Mon rendez-vous d’hier – 4

- Par l'auteur HDS Zootman -
Récit érotique écrit par Zootman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Mon rendez-vous d’hier –    4 Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-01-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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Mon rendez-vous d’hier – 4
Elle fut douce, cette première nuit avec Marlène, et nous en conserverons un souvenir plein de tendresse.

Au travail, Nathalie était devenue bosseuse et répondait aux demandes de Marlène, ce qui fait que le travail s’en ressentait et que toute l’équipe fonctionnait mieux. Probablement le fait que Nathalie ait joui sous les coups de langue de Marlène n’y était pas pour rien. Et bien quelle sache qu’elle tenait sa chef à sa merci, elle ne le montrait à aucun moment.

Avec Marlène rapidement, nous avons passé nos soirées chez elle, ou chez moi. Nous ne nous quittions plus, attendant avec inquiétude, mais aussi impatience, le prochain message de Nathalie.
Celui-ci arriva un vendredi soir, à 19h 12 : « Rejoignez en voiture la route du restaurant « au cœur de la forêt » de Montmorency. Garez-vous sur le parking qui est un peu avant, et attendez. Vous devez y être à 20h30. Une fois arrivés, mettez-vous nus, et prenez l’allée devant vous qui sera marquée d’une flèche rouge.
A 300 mètres, vous verrez un arbre avec une croix bleue, un autre avec une croix rouge. Des menottes y seront fixées. Vous devrez vous y attacher, dos à l’arbre, en ayant passé vos pieds dans les sabots bloquants auparavant. »
- Elle est malade, il ne fait pas encore tout à fait nuit à 20h30.
- Heureusement, il fait encore chaud et j’espère que la plupart des promeneurs sont rentrés. De toute façon, nous n’avons pas le choix.
- Oui, coquine, je sens même que tu n’es pas mécontente de faire un tour en banlieue pour t’exhiber.
- Et toi, je vois bien que tu te raidis déjà rien que d’y penser ! Allez, préparons-nous, sinon nous serons en retard.
A l’heure dite, nous étions à poste, nus, attachés à nos arbres respectifs, attendant la suite des événements.
Comme nous n’avions pas la clé de nos menottes, nous espérions que l’on viendrait nous délivrer !
La situation n’était pas si excitante que cela une fois sur place, il faut bien le dire. Mais la vision de Marlène nue, ses seins pointant et sa chatte à la toison taillée en triangle, à quelques pas de moi, cela me rassurait un peu, et me faisait passer le temps.
Nous étions en fait de part et d’autre du chemin, et nous échangions des regards où nous tentions de cacher notre inquiétude.
Un bruit sur le chemin.
Nous apercevons un vieux monsieur, qui se promène avec son chien. Il s’arrête au croisement un peu plus loin, et soudain prend l’allée dans notre direction, tout en parlant à sa bête.
Ce n’est qu’en passant près de nous qu’il nous voit. Il nous regarde, stupéfait.
- Mais que faites-vous là, nus, attachés, tout va bien ?
- Oui, monsieur, nous avons été obligés de venir ici, c’est une punition pour nous.
- Ah, vous n’avez pas été sages, sourit-il, et on vous met au pilori en quelque sorte.
- C’est ça, ne nous en voulez pas, nous attendons nos maîtres de la soirée.
- Ah, je vois ! Vous êtes beaux tous les deux, et j’apprécie particulièrement les formes de Madame.
- Merci monsieur.
- Si vous êtes punis, il doit y avoir une raison, et moi je n’ai jamais aimé les garnements voyez vous. Je crois que je vais participer à la punition.
Il s’approche de Marlène, et se met à lui caresser les seins, puis il descend sa main vers le pubis, entre ses cuisses, sur ses genoux, puis remonte. Il lui malaxe les seins, les suce.
- Cela fait longtemps que j’ai approché de si beaux seins, et il continue à y enfouir sa tête pendant que sa main droite caresse la toison de Marlène. Celle-ci m’envoie des regards de détresse, mais je sens que peu à peu la succion de ses tétons la fait réagir.
- Elle mouille cette cochonne dit le vieux, j’ai les doigts mouillés alors que je suis resté en dehors d’elle !
- J’aime bien me faire lécher les seins, répond Marlène, c’est vrai.

Je le vois quand il se tourne, le vieux à sa braguette gonflée.
Alors il sort son vit, un peu raide, et se branle en regardant et touchant Marlène. Rapidement, il envoie un petit jet sur la jambe de ma belle, se rafistole.
- Merci Madame, mais il me faut punir Monsieur aussi !
Que me veut-il ce vieux salopard ? Horreur, il mène son chien vers moi et lui dit : Pisse, Médor, ce monsieur est vilain. Le chien, dont je vois la petite queue tendue, sans doute à cause des grognements de son maître contre Marlène, lève la patte et urine sur ma jambe gauche.
- Vieux cochon, casse toi, t’es dégueulasse je lui crie, mais il se marre en me voyant, et dès que son chien à fini, il se tire en marmonnant : les copains du bistrot ne vont pas me croire !
Restés seuls, Marlène compatit à ma situation, admettant qu’elle a eu un moment plus agréable que moi…
Rapidement, nous entendons à nouveau des promeneurs. Un couple de quinquagénaires cette fois, qui s’arrête en nous voyant. La femme crie :
- C’est incroyable les tordus que l’on laisse en liberté de nos jours, je te jure, vivement que quelqu’un reprenne en main ce pays ! Viens, chéri, laissons ces pauvres gens à leur sort.
Et ils se sauvent, non sans que j’ai pu constater que le monsieur lorgnait fortement sur Marlène, et qu’il n’avait tenu qu’à lui, il se serait bien joint à nous …
A peine ont-ils disparus qu’apparait un joggeur, qui lui aussi s’arrête à notre niveau.
- Alors, on prend l’air, petit pervers ? Je vois que vous cherchez des sensations fortes. Je vais vous en donner. Il attrape une fine branche et se met à nous fouetter à tour de rôle, pas très fortement, mais de fines rayures zèbrent nos corps. Cela ne m’excite pas du tout et je l’insulte, surtout quand il s’en prend à Marlène.
- Oh, mais Monsieur se rebiffe ! Tiens, petit cochon, tu sais que tu m’excites toi ? Regarde !
Et il baisse son pantalon, exhibant sa queue.
- Tu vois, elle est raide, et tu vas me sucer ! Il m’oblige à me baisser, et accroupi, les bras en l’air retenus par les menottes, je ne peux que prendre en bouche ce sexe. Il me prend la tête et s’enfonce en moi, je manque vomir car il sent l’urine, mais il n’en a cure et me défonce le palais, prenant son plaisir dans ce trou que je lui offre. Il finit par m’éjaculer dans le gosier et me force à avaler sa semence acre.
- Tu vois, tu n’es qu’un trou à bite mon pote ! Et il repart en trottinant.
Je commence à trouver que Nathalie a un peu exagéré en nous menant là, et cela ne m’amuse pas vraiment !
Mais déjà de nouveaux visiteurs s’annoncent. Deux jeunes beurs qui écarquillent les yeux en nous matant, enfin surtout en matant Marlène.
- Vise cette pute qui nous montre ses nichons et sa chatte. Elle à l’air bonne !
Ils s’approchent d’elle, et chacun d’un côté, prenant soin que je puisse bien voir, ils la pelotent, triturent ses seins, lui fouillent la chatte de leurs doigts. Marlène gémit sous la brutalité des assauts, et les insulte à son tour.
Ils s’en foutent, et continuent leurs jeux. Puis ils sortent leurs queues et cette fois c’est Marlène qui est obligée de les sucer tour à tour. Ils se retirent au moment de jouir et balancent leur jus sur son visage.
Puis ils s’enfuient, contents de leur mauvais tour.
Nous nous regardons. Marlène pleure un peu, à moins que ce ne soit une coulée de sperme qui ne lui soit arrivée dans l’œil.
Un groupe se présente, uniquement des hommes.
- Alors les loupiots, comment trouvez vous notre petit jeu ? On dirait que certains ont profités de la situation si j’en juge par votre état. Allez, c’est bientôt fini, mais avant, il va falloir nous satisfaire !
- Et l’un deux, un costaud, vient nous détacher, nous retourne contre l’arbre et nous attache à nouveau. Nous voilà le cul offert à nos bourreaux. Et ils ne se privent pas de nous lécher le cul, trois sur moi, les trois autres sur Marlène. J’entends ma chérie qui commence à gémir, mais cette fois, c’est de plaisir.
Et moi, ma queue devient raide sous les caresses.
Quand le premier m’encule, après m’avoir un peu huilé l’anus, je gémis de douleur. Il m’enduit le fondement de son jus crémeux.
Quand le second prend sa place, le conduit a été préparé, et je commence à profiter de cette saillie. Et quand il m’envoie sa sauce, je regrette presque que ce soit déjà fini.
Quand le troisième me prend à son tour, je tends mes fesses pour qu’il me pénètre à fond, je veux être enculé, je veux sa queue au fond de moi, je veux qu’il me défonce. Je ne me reconnais plus, je ne suis qu’un cul en chaleur.
Le premier s’est glissé devant moi et me suce maintenant, et c’est trop bon. Je ne pense plus à Marlène, si ce n’est quand je l’entends crier pour demander qu’on lui défonce la moule, qu’on lui transperce le cul.
Et ils savent y faire les gaillards, visiblement. Je ne vois pas ce qu’ils lui font, mais elle à l’air d’aimer, et leur dit crûment.
- Ah oui, salope, tu en voulais de la bite, tu aimes ça, ta copine nous l’avait bien dit. Tu sens ma grosse pine qui te défonce le cul, tu n’en as pas tous les jours des belles queues, hein ?
De mon côté, je finis par jouir dans la bouche de l’homme sous moi, au moment ou l’autre m’inonde les entrailles.
J’entends Marlène jouir aussi.
Puis le silence.
- Tenez, voila les clés des menottes, dis un des mecs en me détachant un poignet. Restez-là encore un peu et vous pouvez partir. Votre copine nous a dit qu’elle vous recontacterait bientôt. J’espère que nous pourrons participer à vos cochonneries une autre fois. Allez, tchao.

Je me détache, détache Marlène, et nous nous enlaçons tendrement. Nous n’avons pas honte d’avoir jouis chacun de notre côté, nous savons que nous aimons cela, mais nous aimons nous retrouver dans les bras l’un de l’autre, pour retrouver une tendresse, une douceur qui nous réconforte et nous ramène dans le monde réel.

- Rentrons, mon amour, me dit-elle, je crois que ce soir, nous nous contenterons d’un petit câlin tendre, car ils m’ont épuisés ces mecs. Ils étaient montés comme des ânes, tu sais, et c’était bon.
- Moi aussi, ils m’ont vidé, et j’avoue que j’ai découvert encore un peu plus le plaisir de la sodomie. Cela ne t’ennuie pas de savoir que j’aime me faire prendre le cul ?
- Tant que tu continueras à me baiser comme tu le fais si bien, je t’autorise tout !

Nous rejoignons notre voiture, main dans la main, en nous demandant ce que Nathalie inventera pour la prochaine séquence……………..

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