mon premier gang bang - histoire érotique

il faisait beau, c'était l'été et je me promenais avec ma fille quand mon tel portable sonna, maman me disait qu'André m'attendais chez lui pour faire sa compta, André un quinquagénere, ami de la famille, que j'appellais famièrement mon oncle,et dont petite, j'étais tres amoureuse, tellement il était plein de charme et de classe, je me prépare vite, fait, habillé tres court et au fond de moi, l'espoir qu'il aurait peut etre envie de faire l'amour avec moi, cela faisait plusieurs jours que mon fantome de chasseur de mari ne m'avait plus touchée.

en arrivant chez lui à Sierk, je découvre deux voiture garée devant chez lui, dommage, il n'est pas seul, je sonne, il m'ouvre la porte et je lui donne un bisou amical, il me regarde et sans que je ne veuille résister, m'embrasse à pleine bouche, je lui rend ce baiser, chaud et passionné, si longtemps que j'attendais ce moment. nous allons vers son bureau, il m'avoue avoir tres envie de moi, ce à quoi je dis simplement , mais moi aussi. il ferme la porte, se rapproche, ote mes quelques vetements et je m'agenouille devant lui pour commencer à le sucer, quel magnifique sexe, tendu, veineux, et long, il coulisse bien dans ma bouche, je le suce, je lui leche les couilles, il est en trance, il me dit vouloir à son tour me lecher, je me couche sur le dos, à même son bureau, cuisses bien ouvertes et il commence un cunni que personne d'autre que mon amant dj n'avait su me prodiguer, décidément je n'avais jamais pensé avant de les connaitre qu'une simple langue puisse faire autant d'effet. je lui tenais la tete pendant qu'il me broutait, puis brusquement la porte s'ouvre et deux amis d'andré pénétre dans la piece, mon oncle me regarde c'est pierre et jean, deux amis, rassures toi, ils seront discrets, surtout si tu les laisses te baiser aussi, je réponds, oh oui je veux, mais quelle sorte de salope suis je devenue, la pute de koenigsmaker, la pouffiasse à baiser, je ne sais plus, je suis dans un état second, Pierre me tend sa bite que je commence à sucer pendant que je branle jean, André lui continue son cunni jusqu'au moment ou il décide de me prendre, je sens son sexe dans mon vagin, il me pistonne bien, en criant, mais c'est qu'elle aime cela cette salope, hummm, pas facile de répondre la bouche pleine, il se saisit de moi, et s'assied dans le grand divan, bien au milieu, il me demande de venir m'empaler la chatte sur son dard, ce que je fais, laissant mon petit trou encore bien serré à la disposition des deux autres quidams, ne se faisant pas prier, Jean me leche la rondelle et m'enfile son sexe dans le cul, je suis prise en tenaille pour la première fois, c'est si bon que j'en crie mon plaisir, d'etre ainsi prise, déchirée soumise, mais je ne crie pas longtemps car pierre à bien décider de se finir dans ma bouche
Ce qu'il fit d'ailleurs assez rapidement, voyant que j'avalais le bon foutre, André dit à Jean de ne pas se vider dans mon cul mais que nous allions me donner une bonne rasade de foutre chacun. pendant ce temps Pierre prit quelques photos tres chaude avec son portable, n'y tenant plus, Jean sorti de mon trou de balle, immédiatement remplacé par André et me tendit sa bite à sucer, humm quel délice et quel fumet, je le sucais fort et il ne tarda pas à m'innonder la bouche de son sperme, quel régal à nouveau, André décida de changer de position et me demanda de me mettre à quatre pattes, une fois dans cette position, il m'encula de plus belle, je sucais ses amis avec beaucoup d'entrain, l'un deux dit, elle suce comme personne cette petite salope, c'est son mari, le Léon qui doit etre content. je ne répondis pas tant cette remarque était idiote, cela faisait si longtemps que je n'étais qu'un meuble pour ce cretin, mais j'avais de petit à coté tres agréable, Luc mon amant ami et mes trois nouveaux amants. ma séance de baise se termina par l'éjaculation d'André dans ma bouche, quelques coup de langues et il me dit, bon mnt tu es venue pour ma compta, faudrai s'y mettre sinon ce sera jamais fait, ses deux amis s'en allèrent, je voulu me r'habiller mais il me dit non, reste à poil petite Katia, j'aime trop te voir nue, tu m'exite tellement. et je commenca à faire les comptes, jambes écartées sous le regard lubrique d'André qui qu'en j'eu fini me demanda de lui prodiguer une dernière sucette dont je receuilli à nouveau le nectar en pleine bouche. voila tonton, faut que j'y aille, Léon va pas tarder à rentrer de la chasse, je me dis en montant dans la voiture une fois lavée, remaquillée et r'habillée, que finalement, qui va à la chasse perd sa place. sur la route André me téléphone et me dit, samedi prochain, compta chez moi, nous seront quatre ou cinq pour toi, acceptes tu, au fond de moi l'envie de dire non peut etre un ressentiment, mais ma bouche dit simplement oui, à 14 heure comme aujourd'hui, bisous tonton, il me dit bisous petite salope préférée. humm vivement à samedi prochain