Mon séjour chez Anne(1)
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mon séjour chez Anne(1)
Il a fallu que je mente à ma mère, un sois disant stage pour pouvoir rejoindre Anne. Cette dernière me reçut avec plaisir. S’autorisant même à poser ses lèvres sur les miennes pour me saluer. Sitôt la porte d’entrée fermée, elle passe sa main dans ma braguette, alors que la mienne se faufile sous son pull. Ses seins m’excitent depuis tout gamin, et j’ai très envie de les voir de près en prenant mon temps.
A ma demande après un regard inquiet en direction du salon, comme si son mari pouvait se trouver là, elle fait passer son pull par-dessus sa tête. Dessous sa poitrine se trouve comprimée dans un soutien-gorge pigeonnant. Ses seins d’une blancheur de lait se pressent l’un contre l’autre. Quand je les prends dans mes mains, Anne pousse des petits cris excités, et me glisse à l’oreille, à ce demandé si nous étions vraiment seuls :
-Tu sais, je suis très sensible par là.
-Je suis honoré de l’apprendre…
Je défais l’agrafe du soutien-gorge. Ses seins lourds, de forme allongée, s’écartent l’un de l’autre en s’affaissant sur ses côtés. Deux aréoles très large, de couleur claire, les couronnent. Les mamelons pointent dès que je me mets à les sucer. De son côté, Anne prend l’initiative d’ouvrir ma braguette et fait jaillir mon sexe. Elle le décalotte, tripote le gland et les couilles. Elle ne se laisse pas de jouer avec.
-C’est bizarre, mais je ne suis pas tenté de faire ça à mon mari. D’ailleurs je pense qu’il prendrait ça très mal !
De temps en temps elle me fixe, de ses yeux troubles.
-Je fais ça bien ?
-Merveilleusement bien, Anne !
De mon côté, après avoir écarté son slip en dentelle, je rentre un doigt, puis deux dans son vagin. Je les fais tourner en vrille dans sa cavité pour l’élargir. Son clitoris sort bien entre les nymphes. Comme elle s’étonne que je m’intéresse de si près de son sexe, je lui demande si ça lui arrive de se masturber. Elle hésite longtemps avant de répondre, puis m’avoue pas sans mal qu’elle se branle souvent, depuis que son mari la délaisse.
-Tous les soirs.
A mes demandes d’explications, et tranquilliser elle finit par répondre sans rien cacher.
-Je suis tellement sensible aux plaisirs que je ne peux pas résister.
Elle attend pour ça, que son mari ronfle, là elle éprouve d’emblée un saisissement voluptueux. Sous l’effet de l’excitation, son bouton se gonfle instantanément, et une vague d’excitation envahisse son ventre, faisant durcir ses seins et raidir ses mamelons. Fermant les yeux, elle se laisse dériver. Des scénarios imaginaires se déroulent dans sa tête. Où des hommes des vrais abusent d’elle de toutes les façons. Des élancements électriques parcourent son bouton et la fait s’agiter dans les draps. Ses pointes de sein deviennent dures à lui faire mal. Elle sent son vagin et son anus s’assouplir et s’élargir entre ses draps. La tension atteigne un degré insupportable, pendant que les queues en érection des malfrats défilent devant ses yeux clos. Elle serre les cuisses, comprimant son clitoris délicieusement son clitoris et son désir de jouir.
Très excitée par ce qu’elle vient de me dévoiler, cuisses écartées, elle approche mon sexe de sa fente. Avant de le faire pénétrer, elle passe le gland sur son bouton. Cela lui plaît, elle n’en revient pas que je lui laisse prendre des initiatives aussi osées.
-J’aurais jamais pu faire ça avec mon mari.
-Alors ose !
Elle se masturbe avec mon sexe, de plus en plus vite, me pressant le gland et les couilles. Ses paupières s’abaissent, voilant ses yeux troubles. Comme elle respire avec beaucoup de difficulté je comprends qu’elle va avoir un orgasme, au dernier instant, elle préfère s’enfoncer mon sexe dans le vagin. Elle croise ses jambes sur mes reins, m’attire violemment à elle, et se met à jouir. Elle a le temps de me jeter d’une voix hachée.
-C’est bon !
Reprenant ses esprits après l’orgasme, elle ajoute :
-Je n’ai jamais connu ce genre de chose avec mon mari, tu sais !
-Je veux bien te croire ! Tu en veux encore ?
-Je ne dis pas non !
Je fais alors remonter sa jupe sous ses aisselles. Je sens qu’elle aime s’exhiber, cette salope. Elle se tourne de droite et de gauche pour bien se dévoiler. Son cul large, un peu gras, mais très ferme, remue quand elle tortille son bassin. Se trémoussant, elle cherche la meilleure position pour se faire enculer, mais sa gêne croise en même temps que son excitation. Son maquillage soigné, sa coiffure apprêtée contrastent avec ses gros seins et ses grosses fesses qui bougent.
Je me permets de m’absenter quelques instants, le temps de prendre du beurre dans le frigo. J’enduis mon sexe d’une couche grasse. Anne me regarde faire avec beaucoup d’intérêt, tout est nouveau pour elle et passionnant pour elle. Je la courbe sur la table, en lui faisant écarter les pieds au sol et poser la joue sur le bois. Les mains croisées sur sa tête elle se met à pousser sur les muscles de son ventre, ses fesses s’écartent. Son anus se montre dans une touffe clairsemée de duvet grisonnant. Il forme une protubérance de couleur mauve et se détache nettement dans la fente pâle.
Avant de lui passer du beurre, j’ai envie de la renifler et de la lécher. Je colle pour ça, mon visage dans sa raie, je respire une odeur entêtante. Un cocktail de goût âcre de sueur, d’urine, de sécrétions anales. Le bout de ma langue titille les bords de son sphincter. Elle tortille les fesses de manière obscène et se met à parler comme une petite fille.
-Oh… ! Que fais-tu là Alain ? Mais c’est sale !
-Laisse-toi faire, grosse salope que tu aies !
Elle proteste pour la forme, avec des gloussements excités, mais s’exécute. Sa corolle anale s’écarquille en se retournant et sa muqueuse violacée apparait. Pendant que j’étale le beurre sur les chairs. Elle frissonne des pieds à la tête. Quand je fais pénétrer mon doigt beurré, elle émet des petits cris offusqués. Puis je visse l’index à fond dans le trou, et elle pousse un gémissement de ventre.
-Oh… je sens que ça rentre… c’est incroyable…
Retirant mon doigt, j’ajuste mon sexe à la place. La muqueuse réagit en palpitant quand je force l’ouverture.
-T’es gros ! Vas-y doucement tout de même mon chou !
Mon gland disparaît dans l’orifice puis s’ensuit une bonne partie de ma queue. Maintenant ses fesses écartées, je donne des coups de reins. Mon sexe s’enfonce et se retire de l’anus en produisant des bruits de ventouse. Elle crie.
-Putain ! Que c’est bon ! Il faut que je me touche !
Tout en se masturbant, elle secoue la tête et parle d’une voix méconnaissable.
-Ça me rend folle !
Sa soumission, l’intensité de sa jouissance l’excitent et me donnent envie de l’humilier. Accélérant les va-et-vient de mon sexe dans son trou du cul, je lui lance.
-Tu aimes grosse salope ?
-Oh oooouuuuiiii, c’est trop bon !
Elle se met à pailler alors que je jute dans son cul, lui inondant le cul de mon plaisir.
Son maquillage coule, ses cheveux défaits volent. L’odeur de sa mouille, de sa sueur, de mon sperme poissant l’intérieur de ses fesses tout cela fait disparaître le parfum qu’elle portait auparavant. Son visage grimace encore de jouissance quand elle se redresse.
Titubante, elle m’accompagne jusqu’à la chambre qu’elle m’a alloué pour mon séjour de baise. J’ai la main sur son cul, alors qu’elle me tripote le sexe.
-J’aimerais qu’on recommence par-derrière.
-Mais ma chère Anne, tes désirs sont des ordres !
A ma demande après un regard inquiet en direction du salon, comme si son mari pouvait se trouver là, elle fait passer son pull par-dessus sa tête. Dessous sa poitrine se trouve comprimée dans un soutien-gorge pigeonnant. Ses seins d’une blancheur de lait se pressent l’un contre l’autre. Quand je les prends dans mes mains, Anne pousse des petits cris excités, et me glisse à l’oreille, à ce demandé si nous étions vraiment seuls :
-Tu sais, je suis très sensible par là.
-Je suis honoré de l’apprendre…
Je défais l’agrafe du soutien-gorge. Ses seins lourds, de forme allongée, s’écartent l’un de l’autre en s’affaissant sur ses côtés. Deux aréoles très large, de couleur claire, les couronnent. Les mamelons pointent dès que je me mets à les sucer. De son côté, Anne prend l’initiative d’ouvrir ma braguette et fait jaillir mon sexe. Elle le décalotte, tripote le gland et les couilles. Elle ne se laisse pas de jouer avec.
-C’est bizarre, mais je ne suis pas tenté de faire ça à mon mari. D’ailleurs je pense qu’il prendrait ça très mal !
De temps en temps elle me fixe, de ses yeux troubles.
-Je fais ça bien ?
-Merveilleusement bien, Anne !
De mon côté, après avoir écarté son slip en dentelle, je rentre un doigt, puis deux dans son vagin. Je les fais tourner en vrille dans sa cavité pour l’élargir. Son clitoris sort bien entre les nymphes. Comme elle s’étonne que je m’intéresse de si près de son sexe, je lui demande si ça lui arrive de se masturber. Elle hésite longtemps avant de répondre, puis m’avoue pas sans mal qu’elle se branle souvent, depuis que son mari la délaisse.
-Tous les soirs.
A mes demandes d’explications, et tranquilliser elle finit par répondre sans rien cacher.
-Je suis tellement sensible aux plaisirs que je ne peux pas résister.
Elle attend pour ça, que son mari ronfle, là elle éprouve d’emblée un saisissement voluptueux. Sous l’effet de l’excitation, son bouton se gonfle instantanément, et une vague d’excitation envahisse son ventre, faisant durcir ses seins et raidir ses mamelons. Fermant les yeux, elle se laisse dériver. Des scénarios imaginaires se déroulent dans sa tête. Où des hommes des vrais abusent d’elle de toutes les façons. Des élancements électriques parcourent son bouton et la fait s’agiter dans les draps. Ses pointes de sein deviennent dures à lui faire mal. Elle sent son vagin et son anus s’assouplir et s’élargir entre ses draps. La tension atteigne un degré insupportable, pendant que les queues en érection des malfrats défilent devant ses yeux clos. Elle serre les cuisses, comprimant son clitoris délicieusement son clitoris et son désir de jouir.
Très excitée par ce qu’elle vient de me dévoiler, cuisses écartées, elle approche mon sexe de sa fente. Avant de le faire pénétrer, elle passe le gland sur son bouton. Cela lui plaît, elle n’en revient pas que je lui laisse prendre des initiatives aussi osées.
-J’aurais jamais pu faire ça avec mon mari.
-Alors ose !
Elle se masturbe avec mon sexe, de plus en plus vite, me pressant le gland et les couilles. Ses paupières s’abaissent, voilant ses yeux troubles. Comme elle respire avec beaucoup de difficulté je comprends qu’elle va avoir un orgasme, au dernier instant, elle préfère s’enfoncer mon sexe dans le vagin. Elle croise ses jambes sur mes reins, m’attire violemment à elle, et se met à jouir. Elle a le temps de me jeter d’une voix hachée.
-C’est bon !
Reprenant ses esprits après l’orgasme, elle ajoute :
-Je n’ai jamais connu ce genre de chose avec mon mari, tu sais !
-Je veux bien te croire ! Tu en veux encore ?
-Je ne dis pas non !
Je fais alors remonter sa jupe sous ses aisselles. Je sens qu’elle aime s’exhiber, cette salope. Elle se tourne de droite et de gauche pour bien se dévoiler. Son cul large, un peu gras, mais très ferme, remue quand elle tortille son bassin. Se trémoussant, elle cherche la meilleure position pour se faire enculer, mais sa gêne croise en même temps que son excitation. Son maquillage soigné, sa coiffure apprêtée contrastent avec ses gros seins et ses grosses fesses qui bougent.
Je me permets de m’absenter quelques instants, le temps de prendre du beurre dans le frigo. J’enduis mon sexe d’une couche grasse. Anne me regarde faire avec beaucoup d’intérêt, tout est nouveau pour elle et passionnant pour elle. Je la courbe sur la table, en lui faisant écarter les pieds au sol et poser la joue sur le bois. Les mains croisées sur sa tête elle se met à pousser sur les muscles de son ventre, ses fesses s’écartent. Son anus se montre dans une touffe clairsemée de duvet grisonnant. Il forme une protubérance de couleur mauve et se détache nettement dans la fente pâle.
Avant de lui passer du beurre, j’ai envie de la renifler et de la lécher. Je colle pour ça, mon visage dans sa raie, je respire une odeur entêtante. Un cocktail de goût âcre de sueur, d’urine, de sécrétions anales. Le bout de ma langue titille les bords de son sphincter. Elle tortille les fesses de manière obscène et se met à parler comme une petite fille.
-Oh… ! Que fais-tu là Alain ? Mais c’est sale !
-Laisse-toi faire, grosse salope que tu aies !
Elle proteste pour la forme, avec des gloussements excités, mais s’exécute. Sa corolle anale s’écarquille en se retournant et sa muqueuse violacée apparait. Pendant que j’étale le beurre sur les chairs. Elle frissonne des pieds à la tête. Quand je fais pénétrer mon doigt beurré, elle émet des petits cris offusqués. Puis je visse l’index à fond dans le trou, et elle pousse un gémissement de ventre.
-Oh… je sens que ça rentre… c’est incroyable…
Retirant mon doigt, j’ajuste mon sexe à la place. La muqueuse réagit en palpitant quand je force l’ouverture.
-T’es gros ! Vas-y doucement tout de même mon chou !
Mon gland disparaît dans l’orifice puis s’ensuit une bonne partie de ma queue. Maintenant ses fesses écartées, je donne des coups de reins. Mon sexe s’enfonce et se retire de l’anus en produisant des bruits de ventouse. Elle crie.
-Putain ! Que c’est bon ! Il faut que je me touche !
Tout en se masturbant, elle secoue la tête et parle d’une voix méconnaissable.
-Ça me rend folle !
Sa soumission, l’intensité de sa jouissance l’excitent et me donnent envie de l’humilier. Accélérant les va-et-vient de mon sexe dans son trou du cul, je lui lance.
-Tu aimes grosse salope ?
-Oh oooouuuuiiii, c’est trop bon !
Elle se met à pailler alors que je jute dans son cul, lui inondant le cul de mon plaisir.
Son maquillage coule, ses cheveux défaits volent. L’odeur de sa mouille, de sa sueur, de mon sperme poissant l’intérieur de ses fesses tout cela fait disparaître le parfum qu’elle portait auparavant. Son visage grimace encore de jouissance quand elle se redresse.
Titubante, elle m’accompagne jusqu’à la chambre qu’elle m’a alloué pour mon séjour de baise. J’ai la main sur son cul, alors qu’elle me tripote le sexe.
-J’aimerais qu’on recommence par-derrière.
-Mais ma chère Anne, tes désirs sont des ordres !
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