Mon retour en Algérie (7)
Récit érotique écrit par PassifChaud [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-09-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mon retour en Algérie (7)
Retour au Port
Comme d’habitude avec ce que préparait Nordine, je me suis régalé, mais je n’ai pu m’empêcher de le prendre un peu à part et de discuter avec lui.
« Ne m’en veux pas Nordine, tu es un mec super… Adorable et trop gentil, et je t’apprécie beaucoup. »« Moi aussi Marc et je sais que tu es l’ami de Rachid… Enfin, comment dire… Son Ami… »
C’est vrai qu’à l’époque, tout était tellement caché et pudique, que le mot « ami » pouvait désigner le terme « amant », ce qui était le cas et ce que Nordine savait. Si l’orthographe peut montrer la différence entre Ami, et ami, il avait tellement appuyé sur le mot, que le ton employé montrait la différence.
« Mais on peut être amis ensemble (la faiblesse appuyée sur le A m’avait montré la différence), comme vous dites en France, bons copains ou potes… C’est ça ? »« C’est ça… Et c’est avec plaisir que j’apprécie d’être pote avec toi. »
Nous sommes revenus vers la crique, où Rachid faisait un peu de rangement en nous préparant le thé que nous avons dégusté ensemble. Il avait compris que suite à cet aparté, tout avait été mis au point, et donc, plus aucune gêne entre nous. Nous avons profité de l’eau tous les trois, comme des potes, tout en ayant beaucoup de mal, par pudeur, de ne pas me scotcher aux poils de mon homme, surtout en voyant son short maillot commencer à se tendre.
« Je peux vous laisser un peu seuls ? Mon père m’a demandé de chercher des coquillages pour le marché de demain. » C’est vrai que cet endroit en regorgeait et il est parti avec sa petite pelle, son seau, un grand filet et son épuisette.
« Tu lui as parlé ? »« Oui, pour lui dire que je l’estimais beaucoup et que je serais content d’être copain avec lui » Evidemment, la signification du mot copain n’était pas la même à l’époque, elle en avait tout son sens originel… Pote, collègue, ami, sans aucune ambiguïté sexuelle.
On était étendus tous les deux sur la plage, et je ne me lassais pas de passer mes mains sur sa foret de poils, à la poitrine, au ventre, au pubis, à ses jambes hyper velues aussi. Même s’il était tendu comme un arc, je crois que ni l’un ni l’autre avions besoin de faire l’amour, juste de caresses et de cette forte tendresse qui nous unissait. Par réflexe, et comme souvent, je gratouillais son sexe sur son bermuda, de haut en bas, avec mes ongles un peu longs, mes lèvres ne se lassaient pas de parcourir ce corps que j’aimais tant. Je l’ai senti se tendre d’un coup, ses abdos se durcir et exprimer un râle, il avait éjaculé dans son vêtement, l’inondant de sa jouissance… !!!
« Oh putain, putain… !!! Merde…) Et il m’a pris la main pour aller se rincer dans l’eau, du moins pour ce qu’il en restait, m’étant délecté auparavant de cette délicieuse liqueur. Effectivement, mon éducation m’avait appris qu’il ne fallait jamais rien gâcher ni rien laisser perdre, même si je pense, que mes parents ne parlaient pas de la même chose, ni de la même substance.
Des jeux dans l’eau, des câlins, il me prenait dans ses bras puissants pour me jeter plus loin, et mieux me récupérer ensuite. Bref, moment parfait de détente, d’amusement, lorsque nous avons vu Nordine arriver au loin, nous faisant des grands signes.
Nous nous sommes rapprochés du rivage pour voir ce qu’il voulait.
« Les gars, pêche a été super bonne, j’ai 2 filets pleins. Ça vous gêne pas si on rapproche le bateau et de m’aider à tout récupérer ? »
Effectivement, il avait été chanceux, mais il était très doué pour ça, et nous l’avons aidé à tout charger. Pour renter au port, Rachid conduisait, je sais pas si il avait son permis, mais en tous cas, il se débrouillait comme un chef. Pendant ce temps, Nordine faisait le tri remplissant divers bacs en fonction de ce qu’il avait récolté. Son père allait être super content, l’étal serait bien fourni le lendemain. Puis il s’est approché de moi avec un sac bien plein et qui frétillait encore.
« C’est pour toi Marc, enfin, pour vous tous… Pour vous remercier de m’avoir aidé et de cette si belle journée. Et ne dis rien… Je sais que tu adores ça. »
Dedans, il y avait deux superbes loups de Méditerranée, deux autres poissons, une énorme langouste et deux tourteaux. J’en étais super touché, et en silence, je lui ai fait deux gros bisous sur les joues. Une fois arrivés, vers 16 h, d’une cabine, Rachid a appelé sa mère en lui disant de ne surtout rien acheter pour le repas, on amenait tout. Les congélateurs n’existaient pas à cette époque, les frigos restant assez rares aussi, surtout en Algérie, mais Samira en avait acheté un pour sa cuisine, un peu comme celui de ma mère, avec un compartiment Freezer.
Elle était trop contente quand elle nous sommes rentrés, tout d’abord parce qu’elle a pu constater que nous avions passé un excellente journée, malgré un bon coup de soleil pour moi, et surtout, quand elle a vu ce qu’on avait ramené. Vu la quantité, elle m’a demandé ce que je préférais pour le soir et le reste au freezer, sauf les crabes qu’on allait cuire pour plus tard.
« La langouste et le loup, j’aime trop ça… Si ça ne te gêne pas, bien sûr. »« Beaucoup, sauf si tu m’aides à les préparer. »
Avec un sourire et un clin d’œil, elle savait que j’adorer cuisiner. Elle a jeté regardé ce qu’elle avait dans son garde-manger et a établi une petite liste pour ce qui lui manquait.
« Rachid… Tu files aux courses, tu vas prévenir Kader de venir manger avec nous, et Nadia aussi, d’accord ? »
On s’est mis à l’ouvrage de suite avec une splendide complicité. Même si j’avais souvent cuisiné avec ma mère, elle était davantage le chef et moi le commis, alors qu’avec Samira, elle me demandait mon avis sur tout. Je ne vais pas m’étendre sur cette séance culinaire, chacun de nous deux apportant notre touche personnelle.
« Au fait Samira, c’est qui Nadia ? »« C’est une de mes collègues du lycée. Elle enseigne à la fois l’arabe et le français. Tu as dû l’apercevoir, mais tu vas sans doute bosser avec elle aussi, elle est géniale. »
Ils sont arrivés tous en même temps, y compris Karim, et le repas, ainsi que la soirée ont vraiment été merveilleux, tous deux félicités par notre savoir-faire. Samira avait commis une erreur quand même… Celle de m’installer à côté de Rachid. Même si je me régalais de chacun des plats, l’odeur de mon homme était si prégnante, les poils de ses jambes caressant ma peau, sa main prenant la mienne, sous la nappe, pour la poser quelques secondes sur son pieu, me laissant présager de ce que j’allais « subir » cette nuit.
Nous nous sommes séparés dans la joie et la bonne humeur, Kader raccompagnait Nadia dont j’avais fait la connaissance avec plaisir. Samira, bien évidemment, s’était rendu compte du « trouble » et surtout, de l’impatience de son fils, il ne tenait plus en place.
« Bon les garçons… Au lit… Une journée en mer, c’est épuisant et vous devez avoir besoin de vous détendre. »
J’ai failli éclater de rire à ses mots, effectivement, au peu que j’avais pu constater de mes caresses furtives, Rachid était… Comment dire… Hyper tendu. !!!
A peine arrivé dans sa chambre, il m’a jeté sur le lit, descendu mon simple vêtement pour avoir un accès immédiat à ma fente, qu’il a perforé d’un coup. J’étais bien habitué à ses assauts maintenant, et chatte humidifiée de désir pendant toute la durée du dîner, il a pu entrer en moi comme dans du beurre.
Je n’en revenais pas… Moi, Marc, à peine 19 ans, puceau il n’y avait pas si longtemps que ça, je me prenais 25 cm de bite arabe hyper large, aussi facilement, que lorsque je devais me mettre un suppositoire, ce que je détestais.
« Marc Chéri, je peux te dire une chose ? Mais j’ai du mal à l’exprimer, je ne suis pas sur de trouver les bons mots, en français, ni même en arabe d’ailleurs. »
J’étais sur le dos, son corps velu épousant le mien, ses lèvres sur mon cou et mes mains sur ses poils, comme d’habitude, son membre toujours incrusté dans moi, dans une demi-rigidité empêchant son abondante semence de quitter mon orifice.
« Tu me donnes tout…. Tout ce dont n’importe quel homme désire. »« Et ? »« Tu es mon Ami, tendre, attentionné, me vénérant comme un fou. Tu as conquis ma famille, tu m’as permis de réaliser ce dont je rêvais au plus profond de moi. Tu me rends tellement heureux… !!! »« Et ? »« C’est là où j’ai un peu honte… Tu te donnes à moi sans retenue, à tout moment, toujours prêt à me satisfaire. Je sais que j’ai un énorme appétit sexuel, comme tous les hommes de ma famille, tu l’as constaté. Il était enfoui en moi, je culpabilisais, j’enfouissais ça en moi et tu as ouvert toutes les barrières à mes désirs, à mes besoins et j’ai l’impression que je me lâche… Trop. »« C’est normal, non ? Je t’aime… Toi aussi tu m’as fait connaitre le plaisir… !!! »« Mais je ne veux pas que tu te sentes comme une kahba, même si j’adore te prendre comme une pute, avoir la possibilité de me défouler avec toi, sans retenue, comme Papa et Kader aussi… !!! » Et il a baissé les yeux…. Pour la première fois… !!!
« Rachid chéri…. Peux-tu raisonner un instant ? Crois-tu que si je ne me sentais pas heureux avec toi et les tiens, je n’aurais pas tout fait pour retourner en Algérie ? Vivre avec toi et ta famille ? »
Soulagé, il m’a encore possédé, de la même manière, avec ce mélange de tendresse et de puissance. Pendant qu’il me baisait en levrette, j’ai vu que la porte de sa chambre n’était plus la même… Plus épaisse, plus large… !!! Et j’en ai parlé à Karim au petit déjeuner.
« Ma foi Marc, puisque on avait pas changé vos lits, c’était mieux de changer la porte non ? Plus épaisse et insonorisée. Vous serez plus tranquille pour vos jeux d’ados. »Un bisou dans son cou, sur ses poils du torse et sur ses lèvres, j’ai pris mon sac et je suis parti au Lycée où Samira m’attendait avec Nadia.
Comme d’habitude avec ce que préparait Nordine, je me suis régalé, mais je n’ai pu m’empêcher de le prendre un peu à part et de discuter avec lui.
« Ne m’en veux pas Nordine, tu es un mec super… Adorable et trop gentil, et je t’apprécie beaucoup. »« Moi aussi Marc et je sais que tu es l’ami de Rachid… Enfin, comment dire… Son Ami… »
C’est vrai qu’à l’époque, tout était tellement caché et pudique, que le mot « ami » pouvait désigner le terme « amant », ce qui était le cas et ce que Nordine savait. Si l’orthographe peut montrer la différence entre Ami, et ami, il avait tellement appuyé sur le mot, que le ton employé montrait la différence.
« Mais on peut être amis ensemble (la faiblesse appuyée sur le A m’avait montré la différence), comme vous dites en France, bons copains ou potes… C’est ça ? »« C’est ça… Et c’est avec plaisir que j’apprécie d’être pote avec toi. »
Nous sommes revenus vers la crique, où Rachid faisait un peu de rangement en nous préparant le thé que nous avons dégusté ensemble. Il avait compris que suite à cet aparté, tout avait été mis au point, et donc, plus aucune gêne entre nous. Nous avons profité de l’eau tous les trois, comme des potes, tout en ayant beaucoup de mal, par pudeur, de ne pas me scotcher aux poils de mon homme, surtout en voyant son short maillot commencer à se tendre.
« Je peux vous laisser un peu seuls ? Mon père m’a demandé de chercher des coquillages pour le marché de demain. » C’est vrai que cet endroit en regorgeait et il est parti avec sa petite pelle, son seau, un grand filet et son épuisette.
« Tu lui as parlé ? »« Oui, pour lui dire que je l’estimais beaucoup et que je serais content d’être copain avec lui » Evidemment, la signification du mot copain n’était pas la même à l’époque, elle en avait tout son sens originel… Pote, collègue, ami, sans aucune ambiguïté sexuelle.
On était étendus tous les deux sur la plage, et je ne me lassais pas de passer mes mains sur sa foret de poils, à la poitrine, au ventre, au pubis, à ses jambes hyper velues aussi. Même s’il était tendu comme un arc, je crois que ni l’un ni l’autre avions besoin de faire l’amour, juste de caresses et de cette forte tendresse qui nous unissait. Par réflexe, et comme souvent, je gratouillais son sexe sur son bermuda, de haut en bas, avec mes ongles un peu longs, mes lèvres ne se lassaient pas de parcourir ce corps que j’aimais tant. Je l’ai senti se tendre d’un coup, ses abdos se durcir et exprimer un râle, il avait éjaculé dans son vêtement, l’inondant de sa jouissance… !!!
« Oh putain, putain… !!! Merde…) Et il m’a pris la main pour aller se rincer dans l’eau, du moins pour ce qu’il en restait, m’étant délecté auparavant de cette délicieuse liqueur. Effectivement, mon éducation m’avait appris qu’il ne fallait jamais rien gâcher ni rien laisser perdre, même si je pense, que mes parents ne parlaient pas de la même chose, ni de la même substance.
Des jeux dans l’eau, des câlins, il me prenait dans ses bras puissants pour me jeter plus loin, et mieux me récupérer ensuite. Bref, moment parfait de détente, d’amusement, lorsque nous avons vu Nordine arriver au loin, nous faisant des grands signes.
Nous nous sommes rapprochés du rivage pour voir ce qu’il voulait.
« Les gars, pêche a été super bonne, j’ai 2 filets pleins. Ça vous gêne pas si on rapproche le bateau et de m’aider à tout récupérer ? »
Effectivement, il avait été chanceux, mais il était très doué pour ça, et nous l’avons aidé à tout charger. Pour renter au port, Rachid conduisait, je sais pas si il avait son permis, mais en tous cas, il se débrouillait comme un chef. Pendant ce temps, Nordine faisait le tri remplissant divers bacs en fonction de ce qu’il avait récolté. Son père allait être super content, l’étal serait bien fourni le lendemain. Puis il s’est approché de moi avec un sac bien plein et qui frétillait encore.
« C’est pour toi Marc, enfin, pour vous tous… Pour vous remercier de m’avoir aidé et de cette si belle journée. Et ne dis rien… Je sais que tu adores ça. »
Dedans, il y avait deux superbes loups de Méditerranée, deux autres poissons, une énorme langouste et deux tourteaux. J’en étais super touché, et en silence, je lui ai fait deux gros bisous sur les joues. Une fois arrivés, vers 16 h, d’une cabine, Rachid a appelé sa mère en lui disant de ne surtout rien acheter pour le repas, on amenait tout. Les congélateurs n’existaient pas à cette époque, les frigos restant assez rares aussi, surtout en Algérie, mais Samira en avait acheté un pour sa cuisine, un peu comme celui de ma mère, avec un compartiment Freezer.
Elle était trop contente quand elle nous sommes rentrés, tout d’abord parce qu’elle a pu constater que nous avions passé un excellente journée, malgré un bon coup de soleil pour moi, et surtout, quand elle a vu ce qu’on avait ramené. Vu la quantité, elle m’a demandé ce que je préférais pour le soir et le reste au freezer, sauf les crabes qu’on allait cuire pour plus tard.
« La langouste et le loup, j’aime trop ça… Si ça ne te gêne pas, bien sûr. »« Beaucoup, sauf si tu m’aides à les préparer. »
Avec un sourire et un clin d’œil, elle savait que j’adorer cuisiner. Elle a jeté regardé ce qu’elle avait dans son garde-manger et a établi une petite liste pour ce qui lui manquait.
« Rachid… Tu files aux courses, tu vas prévenir Kader de venir manger avec nous, et Nadia aussi, d’accord ? »
On s’est mis à l’ouvrage de suite avec une splendide complicité. Même si j’avais souvent cuisiné avec ma mère, elle était davantage le chef et moi le commis, alors qu’avec Samira, elle me demandait mon avis sur tout. Je ne vais pas m’étendre sur cette séance culinaire, chacun de nous deux apportant notre touche personnelle.
« Au fait Samira, c’est qui Nadia ? »« C’est une de mes collègues du lycée. Elle enseigne à la fois l’arabe et le français. Tu as dû l’apercevoir, mais tu vas sans doute bosser avec elle aussi, elle est géniale. »
Ils sont arrivés tous en même temps, y compris Karim, et le repas, ainsi que la soirée ont vraiment été merveilleux, tous deux félicités par notre savoir-faire. Samira avait commis une erreur quand même… Celle de m’installer à côté de Rachid. Même si je me régalais de chacun des plats, l’odeur de mon homme était si prégnante, les poils de ses jambes caressant ma peau, sa main prenant la mienne, sous la nappe, pour la poser quelques secondes sur son pieu, me laissant présager de ce que j’allais « subir » cette nuit.
Nous nous sommes séparés dans la joie et la bonne humeur, Kader raccompagnait Nadia dont j’avais fait la connaissance avec plaisir. Samira, bien évidemment, s’était rendu compte du « trouble » et surtout, de l’impatience de son fils, il ne tenait plus en place.
« Bon les garçons… Au lit… Une journée en mer, c’est épuisant et vous devez avoir besoin de vous détendre. »
J’ai failli éclater de rire à ses mots, effectivement, au peu que j’avais pu constater de mes caresses furtives, Rachid était… Comment dire… Hyper tendu. !!!
A peine arrivé dans sa chambre, il m’a jeté sur le lit, descendu mon simple vêtement pour avoir un accès immédiat à ma fente, qu’il a perforé d’un coup. J’étais bien habitué à ses assauts maintenant, et chatte humidifiée de désir pendant toute la durée du dîner, il a pu entrer en moi comme dans du beurre.
Je n’en revenais pas… Moi, Marc, à peine 19 ans, puceau il n’y avait pas si longtemps que ça, je me prenais 25 cm de bite arabe hyper large, aussi facilement, que lorsque je devais me mettre un suppositoire, ce que je détestais.
« Marc Chéri, je peux te dire une chose ? Mais j’ai du mal à l’exprimer, je ne suis pas sur de trouver les bons mots, en français, ni même en arabe d’ailleurs. »
J’étais sur le dos, son corps velu épousant le mien, ses lèvres sur mon cou et mes mains sur ses poils, comme d’habitude, son membre toujours incrusté dans moi, dans une demi-rigidité empêchant son abondante semence de quitter mon orifice.
« Tu me donnes tout…. Tout ce dont n’importe quel homme désire. »« Et ? »« Tu es mon Ami, tendre, attentionné, me vénérant comme un fou. Tu as conquis ma famille, tu m’as permis de réaliser ce dont je rêvais au plus profond de moi. Tu me rends tellement heureux… !!! »« Et ? »« C’est là où j’ai un peu honte… Tu te donnes à moi sans retenue, à tout moment, toujours prêt à me satisfaire. Je sais que j’ai un énorme appétit sexuel, comme tous les hommes de ma famille, tu l’as constaté. Il était enfoui en moi, je culpabilisais, j’enfouissais ça en moi et tu as ouvert toutes les barrières à mes désirs, à mes besoins et j’ai l’impression que je me lâche… Trop. »« C’est normal, non ? Je t’aime… Toi aussi tu m’as fait connaitre le plaisir… !!! »« Mais je ne veux pas que tu te sentes comme une kahba, même si j’adore te prendre comme une pute, avoir la possibilité de me défouler avec toi, sans retenue, comme Papa et Kader aussi… !!! » Et il a baissé les yeux…. Pour la première fois… !!!
« Rachid chéri…. Peux-tu raisonner un instant ? Crois-tu que si je ne me sentais pas heureux avec toi et les tiens, je n’aurais pas tout fait pour retourner en Algérie ? Vivre avec toi et ta famille ? »
Soulagé, il m’a encore possédé, de la même manière, avec ce mélange de tendresse et de puissance. Pendant qu’il me baisait en levrette, j’ai vu que la porte de sa chambre n’était plus la même… Plus épaisse, plus large… !!! Et j’en ai parlé à Karim au petit déjeuner.
« Ma foi Marc, puisque on avait pas changé vos lits, c’était mieux de changer la porte non ? Plus épaisse et insonorisée. Vous serez plus tranquille pour vos jeux d’ados. »Un bisou dans son cou, sur ses poils du torse et sur ses lèvres, j’ai pris mon sac et je suis parti au Lycée où Samira m’attendait avec Nadia.
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