Mon petit boudin
Récit érotique écrit par Galileo [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-05-2019 dans la catégorie Pour la première fois
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Mon petit boudin
Mon petit boudin
Cette histoire remonte au temps ou la pilule n’était pas encore « en vente dans les monoprix » et il n’était pas simple à l’époque de tirer sa crampe. Les mères conditionnaient les filles et celles-ci étaient rarement libres de leurs mouvements. Pour un garçon, passer la main dans la culotte d’une fille était une victoire dont il se gargarisait auprès des copains. Tous, nous rêvions de suédoises, là-bas, disait-on, les filles emmenaient leur amoureux dans leur chambre sous le regard bienveillant des parents.
J’ai perdu mon pucelage à Ostende en Belgique. Cela c’est passé lors d’un voyage organisé par le CE de l’entreprise qui m’employait. Ce jour-là, un dimanche, il faisait très chaud et gris, le temps était à l’orage. L’emploi du temps dans ce genre d’excursion était toujours le même, shopping le matin, sandwich accompagné d’une bière à la terrasse d’un café le midi et plage pour tout le monde l’après-midi.
Cette histoire devint moins banale lorsque nous arrivâmes sur la petite plage. En forme de baie, celle-ci était noire de monde, coupée en son milieu par un vieil embarcadère en bois, vestige de l’ancien port d’Ostende. La mer d’une couleur verte très claire, contrastait avec un horizon noir et menaçant.
Avec 4 ou 5 copains nous formions un petit groupe au milieu de la foule. Je ne sais plus à quel moment, ils se mirent à me taquiner sous prétexte que le petit boudin à quelques serviettes derrière nous n’arrêtait pas de me regarder. Je jetais un œil dans la direction indiquée et, effectivement, une fille, qui à part la poitrine, n’avait pas grand chose à voir avec Marilyne Monroe, regardait dans notre direction, je crois même qu’à cet instant nos regards se sont croisés. Elle regardait vers nous mais rien n’indiquait que c’était moi qu’elle avait repéré.
Agacé, pas très à l’aise, je proposais aux copains une partie de ballon dans l’eau. Proposition acceptée tout de suite.
Il y avait beaucoup de monde et, pour avoir un peu de place, nous nous avançâmes jusqu'à avoir de l’eau au niveau de la poitrine. Classiquement, nous formâmes un cercle et nous nous passâmes le ballon de mains en mains. Nous y étions depuis moins de cinq minutes lorsque le petit boudin vint se joindre à nous, plus petite, elle avait de l’eau jusqu’au cou, elle essayait d’attraper tous les ballons et systématiquement me les renvoyaient en me lançant des regards appuyés.
Manifestement c’était bien moi qui l’intéressais. Poli, j’essayais d’engager la conversation, mais peine perdue, elle me répondait dans une langue qui devait être du flamant, elle ne semblait ne pas comprendre un mot de Français et comme moi, je ne parlais pas le flamant, il ne nous restait que le langage des mains. Je laissais donc tomber les copains et m’intéressais de plus prés à mon admiratrice, je lui tendis la main, et doucement, je la pris par la taille et la fis tourner autour de moi, elle se laissait flotter dans l’eau.
J’eus le temps de la détailler. La forme carrée de son visage avait quelque chose de masculin, des traits plutôt dures, des lèvres minces, un tout petit nez et des yeux noisette qui heureusement lui rendaient toute sa féminité. Ce visage interrogateur et son regard ardent fixé sur moi donnaient l’impression de me lancer un défi.
M’enhardissant, je posais une main sur sa poitrine qu’elle avait bien développée et ferme, une main ne suffisant pas pour envelopper un sein. Le plus curieux de l’histoire c’est que nous nous parlions chacun dans notre langue sans nous comprendre, l’intonation de la voix suffisait pour renseigner l’autre de son état d’esprit, ainsi, je lui dis et fis comprendre que j’étais impressionné par sa poitrine. Voulut-elle m’impressionner encore davantage ou avait-elle mal compris, toujours est-il qu’elle descendit alors une bretelle de son maillot, me permettant ainsi de sortir un sein et d’apprécier encore plus. Elle avait de l’eau jusqu’au cou et moi jusqu’aux épaules, les gens autour ne faisaient pas attention à nous. De plus en plus troublé, je m’approchais et lui donnais des petits baisers sur la bouche tout en malaxant ses seins.
Je profitais d’être collé à elle pour descendre ma main dans son entrejambe, tirant l’élastique de son maillot de bain pour faire un état des lieus manuel, introduisant un puis deux doigts au bord de son con. Elle écartait gentiment ses cuisses pour me faciliter l’intromission tout en me disant des choses que je ne comprenais pas. D’après sa tête ça ne lui déplaisait pas. Bien entendu, je bandais et le lui fit savoir en me frottant à elle. Ces jeux de mains et de connaissance de nos corps durèrent facilement ½ heure, nous pouvions difficilement aller plus loin au milieu des autres baigneurs et c’est à regret que nous regagnâmes la plage. Elle partit rejoindre le couple et les deux petits enfants qu’elle accompagnait. Je n’ai d’ailleurs jamais su si c’était la petite sœur, la baby siters ou la bonne, mais cela n’a aucune importance.
Je fus accueilli par les regards inquisiteurs des copains, ils brûlaient de savoir comment cela s’était passé, me posant des questions pleines de sous-entendus graveleux. Moi, grand seigneur, sachant que la petite pouvait nous voir, je les ignorais superbement, Je m’allongeais sur le dos et fermais les yeux. Je ne pouvais bien sur pas dormir, repensant aux événements que je venais de vivre, je recommençais à bander tout doucement. J’essayais de penser à autre chose, ce n’était pas possible. A plusieurs reprises je me tournais sur le ventre et retournais sur le dos gêné par ce début d’érection. Ces demi-tours sur moi-même durèrent au moins un bon quart d’heure et j’étais toujours autant excité.
De temps en temps, je jetais discrètement un petit coup d’œil derrière moi pour voir ce qu’elle faisait.
Après s’être intéressée pendant quelques temps aux enfants, elle s’était assise et regardait de nouveau dans ma direction. Nos regards se croisèrent plusieurs fois, elle semblait attendre un signe ou je ne sais quoi. Sans doute déçu de ma passivité apparente, elle se décida à me faire un signe de la tête semblant me dire « on y retourne ». J’étais sidéré, alors qu’il était si difficile de passer la main au-dessus du genou des pimbêches que je draguais habituellement, là, je me faisais draguer comme une pute. Il fallait prendre une décision, si je me dégonflais je passais pour un imbécile à mes propres yeux. La tentation était trop forte, j’acquiesçais.
Elle se leva la première ce qui me permis de la voir sur pieds. Des cheveux courts De grosses jambes, des hanches confortables dans un maillot de bains une pièce, elle n’était pas grosse, plutôt une adolescente pas encore dégrossit, une solide flamande comme les chantait J.Brel. Il est probable qu’elle devint plus tard une mère de famille tout à fait convenable. Je la suivais à quelques mètres, nous dirigeant vers le ponton désaffecté. Quand elle eut de l’eau jusqu’au cou, elle m’attendit et s’agrippa à mes épaules, dans l’eau, elle était légère, je la portais ainsi jusqu’au-dessous du ponton, sous mes pieds il y avait par-ci par-là des blocs de béton qui émergeaient du sable, la hauteur d’eau était idéale, lui arrivant aux épaules. Il n’y avait presque personne à l’endroit choisi et à part quelques nageurs qui passaient à une dizaine de mètres de là, nous étions tranquilles. Je l’adossais à un pilier du ponton d’environ 30 centimètres de large, face à la mer. De la plage on ne pouvait pas nous voir et les autres baigneurs ne pouvaient qu’apercevoir les têtes de deux amoureux qui se bécotaient.
Ayant déjà constaté combien j’étais balourd, elle descendit d’autorité les bretelles de son maillot de bain. Tout en l’embrassant à pleine bouche, je triturais ses seins comme un affamé. Elle avait ses bras autour de mon cou et ses jambes autour de ma taille, son cul frottait sur ma queue. Celle-ci manifesta très vite son indépendance triomphante.
Laissant retomber ses jambes, elle attrapa mon sexe tout raide et le sorti de mon maillot. Cette fois, ça y est, j’étais au pied du mur, j’allais perdre mon pucelage.
Un peu paniqué, très excité, je sentais le sang qui me battait les tempes. J’écartais l’élastique de son maillot et essayais d’introduire ma queue dans son fondement, cela n’était pas facile, le gland au bord de sa grotte, mes doigts me gênaient. Ma flamande me donna alors un coup de main en tirant très fort sur l’élastique. Je ne réussi qu’à introduire une petite partie de ma queue mais la gêne était trop forte, après plusieurs tentatives aussi nulles, je commençais à débander. (Bien plus tard, je me suis demandé si c’était l’élastique de son maillot ou son pucelage qui m’avait bloqué.)
Très mal à l’aise, je sentais venir l’échec. Heureusement, mon égérie avait de la ressource, Elle descendit complètement son maillot jusqu’au genoux, replia ses jambes entre nos deux poitrines présentant ainsi sa chatte à portée de ma queue. Cette fois, je la pénétrais sans difficulté. Le contraste entre l’eau froide et le vagin doux, tiède, était saisissant, j’avais de nouveau une érection digne du don qu’elle me faisait.
Rassuré, je me sentais aussi bien à cet instant que j’étais mal quelques minutes auparavant. Je flottais au sens propre comme au sens figuré, imprimant des va et viens lents et voluptueux à nos corps, je pouvais voir le clapotis de l’eau sur son menton, le temps semblait s’être arrêté. Son regard était grave, scrutant mon visage pour y lire mes pensées, de temps en temps elle fermait yeux comme pour s’imprégner et mémoriser l’instant présent. La communion entre nous était parfaite. Le bonheur et l’émotion me montaient à la gorge, j’étais si bien que lorsque je me sentis au bord de l’éjaculation, égoïstement, je ne fis rien pour me retenir, mon foutre gicla en elle de longues et nombreuses fois.
Un feu d’artifice somptueux.
Nous restâmes de longues minutes l’un dans l’autre jusqu’à ce que ma bite, revenue à sa taille normale, sortie naturellement de son écrin. Ma maîtresse se laissa alors doucement retomber tout en réajustement son maillot. Qu’elle était belle à ce moment ! Je la soutenais puis la serrais très fort contre moi, nous nous embrassâmes à pleine bouche. Restant là sans rien dire pendant une dizaine de minutes, dansant très lentement dans l’eau…
… Et puis, il fallut bien rejoindre les nôtres.
Je la portais jusqu’à ce que l’eau m’arrive à la taille. Main dans la main nous fîmes les derniers mètres sans un mot, toute parole aurait été doublement inutile. Arrivé sur la plage, nous partîmes chacun de notre côté sans un baiser, sans un mot, mais avec des regards qui en disaient long sur notre émotion.
Les copains m’attendaient, prêts à partir, m’incitant à me dépêcher de crainte de rater le bus. Redescendant sur terre, je m’habillais sommairement, pris le reste de mes affaires et les suivi sans me retourner. Au moment de quitter la plage, j’eus un pincement au cœur et, me retournant, je cherchais mon initiatrice du regard, elle regardait dans notre direction mais détourna la tête dés qu’elle s’en aperçut.
Je ne me rappelle plus de ton nom, mon petit boudin, mais dans mon cœur, tu tiens une place à part.
Cette histoire remonte au temps ou la pilule n’était pas encore « en vente dans les monoprix » et il n’était pas simple à l’époque de tirer sa crampe. Les mères conditionnaient les filles et celles-ci étaient rarement libres de leurs mouvements. Pour un garçon, passer la main dans la culotte d’une fille était une victoire dont il se gargarisait auprès des copains. Tous, nous rêvions de suédoises, là-bas, disait-on, les filles emmenaient leur amoureux dans leur chambre sous le regard bienveillant des parents.
J’ai perdu mon pucelage à Ostende en Belgique. Cela c’est passé lors d’un voyage organisé par le CE de l’entreprise qui m’employait. Ce jour-là, un dimanche, il faisait très chaud et gris, le temps était à l’orage. L’emploi du temps dans ce genre d’excursion était toujours le même, shopping le matin, sandwich accompagné d’une bière à la terrasse d’un café le midi et plage pour tout le monde l’après-midi.
Cette histoire devint moins banale lorsque nous arrivâmes sur la petite plage. En forme de baie, celle-ci était noire de monde, coupée en son milieu par un vieil embarcadère en bois, vestige de l’ancien port d’Ostende. La mer d’une couleur verte très claire, contrastait avec un horizon noir et menaçant.
Avec 4 ou 5 copains nous formions un petit groupe au milieu de la foule. Je ne sais plus à quel moment, ils se mirent à me taquiner sous prétexte que le petit boudin à quelques serviettes derrière nous n’arrêtait pas de me regarder. Je jetais un œil dans la direction indiquée et, effectivement, une fille, qui à part la poitrine, n’avait pas grand chose à voir avec Marilyne Monroe, regardait dans notre direction, je crois même qu’à cet instant nos regards se sont croisés. Elle regardait vers nous mais rien n’indiquait que c’était moi qu’elle avait repéré.
Agacé, pas très à l’aise, je proposais aux copains une partie de ballon dans l’eau. Proposition acceptée tout de suite.
Il y avait beaucoup de monde et, pour avoir un peu de place, nous nous avançâmes jusqu'à avoir de l’eau au niveau de la poitrine. Classiquement, nous formâmes un cercle et nous nous passâmes le ballon de mains en mains. Nous y étions depuis moins de cinq minutes lorsque le petit boudin vint se joindre à nous, plus petite, elle avait de l’eau jusqu’au cou, elle essayait d’attraper tous les ballons et systématiquement me les renvoyaient en me lançant des regards appuyés.
Manifestement c’était bien moi qui l’intéressais. Poli, j’essayais d’engager la conversation, mais peine perdue, elle me répondait dans une langue qui devait être du flamant, elle ne semblait ne pas comprendre un mot de Français et comme moi, je ne parlais pas le flamant, il ne nous restait que le langage des mains. Je laissais donc tomber les copains et m’intéressais de plus prés à mon admiratrice, je lui tendis la main, et doucement, je la pris par la taille et la fis tourner autour de moi, elle se laissait flotter dans l’eau.
J’eus le temps de la détailler. La forme carrée de son visage avait quelque chose de masculin, des traits plutôt dures, des lèvres minces, un tout petit nez et des yeux noisette qui heureusement lui rendaient toute sa féminité. Ce visage interrogateur et son regard ardent fixé sur moi donnaient l’impression de me lancer un défi.
M’enhardissant, je posais une main sur sa poitrine qu’elle avait bien développée et ferme, une main ne suffisant pas pour envelopper un sein. Le plus curieux de l’histoire c’est que nous nous parlions chacun dans notre langue sans nous comprendre, l’intonation de la voix suffisait pour renseigner l’autre de son état d’esprit, ainsi, je lui dis et fis comprendre que j’étais impressionné par sa poitrine. Voulut-elle m’impressionner encore davantage ou avait-elle mal compris, toujours est-il qu’elle descendit alors une bretelle de son maillot, me permettant ainsi de sortir un sein et d’apprécier encore plus. Elle avait de l’eau jusqu’au cou et moi jusqu’aux épaules, les gens autour ne faisaient pas attention à nous. De plus en plus troublé, je m’approchais et lui donnais des petits baisers sur la bouche tout en malaxant ses seins.
Je profitais d’être collé à elle pour descendre ma main dans son entrejambe, tirant l’élastique de son maillot de bain pour faire un état des lieus manuel, introduisant un puis deux doigts au bord de son con. Elle écartait gentiment ses cuisses pour me faciliter l’intromission tout en me disant des choses que je ne comprenais pas. D’après sa tête ça ne lui déplaisait pas. Bien entendu, je bandais et le lui fit savoir en me frottant à elle. Ces jeux de mains et de connaissance de nos corps durèrent facilement ½ heure, nous pouvions difficilement aller plus loin au milieu des autres baigneurs et c’est à regret que nous regagnâmes la plage. Elle partit rejoindre le couple et les deux petits enfants qu’elle accompagnait. Je n’ai d’ailleurs jamais su si c’était la petite sœur, la baby siters ou la bonne, mais cela n’a aucune importance.
Je fus accueilli par les regards inquisiteurs des copains, ils brûlaient de savoir comment cela s’était passé, me posant des questions pleines de sous-entendus graveleux. Moi, grand seigneur, sachant que la petite pouvait nous voir, je les ignorais superbement, Je m’allongeais sur le dos et fermais les yeux. Je ne pouvais bien sur pas dormir, repensant aux événements que je venais de vivre, je recommençais à bander tout doucement. J’essayais de penser à autre chose, ce n’était pas possible. A plusieurs reprises je me tournais sur le ventre et retournais sur le dos gêné par ce début d’érection. Ces demi-tours sur moi-même durèrent au moins un bon quart d’heure et j’étais toujours autant excité.
De temps en temps, je jetais discrètement un petit coup d’œil derrière moi pour voir ce qu’elle faisait.
Après s’être intéressée pendant quelques temps aux enfants, elle s’était assise et regardait de nouveau dans ma direction. Nos regards se croisèrent plusieurs fois, elle semblait attendre un signe ou je ne sais quoi. Sans doute déçu de ma passivité apparente, elle se décida à me faire un signe de la tête semblant me dire « on y retourne ». J’étais sidéré, alors qu’il était si difficile de passer la main au-dessus du genou des pimbêches que je draguais habituellement, là, je me faisais draguer comme une pute. Il fallait prendre une décision, si je me dégonflais je passais pour un imbécile à mes propres yeux. La tentation était trop forte, j’acquiesçais.
Elle se leva la première ce qui me permis de la voir sur pieds. Des cheveux courts De grosses jambes, des hanches confortables dans un maillot de bains une pièce, elle n’était pas grosse, plutôt une adolescente pas encore dégrossit, une solide flamande comme les chantait J.Brel. Il est probable qu’elle devint plus tard une mère de famille tout à fait convenable. Je la suivais à quelques mètres, nous dirigeant vers le ponton désaffecté. Quand elle eut de l’eau jusqu’au cou, elle m’attendit et s’agrippa à mes épaules, dans l’eau, elle était légère, je la portais ainsi jusqu’au-dessous du ponton, sous mes pieds il y avait par-ci par-là des blocs de béton qui émergeaient du sable, la hauteur d’eau était idéale, lui arrivant aux épaules. Il n’y avait presque personne à l’endroit choisi et à part quelques nageurs qui passaient à une dizaine de mètres de là, nous étions tranquilles. Je l’adossais à un pilier du ponton d’environ 30 centimètres de large, face à la mer. De la plage on ne pouvait pas nous voir et les autres baigneurs ne pouvaient qu’apercevoir les têtes de deux amoureux qui se bécotaient.
Ayant déjà constaté combien j’étais balourd, elle descendit d’autorité les bretelles de son maillot de bain. Tout en l’embrassant à pleine bouche, je triturais ses seins comme un affamé. Elle avait ses bras autour de mon cou et ses jambes autour de ma taille, son cul frottait sur ma queue. Celle-ci manifesta très vite son indépendance triomphante.
Laissant retomber ses jambes, elle attrapa mon sexe tout raide et le sorti de mon maillot. Cette fois, ça y est, j’étais au pied du mur, j’allais perdre mon pucelage.
Un peu paniqué, très excité, je sentais le sang qui me battait les tempes. J’écartais l’élastique de son maillot et essayais d’introduire ma queue dans son fondement, cela n’était pas facile, le gland au bord de sa grotte, mes doigts me gênaient. Ma flamande me donna alors un coup de main en tirant très fort sur l’élastique. Je ne réussi qu’à introduire une petite partie de ma queue mais la gêne était trop forte, après plusieurs tentatives aussi nulles, je commençais à débander. (Bien plus tard, je me suis demandé si c’était l’élastique de son maillot ou son pucelage qui m’avait bloqué.)
Très mal à l’aise, je sentais venir l’échec. Heureusement, mon égérie avait de la ressource, Elle descendit complètement son maillot jusqu’au genoux, replia ses jambes entre nos deux poitrines présentant ainsi sa chatte à portée de ma queue. Cette fois, je la pénétrais sans difficulté. Le contraste entre l’eau froide et le vagin doux, tiède, était saisissant, j’avais de nouveau une érection digne du don qu’elle me faisait.
Rassuré, je me sentais aussi bien à cet instant que j’étais mal quelques minutes auparavant. Je flottais au sens propre comme au sens figuré, imprimant des va et viens lents et voluptueux à nos corps, je pouvais voir le clapotis de l’eau sur son menton, le temps semblait s’être arrêté. Son regard était grave, scrutant mon visage pour y lire mes pensées, de temps en temps elle fermait yeux comme pour s’imprégner et mémoriser l’instant présent. La communion entre nous était parfaite. Le bonheur et l’émotion me montaient à la gorge, j’étais si bien que lorsque je me sentis au bord de l’éjaculation, égoïstement, je ne fis rien pour me retenir, mon foutre gicla en elle de longues et nombreuses fois.
Un feu d’artifice somptueux.
Nous restâmes de longues minutes l’un dans l’autre jusqu’à ce que ma bite, revenue à sa taille normale, sortie naturellement de son écrin. Ma maîtresse se laissa alors doucement retomber tout en réajustement son maillot. Qu’elle était belle à ce moment ! Je la soutenais puis la serrais très fort contre moi, nous nous embrassâmes à pleine bouche. Restant là sans rien dire pendant une dizaine de minutes, dansant très lentement dans l’eau…
… Et puis, il fallut bien rejoindre les nôtres.
Je la portais jusqu’à ce que l’eau m’arrive à la taille. Main dans la main nous fîmes les derniers mètres sans un mot, toute parole aurait été doublement inutile. Arrivé sur la plage, nous partîmes chacun de notre côté sans un baiser, sans un mot, mais avec des regards qui en disaient long sur notre émotion.
Les copains m’attendaient, prêts à partir, m’incitant à me dépêcher de crainte de rater le bus. Redescendant sur terre, je m’habillais sommairement, pris le reste de mes affaires et les suivi sans me retourner. Au moment de quitter la plage, j’eus un pincement au cœur et, me retournant, je cherchais mon initiatrice du regard, elle regardait dans notre direction mais détourna la tête dés qu’elle s’en aperçut.
Je ne me rappelle plus de ton nom, mon petit boudin, mais dans mon cœur, tu tiens une place à part.
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