Mon premier inconnu - histoire érotique

Mon premier inconnu.

Je m’appelle Angélique j’ai 25 ans. Je vis depuis plusieurs années avec Cédric. J’ai rencontré Cédric alors que je n’avais que 18 ans, lui en avait 24. Nous sommes très vite tombé amoureux et je n’ai jamais aimé un autre homme. Je vais maintenant me décrire afin que vous puissiez bien m’imaginer : de taille moyenne, je suis légèrement ronde, divinement ronde me dit-on souvent, j’ai toujours porté les cheveux longs et ils sont très noirs, j’ai de grands yeux bleus, un visage bien mignon aux traits fins et une bouche assez pulpeuse, j’ai une assez forte poitrine de 90 D qui est pourtant très ferme, un postérieur bien fait avec des hanches larges, ma peau très blanche est parsemée de grain de beauté.
Voici mon histoire qui est absolument réelle. L’essentiel de mon récit se passe dans ma vingtième année. Tout à commencé un peu bêtement. Cédric et moi vivions bien heureux tout comme aujourd’hui, nous avions une vie professionnelle ordinaire, et une vie sexuelle parfaite. Parfaite jusqu’au jour ou je tombe sur une cachette secrète ou Cédric planquait des vidéos pornos. Lorsque je l’interrogea sur la présence de ces cassettes tout en lui demandant si je ne lui suffisait plus : ça réponse était plutôt évasive, il disait avoir des fantasmes un peu particulier. Je ne suis pas du genre à m’énerver pour n’importe quoi, je suis plutôt facile à vivre. J’ai alors proposé que nous les visionnions ensemble. Je n’avais alors aucune culture pornographique, et j’avouais mon ignorance de certaines pratiques telle que la double pénétration. Toutes les cassettes traitaient un peu des mêmes choses, une fille se faisait prendre par plusieurs hommes, les hommes, souvent des noirs avaient des sexes énormes. Il m’expliquait alors s’en même rougir qu’il m’imaginait quelque fois prise par plusieurs garçons très excités, dans des scénarios un peu fous. J’étais assez étonnée, et absolument confuse :
« Moi ? disais-je, mais je n’ai jamais connu d’autre homme, je ne sais même pas ce que c’est qu’une sodomie. »
Il tenta alors de m’attendrir, en me disant combien je suis exquise, que je méritais d’être contentée, et que bien de ses collègues me trouvent alléchante. Nous avons prolongé notre discussion au lit, et puis nous avons fait l’amour. Plusieurs semaines passèrent sans que nous reparlions de tout cela. Et puis, par curiosité, j’ai visionné à plusieurs reprises les cassettes de Cédric, je fus finalement bien excitée par les gros sexes des noirs, et aussi par la situation scabreuse d’une femme livrée à tant de mâles en érection. Je me touchais, j’allais plus loin encore, je faisais un peu rentrer un doigt dans mon anus juste pour voir, et à ma grande surprise je jouis par lui. Et c’est au cours d’une de mes petites entreprises intimes que Cédric me surprit un soir. Je n’avais pas d’excuse à formuler, et ne savais que dire, il y eu un grand silence, le film tournait, j’étais sur le lit avec mes deux mains occupées à faire jouir mes deux trous. Je dis alors un faible : pardon ! Et Cédric tout sourire me demanda si j’étais intéressé par une petite sodomie. Je ne dis rien et me mis simplement en position de levrette. Cédric s’installa derrière moi et lécha mon anus, sensation très agréable, puis j’entendis le bruit de sa braguette, son sexe avait déjà grossit et c’est ainsi qu’il me pénétra les fesses. Mon anus préparé par ma masturbation accepta facile son sexe de taille moyenne, et une jouissance nouvelle éclata dans mon ventre que Cédric n’allait pas tardait d’inonder. Nous avons longuement discuté après cette incroyable découverte que fus pour moi la sodomie. Cédric voulait aller plus loin, et le soir même il m’invita à visiter certain site Internet. Il laissa une annonce : Homme cherche pour sa compagne de 20 ans, un amant d’un jour, pour scénario réel. Le texte était suivi de ma photo et de mes mensurations. Je lui dit qu’il allait un peu trop loin, et que personne ne répondrai à une pareille annonce. Puis il me ramena au lit, pour me cajoler un peu, il me masturba en me racontant le scénario en question, je jouais le jeu et je jouis avec beaucoup de plaisir et un peu de honte. Deux jours plus tard, nous avons consulté le site Internet et à ma grande surprise, il y avait 37 réponses, incroyable ! Cédric m’installa derrière l’ordinateur, et me demanda de choisir l’homme. Un peu désemparée mais amoureuse et confiante et de plus en plus excitée, je me suis mise à la tache. Je choisis un homme très beau et bien fait d’une trentaine d’année qui répondait du pseudo un peu pervers de : sade300. Cédric l’appela le soir même, ils discutèrent ensemble une petite heure et le tour était joué. Je n’en revenais pas ! Et le fameux soir venait, c’était un jeudi, et je n’en revenais toujours pas. J’allais me faire pénétrer par un autre homme que Cédric et de plus un homme que je ne connaissais pas. Suivant le concept élaboré par Cédric, nous prenions la route avec notre petite voiture, son scénario commençait. Il avait convenu de l’heure et de l’endroit, il s’agissait d’une route de campagne, dans un sous bois très peu fréquenté en journée, et encore moins à 22h30. Je devais me tenir à coté de la voiture, le capot ouvert, Cédric lui, s’était installé tranquillement à l’arrière de la voiture, et il était convenu que ni moi, ni mon amant d’un jour ne tenions compte de sa présence. J’étais vêtue de mon habille de travail, je suis serveuse : minijupe noire, petit haut blanc. Le scénario était assez réel : je rentre du travail, je tombe en panne et j’appelle un garagiste. 22h45 pile à l’heure ! Un véhicule s’arrête, un type en sort, et je me souviens avoir à cet instant mouillé intensément ma culotte. Il s’approche, il est assez fidèle à la photo.
- Bonjour, alors en panne ?
- Oui… je ne sais pas ce qu’elle a !
Nous suivions le dialogue d’introduction de Cédric à la lettre. Et puis Sade300, farfouilla dix minutes dans le moteur, s’installa au volant et fit démarrer la fausse malade.
- Voilà, c’était pas grand chose mais avec le déplacement c’est quand même 150 Euros !
- Oh, mais je n’ai pas assez d’argent ?
- Ah ! je vois et vous proposez quoi ?
- Ce que vous voulez !
- Ce que je veux ?
Et l’homme tourna autour de moi, me jetant des regards de plus en plus pervers.
- Vous avez quel âge ?
- 20 ans !
- Et son petit prénom ?
- Angélique !
- Charmante ! Bon écoutez il ne passe jamais personne ici… vous êtes jeune et charmante vous me devez 150 euros, si vous êtes gentille avec moi ce sera un échange de bon procédé, n’est-ce pas ?
- Gentille comment ?
L’homme ouvra sa braguette et sortit son engin, un truc énorme presque aussi grand que dans les films pornos, je sus que c’était à moi de jouer, je n’osais même pas regarder Cédric et je me suis alors mise à genoux. Je pris son sexe en main, le masturba et approchais mon visage, et puis ma bouche, son sexe grossissait encore, il était infiniment dure, et sade300 me disait…
- Regarde-moi dans les yeux quand tu fais ça poupée !
Et j’obéissais, son sexe sentait assez bon, je me décidais à lui donner des petits coups de langues sur le gland, et puis plus doucement je léchais enfin sa longue verge, tout en le fixant, il était très beau c’est vrai, et je décidais alors de lui faire un bon plaisir en lui parlant aussi crûment que je l’avais entendu dans les films x.
- Je suis votre salope pour ce soir monsieur !
Et puis je le suça plus correctement et plus avidement, j’en bavais et surtout j’en avais vraiment envie. Un désir incroyable montait en moi, j’en oubliais entièrement Cédric dans la voiture.
Puis il me releva pour me jeter sauvagement sur le capot de la voiture…
- Haaa… tu veux être une salope, petite !
- Ouiiii….je gémissais
Cette violence contenue m’excita étrangement, il releva ma jupe et m’arracha ma culotte, mes fesses entièrement à l’air, le ventre sur le capot, il me dit à l’oreille…
- Demande-moi de t’enculer…
Ainsi il n’avait même pas sucé mes beaux seins, et ne voulait pas de mon joli sexe poilu, lui désirait mes fesses… ou peut-être est-ce la suite du scénario voulu par Cédirc… peu importe, j’étais excitée au plus haut point et je mouillais énormément, déjà mon amant se servait de ma mouille pour lubrifier mon anus et de sentir cette main…
- Enculez-moi ! Par derrière humm par derrière…
Après mes mots, Sade300 appuya ses deux mains contre chacune de mes fesses comme pour les écarter, et entra par soubresauts son gros sexe dans mon cul. Ce type était un costaud, une tornade, jamais Cédric ne me prit ainsi, la voiture tanguait sous ses coups, son sexe entrait et sortait en moi avec une impossible fougue et le plaisir que j’en retirais est indescriptible. Je jouis cinq ou six fois, je criais comme jamais, je jouissais incomparablement, je manquais presque d’air, et même au bout de 15 minutes de ce régime alors que l’irritation venait, je restais à sa disposition, reconnaissant que ce mélange de plaisir et de douleur était l’essence même de mes orgasmes répétés.
- Tu es une vrai petite salope ?
- Oh ouiiiii…. ouiii
- Alors tu vas avaler ma jouissance ?
- Ouii…. tout ce que vous voulez…
J’avais déjà avalé un peu de sperme de Cédric par inadvertance, ce n’était pas très bon… mais j’étais prête à tout, même à sucer un sexe qui sortait de mes fesses. Sade300 retira le préservatif, je me suis remise à genoux en ouvrant la bouche et en le fixant… il se finissait en se branlant, approcha et déchargea un long jet saccadé, qui était bien moins amer que ce j’imaginais et j’avala sans peine.

L’homme reprit conscience, me renversa un peu sur le véhicule, me donna un long baiser, tout en me plotant les seins, puis fit un clin d’œil à Cédric et s’en alla. Cedric s’était bien sur branlé et n’avait pas perdu une miette du spectacle. En rentrant nous avons discuter de cette aventure, je lui avoua avoir pris un plaisir fou malgré les douleurs omniprésentes. Il me demanda alors si je voulais aller encore plus loin… Oui mon amour, pour toi pour moi… pour le plaisir. J’avais, c’est vrai beaucoup changé, mais la nouvelle angélique me plaisait beaucoup.