Mon premier costume
Récit érotique écrit par Patrice [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2005 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mon premier costume
<p>Mon premier costume « sur mesure »
Ma mère avait une très bonne amie qui se prénommait Josette avec qui elle s’entendait très bien et d’ailleurs nous étions partis tous ensemble en vacances l’année précédente.
Elle habitait le même immeuble que nous, elle devait être beaucoup plus jeune que ma mère, je dirais qu’à cette époque elle devait avoir entre trente et trente cinq ans. Elle était rousse et sa peau d’une blancheur laiteuse, quelques taches de rousseurs sur ses pommettes et ses bras, de longs cheveux roux qu’elle laissait souvent détachés et qui retombaient sur ses épaules.
Elle avait un regard extraordinaire avec de grands yeux verts qui vous fusillaient littéralement.
Elle avait aussi pour me plaire, une forte poitrine que j’avais eu l’occasion d’apercevoir durant les vacances passées : de véritables obus !
Elle était mariée et avait deux petits enfants de quatre et sept ans.
Dans mes pensées nocturnes, elle avait une bonne place pour satisfaire mes fantasmes.
Elle travaillait à domicile en tant que couturière et effectuait des travaux pour le voisinage, cela nous dépannait bien.
Un jour, ma mère me dit : Toi et ton frère, vous irez voir Josette demain car elle va vous faire à chacun un costume.
En effet, les beaux jours arrivaient, et nous devions aller au mariage de notre cousine Geneviève.
Josette nous avait déjà réalisé des habits et son travail était parfait et reconnu de tous.
Le lendemain nous montions donc, mon frère et moi chez Josette qui nous accueilli toujours avec sa bonne humeur.
Elle avait une blouse bleu clair, largement décolletée et nous proposa gentiment un rafraîchissement.
Le plaisir de la regarder était déjà pour moi un vrai rafraîchissement.
Ensuite elle nous dit : Je commence par qui ? Allez Hervé, viens avec moi que je prenne tes mesures.
Elle emmena mon frère dans la pièce d’à coté qui lui servait d’atelier de couture.
Quelques minutes plus tard, ils revinrent tous les deux et elle lui dit :
Voilà, c’est fini pour toi tu peux retourner à la maison, je vais m’occuper de Patrice !
Dans cette phrase anodine, il y avait pour moi une connotation pleine de sensualité.
Je regardais chaque espace de sa peau, la moindre échancrure, et tous ses mouvements faisaient comme une danse érotique.
Puis ayant raccompagné mon frère à la porte elle me dit : Bon maintenant je vais pouvoir m’occuper de toi !
Elle me dit : Il y a longtemps que tu n’es pas venu me voir ? En effet, depuis pas mal de temps, elle m’offrait un petit goûté et nous bavardions sur pas mal de sujets.
Oui je prépare mon BTS, alors je n’ai pas beaucoup de temps à moi ! Répondis-je
Comme c’est dommage, et ta petite copine, tu la vois de temps en temps ?
Oui, oui, mais pas souvent ! Lui dis-je pour sauver la face alors que de ce coté là, c’était bien calme depuis que j’avais cassé avec mon flirt.
Et ça te fait quel âge maintenant ?
Dans deux mois j’ai dix huit ans et d’ailleurs on fête mon anniversaire et bien sûr, vous serez invité ?
Dix huit ans, déjà, tu es un beau jeune homme dis donc ! répondit elle en me lançant un air étonné.
Où sont ils mes dix huit ans, il y a longtemps déjà !
Tout en parlant, elle papillonnait autour de moi, elle prenait des notes sur un petit carnet
Puis elle sorti son mètre en ruban de sa poche pour prendre mes mesures.
Elle s’approcha de moi et mis ses mains autour de moi pour mieux prendre mon tour de poitrine et passer le mètre dans le dos.
Pour y arriver, elle s’était colée à mon corps et je pouvais sentir son odeur, un mélange de parfum et de sueur.
Je commençais à ressentir des sensations agréables au niveau de mon sexe.
Elle recommença pour prendre mon tour de taille mais elle due se baisser en pliant les genoux.
Cette position m’offrait une vue imprenable sur son décolleté et je plongeais mon regard dans ce monde merveilleux qui m’attirait comme un aimant. Mon sexe grandissait au fur et à mesure.
Je n’arrivais pas à détacher mon regard de cette vision quand elle releva la tête, elle dû s’apercevoir de mon émoi.
Et bien Patrice, tu admires ma poitrine ? Me demanda-t-elle
Non, non pas du tout ! Répliquais-je immédiatement
Sur ce, elle prit le mètre pour mesurer mon entre jambes, et me demanda : tu portes de quel coté ?
D’après ce que je vois, tu portes à gauche ! dit elle en posant sa main sur le haut de ma cuisse
C’était plus fort que moi, je ne pouvais contrôler l’érection qui n’en finissait pas de grandir dans mon slip.
Tous mes efforts étaient vains et quand je senti sa main frôler mon sexe, je ne pus me retenir plus longtemps.
Elle avait son regard tourné vers moi et me dis : Et bien, mon petit Patrice, je te fais de l’effet on dirait !
J’étais sûrement rouge de honte et elle se mit à sourire en me disant : c’est bien de ton âge et tu dois profiter des expériences.
Bon maintenant, c’est fini pour aujourd’hui, reviens me voir la semaine prochaine pour les essayages mais tu peux venir me voir quand tu veux !
A ma grande surprise, elle me fit un petit bisou sur la bouche en me disant : Patrice, ne rêve pas trop à moi !
Elle avait mis le feu dans ma tête et dans mon ventre. J’avais mon sexe qui baignait dans mon sperme et j’avais hâte de retourner chez moi pour nettoyer tout ça.
La soirée et la nuit furent agitées car je n’arrêtais pas de penser à Josette, à sa poitrine et sa main qui avait touché mon sexe.
Le lendemain après midi, je savais qu’elle serait seule, son mari, représentant était absent du lundi au vendredi et rentrait juste pour le week-end.
Ses enfants quant à eux allaient à l’école et une voisine les ramenait vers 17 heures.
Je devais trouver un prétexte pour aller la voir. Après réflexion, j’eu l’idée d’aller lui demander si par hasard elle n’avait pas trouvé une petite clef que j’aurais perdue.
Arrivé devant sa porte, je me demandais si je devais frapper, si je devais me lancer dans cette aventure sans savoir ce qui allait se passer. C’était quand même l’ami de ma mère et je me sentais coupable de trahison.
J’imaginais déjà le pire quand j’entendis la clef tourner dans la serrure, j’étais figé et quand la porte s’ouvrit, je la vis, magnifique avec sa chevelure de feu.
Elle souriait en me demandant : Tu venais peut être me voir, j’allais sortir, que voulais-tu ?
Je bredouillais : depuis hier je recherche une petite clef, je l’ai peut être perdue chez toi, tu l’a pas trouvé par hasard ?
Non, mais entre, on va la chercher ensemble !
Elle reposa sa veste et me fis asseoir dans le salon, j’étais très excité à l’idée d’être seul avec elle et elle me proposa un petit café puis me dit : alors cette petite clef, tu penses l’avoir perdue où ?
Je sais pas, peut être n’est elle pas ici ! Ajoutais-je
Pas grave on va s’en assuré, mais de toute façon cela me fais plaisir de te revoir mon petit Patrice ! répliqua –t-elle.
Tu crois qu’elle a pu glisser sous la banquette ? dit elle en joignant le geste à la parole, elle se mit a quatre pattes pour regarder sous le meuble.
Dans le mouvement, sa robe s’était relevée et dévoilait maintenant ses belles cuisses. Pour donner le change, moi aussi je me mis à quatre pattes pour chercher la clef qui était dans poche.
Là je vois rien, et toi tu vois quelque chose ? Me dit elle en souriant. Nous étions à quatre pattes et maintenant nous étions face à face et là, la magie opéra encore une fois car la vue sur sa poitrine généreuse me fit un effet immédiat.
Je devais me lancer, qu’est ce que je risquais en lui disant, « Ce que je vois est magnifique » répétais-je dans ma tête mais aucun son ne sortit de ma bouche.
Elle me lança : Dis donc Patrice, quand tu auras fini de mater mes seins, tu me le diras !
Je lui dit : Ce que je vois est magnifique !
Ah d’accord, tu veux voir mes seins et cette histoire de clef n’était qu’un prétexte alors.
Pourquoi ne pas l’avoir dit plus tôt, je te plait et tu n’oses pas me le dire, serais tu timide avec les filles ? Dit elle en se relevant. Viens à coté de moi et dis moi ce que tu veux voir ?
Elle pris ma main et la posa entre ses deux seins. Tu sens comme ma peau est douce ! dit elle en pressant fortement ma main contre elle. Oui ta peau est douce et j’aimerais te caresser si tu me laisses faire ! Répondis-je.
Pour m’aider, elle dégrafa les boutons de sa robe et me dévoila ses sous-vêtements, elle avait un petit jupon rose et dessous je voyais distinctement le soutien gorge blanc qui comprimait ses deux magnifiques seins.
Je caressais sa poitrine pendant qu’elle ôtait son soutien gorge en passant ses mains dans le dos.
Sa poitrine jaillit alors d’un seul coup libérant ses superbes tétons de couleur rousse.
Instinctivement j’approchais ma bouche pour m’emparer de l’un de ses tétons que j’aspirais goulûment.
Ses mains prirent ma tête pour mieux la serrer contre elle et poussa un gémissement de plaisir.
Ah Patrice tu me fais du bien, que c’est bon ! dit elle en fermant les yeux. Une de mes mais explorait son sein droit pendant que l’autre palpait le gauche que j’aspirais et tétais avec frénésie. Ses tétons étaient maintenant bien durs et se redressaient fièrement. Sa peau était d’une douceur incroyable, on aurait dit de la soie.
Je la mangeais, je la respirais, mais je voulais avant tout lui donner du plaisir. Elle dégagea soudainement ma tête noyée dans sa poitrine et la pris à deux mains pour l’attirer vers son visage, elle me regarda et sans un mot, vint déposer ses lèvres sur les miennes, dans mon slip, c’était la fête, mon sexe était bandé comme un arc et la moindre caresse pouvait tout déclancher.
Ses lèvres s’entrouvrirent lentement et sa langue entra dans ma bouche et en explora avec délice les moindres recoins. Une de mes mains glissa sur le jupon et descendit vers la culotte. Je sentis de sa part, aucune résistance et bien au contraire puisque arrivé sur le petit morceau de tissu, elle écarta les jambes. Je plaçais alors mon doigt sur le centre de sa culotte que je sentais bien humide, à travers le tissu je devinais la chatte de Josette.
Le bout de mes doigts caressait doucement cet endroit merveilleux et j’enfonçais délicatement le tissu dans cette moiteur torride, cette action lui arracha un petit cri et ses jambes s’écartèrent encore plus.
N’y tenant plus, je plongeais alors ma tête entre ses jambes, décidé à lui donner un maximum de plaisir.
Une petite culotte rouge faisait barrage avec le fruit convoité, mon nez était maintenant collé sur le tissu pendant que mon doigt s’infiltrait dans l’orifice juteux. J’écartais délicatement le bord de la culotte pour bien regarder ce petit trésor orné de petits poils roux et blonds.
Le cœur de la petite chatte était maintenant largement ouvert et luisait sous la lumière du salon. Son sexe palpitait comme un coquillage de couleur rose orangée et je voyais le petit bouton en haut qui déclanche des orgasmes.
Josette était maintenant dans tous ces états et appuyait fortement ma tête vers son sexe, ma langue étais maintenant tendue vers son sexe que je lapais comme un petit chien, elle sentait bon, elle était trempée et quand j’introduis un doigt pour mieux la pénétrée elle se mit à rugir de plaisir.
Sa culotte ne nous gêna pas plus longtemps car en un éclair, celle-ci fut retirée afin qu’aucun obstacle se présente pour cette merveilleuse expérience avec une vraie femme.
Je replongeais ma tête vers sa fente luisante qui me réclamait mais mon sexe aussi réclamait pour que l’on s’occupe de lui.
Je léchais à grands coups de langue cette chatte rousse bien écartée maintenant et je voyais aussi la petite pastille marron que je commençais à caresser aussi.
Je titillais son petit bouton pendant que deux de mes doigts batifolaient à l’intérieur de se sexe écartelé.
Je n’avais qu’une idée : lui donner du plaisir, la faire jouir comme jamais elle n’avait joui, la faire exploser dans ma bouche, comme un bonbon fourré à la liqueur, rendre cette femme folle d’amour et lui procurer de nouvelles sensations, tel était mon but, mon objectif.
Mon pouce allait et venais dans sa chatte alors que mon index commençait à chatouiller son petit cul qui se dilatait et se rétractait à chaque caresse. Afin de faciliter la pénétration qui semblait imminente, je remis mon index dans sa chatte trempée pour le remettre dans le cul qui s’ouvrit facilement.
Son corps était comme un pantin désarticulé, sa tête était complètement renversée en arrière et à chaque coup de langue, elle tressautait comme un cabri. Mon sexe était lui aussi prêt à jouir et bien à l’étroit dans mon jean.
Je sentais que sa jouissance était proche quand, encore une fois elle pris ma tête entre ses mains pour diriger la manœuvre et activer encore plus ses sens. Comme une bête enragée, elle râla dans un flot de paroles incompréhensibles puis un spasme raidi ses jambes qu’elles resserra pour mieux jouir.
Malgré les à-coups donnés dans cette dernière chevauchée, j’avais encore mon pouce enfoncé dans sa chatte et mon index planté dans son cul. Tout doucement, je fis aller et venir les deux doigts et je fus surpris qu’elle reprenne aussi vite goût à ce petit jeu. Dans un délire total elle me prit cette main qui la fouillait pour accélérer le rythme et obtenir une nouvelle jouissance qui la terrassa comme un cheval mort.
J’étais assez fier de moi pour avoir donné ce plaisir à Josette qui me regardait d’un air hébété et complètement échevelée.
Patrice, tu es un vrai petit cochon, tu sais, tu m’as donné beaucoup de plaisir et je me suis même pas occupé de toi ! Me dit elle en reprenant sa respiration.
Joignant le geste à la parole, elle se leva pour se placer devant moi alors que j’étais resté assis sur le canapé.
Elle se mit à genoux tout en caressant sa poitrine généreuse. Ses seins touchaient maintenant mes genoux et mes cuisses. Je ne bougeait pas et la laissais faire sans un mot. Ses mains remontaient le long de mes jambes et pétrissaient mes cuisses, cela me provoqua un léger frisson qui parcouru mon corps.
Une de ses mains caressait mon corps sous ma chemise, qu’elle commença doucement à déboutonner.
J’étais aux anges ! Elle dégagea ma chemise et retira mon maillot de corps pour me retrouver torse nu.
Sa tête vint se coller sur mon torse et elle lécha mes tétons, ce qui me chatouilla et me fit rigoler.
Puis nos langues se rencontrèrent à nouveau pour exécuter un duo frénétique, je la serrais alors tout contre moi et je sentais battre son cœur, nos respirations étaient saccadées tant le plaisir était intense.
Elle était complètement nue mais moi j’avais encore mon jean devenu trop étroit pour contenir ma queue qui criait grâce. Je sentais alors sa main retirer habilement la ceinture puis ouvrit mon jean, pendant que nous continuions nos jeux de langues. Sa main s’infiltrat alors dans mon slip pour saisir ma queue.
Quelle est dure, dis donc et comme elle est douce aussi, dit –elle en se baissant et se mettre à genoux devant l’objet.
Retire donc tes vêtements que tu sois plus à l’aise ! Insista-t-elle
Mes baskets volèrent ainsi que mon slip et mon jean, elle me contemplait et ne quittait pas du regard cette queue que je brandissais devant ces beaux yeux verts.
Elle approcha doucement sa bouche gourmande de mon sexe et décalotta doucement le gland abondamment lubrifié par l’excitation, elle me regardait en faisant celle qui déguste un bon plat.
Le petit bout de sa langue se posa sur mon gland, puis tourna tout autour comme si elle mangeait une glace.
J’avais hâte qu’elle en finisse avec ce genre de caresses et j’attendais avec impatience le moment où elle avalerait ma queue complètement.
Mais elle n’était pas pressée et profitais du moment en jouant avec mon sexe hyper tendu.
Elle continua un petit moment avec l’extrémité de ma queue puis descendis en me léchant jusqu’aux couilles qui étaient gonflées de plaisir elles aussi.
Je ne savais plus où j’étais et je râlais comme un animal, je grognais de plaisir, des gémissements sortaient de ma gorge ainsi que des paroles obscènes.
Ah la vache ! la salope tu vas me faire jouir ! Elle s’arrêta et me regarda
Oui je suis ta salope, et même une grosse salope et qui aime ta queue, regarde comme je l’aime ta bite ! Vociféra-t-elle en avalant complètement ma queue dans sa bouche.
L’action combinée de sa main et de sa bouche était absolument fantastique et je sentais le plaisir monter dans mon sexe prêt à jaillir et exploser dans sa gorge.
Ce fut un moment merveilleux, je sentais sa chaude bouche qui aspirait ma queue, le contact de sa langue qui n’arrêtait pas de tourner, c’était même impressionnant quand elle venait buter à la racine de mon sexe, j’avais l’impression que ma queue était dans sa gorge.
Ce petit manège ne pouvait pas durer très longtemps et excité comme je l’étais, je lui dis :
Oh ma Josette, tu vas me faire jouir ! Mais insouciante, elle continuait sa tâche car elle sentait elle aussi la tension qui montait dans ma queue et qui bientôt allait exploser dans sa bouche si elle n’y pris pas garde.
Elle gardait mon sexe dans sa bouche jusqu’au dernier moment puis mis sa poitrine devant mon sexe qui éclaboussa ses seins de grands jets de sperme. Puis elle remit mon sexe dans sa bouche tout en me masturbant jusqu’à la dernière goûte, elle me léchais et me nettoyait la queue devenue très sensible après cette jouissance intense. Elle étala ma semence sur ses seins en me disant : c’est bon pour la peau !
J’étais à ce moment là, le plus heureux des hommes car j’avais réalisé un rêve que je croyais impossible.
Puis elle me dit : Tu sais mon petit Patrice, tu m’as agréablement surprise et je pensais pas que tu étais aussi bon en amour, tu sais que André me délaisse toute la semaine et le week-end il est crevé, mais moi, j’ai des besoins et ce n’est pas si facile. Reviens me voir quand tu veux, je serais toujours prête pour toi, regarde comme je suis excitée, je suis encore toute mouillée !
Elle porta sa main à sa chatte et ressorti un doigt luisant de son jus qu’elle mit sous mon nez, ah la bonne odeur, puis son doigt s’introduit dans ma bouche et je le suçais avidement. Cela me provoqua une nouvelle érection, elle savait y faire en écartant sa chatte, se caressant les seins, glissant un doigt dans sa fente, c’était reparti au quart de tour.
T’a envie de ma chatte, de me baiser, d’enfoncer ta queue dans ma moule, allez viens me défoncer ! dit elle grossièrement et en me provoquant en écartant largement son sexe luisant.
C’était une vraie chienne, elle en voulait encore, c’est vrai que je l’avais fais jouir mais pas avec ma queue.
Je m’approchais d’elle, elle était assise sur le canapé et j’avançais, le dard tendu vers elle quand elle me dit :
Patrice, je crois que l’on serait mieux dans ma chambre ! dit elle en me lançant un clin d’œil
C’est comme tu veux, moi je te suis, y a pas de problèmes ! Répondis-je, complètement excité avec ma queue dressée comme un étendard qui allait de droite et de gauche en marchant.
Sa chambre était coquette et le lit avait l’air très confortable, la silhouette de Josette me rappelait des œuvres de peintres célèbres. Elle avait de larges fesses et quand elle se pencha en avant pour retirer la couverture, je ne pu y résister et lui mis ma main dans cette raie à la fois chaude et humide.
Je la poussais en avant pour la faire basculer sur le lit et mon sexe se retrouva coller sur ses fesses.
Qu’est ce que tu vas me faire, tu veux me prendre par derrière, ah non pas question, je veux que tu me baise, j’en ai trop envie, baise moi ! Me supplia-t-elle...
La lumière dans la chambre était tamisée par les rideaux qui laissaient passer quelques rayons de soleil qui illuminaient le lit, Josette était allongée sur le ventre, la lumière éclairait ses belles fesses blanches qui s’agitaient en me réclamant. Cette vision m’attira tout contre elle et je me mis à lui caresser ses fesses qui s’écartaient à chaque passage, je massais ces deux globes charnus alors que je m’étais mis à genoux entre ses jambes écartées pour bien profiter du spectacle. Le rayon de lumière était concentré vers son intimité que je voyais comme un numéro sur une scène, c’était très excitant et ma queue ne s’y était pas trompée, c’était un excellant spectacle !
Mes deux mains écartais les deux fesses et mes deux pouces entraient facilement dans la fente de Josette qui était aussi excitée que moi, je malaxais ses fesses et en même temps, faisait aller et venir mes pouces au plus profond d’elle-même. A chaque poussée, je lui arrachais des cris de plaisir.
Je sentais les mouvements de sa croupe venir à la rencontre de mes pouces pour aller encore plus loin, plus fort.
Sa croupe se soulevait de plus en plus pour se retrouver complètement à quatre pattes devant moi et me présentant ses orifices pleins de désirs.
Mes deux pouces toujours à l’intérieur écartaient maintenant sa chatte béante et ruisselante de jus qui se frottait sur ma queue.
Vas y mets la moi maintenant, je ne tiens plus, tu me rend folle ! Dit-elle en secouant la tête dans tous les sens.
Moi non plus je ne pouvais plus longtemps résister à la tentation, c’était trop fort, trop beau, trop !
N’y tenant plus, j’avançais ma queue dans cette chatte brûlante de désir et au passage de mon gland, elle poussa un soupir de soulagement
Ahhhhhhhh, Mon Dieu que c’est bon ! Fit-elle alors que ma queue entrait dans ce sexe que je sentais palpiter autour de mon gland. Elle contractait sa chatte et sans bouger, me donnait du plaisir. C’était divin !
Mais l’instinct est plus fort et après les moments de tendresse, vint la folie dévastatrice.
Les aller et retour de Josette étaient impressionnants comme les cris qu’elle poussait à chaque mouvement.
J’espérais aussi que les voisins n’entendraient pas tous ces bruits.
Je sentais la sève montée d’un seul coup dans ma queue qui déversa une quantité importante de mon sperme dans cette chatte si accueillante.
Nous sommes restés un long moment sans bouger, collé l’un à l’autre, mon sexe encore frémissant à l’intérieur de la grotte copieusement arrosée, je la sentais aussi se contracter sous les contractions de mon gland.
Nous nous longuement caressés puis embrasser avant de nous endormir.
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Ma mère avait une très bonne amie qui se prénommait Josette avec qui elle s’entendait très bien et d’ailleurs nous étions partis tous ensemble en vacances l’année précédente.
Elle habitait le même immeuble que nous, elle devait être beaucoup plus jeune que ma mère, je dirais qu’à cette époque elle devait avoir entre trente et trente cinq ans. Elle était rousse et sa peau d’une blancheur laiteuse, quelques taches de rousseurs sur ses pommettes et ses bras, de longs cheveux roux qu’elle laissait souvent détachés et qui retombaient sur ses épaules.
Elle avait un regard extraordinaire avec de grands yeux verts qui vous fusillaient littéralement.
Elle avait aussi pour me plaire, une forte poitrine que j’avais eu l’occasion d’apercevoir durant les vacances passées : de véritables obus !
Elle était mariée et avait deux petits enfants de quatre et sept ans.
Dans mes pensées nocturnes, elle avait une bonne place pour satisfaire mes fantasmes.
Elle travaillait à domicile en tant que couturière et effectuait des travaux pour le voisinage, cela nous dépannait bien.
Un jour, ma mère me dit : Toi et ton frère, vous irez voir Josette demain car elle va vous faire à chacun un costume.
En effet, les beaux jours arrivaient, et nous devions aller au mariage de notre cousine Geneviève.
Josette nous avait déjà réalisé des habits et son travail était parfait et reconnu de tous.
Le lendemain nous montions donc, mon frère et moi chez Josette qui nous accueilli toujours avec sa bonne humeur.
Elle avait une blouse bleu clair, largement décolletée et nous proposa gentiment un rafraîchissement.
Le plaisir de la regarder était déjà pour moi un vrai rafraîchissement.
Ensuite elle nous dit : Je commence par qui ? Allez Hervé, viens avec moi que je prenne tes mesures.
Elle emmena mon frère dans la pièce d’à coté qui lui servait d’atelier de couture.
Quelques minutes plus tard, ils revinrent tous les deux et elle lui dit :
Voilà, c’est fini pour toi tu peux retourner à la maison, je vais m’occuper de Patrice !
Dans cette phrase anodine, il y avait pour moi une connotation pleine de sensualité.
Je regardais chaque espace de sa peau, la moindre échancrure, et tous ses mouvements faisaient comme une danse érotique.
Puis ayant raccompagné mon frère à la porte elle me dit : Bon maintenant je vais pouvoir m’occuper de toi !
Elle me dit : Il y a longtemps que tu n’es pas venu me voir ? En effet, depuis pas mal de temps, elle m’offrait un petit goûté et nous bavardions sur pas mal de sujets.
Oui je prépare mon BTS, alors je n’ai pas beaucoup de temps à moi ! Répondis-je
Comme c’est dommage, et ta petite copine, tu la vois de temps en temps ?
Oui, oui, mais pas souvent ! Lui dis-je pour sauver la face alors que de ce coté là, c’était bien calme depuis que j’avais cassé avec mon flirt.
Et ça te fait quel âge maintenant ?
Dans deux mois j’ai dix huit ans et d’ailleurs on fête mon anniversaire et bien sûr, vous serez invité ?
Dix huit ans, déjà, tu es un beau jeune homme dis donc ! répondit elle en me lançant un air étonné.
Où sont ils mes dix huit ans, il y a longtemps déjà !
Tout en parlant, elle papillonnait autour de moi, elle prenait des notes sur un petit carnet
Puis elle sorti son mètre en ruban de sa poche pour prendre mes mesures.
Elle s’approcha de moi et mis ses mains autour de moi pour mieux prendre mon tour de poitrine et passer le mètre dans le dos.
Pour y arriver, elle s’était colée à mon corps et je pouvais sentir son odeur, un mélange de parfum et de sueur.
Je commençais à ressentir des sensations agréables au niveau de mon sexe.
Elle recommença pour prendre mon tour de taille mais elle due se baisser en pliant les genoux.
Cette position m’offrait une vue imprenable sur son décolleté et je plongeais mon regard dans ce monde merveilleux qui m’attirait comme un aimant. Mon sexe grandissait au fur et à mesure.
Je n’arrivais pas à détacher mon regard de cette vision quand elle releva la tête, elle dû s’apercevoir de mon émoi.
Et bien Patrice, tu admires ma poitrine ? Me demanda-t-elle
Non, non pas du tout ! Répliquais-je immédiatement
Sur ce, elle prit le mètre pour mesurer mon entre jambes, et me demanda : tu portes de quel coté ?
D’après ce que je vois, tu portes à gauche ! dit elle en posant sa main sur le haut de ma cuisse
C’était plus fort que moi, je ne pouvais contrôler l’érection qui n’en finissait pas de grandir dans mon slip.
Tous mes efforts étaient vains et quand je senti sa main frôler mon sexe, je ne pus me retenir plus longtemps.
Elle avait son regard tourné vers moi et me dis : Et bien, mon petit Patrice, je te fais de l’effet on dirait !
J’étais sûrement rouge de honte et elle se mit à sourire en me disant : c’est bien de ton âge et tu dois profiter des expériences.
Bon maintenant, c’est fini pour aujourd’hui, reviens me voir la semaine prochaine pour les essayages mais tu peux venir me voir quand tu veux !
A ma grande surprise, elle me fit un petit bisou sur la bouche en me disant : Patrice, ne rêve pas trop à moi !
Elle avait mis le feu dans ma tête et dans mon ventre. J’avais mon sexe qui baignait dans mon sperme et j’avais hâte de retourner chez moi pour nettoyer tout ça.
La soirée et la nuit furent agitées car je n’arrêtais pas de penser à Josette, à sa poitrine et sa main qui avait touché mon sexe.
Le lendemain après midi, je savais qu’elle serait seule, son mari, représentant était absent du lundi au vendredi et rentrait juste pour le week-end.
Ses enfants quant à eux allaient à l’école et une voisine les ramenait vers 17 heures.
Je devais trouver un prétexte pour aller la voir. Après réflexion, j’eu l’idée d’aller lui demander si par hasard elle n’avait pas trouvé une petite clef que j’aurais perdue.
Arrivé devant sa porte, je me demandais si je devais frapper, si je devais me lancer dans cette aventure sans savoir ce qui allait se passer. C’était quand même l’ami de ma mère et je me sentais coupable de trahison.
J’imaginais déjà le pire quand j’entendis la clef tourner dans la serrure, j’étais figé et quand la porte s’ouvrit, je la vis, magnifique avec sa chevelure de feu.
Elle souriait en me demandant : Tu venais peut être me voir, j’allais sortir, que voulais-tu ?
Je bredouillais : depuis hier je recherche une petite clef, je l’ai peut être perdue chez toi, tu l’a pas trouvé par hasard ?
Non, mais entre, on va la chercher ensemble !
Elle reposa sa veste et me fis asseoir dans le salon, j’étais très excité à l’idée d’être seul avec elle et elle me proposa un petit café puis me dit : alors cette petite clef, tu penses l’avoir perdue où ?
Je sais pas, peut être n’est elle pas ici ! Ajoutais-je
Pas grave on va s’en assuré, mais de toute façon cela me fais plaisir de te revoir mon petit Patrice ! répliqua –t-elle.
Tu crois qu’elle a pu glisser sous la banquette ? dit elle en joignant le geste à la parole, elle se mit a quatre pattes pour regarder sous le meuble.
Dans le mouvement, sa robe s’était relevée et dévoilait maintenant ses belles cuisses. Pour donner le change, moi aussi je me mis à quatre pattes pour chercher la clef qui était dans poche.
Là je vois rien, et toi tu vois quelque chose ? Me dit elle en souriant. Nous étions à quatre pattes et maintenant nous étions face à face et là, la magie opéra encore une fois car la vue sur sa poitrine généreuse me fit un effet immédiat.
Je devais me lancer, qu’est ce que je risquais en lui disant, « Ce que je vois est magnifique » répétais-je dans ma tête mais aucun son ne sortit de ma bouche.
Elle me lança : Dis donc Patrice, quand tu auras fini de mater mes seins, tu me le diras !
Je lui dit : Ce que je vois est magnifique !
Ah d’accord, tu veux voir mes seins et cette histoire de clef n’était qu’un prétexte alors.
Pourquoi ne pas l’avoir dit plus tôt, je te plait et tu n’oses pas me le dire, serais tu timide avec les filles ? Dit elle en se relevant. Viens à coté de moi et dis moi ce que tu veux voir ?
Elle pris ma main et la posa entre ses deux seins. Tu sens comme ma peau est douce ! dit elle en pressant fortement ma main contre elle. Oui ta peau est douce et j’aimerais te caresser si tu me laisses faire ! Répondis-je.
Pour m’aider, elle dégrafa les boutons de sa robe et me dévoila ses sous-vêtements, elle avait un petit jupon rose et dessous je voyais distinctement le soutien gorge blanc qui comprimait ses deux magnifiques seins.
Je caressais sa poitrine pendant qu’elle ôtait son soutien gorge en passant ses mains dans le dos.
Sa poitrine jaillit alors d’un seul coup libérant ses superbes tétons de couleur rousse.
Instinctivement j’approchais ma bouche pour m’emparer de l’un de ses tétons que j’aspirais goulûment.
Ses mains prirent ma tête pour mieux la serrer contre elle et poussa un gémissement de plaisir.
Ah Patrice tu me fais du bien, que c’est bon ! dit elle en fermant les yeux. Une de mes mais explorait son sein droit pendant que l’autre palpait le gauche que j’aspirais et tétais avec frénésie. Ses tétons étaient maintenant bien durs et se redressaient fièrement. Sa peau était d’une douceur incroyable, on aurait dit de la soie.
Je la mangeais, je la respirais, mais je voulais avant tout lui donner du plaisir. Elle dégagea soudainement ma tête noyée dans sa poitrine et la pris à deux mains pour l’attirer vers son visage, elle me regarda et sans un mot, vint déposer ses lèvres sur les miennes, dans mon slip, c’était la fête, mon sexe était bandé comme un arc et la moindre caresse pouvait tout déclancher.
Ses lèvres s’entrouvrirent lentement et sa langue entra dans ma bouche et en explora avec délice les moindres recoins. Une de mes mains glissa sur le jupon et descendit vers la culotte. Je sentis de sa part, aucune résistance et bien au contraire puisque arrivé sur le petit morceau de tissu, elle écarta les jambes. Je plaçais alors mon doigt sur le centre de sa culotte que je sentais bien humide, à travers le tissu je devinais la chatte de Josette.
Le bout de mes doigts caressait doucement cet endroit merveilleux et j’enfonçais délicatement le tissu dans cette moiteur torride, cette action lui arracha un petit cri et ses jambes s’écartèrent encore plus.
N’y tenant plus, je plongeais alors ma tête entre ses jambes, décidé à lui donner un maximum de plaisir.
Une petite culotte rouge faisait barrage avec le fruit convoité, mon nez était maintenant collé sur le tissu pendant que mon doigt s’infiltrait dans l’orifice juteux. J’écartais délicatement le bord de la culotte pour bien regarder ce petit trésor orné de petits poils roux et blonds.
Le cœur de la petite chatte était maintenant largement ouvert et luisait sous la lumière du salon. Son sexe palpitait comme un coquillage de couleur rose orangée et je voyais le petit bouton en haut qui déclanche des orgasmes.
Josette était maintenant dans tous ces états et appuyait fortement ma tête vers son sexe, ma langue étais maintenant tendue vers son sexe que je lapais comme un petit chien, elle sentait bon, elle était trempée et quand j’introduis un doigt pour mieux la pénétrée elle se mit à rugir de plaisir.
Sa culotte ne nous gêna pas plus longtemps car en un éclair, celle-ci fut retirée afin qu’aucun obstacle se présente pour cette merveilleuse expérience avec une vraie femme.
Je replongeais ma tête vers sa fente luisante qui me réclamait mais mon sexe aussi réclamait pour que l’on s’occupe de lui.
Je léchais à grands coups de langue cette chatte rousse bien écartée maintenant et je voyais aussi la petite pastille marron que je commençais à caresser aussi.
Je titillais son petit bouton pendant que deux de mes doigts batifolaient à l’intérieur de se sexe écartelé.
Je n’avais qu’une idée : lui donner du plaisir, la faire jouir comme jamais elle n’avait joui, la faire exploser dans ma bouche, comme un bonbon fourré à la liqueur, rendre cette femme folle d’amour et lui procurer de nouvelles sensations, tel était mon but, mon objectif.
Mon pouce allait et venais dans sa chatte alors que mon index commençait à chatouiller son petit cul qui se dilatait et se rétractait à chaque caresse. Afin de faciliter la pénétration qui semblait imminente, je remis mon index dans sa chatte trempée pour le remettre dans le cul qui s’ouvrit facilement.
Son corps était comme un pantin désarticulé, sa tête était complètement renversée en arrière et à chaque coup de langue, elle tressautait comme un cabri. Mon sexe était lui aussi prêt à jouir et bien à l’étroit dans mon jean.
Je sentais que sa jouissance était proche quand, encore une fois elle pris ma tête entre ses mains pour diriger la manœuvre et activer encore plus ses sens. Comme une bête enragée, elle râla dans un flot de paroles incompréhensibles puis un spasme raidi ses jambes qu’elles resserra pour mieux jouir.
Malgré les à-coups donnés dans cette dernière chevauchée, j’avais encore mon pouce enfoncé dans sa chatte et mon index planté dans son cul. Tout doucement, je fis aller et venir les deux doigts et je fus surpris qu’elle reprenne aussi vite goût à ce petit jeu. Dans un délire total elle me prit cette main qui la fouillait pour accélérer le rythme et obtenir une nouvelle jouissance qui la terrassa comme un cheval mort.
J’étais assez fier de moi pour avoir donné ce plaisir à Josette qui me regardait d’un air hébété et complètement échevelée.
Patrice, tu es un vrai petit cochon, tu sais, tu m’as donné beaucoup de plaisir et je me suis même pas occupé de toi ! Me dit elle en reprenant sa respiration.
Joignant le geste à la parole, elle se leva pour se placer devant moi alors que j’étais resté assis sur le canapé.
Elle se mit à genoux tout en caressant sa poitrine généreuse. Ses seins touchaient maintenant mes genoux et mes cuisses. Je ne bougeait pas et la laissais faire sans un mot. Ses mains remontaient le long de mes jambes et pétrissaient mes cuisses, cela me provoqua un léger frisson qui parcouru mon corps.
Une de ses mains caressait mon corps sous ma chemise, qu’elle commença doucement à déboutonner.
J’étais aux anges ! Elle dégagea ma chemise et retira mon maillot de corps pour me retrouver torse nu.
Sa tête vint se coller sur mon torse et elle lécha mes tétons, ce qui me chatouilla et me fit rigoler.
Puis nos langues se rencontrèrent à nouveau pour exécuter un duo frénétique, je la serrais alors tout contre moi et je sentais battre son cœur, nos respirations étaient saccadées tant le plaisir était intense.
Elle était complètement nue mais moi j’avais encore mon jean devenu trop étroit pour contenir ma queue qui criait grâce. Je sentais alors sa main retirer habilement la ceinture puis ouvrit mon jean, pendant que nous continuions nos jeux de langues. Sa main s’infiltrat alors dans mon slip pour saisir ma queue.
Quelle est dure, dis donc et comme elle est douce aussi, dit –elle en se baissant et se mettre à genoux devant l’objet.
Retire donc tes vêtements que tu sois plus à l’aise ! Insista-t-elle
Mes baskets volèrent ainsi que mon slip et mon jean, elle me contemplait et ne quittait pas du regard cette queue que je brandissais devant ces beaux yeux verts.
Elle approcha doucement sa bouche gourmande de mon sexe et décalotta doucement le gland abondamment lubrifié par l’excitation, elle me regardait en faisant celle qui déguste un bon plat.
Le petit bout de sa langue se posa sur mon gland, puis tourna tout autour comme si elle mangeait une glace.
J’avais hâte qu’elle en finisse avec ce genre de caresses et j’attendais avec impatience le moment où elle avalerait ma queue complètement.
Mais elle n’était pas pressée et profitais du moment en jouant avec mon sexe hyper tendu.
Elle continua un petit moment avec l’extrémité de ma queue puis descendis en me léchant jusqu’aux couilles qui étaient gonflées de plaisir elles aussi.
Je ne savais plus où j’étais et je râlais comme un animal, je grognais de plaisir, des gémissements sortaient de ma gorge ainsi que des paroles obscènes.
Ah la vache ! la salope tu vas me faire jouir ! Elle s’arrêta et me regarda
Oui je suis ta salope, et même une grosse salope et qui aime ta queue, regarde comme je l’aime ta bite ! Vociféra-t-elle en avalant complètement ma queue dans sa bouche.
L’action combinée de sa main et de sa bouche était absolument fantastique et je sentais le plaisir monter dans mon sexe prêt à jaillir et exploser dans sa gorge.
Ce fut un moment merveilleux, je sentais sa chaude bouche qui aspirait ma queue, le contact de sa langue qui n’arrêtait pas de tourner, c’était même impressionnant quand elle venait buter à la racine de mon sexe, j’avais l’impression que ma queue était dans sa gorge.
Ce petit manège ne pouvait pas durer très longtemps et excité comme je l’étais, je lui dis :
Oh ma Josette, tu vas me faire jouir ! Mais insouciante, elle continuait sa tâche car elle sentait elle aussi la tension qui montait dans ma queue et qui bientôt allait exploser dans sa bouche si elle n’y pris pas garde.
Elle gardait mon sexe dans sa bouche jusqu’au dernier moment puis mis sa poitrine devant mon sexe qui éclaboussa ses seins de grands jets de sperme. Puis elle remit mon sexe dans sa bouche tout en me masturbant jusqu’à la dernière goûte, elle me léchais et me nettoyait la queue devenue très sensible après cette jouissance intense. Elle étala ma semence sur ses seins en me disant : c’est bon pour la peau !
J’étais à ce moment là, le plus heureux des hommes car j’avais réalisé un rêve que je croyais impossible.
Puis elle me dit : Tu sais mon petit Patrice, tu m’as agréablement surprise et je pensais pas que tu étais aussi bon en amour, tu sais que André me délaisse toute la semaine et le week-end il est crevé, mais moi, j’ai des besoins et ce n’est pas si facile. Reviens me voir quand tu veux, je serais toujours prête pour toi, regarde comme je suis excitée, je suis encore toute mouillée !
Elle porta sa main à sa chatte et ressorti un doigt luisant de son jus qu’elle mit sous mon nez, ah la bonne odeur, puis son doigt s’introduit dans ma bouche et je le suçais avidement. Cela me provoqua une nouvelle érection, elle savait y faire en écartant sa chatte, se caressant les seins, glissant un doigt dans sa fente, c’était reparti au quart de tour.
T’a envie de ma chatte, de me baiser, d’enfoncer ta queue dans ma moule, allez viens me défoncer ! dit elle grossièrement et en me provoquant en écartant largement son sexe luisant.
C’était une vraie chienne, elle en voulait encore, c’est vrai que je l’avais fais jouir mais pas avec ma queue.
Je m’approchais d’elle, elle était assise sur le canapé et j’avançais, le dard tendu vers elle quand elle me dit :
Patrice, je crois que l’on serait mieux dans ma chambre ! dit elle en me lançant un clin d’œil
C’est comme tu veux, moi je te suis, y a pas de problèmes ! Répondis-je, complètement excité avec ma queue dressée comme un étendard qui allait de droite et de gauche en marchant.
Sa chambre était coquette et le lit avait l’air très confortable, la silhouette de Josette me rappelait des œuvres de peintres célèbres. Elle avait de larges fesses et quand elle se pencha en avant pour retirer la couverture, je ne pu y résister et lui mis ma main dans cette raie à la fois chaude et humide.
Je la poussais en avant pour la faire basculer sur le lit et mon sexe se retrouva coller sur ses fesses.
Qu’est ce que tu vas me faire, tu veux me prendre par derrière, ah non pas question, je veux que tu me baise, j’en ai trop envie, baise moi ! Me supplia-t-elle...
La lumière dans la chambre était tamisée par les rideaux qui laissaient passer quelques rayons de soleil qui illuminaient le lit, Josette était allongée sur le ventre, la lumière éclairait ses belles fesses blanches qui s’agitaient en me réclamant. Cette vision m’attira tout contre elle et je me mis à lui caresser ses fesses qui s’écartaient à chaque passage, je massais ces deux globes charnus alors que je m’étais mis à genoux entre ses jambes écartées pour bien profiter du spectacle. Le rayon de lumière était concentré vers son intimité que je voyais comme un numéro sur une scène, c’était très excitant et ma queue ne s’y était pas trompée, c’était un excellant spectacle !
Mes deux mains écartais les deux fesses et mes deux pouces entraient facilement dans la fente de Josette qui était aussi excitée que moi, je malaxais ses fesses et en même temps, faisait aller et venir mes pouces au plus profond d’elle-même. A chaque poussée, je lui arrachais des cris de plaisir.
Je sentais les mouvements de sa croupe venir à la rencontre de mes pouces pour aller encore plus loin, plus fort.
Sa croupe se soulevait de plus en plus pour se retrouver complètement à quatre pattes devant moi et me présentant ses orifices pleins de désirs.
Mes deux pouces toujours à l’intérieur écartaient maintenant sa chatte béante et ruisselante de jus qui se frottait sur ma queue.
Vas y mets la moi maintenant, je ne tiens plus, tu me rend folle ! Dit-elle en secouant la tête dans tous les sens.
Moi non plus je ne pouvais plus longtemps résister à la tentation, c’était trop fort, trop beau, trop !
N’y tenant plus, j’avançais ma queue dans cette chatte brûlante de désir et au passage de mon gland, elle poussa un soupir de soulagement
Ahhhhhhhh, Mon Dieu que c’est bon ! Fit-elle alors que ma queue entrait dans ce sexe que je sentais palpiter autour de mon gland. Elle contractait sa chatte et sans bouger, me donnait du plaisir. C’était divin !
Mais l’instinct est plus fort et après les moments de tendresse, vint la folie dévastatrice.
Les aller et retour de Josette étaient impressionnants comme les cris qu’elle poussait à chaque mouvement.
J’espérais aussi que les voisins n’entendraient pas tous ces bruits.
Je sentais la sève montée d’un seul coup dans ma queue qui déversa une quantité importante de mon sperme dans cette chatte si accueillante.
Nous sommes restés un long moment sans bouger, collé l’un à l’autre, mon sexe encore frémissant à l’intérieur de la grotte copieusement arrosée, je la sentais aussi se contracter sous les contractions de mon gland.
Nous nous longuement caressés puis embrasser avant de nous endormir.
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