Mon rendez-vous d’hier – 2
Récit érotique écrit par Zootman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-12-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mon rendez-vous d’hier – 2
(Dans le premier texte, je vous racontais cette rencontre soudaine et forte avec
l’assistante d’un nouveau client. Bien sûr, j’ai voulu la revoir, et là, les choses
ont un peu dérapé…)
J’avais donc besoin de revoir mon client, et j’avais pris un rendez-vous, réussissant
à le mettre en fin de journée dans l’espoir de pouvoir passer un moment avec la belle
assistante.
A la fin de la réunion, il me dit qu’il doit rentrer chez lui plus tôt que prévu et me
propose de voir les détails de mon offre avec son assistante. Je donne (bien sûr) mon
accord. Je remonte avec lui au bureau de celle-ci qui est au 1er étage.
Il lui donne quelques instructions, puis lui demande de continuer avec moi, et nous
suggère de redescendre dans son bureau au sous-sol où il a laissé le dossier.
Dès qu’il est parti, hors de tout regard, je prends la belle (elle s’appelle Marlène)
dans mes bras, et nos langues vite se joignent en un baiser déjà plein de promesses.
- « Allons en bas, dit-elle, nous serons plus tranquilles.
- Oui, surtout pour terminer le dossier, je veux aussi faire du bizness dans ta
boîte.
- On va d’abord finir le boulot, c’est sûr !
Nous descendons, nous installons à la grande table, et très sérieusement, tout en nous
souriant et nous lançant des regards coquins, nous terminons le job. Cela nous prend
20 minutes, au cours desquelles j’ai enlevé peu à peu ma veste, ma cravate, ouvert ma
ceinture, et à la fin, sorti ma queue.
Elle, de son côté, a relevé sa jupe jusqu’à me montrer sa culotte bleue, puis ôté son
caraco, pour terminer en enlevant un tee-shirt sous lequel les seins apparaissent dans
leur nudité.
Les dossiers rangés, nous nous jetons l’un sur l’autre, affamés. Nos mains courent sur
nos corps, nous nous embrassons, puis elle m’attrape la queue, s’agenouille, et me
suce longuement. Je gémis en lui caressant les cheveux. Je n’ai jamais vécu de telles
situations, que ce soit la première fois, ici même, ou maintenant.
Voir cette fille quasi inconnue qui me suce, juste parce que nous nous sommes plus,
par hasard, au détour d’un rendez-vous pro, cela me fascine. Mais bien sûr, j’en
profite, et la congratule chaudement de la belle pipe qu’elle me taille.
Je la relève, la fout à poil, m’agenouille à mon tour et passant la tête entre ses
cuisses, je la lèche, lui ouvre la chatte, lui caresse le cul, lui titille la
rondelle, introduit mes doigts l’un après l’autre dans sa fente qui coule de joie.
- Tu es dingue, me dit-elle, et moi aussi, je ne comprends pas ce qui m’arrive,
moi qui suis plutôt sage.
- Et moi donc, je réponds, je découvre cette envie de te faire jouir là, sans
raison, juste parce que nous en avons envie (ce qui est en soi une bonne raison non ?)
Et on innove dans les positions. Elle met une jambe sur la chaise, écartant les
jambes, et je la lèche encore plus.
Puis sur la table basse, solide, je monte et elle me suce à grand bruit.
Puis je m’assois et elle vient s’empaler sur ma queue, face à moi, et je lui lèche les
seins.
Puis elle se retourne, et se penchant un peu en avant, elle engouffre et relâche ma
queue avec sa chatte pendant que je lui attrape les seins.
Puis elle s’agenouille sur la moquette et je la prends en levrette.
Nous sommes complètement excités, nous ne pensons qu’à une chose, donner du plaisir à
l’autre, essayer de le faire gémir, de l’entendre ahaner, de voir son corps se couvrir
de sueur par l’effort.
Elle me dit qu’elle aime ma queue (jamais on ne me l’a dit ainsi, cela me touche)
qu’elle aime l’avoir dans sa chatte et moi je lui dis que jamais une femme ne m’a
autant inspiré, que jamais on ne m’a offert un corps avec autant d’envie, d’avidité au
plaisir.
Et on continue nos ébats, sur la table, sur les fauteuils, sur le bureau du patron
même, sur lequel elle pose ses seins, me tendant son cul, et me lâchant dans un
souffle : j’en ai trop envie : aujourd’hui, je veux découvrir ce plaisir, je t’offre
mon cul, c’est la première fois, va doucement.
Je suis devenu dingue, j’ai répondu : c’est aussi la première fois pour moi, aucune
femme n’a jamais voulu que je l’encule. Je vais te prendre en douceur, je veux que
nous en gardions un souvenir impérissable.
A ce moment là, l’atmosphère à changé. Un silence s’est fait, plein de promesses de
découverte. Nous nous sommes calmés. Alors, tout en lui caressant le dos et les fesses
de main gauche, j’ai abondamment humecté sa rondelle, et j’ai introduit un doigt de la
main droite, essayant d’écarter les chairs. Puis deux doigts, puis trois, et je
sentais sa respiration s’accélérer, et elle m’encourageait, me disant que je lui
faisais du bien.
Quand j’ai eu élargi son trou, je l’ai prévenue que j’allais m’introduire en elle tout
doucement. J’ai craché sur ma queue, l’ai présentée devant, ai posé le gland à l’orée
de son conduit. Sensation extraordinaire, j’étais en même temps hyper excité et tout
timide, j’avais envie de la défoncer sauvagement, comme dans toutes ces vidéos que je
mate régulièrement, mais là, face à la réalité, je n’étais plus aussi faraud, et je
voulais être à la hauteur, être digne de ce cul qu’elle m’offrait de déflorer.
J’ai poussé le gland tout doucement, elle a gémi un peu, et quand le frein a passé son
anus qui s’est refermé, enserrant le bout de mon membre, nous sommes restés quelques
instants immobiles.
- Ça va ? j’y vais ? Tu n’as pas mal ?
- Non, c’est bon, je te sens déjà, c’est un peu douloureux mais très
supportable, et j’ai tellement envie de sentir ta queue au fond de moi.
Alors j’ai continué, et j’ai enfoncé mon pieu par petits bouts, très lentement, tout
en la caressant et en lui disant des mots doux, et des mots crus, jusqu’à ce que me
couilles lui touchent les fesses.
- Je suis au fond, adorable cochonne, tu sens mon vit au fond de ton cul ?
- Oui, mon beau salopard, j’en rêvais depuis la dernière fois. Je te sens bien,
ta queue me transperce, c’est une sensation incroyable.
- Pour moi aussi, je suis serré par toi, je sens ta peau qui frémit. Veux-tu que
je bouge maintenant ?
- Oui, vas-y, prends moi, lâche toi, fais toi plaisir, je veux être défoncée.
Alors j’ai commencé mes allers-retours, accéléré peu à peu, vigilant à ses réactions,
voulant en même temps répondre à sa demande, tout en étant inquiet de lui faire mal.
Mais visiblement, après quelques mouvements, son conduit s’était détendu et elle
profitait vraiment de ma queue qui la pénétrait. Alors je me suis lâché, j’ai attrapé
ses hanches, et je l’ai pilonné fortement allant de son anus au fond de son cul,
sortant mon gland pour le réintroduire aussitôt, la faisant crier de surprise.
- Salaud, tu me cloues le cul, et c’est bon, j’aime être salope avec toi.
- Ton cul m’excite trop, belle cochonne, je vais te le ramoner tant et tant que
tu me supplieras d’arrêter
- Oui, continue, comme c’est bon, comment ai-je pu attendre aussi longtemps pour
me faire enculer
- Tiens, hop, je me retire, et hop, me revoilà, et je m’enfonce, lentement, tu
sens mon gland qui t‘écarte ?
- Mmmm, encore, ahh, c’est trop bon, et je sens que je vais jouir du cul si tu
continues
- Salope, tu aimes te faire bourrer en fait, tu aimes la queue, et moi je
t’adore, j’adore tes fesses, j’adore ce trou qui s’élargit devant moi, comme tu es
belle ainsi
Elle a mis un bras en arrière, et elle a commencé à se branler le clito pendant que je
l’enculais.
- Ououououo, ça vient, continue, je vais venir, ahhh, mmmn encore un peu.
Comme un dératé, je l’ai transpercé, voulant voir ce qu’était, en vrai, une femme
sodomisée qui jouit. Et je n’ai pas été déçu ! Elle s’est mise à trembler de tout son
corps tout en criant sa jouissance, lançant son cul au devant de ma queue pour se
remplir de moi. Et bien sûr, c’était tellement excitant que j’ai senti monter mon jus.
J’ai enfoncé mon membre une dernière fois tout au fond, en signe de remerciement à ce
cul magnifique, et, me retirant, j’ai éjaculé sur ses fesses encore frémissantes de
son plaisir.
Puis je me suis écroulé sur son dos, l’embrassant dans le cou, caressant ses formes
tendrement, lui disant des mots d’apaisement, la comblant de douceur.
Calmés, nous nous sommes relevés, regardés, encore regardés, et le baiser que nous
avons échangé à ce moment là était puissant, signe de notre connivence, traduisant
toute l’émotion d’avoir partagé pour la première fois, chacun, ce plaisir un peu
spécial, d’avoir franchi une limite que nous n’avions pas osé, ou pas eu l’occasion,
d’aborder avant.
C’est à ce moment-là que la situation a dérapé…..
Car tout à coup, entrant par une porte que je n’avais pas encore remarquée dans le
fond du bureau du boss, est apparue une femme.
- Dites donc Marlène, je me trompe où vous vous faites baiser sur le bureau du
patron ? Voilà qui va l’intéresser ! Et elle a eu un sourire carnassier en la
regardant.
Marlène est restée tétanisée, nue devant cette secrétaire, une des filles qu’elle
dirige et (je l’ai appris depuis) avec qui elle s’était pris le chou une semaine plus
tôt, la menaçant de la virer si elle ne bossait pas mieux. Je me sentais bien con
aussi, à poil, la queue pendante.
Reprenant mes esprits, j’ai tendu ses vêtements à Marlène, me suis rhabillé, et une
fois dans une meilleure posture, nous nous sommes approchés de cette intruse. Elle
nous regardait, goguenarde.
- Cela fait un moment que je vous observe. J’ai pu voir que vous vous entendez à
baiser comme des cochons. Je vous ai entendu descendre tout à l’heure. Je suis
remontée par l’autre escalier pour ne pas vous gêner. Mais j’avais oublié un document
ici, et quand je suis redescendue le chercher, c’est là que je vous ai vus en pleine
débauche. Vous étiez beaux cependant, je le confesse, et je n’ai pu résister à prendre
quelques photos avec mon téléphone…. Celle où vous, Marlène, êtes de profil avec la
bouche ouverte pendant que Monsieur vous encule est de toute beauté.
J’ai essayé de m’interposer, comprenant que j’avais affaire à un début de chantage sur
Marlène.
- S’il vous plait, détruisez ces photos, je ne suis pour rien, moi, dans votre
histoire.
- Oh, mais si Monsieur, mais si, me répond-elle, vous baisez ma chef, et sur le
bureau du boss ! Je me sens concernée par la vie de l’entreprise, voyez-vous, et je
suis sûr que mon patron me remerciera de lui donner des informations sur la manière
dont un de ses fournisseurs se comporte dans son bureau en son absence.
- Je vois, je vois, alors que voulez-vous pour votre silence ?
- Vous êtes moins fiers maintenant, et vous Marlène, notre dernière conversation
me reste un peu en travers de la gorge, alors je ne vois pas pourquoi je ne
profiterais pas des circonstances pour rétablir un équilibre entre nous.
- Nathalie, ça va, a lancé Marlène à sa secrétaire, que voulez-vous faire ?
- Oh, je vais vous le dire, mais je ne sais pas si cela va vous plaire…
Nous attendions qu’elle se décide.
Et vous, amies lectrices et amis lecteurs, vous allez attendre le prochain épisode
pour savoir combien cette Marlène nous en a fait baver……
(Je remercie, d’un jet crémeux sur sa croupe, ma belle amie française expatriée au
Québec, grande pécheresse, totalement obsédée de sexe, qui m’a donné l’idée d’écrire
une suite quand je lui contais mon aventure avec Marlène. A vous de juger si j’ai dit
la vérité jusqu’à ce que Nathalie intervienne dans l’histoire. Peut-être oui, peut-
être non. Mais moi, je sais ce que j’ai vécu, et ça…)
l’assistante d’un nouveau client. Bien sûr, j’ai voulu la revoir, et là, les choses
ont un peu dérapé…)
J’avais donc besoin de revoir mon client, et j’avais pris un rendez-vous, réussissant
à le mettre en fin de journée dans l’espoir de pouvoir passer un moment avec la belle
assistante.
A la fin de la réunion, il me dit qu’il doit rentrer chez lui plus tôt que prévu et me
propose de voir les détails de mon offre avec son assistante. Je donne (bien sûr) mon
accord. Je remonte avec lui au bureau de celle-ci qui est au 1er étage.
Il lui donne quelques instructions, puis lui demande de continuer avec moi, et nous
suggère de redescendre dans son bureau au sous-sol où il a laissé le dossier.
Dès qu’il est parti, hors de tout regard, je prends la belle (elle s’appelle Marlène)
dans mes bras, et nos langues vite se joignent en un baiser déjà plein de promesses.
- « Allons en bas, dit-elle, nous serons plus tranquilles.
- Oui, surtout pour terminer le dossier, je veux aussi faire du bizness dans ta
boîte.
- On va d’abord finir le boulot, c’est sûr !
Nous descendons, nous installons à la grande table, et très sérieusement, tout en nous
souriant et nous lançant des regards coquins, nous terminons le job. Cela nous prend
20 minutes, au cours desquelles j’ai enlevé peu à peu ma veste, ma cravate, ouvert ma
ceinture, et à la fin, sorti ma queue.
Elle, de son côté, a relevé sa jupe jusqu’à me montrer sa culotte bleue, puis ôté son
caraco, pour terminer en enlevant un tee-shirt sous lequel les seins apparaissent dans
leur nudité.
Les dossiers rangés, nous nous jetons l’un sur l’autre, affamés. Nos mains courent sur
nos corps, nous nous embrassons, puis elle m’attrape la queue, s’agenouille, et me
suce longuement. Je gémis en lui caressant les cheveux. Je n’ai jamais vécu de telles
situations, que ce soit la première fois, ici même, ou maintenant.
Voir cette fille quasi inconnue qui me suce, juste parce que nous nous sommes plus,
par hasard, au détour d’un rendez-vous pro, cela me fascine. Mais bien sûr, j’en
profite, et la congratule chaudement de la belle pipe qu’elle me taille.
Je la relève, la fout à poil, m’agenouille à mon tour et passant la tête entre ses
cuisses, je la lèche, lui ouvre la chatte, lui caresse le cul, lui titille la
rondelle, introduit mes doigts l’un après l’autre dans sa fente qui coule de joie.
- Tu es dingue, me dit-elle, et moi aussi, je ne comprends pas ce qui m’arrive,
moi qui suis plutôt sage.
- Et moi donc, je réponds, je découvre cette envie de te faire jouir là, sans
raison, juste parce que nous en avons envie (ce qui est en soi une bonne raison non ?)
Et on innove dans les positions. Elle met une jambe sur la chaise, écartant les
jambes, et je la lèche encore plus.
Puis sur la table basse, solide, je monte et elle me suce à grand bruit.
Puis je m’assois et elle vient s’empaler sur ma queue, face à moi, et je lui lèche les
seins.
Puis elle se retourne, et se penchant un peu en avant, elle engouffre et relâche ma
queue avec sa chatte pendant que je lui attrape les seins.
Puis elle s’agenouille sur la moquette et je la prends en levrette.
Nous sommes complètement excités, nous ne pensons qu’à une chose, donner du plaisir à
l’autre, essayer de le faire gémir, de l’entendre ahaner, de voir son corps se couvrir
de sueur par l’effort.
Elle me dit qu’elle aime ma queue (jamais on ne me l’a dit ainsi, cela me touche)
qu’elle aime l’avoir dans sa chatte et moi je lui dis que jamais une femme ne m’a
autant inspiré, que jamais on ne m’a offert un corps avec autant d’envie, d’avidité au
plaisir.
Et on continue nos ébats, sur la table, sur les fauteuils, sur le bureau du patron
même, sur lequel elle pose ses seins, me tendant son cul, et me lâchant dans un
souffle : j’en ai trop envie : aujourd’hui, je veux découvrir ce plaisir, je t’offre
mon cul, c’est la première fois, va doucement.
Je suis devenu dingue, j’ai répondu : c’est aussi la première fois pour moi, aucune
femme n’a jamais voulu que je l’encule. Je vais te prendre en douceur, je veux que
nous en gardions un souvenir impérissable.
A ce moment là, l’atmosphère à changé. Un silence s’est fait, plein de promesses de
découverte. Nous nous sommes calmés. Alors, tout en lui caressant le dos et les fesses
de main gauche, j’ai abondamment humecté sa rondelle, et j’ai introduit un doigt de la
main droite, essayant d’écarter les chairs. Puis deux doigts, puis trois, et je
sentais sa respiration s’accélérer, et elle m’encourageait, me disant que je lui
faisais du bien.
Quand j’ai eu élargi son trou, je l’ai prévenue que j’allais m’introduire en elle tout
doucement. J’ai craché sur ma queue, l’ai présentée devant, ai posé le gland à l’orée
de son conduit. Sensation extraordinaire, j’étais en même temps hyper excité et tout
timide, j’avais envie de la défoncer sauvagement, comme dans toutes ces vidéos que je
mate régulièrement, mais là, face à la réalité, je n’étais plus aussi faraud, et je
voulais être à la hauteur, être digne de ce cul qu’elle m’offrait de déflorer.
J’ai poussé le gland tout doucement, elle a gémi un peu, et quand le frein a passé son
anus qui s’est refermé, enserrant le bout de mon membre, nous sommes restés quelques
instants immobiles.
- Ça va ? j’y vais ? Tu n’as pas mal ?
- Non, c’est bon, je te sens déjà, c’est un peu douloureux mais très
supportable, et j’ai tellement envie de sentir ta queue au fond de moi.
Alors j’ai continué, et j’ai enfoncé mon pieu par petits bouts, très lentement, tout
en la caressant et en lui disant des mots doux, et des mots crus, jusqu’à ce que me
couilles lui touchent les fesses.
- Je suis au fond, adorable cochonne, tu sens mon vit au fond de ton cul ?
- Oui, mon beau salopard, j’en rêvais depuis la dernière fois. Je te sens bien,
ta queue me transperce, c’est une sensation incroyable.
- Pour moi aussi, je suis serré par toi, je sens ta peau qui frémit. Veux-tu que
je bouge maintenant ?
- Oui, vas-y, prends moi, lâche toi, fais toi plaisir, je veux être défoncée.
Alors j’ai commencé mes allers-retours, accéléré peu à peu, vigilant à ses réactions,
voulant en même temps répondre à sa demande, tout en étant inquiet de lui faire mal.
Mais visiblement, après quelques mouvements, son conduit s’était détendu et elle
profitait vraiment de ma queue qui la pénétrait. Alors je me suis lâché, j’ai attrapé
ses hanches, et je l’ai pilonné fortement allant de son anus au fond de son cul,
sortant mon gland pour le réintroduire aussitôt, la faisant crier de surprise.
- Salaud, tu me cloues le cul, et c’est bon, j’aime être salope avec toi.
- Ton cul m’excite trop, belle cochonne, je vais te le ramoner tant et tant que
tu me supplieras d’arrêter
- Oui, continue, comme c’est bon, comment ai-je pu attendre aussi longtemps pour
me faire enculer
- Tiens, hop, je me retire, et hop, me revoilà, et je m’enfonce, lentement, tu
sens mon gland qui t‘écarte ?
- Mmmm, encore, ahh, c’est trop bon, et je sens que je vais jouir du cul si tu
continues
- Salope, tu aimes te faire bourrer en fait, tu aimes la queue, et moi je
t’adore, j’adore tes fesses, j’adore ce trou qui s’élargit devant moi, comme tu es
belle ainsi
Elle a mis un bras en arrière, et elle a commencé à se branler le clito pendant que je
l’enculais.
- Ououououo, ça vient, continue, je vais venir, ahhh, mmmn encore un peu.
Comme un dératé, je l’ai transpercé, voulant voir ce qu’était, en vrai, une femme
sodomisée qui jouit. Et je n’ai pas été déçu ! Elle s’est mise à trembler de tout son
corps tout en criant sa jouissance, lançant son cul au devant de ma queue pour se
remplir de moi. Et bien sûr, c’était tellement excitant que j’ai senti monter mon jus.
J’ai enfoncé mon membre une dernière fois tout au fond, en signe de remerciement à ce
cul magnifique, et, me retirant, j’ai éjaculé sur ses fesses encore frémissantes de
son plaisir.
Puis je me suis écroulé sur son dos, l’embrassant dans le cou, caressant ses formes
tendrement, lui disant des mots d’apaisement, la comblant de douceur.
Calmés, nous nous sommes relevés, regardés, encore regardés, et le baiser que nous
avons échangé à ce moment là était puissant, signe de notre connivence, traduisant
toute l’émotion d’avoir partagé pour la première fois, chacun, ce plaisir un peu
spécial, d’avoir franchi une limite que nous n’avions pas osé, ou pas eu l’occasion,
d’aborder avant.
C’est à ce moment-là que la situation a dérapé…..
Car tout à coup, entrant par une porte que je n’avais pas encore remarquée dans le
fond du bureau du boss, est apparue une femme.
- Dites donc Marlène, je me trompe où vous vous faites baiser sur le bureau du
patron ? Voilà qui va l’intéresser ! Et elle a eu un sourire carnassier en la
regardant.
Marlène est restée tétanisée, nue devant cette secrétaire, une des filles qu’elle
dirige et (je l’ai appris depuis) avec qui elle s’était pris le chou une semaine plus
tôt, la menaçant de la virer si elle ne bossait pas mieux. Je me sentais bien con
aussi, à poil, la queue pendante.
Reprenant mes esprits, j’ai tendu ses vêtements à Marlène, me suis rhabillé, et une
fois dans une meilleure posture, nous nous sommes approchés de cette intruse. Elle
nous regardait, goguenarde.
- Cela fait un moment que je vous observe. J’ai pu voir que vous vous entendez à
baiser comme des cochons. Je vous ai entendu descendre tout à l’heure. Je suis
remontée par l’autre escalier pour ne pas vous gêner. Mais j’avais oublié un document
ici, et quand je suis redescendue le chercher, c’est là que je vous ai vus en pleine
débauche. Vous étiez beaux cependant, je le confesse, et je n’ai pu résister à prendre
quelques photos avec mon téléphone…. Celle où vous, Marlène, êtes de profil avec la
bouche ouverte pendant que Monsieur vous encule est de toute beauté.
J’ai essayé de m’interposer, comprenant que j’avais affaire à un début de chantage sur
Marlène.
- S’il vous plait, détruisez ces photos, je ne suis pour rien, moi, dans votre
histoire.
- Oh, mais si Monsieur, mais si, me répond-elle, vous baisez ma chef, et sur le
bureau du boss ! Je me sens concernée par la vie de l’entreprise, voyez-vous, et je
suis sûr que mon patron me remerciera de lui donner des informations sur la manière
dont un de ses fournisseurs se comporte dans son bureau en son absence.
- Je vois, je vois, alors que voulez-vous pour votre silence ?
- Vous êtes moins fiers maintenant, et vous Marlène, notre dernière conversation
me reste un peu en travers de la gorge, alors je ne vois pas pourquoi je ne
profiterais pas des circonstances pour rétablir un équilibre entre nous.
- Nathalie, ça va, a lancé Marlène à sa secrétaire, que voulez-vous faire ?
- Oh, je vais vous le dire, mais je ne sais pas si cela va vous plaire…
Nous attendions qu’elle se décide.
Et vous, amies lectrices et amis lecteurs, vous allez attendre le prochain épisode
pour savoir combien cette Marlène nous en a fait baver……
(Je remercie, d’un jet crémeux sur sa croupe, ma belle amie française expatriée au
Québec, grande pécheresse, totalement obsédée de sexe, qui m’a donné l’idée d’écrire
une suite quand je lui contais mon aventure avec Marlène. A vous de juger si j’ai dit
la vérité jusqu’à ce que Nathalie intervienne dans l’histoire. Peut-être oui, peut-
être non. Mais moi, je sais ce que j’ai vécu, et ça…)
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