Mon petit rugbyman 2
Récit érotique écrit par Seitan [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2010 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mon petit rugbyman 2
A la demande des lecteurs voici la suite de mon histoire avec mon petit rugbyman.
Après avoir passé une merveilleuse matinée avec L mon rugbyman, plusieurs jours se sont écoulés et l’envie de le revoir était omniprésente. Mais je ne savais pas si lui le désirait. Donc, de peur de me faire rembarrer, j’ai décidé de ne rien tenter.
Le samedi suivant mon copain et moi, nous étions de sortie. En fait on sortait presque tous les samedi soir et toujours dans la même discothèque. Au fond de moi je souhaitais voir L. Le hasard m’a fait ce soir là un cadeau. Alors que mon mec cherchait une place pour garer la voiture il m’a dit :
- je vais plus loin, tu n’as qu’à descendre ici je te rejoins.
Donc, je prends la descente qui va vers la discothèque qui est en contre bas de la route, au bord d’une rivière. Surprise immense, il est là, en bas de la pente. Je suis très content, je regarde autour de nous personne, je me rapproche de lui. Quand il m’aperçoit il me fait un magnifique sourire. En s’assurant que personne nous voit il me fait un rapide baiser sur la bouche et me dit :
- bonjour, tu vas bien ?
- oui très bien.
- alors ton mec ne t’a pas trop fait « chier » dimanche matin ?
- si, en plus, il avait même fermé la porte à clef, j’ai du rentrer par la fenêtre, mais il a cru mon mensonge.
Il me sourit, il est si mignon. Il reprend :
- il y a moyen que tu finisses la nuit avec moi ?
Avant que j’ai le temps de répondre un oui de satisfaction, j’aperçois mon mec en train de descendre. Je recule violemment de trois pas en criant :
- non je n’en veux pas de ta m---- !
Je rejoins mon mec qui me demande ce qui c’est passé, je lui raconte encore un mensonge en disant :
- il voulait me vendre de la drogue.
C’est à ce moment, la seule chose qui m’est venue pour me tirer d’affaire. Puis nous rentrons dans la boite de nuit.
Il y a deux bars dans cette discothèque celui de l’entrée et celui « du fond ». Le groupe de rugbymans se met toujours au bar de l’entrée. Très déçu je rejoins mon mec et des amis au bar « du fond ». De plus, je ne voulais pas que nos regards pleins d’envies se croisent et qu'un de ses « charmants » amis ne le remarque.
J’ai passé la soirée au bar, à boire plus que de raison et nous sommes rentré à la fermeture de la boite, L était déjà partit.
Sachant maintenant qu’il voulait bien me revoir, le lundi suivant je décide d’aller le voir chez lui.
Prétextant à mon mec que je vais voir un ami, je prends ma mobylette (je n’avais pas le permis) je me dirige vers l’appartement de L. Arrivé en bas de son immeuble je regarde ses fenêtres, il y a de la lumière, il est là. J’avoue que mon cœur bat la chamade de peur ou parce qu’il me trouble ?
Je sonne à l’interphone il réponds :
- oui, c’est qui ?
- salut c’est moi S.
- monte vite !
Il m’ouvre la porte du bas et je monte chez lui quatre à quatre.
Il m’accueil avec son merveilleux sourire, me tire dans son appartement et ferme la porte prestement. Il me prend dans ses bras et m’embrasse. Il embrasse d’une façon formidable, ses lèvres son fines et douces sa langue est agréable et me roule une pelle sublime. J’adore le goût de sa salive sur ma bouche. D’un regard fiévreux, je lui dis :
- j’ai envie de toi.
Sans un mot, il commence à m’enlever mon pull, moi son t-shirt et on s’effeuille comme çà jusqu’à sa chambre.
On se retrouve nus, son corps sur le mien, on continu à s’embrasser et il frotte son sexe bien dure contre le mien. J’adore quand on est comme ça, car je peux à loisir lui caresser son dos musclé et descendre sur ses belles fesses de sportif. Après un quart d’heure de douces caresses, je n’ai même pas la peine de lui dire, il lit dans mes yeux mon envie, Je veux qu’il me possède à nouveau.
Cette fois ci, je me couche sur le ventre, écarte les cuisses et cambre bien mes fesses. Il se met un préservatif, et avec du gel il lubrifie son sexe et mon anus en passant sa main entre mes fesses. Ce qui me fat avoir des frissons dans tous le corps. Il se place entre mes jambes m’écarte un peu plus mes cuisses avec ses genoux. Je l’entend respirer hyper fort il est excité à l’extrême. Puis je ressens son gland se poser délicatement sur mon anus, ce denier s’ouvre pour laisser rentré son membre en moi. Il glisse doucement jusqu’au fond de mon cul, son pubis se colle à mes fesses. Il s’immobilise un instant et me demande :
- ça va, mon chéri ?
Il vient de m’appeler chéri ? Je réponds :
- oui c’est divin.
Puis il commence ses va et vient, je profite de la chaleur de sa bite en moi qui me procure des sensations de plus en plus exquises. Je me laisse aller et prends un plaisir incommensurable. Lui, redouble de vigueur dans son limage et n’arrête pas de m’embraser et de me mordiller la nuque et les oreilles. Au bout de vingt minutes environ, qui m’ont parues trop courtes, il devient extrêmement ardent et fébrile, son souffle rauque devient plus fort, ses coups de reins deviennent torrides et fougueux.
Moi mon bassin se cambre encore plus, pour qu’il aille encore plus loin en moi, je ne touche plus terre, je ne parvient pas à retenir mes gémissements de bonheur.
Dans un coup de rein dévastateur et dans un cri libérateur il jouit en moi déclenchant dans mon ventre un orgasme violent qui me fait éjaculer sous mon ventre.
Il s’écrase à mes côtés comblé et heureux. Je reprends mes esprits, en me demandant pourquoi je ne l’ai pas rencontré plus tôt. Je sais c’est idiot.
Après avoir rassemblé nos habits, comme dans les films, ils sont à terre sur tout le long du parcours jusqu’à la chambre, je me rhabille, lui ne remet que son slip. Miam ! Ça lui va à ravir et met ses cuisses et ses atouts en valeur. Puis il faut que je rentre, je le quitte en l’embrassant fiévreusement avant de partir.
Cette fois ci, il me donne son numéro de téléphone (pas de portable il n’y en avait pas beaucoup à cette époque) et me dit :
- quand tu veux passer, je préfère que tu me préviennes.
Je lui donne aussi mon numéro, sans penser que ce sera peut être mon mec qui répondra. Aïe ! Bien sûr c’est arrivé ! Et encore un mensonge à inventer, surtout que ce jour là, mon mec écoutaitla conversation sans scrupule. On n’a pas beaucoup parlé et il ne m’a plus jamais appelé chez moi.
Mais je suis encore revenue chez lui, presque tous les jours suivants.
La suite plus tard. Merci pour vos com.
Seithan
Après avoir passé une merveilleuse matinée avec L mon rugbyman, plusieurs jours se sont écoulés et l’envie de le revoir était omniprésente. Mais je ne savais pas si lui le désirait. Donc, de peur de me faire rembarrer, j’ai décidé de ne rien tenter.
Le samedi suivant mon copain et moi, nous étions de sortie. En fait on sortait presque tous les samedi soir et toujours dans la même discothèque. Au fond de moi je souhaitais voir L. Le hasard m’a fait ce soir là un cadeau. Alors que mon mec cherchait une place pour garer la voiture il m’a dit :
- je vais plus loin, tu n’as qu’à descendre ici je te rejoins.
Donc, je prends la descente qui va vers la discothèque qui est en contre bas de la route, au bord d’une rivière. Surprise immense, il est là, en bas de la pente. Je suis très content, je regarde autour de nous personne, je me rapproche de lui. Quand il m’aperçoit il me fait un magnifique sourire. En s’assurant que personne nous voit il me fait un rapide baiser sur la bouche et me dit :
- bonjour, tu vas bien ?
- oui très bien.
- alors ton mec ne t’a pas trop fait « chier » dimanche matin ?
- si, en plus, il avait même fermé la porte à clef, j’ai du rentrer par la fenêtre, mais il a cru mon mensonge.
Il me sourit, il est si mignon. Il reprend :
- il y a moyen que tu finisses la nuit avec moi ?
Avant que j’ai le temps de répondre un oui de satisfaction, j’aperçois mon mec en train de descendre. Je recule violemment de trois pas en criant :
- non je n’en veux pas de ta m---- !
Je rejoins mon mec qui me demande ce qui c’est passé, je lui raconte encore un mensonge en disant :
- il voulait me vendre de la drogue.
C’est à ce moment, la seule chose qui m’est venue pour me tirer d’affaire. Puis nous rentrons dans la boite de nuit.
Il y a deux bars dans cette discothèque celui de l’entrée et celui « du fond ». Le groupe de rugbymans se met toujours au bar de l’entrée. Très déçu je rejoins mon mec et des amis au bar « du fond ». De plus, je ne voulais pas que nos regards pleins d’envies se croisent et qu'un de ses « charmants » amis ne le remarque.
J’ai passé la soirée au bar, à boire plus que de raison et nous sommes rentré à la fermeture de la boite, L était déjà partit.
Sachant maintenant qu’il voulait bien me revoir, le lundi suivant je décide d’aller le voir chez lui.
Prétextant à mon mec que je vais voir un ami, je prends ma mobylette (je n’avais pas le permis) je me dirige vers l’appartement de L. Arrivé en bas de son immeuble je regarde ses fenêtres, il y a de la lumière, il est là. J’avoue que mon cœur bat la chamade de peur ou parce qu’il me trouble ?
Je sonne à l’interphone il réponds :
- oui, c’est qui ?
- salut c’est moi S.
- monte vite !
Il m’ouvre la porte du bas et je monte chez lui quatre à quatre.
Il m’accueil avec son merveilleux sourire, me tire dans son appartement et ferme la porte prestement. Il me prend dans ses bras et m’embrasse. Il embrasse d’une façon formidable, ses lèvres son fines et douces sa langue est agréable et me roule une pelle sublime. J’adore le goût de sa salive sur ma bouche. D’un regard fiévreux, je lui dis :
- j’ai envie de toi.
Sans un mot, il commence à m’enlever mon pull, moi son t-shirt et on s’effeuille comme çà jusqu’à sa chambre.
On se retrouve nus, son corps sur le mien, on continu à s’embrasser et il frotte son sexe bien dure contre le mien. J’adore quand on est comme ça, car je peux à loisir lui caresser son dos musclé et descendre sur ses belles fesses de sportif. Après un quart d’heure de douces caresses, je n’ai même pas la peine de lui dire, il lit dans mes yeux mon envie, Je veux qu’il me possède à nouveau.
Cette fois ci, je me couche sur le ventre, écarte les cuisses et cambre bien mes fesses. Il se met un préservatif, et avec du gel il lubrifie son sexe et mon anus en passant sa main entre mes fesses. Ce qui me fat avoir des frissons dans tous le corps. Il se place entre mes jambes m’écarte un peu plus mes cuisses avec ses genoux. Je l’entend respirer hyper fort il est excité à l’extrême. Puis je ressens son gland se poser délicatement sur mon anus, ce denier s’ouvre pour laisser rentré son membre en moi. Il glisse doucement jusqu’au fond de mon cul, son pubis se colle à mes fesses. Il s’immobilise un instant et me demande :
- ça va, mon chéri ?
Il vient de m’appeler chéri ? Je réponds :
- oui c’est divin.
Puis il commence ses va et vient, je profite de la chaleur de sa bite en moi qui me procure des sensations de plus en plus exquises. Je me laisse aller et prends un plaisir incommensurable. Lui, redouble de vigueur dans son limage et n’arrête pas de m’embraser et de me mordiller la nuque et les oreilles. Au bout de vingt minutes environ, qui m’ont parues trop courtes, il devient extrêmement ardent et fébrile, son souffle rauque devient plus fort, ses coups de reins deviennent torrides et fougueux.
Moi mon bassin se cambre encore plus, pour qu’il aille encore plus loin en moi, je ne touche plus terre, je ne parvient pas à retenir mes gémissements de bonheur.
Dans un coup de rein dévastateur et dans un cri libérateur il jouit en moi déclenchant dans mon ventre un orgasme violent qui me fait éjaculer sous mon ventre.
Il s’écrase à mes côtés comblé et heureux. Je reprends mes esprits, en me demandant pourquoi je ne l’ai pas rencontré plus tôt. Je sais c’est idiot.
Après avoir rassemblé nos habits, comme dans les films, ils sont à terre sur tout le long du parcours jusqu’à la chambre, je me rhabille, lui ne remet que son slip. Miam ! Ça lui va à ravir et met ses cuisses et ses atouts en valeur. Puis il faut que je rentre, je le quitte en l’embrassant fiévreusement avant de partir.
Cette fois ci, il me donne son numéro de téléphone (pas de portable il n’y en avait pas beaucoup à cette époque) et me dit :
- quand tu veux passer, je préfère que tu me préviennes.
Je lui donne aussi mon numéro, sans penser que ce sera peut être mon mec qui répondra. Aïe ! Bien sûr c’est arrivé ! Et encore un mensonge à inventer, surtout que ce jour là, mon mec écoutaitla conversation sans scrupule. On n’a pas beaucoup parlé et il ne m’a plus jamais appelé chez moi.
Mais je suis encore revenue chez lui, presque tous les jours suivants.
La suite plus tard. Merci pour vos com.
Seithan
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Fascinant... c'est trop mignon ^^