Mon Service Militaire 1

- Par l'auteur HDS Karima -
Récit érotique écrit par Karima [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Mon Service Militaire 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-04-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mon Service Militaire 1
Je venais de fêter mes 19 ans quand j’ai reçu la convocation au service militaire obligatoire. Je dois passer 12 moi dans une caserne à faire une formation militaire. Vu mon physique et mon allure androgyne je pensais être recalé au moment de la visite médicale. He bien non, je suis déclaré apte. Donc après la visite médicale on passe chez le coiffeur pour une boule a zéro puis chez le magasinier pour recevoir son paquetage (treillis, brodequin, casquette…). Nous sommes tous réunion dans la place d’arme de la caserne et le Colonel directeur de la caserne nous annonce le programme des 12 mois de formation : 1 mois de bizutage par une équipe d’officier, puis 11 mois d’apprentissage militaire dur et rude.
Le soir même le bizutage commence. Un comité de sous-officiers nous reçoit un par un pour connaitre nos spécialités, notre provenance…Mon tour arrive et l’un d’eux me demande : - Le Sous-lieutenant André : Quel est ton nom et d’où viens-tu ?
- Moi d’une voix timide et réservée : Karim, originaire du Maroc mais là je vis dans le sud.
- André : parle plus fort, on dirait une nana, quelle est ta spécialité- Moi : je fais des études de gestion administrative et d’informatique- André : ça veut dire secrétaire, on a besoin d’une secrétaire qui sache manier l’outil informatique.
Il se retourne vers son collègue un autre sous-lieutenant et lui dit : - André : Bernard nous avons trouvé notre secrétaire, elle commencera demain.
En l’entendant parler de moi au féminin je suis perdu et titube : - Moi : mais mon lieutenant…Il me coupe ma parole et dit : - André : Ecoute ma belle c’est soit le secrétariat, soit tu subiras un bizutage et une année très dure.
Je baisse la tête et me tait en me disant que vaut mieux faire du secrétariat que de subir un bizutage et une année de galère. Je n’y résisterais pas.
- Bernard : retrouves moi demain matin à 8 heures au secrétariat. Au suivant.
Je passe la nuit seul dans la chambre pendant que les autres sont en train de se faire bizuter. Le matin après le petit déjeuné ou tous mes camarades avaient une sale tête, je me dirige vers le secrétariat. Bernard est déjà là et me fait signe de rentrer dans son bureau et me fait signe de m’assoir.
- Bernard : bien dormis ma belle, ton bureau sera juste là, et le vestiaire au fond à droite. Voilà la clef de ton placard, tu y trouveras des habilles de travail. Il n’est pas question d’avoir une secrétaire en treillis. Si tu as besoin d’aide demande à Caroline l’infirmière de t’aider, elle a l’habitude.
Et il ajoute en me faisant suite d’aller vers le vestiaire : - Bernard : ne tarde pas, tu devras être prête et assise dans ton bureau à 8h tous les matins.
Je prends la clef et me dirige vers le vestiaire la tête dans le brouillard. Pourquoi me parles-t-il au féminin, pourquoi dois me changer… une fois dans le vestiaire et une fois que j’ouvre mon placard je comprends ses insinuations. Le placard est plein de robes, de tailleurs, d’escarpins, perruques….
Ils veulent que je sois leur secrétaire, mais ils me veulent en femme. Je décide de refuser et me dirige vers le bureau de Bernard, quand je suis interpelé par Caroline, l’infirmière.
- Caroline : Bonjour je suis caroline l’infirmière, vous avez l’air énervé que se passe t-il ?
- Moi : ils veulent que je m’habille en femme et que je sois leur secrétaire ça n’est pas normal.
- Caroline : écoute ma chère, tu as deux choix possibles, soit tu fais ce qu’ils te disent et tu passeras une année tranquille à faire la dactylo, la secrétaire, soit tu refuses et tu vas en baver pendant 12 mois. Et crois-moi ça va être 12 mois d’enfer pour toi. Je peux t’aider, dis-toi que c’est juste une tenue de travail. Tu passeras tes journées ici et personne ne te verra.
- Moi : je n’ai pas le choix alors, je ne survivrai pas à 12 mois d’enfer.
- Caroline : bon choix, viens je vais t’aider.
On rentre dans le vestiaire elle sort les tenues et choisi ce que je vais porter : tailleur jupe et veste noir, avec une chemise en soie blanche, des basses auto-fixant noirs, une perruque brune et des escarpins à talons de 10 cm des faux seins..
J’enfile le tout avec l’aide de Caroline et elle me dit : - Caroline : je dois t’apprendre à te maquiller assieds-toi.
Pendant qu’elle me maquille et me dit : - Caroline : à partir de demain tu dois te raser tout ok- Moi : comment ça tout ?
- Caroline : entièrement, jambes, torse, aisselles….
- Moi : ah bon pourquoi- Caroline : c’est comme ça une femme ne doit pas avoir l’air d’un travelot de bas étages ok Une fois qu’elle a fini elle me dirige vers un miroir long. J’en reviens pas de ce que je vois. Je me trouve super sexy.
- Caroline : comment tu te trouves- Moi : heuu bien Je n’ose pas lui dire que je me trouve sexy perchée sur mes talons.
- Caroline : on va dans mon bureau, on m’a donné 24 heures pour que tu sois présentable.
Une fois dans son bureau elle sort une trousse pleine de maquillage et commence mon initiation. En fin de journée j’avais acquis l’art du maquillage. Elle me dit : - Caroline : vas te changer, et n’oublies pas demain tu viens entièrement rasée okJe me dirige vers le vestiaire en me dandinant sur mes escarpins de 10 cm. La sensation de douceur des bas sur mes jambes va me manquer ce soir. Je suis surpris à l’idée d’aimer porter ça.
Le lendemain matin mon collègue de chambré quitte à 06h30, ça me laisse du temps pour prendre une douche et me raser. Une fois prêt j’enfile mon treillis et me dirige vers le QG.
Caroline m’attend dans le vestiaire avec les vêtements du jour. Une ensemble string soutient gorge noir, une Jupe serrée grise avec sa veste grise assortie, une chemise en soie blanche, des bas auto-fixant beiges, perruque mi longue châtain, des bottines noirs à talons de 10 cm, et la trousse de maquillage. Une fois habillée elle me dit :- Caroline : bien tu vas te maquiller je reviens dans 15 minutes pour tout vérifier.
- Moi : oui Madame15 minutes après la voilà qui reviens, et quand elle entre dans la salle de bain elle dit :- Caroline : wow tu es superbe, tu as bien retenu tes leçons. Va dans ton bureau et attends les ordres du Commandant. Il s’appelle Gérard.
Je m’installe dans mon bureau. J’allume l’ordinateur et je lis les nouvelles en attendant l’arrivée du commandant. Quelques minutes passent quand entre un grand bonhomme entre, il doit bien mesurer 1.95m baraqué comme un gladiateur, les cheveux très cours, des yeux clairs avec un léger sourire aux lèvres il me tend la main et dit :- Gérard : Bonjour Mademoiselle, commandant Gérard. Vous êtes la nouvelle secrétaire ? quel est votre nom ma jolie ?
Je me lève, lui tend la main et répond :- Moi : heu Karim..
- Gérard : Ah Karima, c’est un joli prénomDit-il en me scrutant de bas en haut et en regardant ma main, et il dit :- Gérard : Caroline a fait du bon travail en 24 heures, c’est magnifiqueA ce moment-là Caroline entre dans le bureau et salut militairement le Commandant :- Caroline : Bonjour mon commandant- Gérard : Bonjour Caroline, beau travail, il ne manque plus qu’un détail, les ongles ma chère.
- Caroline : ok Mon commandant on s’en occupe cet après-midi après le service.
Il entre dans son bureau et referme la porte. Caroline me dit :- Caroline : il est content tu lui plais, cet après-midi je te ferais les ongles ok ma belle.
- Moi : oui mais mon collègue de chambre heu- Caroline : ne t’en fait pas tu vas déménager dans le quartier des femmes, tu auras une chambre à toi toute seule avec tes affaires… et rappelle-toi toujours le sourire sur ton beau visageCool me suis-je dit dans ma tête, je vais passer 12 mois tranquille derrière le bureau pendant que les autres galèrent. Surtout que je commence à apprécier la douceur des habits de femme sur ma peau fraichement rasée. Mon tel sonne : - Gérard : Karima amènes moi un café s’il te plait et les journaux - Moi : à vos ordres mon Commandant- Gérard : un oui Monsieur suffira ok - Moi : Oui monsieurJe prépare le café et prends les journaux et frappe à la porte de son bureau.
- Gérard : EntrezJe rentre en souriant et en marchant vers son bureau il dit : - Gérard : Merci Karima tenez tapez moi ça sur ordinateur.
Je prends les feuilles qu’il m’a remise et me dirige vers mon bureau. Quand je me retourne pour fermer la porte de son bureau je le trouve en train de me fixer le derrière. Je ferme la porte en baissant les yeux et commence à faire mon job. Comme j’avais l’habitude des ordis, j’ai finis assez rapidement je prends le temps de vérifier les erreurs de frappes la mise en page. J’imprime le tout et me dirige vers la porte. Je toc :- Gérard : EntrezJ’ouvre, j’entre en prenant soin de sourire, et me dirige vers lui- Gérard : Tu as été rapide ma jolie dit-il en souriant, assieds-toiJe m’assoie il prend les documents, y jette un œil rapide et me dit :- Gérard : Bon travail Madame, tu es charmante, c’est la 1ere fois que tu te travesties ?
Moi tout rouge de honte et le regard vers le bas : - Moi : oui Monsieur- Gérard : et comment tu trouves ? tu aimes ? sois sincère je n’aime pas les mensongesToujours en regardant vers le bas :- Moi : heu oui, je ne pensais pas aimer cette la douceur des bas sur mes jambes et aussi la douceur de la chemise en soie sur ma peau- Gérard : bien c’est un bon début, et marcher en talons n’est pas trop dur pour toi ?
- Moi : hier c’était un peu dur et nouveau pour moi, aujourd’hui je commence à m’y habituer- Gérard : bien tu peux retourner à ton poste ma jolieJe me lève, et me dirige vers la sortie, et même constat au moment de fermer la porte je le trouve encore en train de me fixer le derrière, je sourie en baissant la tête et ferme la porte. Caroline vient de temps en temps dans mon bureau pour voir si tout va bien. Elle me dit : - Caroline : tu ne dois pas rester assise toute la journée, de temps en temps lèves toi fait quelques pas, pour t’habituer au talons. Je t’ai aussi envoyé un mail avec plein de lien vidéo pour améliorer ta gestuel ta posture ta façon de parler etc. il faut que tu sois le plus féminine possible si tu ne veux pas retourner en enfer…dit-elle en riantLe commandant sort pour une réunion à l’extérieur. J’en profite pour regarder les vidéos plusieurs fois chacune et je me lève de temps à autre pour marcher. Dans les vidéos j’apprends aussi à m’assoir de manière féminine en croisant les jambes, j’apprends à marcher avec des talons en mettant un pied devant l’autre….
Caroline me rejoint et me complimente : - Caroline : bien je vois que tu évolues très vite et bien. Le commandant sera content.
- Moi : Pourquoi fait-il ça ?
- Caroline : ça quoi ?
- Moi : ben prendre une recrue et la transformer en secrétaire et le travestissement…- Caroline : c’est pour deux raison principale ma chérie : la première c’est qu’on n’a pas le budget pour recruter une secrétaire à plein temps. La seconde c’est que le commandant a perdu sa compagne il y 2 ans, c’était un travestie avec qui il vivait. C’est son kif quoi- Moi : je vois, mais je…- Caroline : Je sais c’est une première pour toi, juste soit relaxe et toujours souriante avec lui, il ne t’obligera jamais à faire quelque chose que tu ne veux pas faire, soit tranquille et tu peux décider d’arrêter à tout moment, ok ?
- Moi : ok clair, ça me va.
Plus les jours passent et plus je me plais à jouer les secrétaires et je commence aussi à kiffer les talons hauts et la douceur des bas sur mes jambes. Je commence même à dormir en chemise de nuit en soie tellement j’adore la douceur de la soie sur ma peau imberbe.
Un matin habillée en robe noire moulante à hauteur des genoux avec les manches en tulle, perchée sur mes talons de 10 cm au moment de lui poser son café sur son bureau, Gérard me de m’assoir. Je m’exécute avec un léger sourire, je crois mes jambes comme le ferais une femme et il dit : - Gérard : alors comment ça se passe ? tu t’habitus un peu à ta nouvelle vie ?
- Moi : Oui Monsieur tout va pour le mieux.
- Gérard : Je voudrais te demander un service personnel qui n’a rien à voir avec le travail, et tu es libre d’accepter ou pas, ça n’aura aucune incidence sur ton travail.
- Moi : biens sur Monsieur que puis-je faire pour vous- Gérard : Voilà je suis invité à diner demain soir par un couple d’amis très proche et je ne voudrais pas y aller seul, d’habitude pour ce genre de diner Caroline m’y accompagne mais là elle a un empêchement familial j’aurais besoin que tu la remplaces, voudrais-tu m’y accompagner ?
Je rougis, je baisse les yeux et réponds timidement : - Moi : ça ne me dérangerais pas, mais je ne sais pas si je serais à la hauteur et en plus vous êtes mon supérieur- Gérard : écoutes d’après ce que j’ai vu ces jours-ci, tu as très bien évolué et en plus dis-toi que c’est un diner entre ami, tout ira bien il faut juste que tu dises oui.
- Moi : d’accord Monsieur- Gérard : donc plus question de m’appeler Monsieur, dorénavant c’est Gérard ok sauf devant les subordonnés.
- Moi : oui Mo, oui Gérard- Gérard : super je demanderais à Caroline de te trouver une tenue de soirée pour demain Je quitte son bureau en panique a l’idée de sortir avec mon commandant diner dans un lieu public. En parlant de ça avec Caroline elle me rassure et me dit que le commandant en dehors de la caserne et un homme charmant, et qu’il fera tout pour que tu sois à l’aise.
Le lendemain en fin d’après-midi, Caroline vient avec un sac contenant plusieurs paquets. Elle me dit :- Caroline : tiens c’est pour ce soir. Y a tout ce qu’il faut, soit prête pour 19h30- Moi : Merci Caroline.
Je rentre dans ma chambre j’ouvre d’abord la grande boite. J’y trouve une superbe robe de soirée noire avec les épaules et manches en tulle, à mi-cuisse. J’ouvre le deuxième gros paquet, c’est une paire de scandale a lanière à talon de 11 cm. Les autres petits paquets contiennent : un sac à main noir, un collier de perles blanches, un bracelet assortis en perles blanche aussi, une montre, une bague, des boucles d’oreille.
Je dispose le tout sur mon lit je mets le réveil à 19h25 pour ne pas être en retard. Je prends une douche, je revois mon épilation par la même occasion, une fois finis je m’habille, me maquille et enfile les bijoux. Je ne finis pas mettre ma perruque noire cheveux mi- longs et me parfume. Je me place devant le miroir et là en me voyant j’ai une érection instantanée. Wow me dis-je j’aurais bien aimé sauter une meuf comme moi.
Le réveil sonne il est 19h25, je dois être dans mon bureau à 19h30. Une fois dans le bureau, je vérifie que j’ai tout ce qu’il faut dans mon sac à main comme me l’a enseigné Caroline (parfum, une petite palette de maquillage, un rouge a lèvre, une paire de bas au cas où). Tout est là. Je marche un peu dans le bureau pour m’habituer aux nouvelles scandale (1 cm plus haute que les escarpins que j’avais) quand j’entends la porte s’ouvrir. C’est Gérard qui entre habiller très classe se dirige vers moi et dit :- Gérard : wooow la classe, tu es magnifique KarimaEt là il me prend la main pour l’embrasser. Un vrai gentleman.
- Gérard : on y va sinon on sera en retard, et pour un militaire ça n’est pas acceptable n’est-ce pas ma chère.
Je souris et le suis vers sa voiture. Pendant le trajet qui ne dure qu’une dizaine de minute, il ne cesse de me complimenter :- Gérard : vraiment sublime, Karima.
- Moi : Merci Gérard.
Une fois arrivé au restaurant, Gérard se précipite pour m’ouvrir la porte et me tendre sa main. Je le trouve très galant et attentionné. Nous entrons, ses amis sont déjà là, on s’installe, il fait les présentations son amis d’un certain âge ne manque pas de me faire un compliment : « enchantée madame vous êtes radieuse »Le diner se passe plutôt bien, Gérard m’a mise à l’aise dès le début. En milieu de soirée, je suis allé vers les toilettes du restaurant pour voir si tout allait bien. J’ai faillis entrer dans le coté homme. Je retouche un peu mon maquillage, et remets du parfum.
En fin de soirée j’avais la tête qui tourne un peu, j’ai dû boire trop de vin rouge. Tout le monde se lève on se dit au revoir et en voiture, Gérard me dit :- Gérard : tout était parfais, merci KarimaDit-il en posant sa main droite sur mon genou.
- Gérard : ça te dirais de prendre un dernier verre avant de rentrer ?
- Moi : heu…. Dis-je en regardant ma montre.
- Gérard : allez ça ne sera pas long, c’est juste pour te remercier et je parlerais à ton patron pour que tu ne commences demain qu’à 10h00. Dit-il en riantJe rigole a sa vanne et il prend mon sourire pour un oui. On s’arrête devant une maison avec jardin non loin de la caserne. C’est chez lui. On entre, il me fait faire le tour de la maison rapidement et nous serre du vin.
- Gérard : Voilà, c’est ma modeste demeure, ou je me sens seul des fois- Moi : vous n’avez pas de femme- Gérard : j’avais une femme qui nous a quitté trop tôt malheureusement- Moi : sincèrement désolée- Gérard : en fait elle était comme toi- Moi : comment ça comme moi ?
- Gérard : ma femme était un travestie, elle s’appelait Martine. Et franchement je trouve les travestie beaucoup plus sexy que pas mal de femmes. Une fois qu’ils s’y mettent c’est le top de la féminité. Voilà tu sais presque tout de moi et toi parle-moi de toi. Tu as une copine ou un copain dans ton patelin ?
- Moi : heu non, vu mon allure androgyne je n’ai jamais eu de copine au lycée et tout le monde se moquait de moi. Lui répondit je d’un ton triste en baissant le regard.
- Gérard : ohhh ma pauvre chérie, viens.
Il me prend me serre contre lui et me console.
- Gérard : tu es quelqu’un d’exceptionnelle, tu es gentil, séduisante, classe. Personne ne t’arrive à la cheville ma chérie.
Il continu de me serrer contre lui d’une main et de l’autre il me caresse le dos. Je n’ai jamais reçu autant de tendresse de quelqu’un dans ma vie. Son parfum envahi mes narine, je sens son cœur battre a travers son buste musclé. Puis il me lâche me prend le visage de ses deux mains et me regarde à moins de 10 cm l’un de l’autre et dit :- Gérard : tout va s’arranger, je prendrais soin de toi si tu le veuxLà il m’embrasse sur la bouche, un léger baisé. Je reste tétanisée, je ne réagis pas. C’est la 1ere fois qu’un homme m’embrasse sur la bouche, c’est même la 1ere fois qu’on m’embrasse sur la bouche tout cours.
- Gérard : ça va ma chérie ?
Je le regarde avec un léger sourire. Il reprend les deux verres, me tend le mien et nous finissons nos verres assis sur le canapé, puis en buvons un autre puis un autre. Il devait être 01h du matin quand il pose sa main toute chaude sur ma cuisse et dit : - Gérard : il se fait tard ma chérie, je t’aurais bien proposé de rester dormir ici mais je ne veux pas brusquer les choses, je sais que tout est nouveau pour toi. Si..
Je ne le laisse pas finir sa phrase et lui rend son baisé sur la bouche. Je ne sais pas ce qui m’a pris à ce moment, est ce que c’est l’alcool ou autres chose, mais j’avais envie de l’embrasser. Il me rend mon baisé, nos bouches s’ouvrent, nos langues se rencontrent. Je ne sais pas combien de temps notre baisé a duré. Nos lèvres se séparent, je le regarde et lui dit- Moi : pardon, je ne sais pas ce qui m’a pris- Gérard : tu n’as pas à t’excuser ma chérie, j’ai aimé ton baiséEt là il m’embrasse de nouveau avec la même fougue qu’avant. Je lui rends son baisé, il me caresse la jambe d’une main et me tient la tête de l’autre. Après de longues minutes, il se lève et me prends par la main et se dirige vers la chambre à coucher.
Une fois là-bas il me montre un placard et me dit : - Gérard : tu trouveras là-dedans de quoi te changer pour la nuit.
Je reste planté là je le regarde et il dit :- Gérard : ne t’en fais pas, il ne se passera rien, à moins que tu le veuilles ou que tu sois prête ok. J’ai juste pas envie de sortir à cette heure de la nuit.
- Moi : ok.
La décision est vite prise. Je crois que l’alcool aussi y est pour quelque chose.
J’ouvre le placard et dans la penderie, je trouve quelque chemise de nuit en soie, d’autre en dentelle…j’en prend une en soie noire à mi-cuisse et me dirige vers la salle de bain. Je l’enfile en gardant mes bas auto-fixant. J’enlève les bijoux je me regarde dans le miroir. Wow sexy la meuf. Je remets du parfum et me dirige vers le lit ou Gérard est déjà allongé en me dandinant sur mes talons de 11 cm. Je m’assoie sur le bord du lit, je croise mes jambes, j’enlève la scandale du pied droite, je recroise les jambes et enlève le scandale du pied gauche. Je me glisse dans le lit, Gérard s’approche de moi et m’embrasse de nouveau. Je lui rends son baisé. Il se remet à me caresser. Je me mets aussi a le caresser sans réfléchir. Mon souffle s’accélère, mon bout de chair est dur comme jamais. On dirait qu’il va exploser tellement il est dur et tendu. Même quand je me branlais sur du porno, je n’avais pas d’érection aussi puissante. Il me serre contre lui et je sens aussi son sexe déjà bien dur et tendu. Il me retourne sur le dos et viens se positionner sur moi. Nos sexes se touchent, nos lèvres sont collées, nos langues dansent l’une autour de l’autre. Il continu de m’embrasser et d’une main dirige son sexe pour le positionner sous le mien et le pousse pour caresser ma raie. Je sens sa chair dure longue et chaude aller et venir sur ma raie. Après quelques minutes il me chuchote à l’oreille en m’embrassant sur le cou : - Gérard : j’ai envie de toi chérie- Moi : mmmmJe gémis en me tortillant pour mieux sentir son pénis caresser ma raie. Il met une noisette de lubrifiant sur son pénis et le positionne devant mon intimité. Et dit :- Gérard : relaxe-toi ma chérie, je vais y aller doucement - Moi : mmmmmmIl pousse légèrement sur son pénis jusqu’à ce que la partie supérieure ouvre le chemin, je sursaute et me crispe. Il s’arrête de bougé, m’embrasse le cou et dit : - Gérard : relaxe bébé ça va allerIl reste comme ça sans bougé. La douleur disparait, je me tortille un peu les fesses, lui a compris que la douleur a disparue et il se remet à pousser. Centimètre par centimètre jusqu’à ce que ce que son bas ventre vienne butter contre mes testicules. Je la sens longue, dur et chaude jusqu’au plus profond de mes entrailles. Il reste immobile un moment m’embrasse sur la bouche et entame une va et viens très lent. Je gémis de plaisir de plus en plus et mon érection est tellement forte que j’en ai des douleurs.
Il me lime de plus en plus rapide, je bouge mes fesses comme une vraie salope qui en redemande. Il m’a limé ainsi une bonne demi-heure avant d’exploser en moi. Je sens plusieurs giclées chaudes au fond de moi. Et au moment où il commence à se retirer j’explose aussi sans même me toucher.
A suivre….

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