… Je lui réponds que oui, mais seulement avec son accord et en sa présence.
se remet en place à chaque mouvement. Même la pause-café n’apporte aucun réconfort et
l’incertitude quant à savoir ce qui va se passer à midi me rend nerveux.
Peu avant midi, je quitte le travail. Heureusement que son chantier est dans mon
quartier, cela me laisse plus de temps pour être avec lui. Arrivé sur place, je
remarque que je ne suis pas le seul à venir sans être en habits de chantier. Dans quel
traquenard me suis-je fourré ? Je le vois enfin arriver, il me salue et me dit:
— Mon petit Chris, c’est bien, tu ne t’es pas dégonflé. Je n’étais pas sûr que tu
viennes aujourd’hui !
À la question de savoir qui est l’autre qui attend à côté de la cabane du
contremaître, il me répond que c’est l’assistant de l’architecte qui vient faire
pardonner l’arrogance et le mépris de son patron. Et il ajoute:
— Comme ça, tu assisteras une fois pour de vrai à un gang bang.
Puis nous entrons dans le bâtiment, rejoignons le quatrième étage dans un recoin
derrière deux palettes de matériel qui nous permettent de voir sur le plateau de
l’étage non encore divisé en appartements sans être vu. Il y a déjà une quinzaine
d’ouvriers présents qui discutent et plaisantent entre eux. Le monte-charge extérieur
arrive et une acclamation accueille l’assistant de l’architecte. Un homme d’une
cinquantaine d’année, un peu bedonnant, donne de la voix et exige qu’il leur fasse un
striptease en musique. Alors qu’il met en route la radio-cd prévu pour cela, mon
ouvrier me précise à l’oreille qu’il s’agit du contremaître et que de toute façon, il
passera en premier quoi qu’il arrive.
Une fois nu, l’assistant est installé à quatre pattes sur deux palettes vides sur
lesquelles un peu de mousse isolante et du plastique ont été installés. Le
contremaître me tourne le dos, ouvre sa braguette et lui ordonne de le sucer. Le sexe
semble avoir de la peine à rentrer dans la bouche étant donné que le contremaître le
gifle plusieurs fois et ce n’est qu’à la quatrième tentative qu’il se met à lui baiser
la gueule. Après quelques minutes, il se retire, se place maintenant dans mon axe de
vue, tâte l’anus d’un puis de trois doigts. Le gland, très large, aura de la peine à
passer! Il est encore plus large que celui d’Antoine mais la queue est plus courte.
D’un grand coup de reins, le sexe du contremaître pénètre l’anus et arrache un grand
cri à l’assistant. Cette première pénétration est suivie immédiatement, sans tenir
compte des cris du jeune homme, d’allées et venues du large sexe. Les ouvriers se
débraguettent les uns après les autres, comme si la pénétration avait été le top
départ et se font sucer à tour de rôle. Certains éjaculent très rapidement sur le
visage ou dans les cheveux du jeune homme, d’autres observent la rondelle défoncée.
Dans un grand cri, le contremaître éjacule sur le dos de l’assistant. Il est
immédiatement remplacé par l’un des ouvriers qui sera suivi par tous ceux n’ayant pas
éjaculé ou ayant rebandé.
Au bout d’une heure, le contremaître est seul avec l’assistant. Il se fait sucer
encore une fois et lui éjacule sur le visage. Il lui donne ensuite l’ordre de repasser
la semaine suivante à la même heure.
Depuis le début, je sens la queue toute raide d’Antoine dans mon dos. Il me demande de
me dénuder. Je prends appui sur notre cachette et il me pénètre brutalement après
avoir enduit mon petit trou d’un peu de gel. Nous jouissons presque en même temps. Il
me dit ensuite de retourner travailler et de passer le chercher à la sortie du bureau.
Le soir venu, lorsque j’arrive à proximité du chantier, Antoine me fait signe de le
suivre à nouveau dans le bâtiment, direction le sous-sol cette fois-ci. Arrivé dans
une petite cave, je vois un confortable nid d’amour: un grand lit et une table avec un
couvert pour deux. Nous prenons rapidement notre repas puis nous allongeons sur le
lit. Quelques instants plus tard, j’ai sa belle verge dans ma bouche. Puis il me prend
par les hanches et m’empale sur son engin. Après plusieurs changements de position, il
éjacule sur mon ventre puis me branle jusqu’à ma jouissance.
Plus tard dans la soirée, il me demande si ce que j’ai vu à midi m’a excité, si cela
correspond à mon fantasme de gang-bang et, après avoir tourné autour du pot, si cela
me tente… Je lui réponds que oui, mais seulement avec son accord et en sa présence.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
tres belle histoire, bandante.. merci bien... bizz G.
aller on atemps encore
Hmmm ! On attend la suite avec impatience ...
Histoire excitante et bien écrite. :) Continue !
bonne histoire
si un chef de chantier cherche un bon ouvrier soumis sur l ain,qu il me contacte.
si un chef de chantier cherche un bon ouvrier soumis sur l ain,qu il me contacte.