Mon prof de math ( 2 ) - histoire érotique

Le mercredi qui suivait la première leçon, je devais me rentre chez le
jeune étudiant. Je m'étais plus ou moins
renseignée par rapport à lui, je savais maintenant son prénom et sa situation...
Arnaud, 23 ans, célibataire, passionné
de musculation. Rien qu'en pensant à lui, j'étais excitée...
Les jours passaient vite, et je me réveille vers 11 heure pour me préparer
à partir à midi et demi de façon à
arriver à 13 heure chez lui. Je me souviens de ses ordres par rapport à ma tenue
vestimentaire. Je mis un chemisier très
moulant avec une jupette qui m'arrive mi-cuisse pour ne pas éveiller les soupçons de
ma mère. Comme sous-vêtement
j'avais un soutient-gorge qui m'était bien ma poitrine en valeur, bleu avec des
dentelles blanches, et comme bas, un
string bleu assez coquin. Je cours à la salle de bain, avant de mettre mon string pour
m'épiler en détails les jambes et
mon sexe. Je finis même les détails à la pince à épiler pour un effet garanti. Je mis
mon bas et ma jupe, mange un bref
repas et pars en courant.
Debout dans le métro, je sentais bien les regards de plusieurs hommes. Un
arrêt fait rentré un gros groupe de
personne, ce qui nous force à nous serrer tous contre les autres. Collée à un jeune,
de 20 ans je dirai, je senti sa main
sur mes fesses, se glisser sous ma jupe en voyant que je ne réagissais pas. Cette main
ne m'excite même pas, pas
comme Arnaud. Je sors à l'arrêt, laissant ce jeune pervers seul avec ses mains
baladeuses. Je cours pour être à l'heure
et arrive devant un appartement assez grand. Je cherche sur la sonnette son nom de
famille, je sonne et monte en
courant. J'arrive essoufflée devant sa porte. Il le remarque et me demande une
explication.

- Pourquoi tu es si essoufflée ? me demande t-il avec un sourire aux lèvres.

- J'ai couru du métro jusqu'à ici pour être sûre d'être à l'heure...

- Tu sais que tu as près d'une demi heure d'avance ? C'est pas grave, on va commencer
le cour, passe devant, le
bureau est dans ma chambre juste à droite.

J'avance dans la direction donnée, je vois une chambre bien rangée avec des
poster de groupes de Rock sur le mur.
Je souris en entrant, sans trop savoir pourquoi.

On se posa sur une chaise, il ouvre un cahier avec une dizaine d'exercice qu'il
m'ordonne de faire. Pendant le 1er
exercice, j'attendais qu'il vienne me toucher. Une fois l'exercice fini, je lui
montre, il corrige vite puisque tout est juste
et me dit de faire l'exercice suivant. Je sens sa main sur ma cuisse. Il glisse
doucement ses doigts entre mes cuisses en
me caressant du bout des doigts. Plus j'avance dans mes exercices, plus il monte vers
mon string qui devait déjà être
tout humide. Je me dépêche de faire mes exercices, voulant entreprendre des folies
avec ce jeune homme qui m'excite.

Il monte, quand il atteignit mon string je finissais l'exercice 9 ( La dizaine
d'exercice était très courte ). Il glisse ses
doigts sur les ficelles de mon string. Il glissait son doigt sur ma fente au moment ou
je fini le dernier exercice. Il
prenait tout son temps, et je me dépêchais. Il parcourt des yeux les exercices et tout
était juste.

- Tu n'as pas fait d'erreur, bravo. Tu mérites un cadeau.

Il se lève et cherche un bandeau bleu avec le quel il me bande les yeux. Je me laisse
faire, en souriant. Je le sens me
prendre dans ses bras pour me soulever et m'emmener. Il me pose sur son bureau, et je
l'entends décaler une
chaise. J'ouvre la bouche pour parler, mais avant que je ne puisse dire quoi que ce
soit, il me mis la main devant la
bouche pour me faire taire.

- Silence. Tu as un string bleu et je déteste le rouge. C'est vilain. Tu es une
méchante fille, et tu vas le payer.

Je sentis ses mains sur mes cuisses, remonter jusqu'à ma jupe. Il prend, du bout des
doigts, les ficelles de mon string
et l'enlève. Il glisse une de ces mains entre ma fente, toute humide, et pénétra du
bout du doigt. Deux doigts en moi,
la deuxième main jouant avec mon clitoris, j'ondule mes hanches et écarte les cuisses
le plus que je pouvais. Je gémis
sans me contrôler. Mais d'un coup, il se retira totalement. Plus un bruit, je ne
savais pas ce qui se passait, j'avais peur
d'avoir fait une bêtise.

- Arnaud..?

- Silence j'ai dit. Ne t'inquiète pas, tu vas aimer, mais avant tout, me faire aimer.

À l'entente de ces paroles, j'étais 2x plus excitée... Il déboutonne mon
chemisier, en cassant le bouton au niveau
de ma poitrine, c'était sûrement fait exprès. Une fois ouvert totalement, il remarque
que mon soutient gorge est lui
aussi bleu. Il le dégrafe et me l'enlève. Je n'ai plus que ma jupe, remontée sur moi.
Il me soulève et me fait m'allonger
sur son bureau,il remonte ma jupe.

- Tu es encore vierge dis moi ?

- Non...

- Combien d'homme sont passés par là ?

- 1 seul, mon copain...

- Ah, mademoiselle a un copain mais écarte les cuisses devant son professeur ? Eh
bien, je compte te faire oublier ce
garçon. Comment est quand ton copain te pénètre ?

- Eu.. B... Bien..

- C'est hésitant. Tu verras ce qu'est une vraie pénétration. Comprend que tu es à moi
maintenant.

Il prend un deuxième morceau de tissu, avec lequel il m'attache les mains dans mon
dos.

Je le sens s'introduire d'un coup en moi, faisant des va et vient brutal dans mon
trou. Il accélère de plus en plus. Mes
seins cognent contre le bureau. Ses mains sur mes fesses, il glisse un de ces doigts
dans mon anus. Je sers les fesses
pour qu'il s'arrête.

- Ne contracte pas, tu vas aimer, tu en redemanderas par la suite. Soumet toi !

Il fait claquer une de ces mains sur mes fesses. Je l'écoute, et je le sens enfoncer
deux doigts cette fois, dans mon anus
encore vierge. Il accélère de plus en plus, en me serrant une fesse d'une main. D'un
coup, il se retira de moi. Je le sens
me soulever et me mettre à quatre patte devant son bureau.

- As tu déjà sucé ton copain petite cochonne ?

- Non, jamais, il trouve cela dégradant..

- Et toi ?

- Je ne sais pas...

- Certes. Fais, et tu verras après.

Il me met son pénis devant les lèvres, je sens le bout de son gland m'effleurer la
lèvre.

- Qu'est ce que ce gars qui refuse à sa copine de lui faire plaisir. Bon à rien.
Allez, prend cette verge qui n'attend
que tes lèvres, et prend plaisir.

Il me détache les mains. Par réflèxe, je pose mes mains sur cette verge gonflée, et
fais des mouvement de va et vient.
J'ouvre la bouche et suce le bout du gland du bout de la langue. Je sens ses mains me
prendre la tête et me la coller
sur lui, du fait que je me retrouve avec son sexe entièrement dans ma bouche. Tenant
mes cheveux d'une main, l'autre
mains sur l'arrière de ma tête, il m'agite comme une poupée gonflable, pour que je
prenne le rythme qu'il veut. Je
donne tout ce que je peux pour lui faire plaisir.

- Tu avales ?

- Je ne préférais pas...

Il sorti son pénis de ma bouche, je le tenais toujours, et le branle énergiquement...
Quelques secondes après, je sens
un liquide chaud couler sur mon visage et sur ma poitrine.

Il sort de la pièce sans rien dire. Il revient, et détache le bandeau. Il me jette mon
chemisier et m'ordonne de me
rhabiller et de rentrer chez moi.

- Reviens la semaine prochaine. Tu auras une jupe plus courte mais sans sous vêtement.
J'ai envie que tu excites le
métro. Comme haut, tu porteras une chemise moulante, mais bien ouverte. Des tallons et
des collants que tu fendras
entre tes jambes. Maquille toi.

- Puis je récupérer mes sous-vêtements..?

- Je t'avais dit que je te punirai, comme punition, je les garde bien précieusement.
Tâche de venir avec des sous-
vêtements de ma couleur préférée.

- Quelle est ta couleur préférée Arnaud ?

- Justement. Tu ne sais pas, à toi de trouver..


Je pars donc de l'appartement, avec une jupe et mon chemisier. Le bouton qu'il avait
arraché me faisait un décolleté
bien ouvert. De plus, on pouvait voir une tâche blanchâtre sur ma jupe... Je sens que
le retour dans le métro sera
spécial...


( la suite bientôt, du retour dans le métro ou directement de la prochaine leçon ? Que
préférez vous ? )