Mon premier orgasme avec un autre homme
Récit érotique écrit par Plaisir39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mon premier orgasme avec un autre homme
Dans notre existence, nous sommes amenés, pour certains d'entre nous a connaitre plusieurs première fois.
La premier rapport sexuel hétéro, puis homo, pour moi, et enfin le premier orgasme anal avec un homme.
Ca m'est arrivé à un moment étrange et inattendu. Je m'adonnai au plaisir homosexuel passif depuis un peu moins de deux ans environ.
Avec les hommes, j'étais une vraie femelle soumise.
J'avais eu une semaine désastreuse, je croulais sous les ennuis, plus de travail, j'avais aussi des remords de tromper la fille que j'aimais avec d'autres filles, plus d'autres soucis que j'ai oublié.
J'avais la journée de libre, après hésitation, je décide d'aller au cinéma porno pour me faire baiser par des hommes.
Aujourd'hui, avec le recul, je pense qu'il y avait de l'autodestruction dans cette démarche, puisque je n'avais pas un gros besoin d'homosexualité.
Comme chaque fois, je guette le moment le plus propice avant d'entrer, le plus discrètement possible, sans être vu par une connaissance.
J'entre dans la salle obscure, je ne sais pas si vous connaissez cette ambiance.
Moi, j'avoue avoir le plaisir coupable, d'adorer ce moment étrange ou vous pénétrez dans cet endroit obscur, les odeurs de spermes et les hormones masculines parfument la salle.
Les bruits des vêtements qui bougent sur les sièges, les gémissements masculins, quelques fois, on reconnait des mots crus murmurés.
Tout cela sous le son du film hétéro qui défile. Toutes ces petites choses ont toujours le même effet sur moi, ça m'excite !
Je choisis de m'assoir dans une rangée de sièges, pas trop éloignée des toilettes, afin de repérer les hommes qui s'y rendent.
Je remarque la présence de deux hommes trop vieux, et un autre passif comme moi, mais plus âgé, qui risquent de perturber mes futures rencontres.
Ce genre d'hommes a la fâcheuse habitude d'insister lourdement.
Je prends l'initiative de me déplacer, quand le passif se faufile dans ma rangée, il comprend que je ne veux pas de lui.
Je vais tout au fond, sur le dernier siège. Dix bonnes minutes, plus tard, un homme de 35 ans environ, viens vers moi.
Il sait ce qu'il veut, puisqu'il s'assoit directement à coté de mon siège, et très vite prend ma main pour la poser sur sa bite.
Son sexe est extrêmement ferme sous le tissu de son pantalon, il défait ses boutons et se dresse un peu pour baisser le vêtement qui le gêne.
Sa queue est bien dégagée, j'essaie de me baisser sur lui, mais le mur derrière moi me gêne, il comprend et se déplace d'un siège.
Enfin, je peux englober sa bite épaisse, d'une longueur dans la moyenne haute environ 16 cm. Il soupire en découvrant la douce chaleur de ma bouche, qui coulisse sur son membre en salivant doucement.
Il murmure:"Ahhhhhhh, elle est bonne ta bouche, ouais, bouffe-moi la bite, oui, comme ça!".
Les seuls sons que je puisse émettre sont des murmures de plaisir et de succions, puis des bruits de lèvres humides et d'aspiration sur son gland gonflé.
En me soulevant le visage pour regarder sa belle bite, je vois l'homme passif entrer dans notre rangée, puis se baisser pour sucer la queue de l'homme, alors que je l'ai encore dans la main.
L'homme le retient et lui lance furieux:"Qu'est-ce tu veux toi! Casses-toi, tu comprends pas quand on te dis non?, Allez bouges de là!".
L'homme passif, s'en va et quitte alors le cinéma.
Mon complice me dit alors:"Oh, putain, il m'a saoulé le mec!".
"Moi aussi".
"Bon, on en était où?".
J'ai toujours sa queue épaisse et bandée entre les doigts, je redescend lentement vers elle en murmurant avant de l'englober.
"Là!".
"Hummm, ahh, ouais, encore! dis-moi, Tu avales?".
"Mmmmm, oui!".
"Super, ça va être bon, alors déjà que j'adore déjà ta bouche, oh, ouuuh, putain, tu suces trop bien!".
Il avance ses fesses pour apprécier encore plus agréablement ma fellation.
"Oh, mec, je vais jouir, prépare-toi, ah, houuhh, Ahhhhhhhhhrrrrrrrrrrrrrrrrrrggggg!".
Je prend en pleine gorge ses giclées puissantes de sperme chaud légèrement salé, je serre mes lèvres autour de sa hampe pour tout avaler.
L'homme gémit malgré lui, il essaie de jouir en silence, mais cela ne marche pas du tout, il se déverse dans ma bouche en râlant.
Son éjaculation est terminée, il a l'air de sortir d'un sommeil.
"Ouah, c'était bon, jeune, tu fais ça bien, si je te recroise, je reviendrai te voir!".
"Merci!""Non, merci à toi! Bon j'y vais".
Je le regarde s'éloigner, la bouche encore pleine du gout de son sperme.
Je laisse passer un bon quart d'heure, puis je me rends aux toilettes, dans l'espoir qu'un homme me rejoigne.
J'urine tranquillement, puis commence à me masturber lentement.
La porte s'ouvre, un homme légèrement plus grand que moi entre. Il est mince, 45 ans environ, brun, type méditerranéen.
Il s'approche, regarde ma queue, puis déballe la sienne, elle est un peu longue, d'une largeur normale, mais avec un gland très proéminent et le plus amusant, elle est courbée vers l'intérieur.
"Tu suces?".
Me demande-t-il.
Pour toute réponse, je me baisse et m'empale sa bite dans la gorge.
"Ah, c'est bon, ouhhh, attends! On va dans les toilettes!".
Je le suis à l'intérieur.
Je reprend ma fellation, j'adore sentir son énorme gland déformer mes lèvres en me pénétrant la bouche, il frotte contre mon palais.
L'homme me demande:"Tu te fais baiser?".
"Oui!".
"Tournes toi, je vais t'enculer!".
Je me dresse, il me baisse le dos, pour avoir les fesses en l'air, la position est inconfortable, l'endroit fait un peine un mètre de large.
Il crache dans ses doigts, et sur mon anus, il étale la salive sur sa queue, puis commence sa pénétration.
Malgré l'inconfort, je décide de me laisser aller en pensant dans ma tête (Allez laisses toi aller, il va t'enculer, apprécie le moment, oublie tout tes ennuis, tu y penseras plus tard!).
Son sexe entre par à-coups, puis d'un coup son gland me pénètre, et coulisse profondément en moi jusqu'aux couilles de l'inconnu.
Je râle d'extase, puis l'homme se déchaine de plus en plus en m'écrasant contre le mur.
Je suis plié en deux avec les épaules proches de mes jambes avec l'anus défoncé par sa queue au gros gland.
Une sensation nouvelle me gagne, ses assauts répétés me procurent un vrai plaisir.
Je suis pris de spasmes dans le ventre et la colonne vertébrale, la sensation se diffuse dans tout mon corps en partant de mon anus que l'homme défonce sans discontinuer.
Puis la sensation me monte au cerveau, et me submerge en me faisant trembler les jambes.
Je sais que c'est un orgasme à cause de sa puissance, mais c'est nouveau et tellement fort que je le dis a mon amant.
"Ahhhhhhhhhh, je jouis, ahhhhhhhhhh!".
"Et moi?". Me dit-il.
"Continue! je vais encore jouir, vides-toi! Ahhhhhhhhhhh".
L'inconnu reprend de plus belle et enfin éjacule longuement dans mon anus.
L'homme retire sa bite, puis s'appuie sur le mur des toilettes, je me redresse, me tourne vers lui et prend sa bite dans la bouche, pour le lécher avidement, en lui disant.
"Merci beaucoup, tu m'as bien enculé, j'ai bien joui!".
Peu après, il sort des WC et disparait, il n'a jamais su qu'il m'a procuré mon premier orgasme anal avec sa drôle de bite.
Je n'aurai de cesse de retrouver cette sensation, par la suite. J'ai d'ailleurs eu le bonheur de trouver un autre homme avec un sexe large, qui m'a enculé dans une rangée de siège, pendant que je suçais un autre inconnu., j'ai alors connu mon deuxième orgasme anal.
L'histoire aurait pu se terminer là, mais le hasard fait bien les choses, comme souvent.
Un matin, deux ou trois semaines après, j'accompagne ma copine de 17 ans à l'école, et je reconnais celui qui m'a fait jouir pour la première fois.
Il est sur le marché aux légumes, près de l'école.
Ma copine rentre en classe, ses amies me dévisagent comme à chaque fois (Elles étaient jalouses, et faisaient tout pour me draguer).
L'homme ne me quitte pas des yeux, lui aussi m'a reconnu.
Je marche pour rentrer chez moi, en allant prendre le bus. L'homme m'aborde et discrètement me demande:"T'aimerais pas que je t'encules vite fait?".
"Euh, j'aimerai bien, mais à part chez moi, je vois pas où!".
"T'habites loin?".
"En centre ville!".
"Ma voiture est pas loin, je t'emmène!".
Chez moi, l'homme me demande de me déshabiller, pendant qu'il fait de même.
Dès que nous sommes nus, il me dit:"Humm, tu me plais! On va prendre notre temps, viens me sucer!".
Il s'assoit au bord du lit et se penche légèrement en arrière pour m'offrir sa jolie queue en érection.
Je m'accroupi entre ses jambes, et recouvre son membre avec ma bouche que je fais doucement coulisser autour de sa hampe en salivant.
"Ahhhh, j'avais oublié comme tu suçais bien, ouhhhhhh!".
Moi aussi, le fait de baiser dans mon appartement, me rassure, je prend mon temps, en le pompant avec assiduité, je goute chaque cm de sa queue bandée en arc et ses testicules que j'englobe par moment.
Au bout de 10 minutes, il m'arrête:"Attends! Laisse moi me calmer, je vais jouir dans ta bouche, sinon!".
"C'est pas un problème!".
"Tu avales le foutre?".
"J'aime oui!".
"Humm, c'est bon à savoir, mais j'ai envie de t'enculer, d'abord, donc, on va se calmer".
Il s'allonge sur le dos, je me couche à ses cotés, il me tourne et me crache sur l'anus, puis m'insère un doigt, rejoint par un deuxième et me masturbe l'anus.
Je n'ose pas lui dire que je n'aime pas cette pratique, les doigts sont rugueux et secs, donc très désagréables quand ils vous pénètrent.
Cela dure 5 longues minutes ou je subi en espérant qu'il remplace ses doigts par son sexe, beaucoup plus gros, mais tellement plus lisse et doux.
Enfin, je l'entend cracher à nouveau sur mon cul, puis sur son gland.
Je retrouve l'agréable plaisir de l'écartèlement causé par la largeur de son gland qui, à force d'à-coups parvient à me pénétrer, puis vient s'écraser contre mon coccyx.
Il commence rapidement à me défoncer sans retenue, je sens déjà revenir cette nouvelle sensation anale, il s'excite tout seul en m'enculant.
"Putain, tu m'excites, j'adore t'enculer! Si elle savait ce que tu te prend dans le cul ta copine! Elle le sait pas, non?".
"Non!".
"Elle sait pas que t'es un vrai petit pédé, t'aimes la bite! Hein, dis le que t'es un pédé!".
J'ai du mal à prononcer le mot, puis sous son insistance.
"Oui, je suis un pédé, j'aime la bite! Ahhhhhrrrrrrrrrrr, je jouis , aahhhhhh".
Notre copulation perverse a duré plus de cinq minutes, puis il sent qu'il va éjaculer, mais ne me le fait pas savoir.
"Donne-moi ta bouche, maintenant, tu vas bien me sucer comme tout à l'heure!".
Je passe ma main sur son sexe pour essuyer d'éventuelles traces anales, mais par chance, je suis très propre.
Son gland gonflé me pénètre la bouche, je tourne ma langue amoureusement autour, puis m'empale jusqu'au fond de la gorge, plusieurs fois en profonds mouvements humides et chauds.
Je suis surpris par une giclée de sperme qui éclate dans ma bouche, très rapidement suivie de plusieurs autres, au fur et à mesure que j'avale.
"Oh, ouais, j'adore ça, ahhhhhhhhhhh, ahhhhhhhhh, pffffffffffff!!".
Il lui faut m'écarter la bouche, tant j'aime lécher une queue après éjaculation.
"Humm, t'aimes ça, ça se voit, t'es vraiment un super coup, je te baise quand tu veux!".
Il se rhabille et me laisse. Malheureusement, notre séance n'a fait qu'attiser mon désir, et je me suis rendu au bord de mer pour me faire défoncer jusqu'à 15 h, heure à laquelle ma copine m'attendait.
Le hasard à fait que nous n'avons jamais recommencé.
La premier rapport sexuel hétéro, puis homo, pour moi, et enfin le premier orgasme anal avec un homme.
Ca m'est arrivé à un moment étrange et inattendu. Je m'adonnai au plaisir homosexuel passif depuis un peu moins de deux ans environ.
Avec les hommes, j'étais une vraie femelle soumise.
J'avais eu une semaine désastreuse, je croulais sous les ennuis, plus de travail, j'avais aussi des remords de tromper la fille que j'aimais avec d'autres filles, plus d'autres soucis que j'ai oublié.
J'avais la journée de libre, après hésitation, je décide d'aller au cinéma porno pour me faire baiser par des hommes.
Aujourd'hui, avec le recul, je pense qu'il y avait de l'autodestruction dans cette démarche, puisque je n'avais pas un gros besoin d'homosexualité.
Comme chaque fois, je guette le moment le plus propice avant d'entrer, le plus discrètement possible, sans être vu par une connaissance.
J'entre dans la salle obscure, je ne sais pas si vous connaissez cette ambiance.
Moi, j'avoue avoir le plaisir coupable, d'adorer ce moment étrange ou vous pénétrez dans cet endroit obscur, les odeurs de spermes et les hormones masculines parfument la salle.
Les bruits des vêtements qui bougent sur les sièges, les gémissements masculins, quelques fois, on reconnait des mots crus murmurés.
Tout cela sous le son du film hétéro qui défile. Toutes ces petites choses ont toujours le même effet sur moi, ça m'excite !
Je choisis de m'assoir dans une rangée de sièges, pas trop éloignée des toilettes, afin de repérer les hommes qui s'y rendent.
Je remarque la présence de deux hommes trop vieux, et un autre passif comme moi, mais plus âgé, qui risquent de perturber mes futures rencontres.
Ce genre d'hommes a la fâcheuse habitude d'insister lourdement.
Je prends l'initiative de me déplacer, quand le passif se faufile dans ma rangée, il comprend que je ne veux pas de lui.
Je vais tout au fond, sur le dernier siège. Dix bonnes minutes, plus tard, un homme de 35 ans environ, viens vers moi.
Il sait ce qu'il veut, puisqu'il s'assoit directement à coté de mon siège, et très vite prend ma main pour la poser sur sa bite.
Son sexe est extrêmement ferme sous le tissu de son pantalon, il défait ses boutons et se dresse un peu pour baisser le vêtement qui le gêne.
Sa queue est bien dégagée, j'essaie de me baisser sur lui, mais le mur derrière moi me gêne, il comprend et se déplace d'un siège.
Enfin, je peux englober sa bite épaisse, d'une longueur dans la moyenne haute environ 16 cm. Il soupire en découvrant la douce chaleur de ma bouche, qui coulisse sur son membre en salivant doucement.
Il murmure:"Ahhhhhhh, elle est bonne ta bouche, ouais, bouffe-moi la bite, oui, comme ça!".
Les seuls sons que je puisse émettre sont des murmures de plaisir et de succions, puis des bruits de lèvres humides et d'aspiration sur son gland gonflé.
En me soulevant le visage pour regarder sa belle bite, je vois l'homme passif entrer dans notre rangée, puis se baisser pour sucer la queue de l'homme, alors que je l'ai encore dans la main.
L'homme le retient et lui lance furieux:"Qu'est-ce tu veux toi! Casses-toi, tu comprends pas quand on te dis non?, Allez bouges de là!".
L'homme passif, s'en va et quitte alors le cinéma.
Mon complice me dit alors:"Oh, putain, il m'a saoulé le mec!".
"Moi aussi".
"Bon, on en était où?".
J'ai toujours sa queue épaisse et bandée entre les doigts, je redescend lentement vers elle en murmurant avant de l'englober.
"Là!".
"Hummm, ahh, ouais, encore! dis-moi, Tu avales?".
"Mmmmm, oui!".
"Super, ça va être bon, alors déjà que j'adore déjà ta bouche, oh, ouuuh, putain, tu suces trop bien!".
Il avance ses fesses pour apprécier encore plus agréablement ma fellation.
"Oh, mec, je vais jouir, prépare-toi, ah, houuhh, Ahhhhhhhhhrrrrrrrrrrrrrrrrrrggggg!".
Je prend en pleine gorge ses giclées puissantes de sperme chaud légèrement salé, je serre mes lèvres autour de sa hampe pour tout avaler.
L'homme gémit malgré lui, il essaie de jouir en silence, mais cela ne marche pas du tout, il se déverse dans ma bouche en râlant.
Son éjaculation est terminée, il a l'air de sortir d'un sommeil.
"Ouah, c'était bon, jeune, tu fais ça bien, si je te recroise, je reviendrai te voir!".
"Merci!""Non, merci à toi! Bon j'y vais".
Je le regarde s'éloigner, la bouche encore pleine du gout de son sperme.
Je laisse passer un bon quart d'heure, puis je me rends aux toilettes, dans l'espoir qu'un homme me rejoigne.
J'urine tranquillement, puis commence à me masturber lentement.
La porte s'ouvre, un homme légèrement plus grand que moi entre. Il est mince, 45 ans environ, brun, type méditerranéen.
Il s'approche, regarde ma queue, puis déballe la sienne, elle est un peu longue, d'une largeur normale, mais avec un gland très proéminent et le plus amusant, elle est courbée vers l'intérieur.
"Tu suces?".
Me demande-t-il.
Pour toute réponse, je me baisse et m'empale sa bite dans la gorge.
"Ah, c'est bon, ouhhh, attends! On va dans les toilettes!".
Je le suis à l'intérieur.
Je reprend ma fellation, j'adore sentir son énorme gland déformer mes lèvres en me pénétrant la bouche, il frotte contre mon palais.
L'homme me demande:"Tu te fais baiser?".
"Oui!".
"Tournes toi, je vais t'enculer!".
Je me dresse, il me baisse le dos, pour avoir les fesses en l'air, la position est inconfortable, l'endroit fait un peine un mètre de large.
Il crache dans ses doigts, et sur mon anus, il étale la salive sur sa queue, puis commence sa pénétration.
Malgré l'inconfort, je décide de me laisser aller en pensant dans ma tête (Allez laisses toi aller, il va t'enculer, apprécie le moment, oublie tout tes ennuis, tu y penseras plus tard!).
Son sexe entre par à-coups, puis d'un coup son gland me pénètre, et coulisse profondément en moi jusqu'aux couilles de l'inconnu.
Je râle d'extase, puis l'homme se déchaine de plus en plus en m'écrasant contre le mur.
Je suis plié en deux avec les épaules proches de mes jambes avec l'anus défoncé par sa queue au gros gland.
Une sensation nouvelle me gagne, ses assauts répétés me procurent un vrai plaisir.
Je suis pris de spasmes dans le ventre et la colonne vertébrale, la sensation se diffuse dans tout mon corps en partant de mon anus que l'homme défonce sans discontinuer.
Puis la sensation me monte au cerveau, et me submerge en me faisant trembler les jambes.
Je sais que c'est un orgasme à cause de sa puissance, mais c'est nouveau et tellement fort que je le dis a mon amant.
"Ahhhhhhhhhh, je jouis, ahhhhhhhhhh!".
"Et moi?". Me dit-il.
"Continue! je vais encore jouir, vides-toi! Ahhhhhhhhhhh".
L'inconnu reprend de plus belle et enfin éjacule longuement dans mon anus.
L'homme retire sa bite, puis s'appuie sur le mur des toilettes, je me redresse, me tourne vers lui et prend sa bite dans la bouche, pour le lécher avidement, en lui disant.
"Merci beaucoup, tu m'as bien enculé, j'ai bien joui!".
Peu après, il sort des WC et disparait, il n'a jamais su qu'il m'a procuré mon premier orgasme anal avec sa drôle de bite.
Je n'aurai de cesse de retrouver cette sensation, par la suite. J'ai d'ailleurs eu le bonheur de trouver un autre homme avec un sexe large, qui m'a enculé dans une rangée de siège, pendant que je suçais un autre inconnu., j'ai alors connu mon deuxième orgasme anal.
L'histoire aurait pu se terminer là, mais le hasard fait bien les choses, comme souvent.
Un matin, deux ou trois semaines après, j'accompagne ma copine de 17 ans à l'école, et je reconnais celui qui m'a fait jouir pour la première fois.
Il est sur le marché aux légumes, près de l'école.
Ma copine rentre en classe, ses amies me dévisagent comme à chaque fois (Elles étaient jalouses, et faisaient tout pour me draguer).
L'homme ne me quitte pas des yeux, lui aussi m'a reconnu.
Je marche pour rentrer chez moi, en allant prendre le bus. L'homme m'aborde et discrètement me demande:"T'aimerais pas que je t'encules vite fait?".
"Euh, j'aimerai bien, mais à part chez moi, je vois pas où!".
"T'habites loin?".
"En centre ville!".
"Ma voiture est pas loin, je t'emmène!".
Chez moi, l'homme me demande de me déshabiller, pendant qu'il fait de même.
Dès que nous sommes nus, il me dit:"Humm, tu me plais! On va prendre notre temps, viens me sucer!".
Il s'assoit au bord du lit et se penche légèrement en arrière pour m'offrir sa jolie queue en érection.
Je m'accroupi entre ses jambes, et recouvre son membre avec ma bouche que je fais doucement coulisser autour de sa hampe en salivant.
"Ahhhh, j'avais oublié comme tu suçais bien, ouhhhhhh!".
Moi aussi, le fait de baiser dans mon appartement, me rassure, je prend mon temps, en le pompant avec assiduité, je goute chaque cm de sa queue bandée en arc et ses testicules que j'englobe par moment.
Au bout de 10 minutes, il m'arrête:"Attends! Laisse moi me calmer, je vais jouir dans ta bouche, sinon!".
"C'est pas un problème!".
"Tu avales le foutre?".
"J'aime oui!".
"Humm, c'est bon à savoir, mais j'ai envie de t'enculer, d'abord, donc, on va se calmer".
Il s'allonge sur le dos, je me couche à ses cotés, il me tourne et me crache sur l'anus, puis m'insère un doigt, rejoint par un deuxième et me masturbe l'anus.
Je n'ose pas lui dire que je n'aime pas cette pratique, les doigts sont rugueux et secs, donc très désagréables quand ils vous pénètrent.
Cela dure 5 longues minutes ou je subi en espérant qu'il remplace ses doigts par son sexe, beaucoup plus gros, mais tellement plus lisse et doux.
Enfin, je l'entend cracher à nouveau sur mon cul, puis sur son gland.
Je retrouve l'agréable plaisir de l'écartèlement causé par la largeur de son gland qui, à force d'à-coups parvient à me pénétrer, puis vient s'écraser contre mon coccyx.
Il commence rapidement à me défoncer sans retenue, je sens déjà revenir cette nouvelle sensation anale, il s'excite tout seul en m'enculant.
"Putain, tu m'excites, j'adore t'enculer! Si elle savait ce que tu te prend dans le cul ta copine! Elle le sait pas, non?".
"Non!".
"Elle sait pas que t'es un vrai petit pédé, t'aimes la bite! Hein, dis le que t'es un pédé!".
J'ai du mal à prononcer le mot, puis sous son insistance.
"Oui, je suis un pédé, j'aime la bite! Ahhhhhrrrrrrrrrrr, je jouis , aahhhhhh".
Notre copulation perverse a duré plus de cinq minutes, puis il sent qu'il va éjaculer, mais ne me le fait pas savoir.
"Donne-moi ta bouche, maintenant, tu vas bien me sucer comme tout à l'heure!".
Je passe ma main sur son sexe pour essuyer d'éventuelles traces anales, mais par chance, je suis très propre.
Son gland gonflé me pénètre la bouche, je tourne ma langue amoureusement autour, puis m'empale jusqu'au fond de la gorge, plusieurs fois en profonds mouvements humides et chauds.
Je suis surpris par une giclée de sperme qui éclate dans ma bouche, très rapidement suivie de plusieurs autres, au fur et à mesure que j'avale.
"Oh, ouais, j'adore ça, ahhhhhhhhhhh, ahhhhhhhhh, pffffffffffff!!".
Il lui faut m'écarter la bouche, tant j'aime lécher une queue après éjaculation.
"Humm, t'aimes ça, ça se voit, t'es vraiment un super coup, je te baise quand tu veux!".
Il se rhabille et me laisse. Malheureusement, notre séance n'a fait qu'attiser mon désir, et je me suis rendu au bord de mer pour me faire défoncer jusqu'à 15 h, heure à laquelle ma copine m'attendait.
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