Mon quartier, Pauline
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-03-2011 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Mon quartier, Pauline
J’ai une chance inouï. dans mon quartier composé de villa, je suis la seule femme. Je sers de
confidente pour les femmes, quelques fois d’amante (j’aime bien les filles aussi). Je rends des
services aux isolés en perte provisoire d’épouses: je fais leur lessive ou la cuisine. Je devrai
être déclarée d’utilité publique. En plus, et rare sont les personnes au courant j’ai deux amants
qui me partagent. J’ai une vie bien remplie. J’ai bien sur mon sexe aussi bien plein souvent et
quand personne n’est là pour le faire, je le fait seule.
J’aime bien faire ce que je fais. J’ai des préférences: si j’ai deux hommes pour moi seule, c’est
que quand j’étais jeune j’ai fréquenté deux garçons à la fois sans arriver à les départager.
Jusqu’au jour où sans le faire volontairement je me suis trouvée avec les deux au même rendez vous.
Je les ai clamé en leur disant que je les aimais tous les deux: pour le leur prouver nous avons fait
l’amour à trois. Depuis j’ai trouvé cette formule tellement efficace pour mes orgasmes que nous en
sommes toujours au même point, même si pour la forme j’en ai épousé un, au hasard. C’est ainsi que
je peux habiter dans le quartier. Malheureusement, ils travaillent assez loin et ne rentrent que
pour la fin de semaine.
Du lundi au vendredi soir, je peux faire ce que je veux: rendre service aux voisinage. Ainsi la
semaine passée, j’ai aidé ma plus proche voisine qui avait des problèmes avec son mari qui menaçais
de la quitter si elle ne le satisfaisait pas mieux en amour. Je l’aime bien cette Pauline, elle a
toujours des problèmes de couples ridicules. Je sais qu’elle aime l’amour, qu’elle se donne toujours
avec plaisir et maintenant son mari la dédaigne ou la boude, je ne sais pas. Ce que je sais c’est
que Paulette a un amant dans le quartier. Elle m’a même expliqué un jour de confidence comment ils
baisaient.
« Il me met nue, me caresse lentement, surtout entre les fesses pour aller mettre un doigt dans le
cul. J’aime quand il m’excite ainsi. Je mouille beaucoup. Il entre son doigt ans ma vulve bien
mouillée avant de revenir le rentrer dans l’anus. Il m'a fait jouir ainsi avant même de me baiser.
Je ne sais pas si tu aime de faire mettre par derrière, mais avec lui c’est un régal. (Si elle
savait que j’aime quand mes deux hommes me prennent ensemble par devant et par derrière.) Après il
me donne sa bite à sucer. J’aime le faire alors que mon mari refuse parce que d’après lui ce n’est
pas le rôle d’un femme bien élevée de lécher une bite. J’ai au contraire sucer. Et toi ? Et après ça
mon mari m’accuse de ne pas bien faire l’amour: il n’a qu’à m’enculer de temps en temps. »
- Je n’ai pas à m’en mêler, suppose qu’un jour il te voit nue, les jambes écartées pendant que tu te
branles avec un gode, qu’est-ce qu’il fera. Il te baisera.
- Je vais essayer.
- Maintenant si tu veux que nous nous amusions toutes les deux, je suis d’accord.
- C’est vrai, tu voudrai qu’on baise.
- Bien sur j’ai envie de toi.
- Tu vas faire des jalouses dans le quartier.
- Et alors, tu n’es pas la seul que je baise.
J’embrasse Pauline sur la bouche, nos langues se rencontrent. Je la découvre le plus possible pour
arriver directement sur son entre cuisse. Je la découvre mouillée comme une éponge mal rincée. Je
caresse à peine son clitoris. Mes deux doigts vont se perdre un instant dans son vagin. Je les sort
totalement mouillés. Je vais au plus bas pour la sodomiser puisqu’elle vient de me dire qu’elle
aimait ça. C’est vrai qu’elle aime, elle a sa tête en arrière, ses yeux fermés, prête au grand
décollage vers le 7° ciel. Je fais trainer un peu les choses pour qu’elle en profite la plus
possible. Ma bouche est toujours sur la sienne, sauf que sa langue ne réagit plus, occupée qu’elle
est par le plaisir qui monte. Quand elle jouit elle pousse un cri heureusement assourdi par ma
bouche.
Maintenant c’est à elle; je lui donne mon gode en verre. Celui que mes « époux » m’ont acheté pour
me mettre dans le cul. Pauline le prend, elle en connait l’usage. Elle entre d’abord une petite
moitié dans ma chatte avant de le poser sur mon anus. Elle doit forcer pour entrer la première
boule, ensuite tout entre facilement. Avec elle je suis certaine de jouir. Elle est parfaite pour me
faire partir. Elle arrive à tout entrer, comme j’aime. Ensuite elle sort et entre les boules selon
son gré. Je suis aux anges: mon cul n’a rien eu depuis hier. Je ne me retiens même pas pour jouir.
Quand elle part, elle est rassurée, elle va se masturber devant son mari, qui, je le sais par
expérience ne manquera pas de la baiser en la félicitant de son plaisir solitaire.
confidente pour les femmes, quelques fois d’amante (j’aime bien les filles aussi). Je rends des
services aux isolés en perte provisoire d’épouses: je fais leur lessive ou la cuisine. Je devrai
être déclarée d’utilité publique. En plus, et rare sont les personnes au courant j’ai deux amants
qui me partagent. J’ai une vie bien remplie. J’ai bien sur mon sexe aussi bien plein souvent et
quand personne n’est là pour le faire, je le fait seule.
J’aime bien faire ce que je fais. J’ai des préférences: si j’ai deux hommes pour moi seule, c’est
que quand j’étais jeune j’ai fréquenté deux garçons à la fois sans arriver à les départager.
Jusqu’au jour où sans le faire volontairement je me suis trouvée avec les deux au même rendez vous.
Je les ai clamé en leur disant que je les aimais tous les deux: pour le leur prouver nous avons fait
l’amour à trois. Depuis j’ai trouvé cette formule tellement efficace pour mes orgasmes que nous en
sommes toujours au même point, même si pour la forme j’en ai épousé un, au hasard. C’est ainsi que
je peux habiter dans le quartier. Malheureusement, ils travaillent assez loin et ne rentrent que
pour la fin de semaine.
Du lundi au vendredi soir, je peux faire ce que je veux: rendre service aux voisinage. Ainsi la
semaine passée, j’ai aidé ma plus proche voisine qui avait des problèmes avec son mari qui menaçais
de la quitter si elle ne le satisfaisait pas mieux en amour. Je l’aime bien cette Pauline, elle a
toujours des problèmes de couples ridicules. Je sais qu’elle aime l’amour, qu’elle se donne toujours
avec plaisir et maintenant son mari la dédaigne ou la boude, je ne sais pas. Ce que je sais c’est
que Paulette a un amant dans le quartier. Elle m’a même expliqué un jour de confidence comment ils
baisaient.
« Il me met nue, me caresse lentement, surtout entre les fesses pour aller mettre un doigt dans le
cul. J’aime quand il m’excite ainsi. Je mouille beaucoup. Il entre son doigt ans ma vulve bien
mouillée avant de revenir le rentrer dans l’anus. Il m'a fait jouir ainsi avant même de me baiser.
Je ne sais pas si tu aime de faire mettre par derrière, mais avec lui c’est un régal. (Si elle
savait que j’aime quand mes deux hommes me prennent ensemble par devant et par derrière.) Après il
me donne sa bite à sucer. J’aime le faire alors que mon mari refuse parce que d’après lui ce n’est
pas le rôle d’un femme bien élevée de lécher une bite. J’ai au contraire sucer. Et toi ? Et après ça
mon mari m’accuse de ne pas bien faire l’amour: il n’a qu’à m’enculer de temps en temps. »
- Je n’ai pas à m’en mêler, suppose qu’un jour il te voit nue, les jambes écartées pendant que tu te
branles avec un gode, qu’est-ce qu’il fera. Il te baisera.
- Je vais essayer.
- Maintenant si tu veux que nous nous amusions toutes les deux, je suis d’accord.
- C’est vrai, tu voudrai qu’on baise.
- Bien sur j’ai envie de toi.
- Tu vas faire des jalouses dans le quartier.
- Et alors, tu n’es pas la seul que je baise.
J’embrasse Pauline sur la bouche, nos langues se rencontrent. Je la découvre le plus possible pour
arriver directement sur son entre cuisse. Je la découvre mouillée comme une éponge mal rincée. Je
caresse à peine son clitoris. Mes deux doigts vont se perdre un instant dans son vagin. Je les sort
totalement mouillés. Je vais au plus bas pour la sodomiser puisqu’elle vient de me dire qu’elle
aimait ça. C’est vrai qu’elle aime, elle a sa tête en arrière, ses yeux fermés, prête au grand
décollage vers le 7° ciel. Je fais trainer un peu les choses pour qu’elle en profite la plus
possible. Ma bouche est toujours sur la sienne, sauf que sa langue ne réagit plus, occupée qu’elle
est par le plaisir qui monte. Quand elle jouit elle pousse un cri heureusement assourdi par ma
bouche.
Maintenant c’est à elle; je lui donne mon gode en verre. Celui que mes « époux » m’ont acheté pour
me mettre dans le cul. Pauline le prend, elle en connait l’usage. Elle entre d’abord une petite
moitié dans ma chatte avant de le poser sur mon anus. Elle doit forcer pour entrer la première
boule, ensuite tout entre facilement. Avec elle je suis certaine de jouir. Elle est parfaite pour me
faire partir. Elle arrive à tout entrer, comme j’aime. Ensuite elle sort et entre les boules selon
son gré. Je suis aux anges: mon cul n’a rien eu depuis hier. Je ne me retiens même pas pour jouir.
Quand elle part, elle est rassurée, elle va se masturber devant son mari, qui, je le sais par
expérience ne manquera pas de la baiser en la félicitant de son plaisir solitaire.
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