Mon père adoptif, mon amant. - histoire érotique

Mon prénom est Olivier, je travaille dans la grande distribution et j’ai 25 ans.
J’ai décidé de vivre seul et je vais quand même voir mes parents adoptifs régulièrement.Et récemment ma mère est partie pour 15 jours voir sa sœur qui habite loin. Mon père adoptif vient tout juste d’être à la retraite. Comme il a commencé très jeune, il a tout juste 58 ans.D’origine italienne, c’est un homme très musclé et poilu. Antonio est vraiment le type de mâle qui m’excite car je suis homo.
Et un vendredi soir, je viens manger chez lui. Il fait un peu la gueule car Arlette ma mère adoptive n’a pratiquement de rapports sexuels avec lui. Et ce soir pour lui rendre le sourire, je viens avec un film porno hétéro.
Donc je mets le dvd sans lui dire que c’est un porno. Mais au bout de 5 minutes, la première scène porno arrive et il est très surpris. Et il apprecie semble-t-il. Au bout d'une demi heure je vois qu’il bande dans son canapé car j’ai toujours su qu’il était bien monté. Quand il était en slip, sa grosse bosse prometteuse était excitante.
Et de voir qu’il bande me fait bander. La mienne mesure 19 cm. Au moment ou l’actrice porno joue avec 3 acteurs avec comme résultat une double pénétration plus le sexe de l’autre homme dans sa bouche, Antonio n’arrête pas de se carresser son sexe sous son short et moi j’en profite pour baisser le mien, sortir ma bite et me masturber. Papa est très surpris et je lui dit que cela ne me dérange pas qu’il fasse de même. Il le fait immédiatement et en effet sa queue est sublime. Comme il voit que je n’arrête pas de la regarder, il me dit : Tu est pas si mal monté Olivier, mais la mienne est un tout peu plus long mais nettement plus grosse.
Puis nous commençons à nous branler. Comme je suis dans un fauteuil, je ne suis pas à côté de lui mais je me lève et m’installe dans le canapé tout en enlevant mon short pour être plus à l’aise. Mon père est très poilu et il n’est pas rasé autour de son sexe alors que moi c’est le contraire car je suis entièrement epilé.
Nos jambes se touchent et rapidement ma main carresse sa cuisse et je remonte sur ses testicules qui font le double de les mienne. Antonio est surpris et au début ne semble pas d’accord, puis il accepte et enlève sa main de sa bite et j’en profite pour m’en occuper. Putain qu’elle est grosse car je n’arrive pas à en faire le tour et son gland ressemble à un œuf. Il commence à gémir même s’il me dit que je ne devrais pas faire ça.Je lui dit que je lui rends service et qu’il pourrait en faire de même.
Donc il commence à carresser mon sexe. Sa grosse main l’empoigne et il la serre très fort. Un petit cri de douleur est suivi rapidement par un soupir de plaisir et en même temps je carresse son gland ce qui le fait lui aussi gémir.
Puis nos regards se croisent. Immédiatement je me penche vers sa bouche et l’embrasse. Il dit non je veux pas mais j’essaye plusieurs fois et enfin sa bouche s’ouvre et j’introduit ma langue dedans. Et nous commençons à nous rouler un pèle doucement puis passionnément.
Puis ma bouche et ma langue descend dans son cou. J’embrasse ses épaules, ses biceps musclés puis son torse poilu et je titille ses tétons. Il gémis encore plus fort, me dit qu’il ne faudrait pas que je fasse ça et rapidement me dit de m’en faire plus.
Alors je me baisse vers sa bite et commence à le sucer. Il lâche un râle de plaisir et rapidement je me met à le sucer plus rapidement puis me retire de sa queue et lui bouffe une de ses grosses couille. Il cri de plaisir et me dit : ouais, bouffe moi encore plus, j’ai rapidement su que tu étais homo, et maintenant donne moi du plaisir car quand j’était loin de la maison ( il était conducteur de grues sur des travaux dans notre région et parfois dans d’autres régions de notre France ), il m’arrivait d’avoir des rapports sexuels avec des hommes pour décompresser.
Je me lève et lui demande :
Tu pourrais me sucer ?
Il prend mon sexe dans sa main et prononce ces paroles :
D’accord, je l’ai fait très rarement mais pour toi Olivier, je vais entièrement l’avaler.
Et c’est ce qu’il fait immédiatement.
Putain ce qu’il suce bien. Je pose ma main sur sa tête pour que ma bite rentre intégralement dans sa bouche. Avec ses mains musclés, il carresse mes fesses et un de ses doigts titille mon anus. Je lui demande de ne pas arrêter puis lui demande de rejoindre sa chambre. Il se déshabille totalement et nous allons sur son lit nous allonger.
Je me jette sur sa queue voracement. Pompe-moi, ne t’arrête pas. J’aime ça me dit-il dominer un homme. Alors insulte-moi je lui réponds. Et il me traite de salope, de pompeuse, appuie sa main sur ma tête et me demande de l’avaler entièrement. Ce n’est vraiment pas facile mais à force d’essayer j’arrive à le faire. Sale pute, chienne ne t’arrête pas, vas-y je ne vais pas pouvoir tenir longtemps. Alors j’arrête, promène ma langue de ses couilles volumineuses et descend jusqu'à ses pieds que je bouffe puis remonte sur le haut de son corps et lui roule une pelle sans retenue.
À son tour il me suce. Puis nous nous mettons dans un 69 sans retenues. Il me fesse tout en me sucant et j’en fait autant. Il accepte. Et comme je n’arrête pas de le sucer à fond, il arrête d’avaler la mienne et cri de plus en plus fort. Et enfin au bout de 20 minutes il lâche son sperme.
Il y en à tellement que je manque de m’étouffer et lui me dit :
Mais avale tout salope, ma sauce est pour toi. Et en effet je finis par tout bouffer avec ma bouche gourmande.
Puis je me mets sur le dos et je lui demande de faire pareil. Rapidement il le fait, ne bouffe que le gland puis l’avale intégralement tout en introduisant un doigt dans mon anus et j’écarte les cuisses. Il comprend ce que je veux et commence à me lécher mon trou. Puis il s’occupe à nouveau de ma queue. Au bout de 5 minutes je lui dit que je vais jouir, il arrête de me sucer et j’ejacule sur sa bouche. Il me dit qu’il n’aime pas que cela lui arrive mais comme il me trouve très désirable, il finit par tout bouffer.
Puis il se couche sur moi, me couvre de baisers et en me regardant me fait comprendre qu’il va m’en demander plus.
À suivre donc...