Mon stage
Récit érotique écrit par Totos [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-11-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mon stage
J’ai toujours rêvée d’enseignée, j’étais de ces personnes qui allaient à l’école avec le sourire, bien que je n’étais pas dans les premières de classe ! Mais apprendre, j’adorais !
Et j’ai donc continuée dans ce sens, des études pour pouvoir à mon tour aussi apporter mon savoir, le problème était la branche où je voulais me lancer, j’aimais certains cours mais je devais en plus donner d’autres que je ne maitrisais pas !
Je finis par me diriger vers les arts, cela me plaisais vraiment !
Ces études me permirent de casser ma timidité, ou du moins, tenter de la combattre, ce qui ne fut pas facile ! Surtout lors de mon dernier stage où je me retrouvais face à des élèves quelques années plus jeunes que moi et qui pour certains, on se croisait en boite ou dans un café…
Je suis petite, je mesure 1m60 et pèse 51/52kg, de long cheveux châtains… Il parait que j’ai un joli petit fessier et je n’ai pas beaucoup de sein par contre.
Alors que j’arrivais le premier jour de stage, que j’allais avec cette classe de dernière année enseignée l’histoire de l’art, après m’être présentée, au fait je m’appelle Coralie, je pris la présence des élèves.
Et je reconnus un nom, lorsque je le citais, je reconnus l’élève… Un sentiment de honte m’apparut, et de malaise ! La journée fut très longue, d’ailleurs une fois rentrée chez moi, je sonnais à ma maitre de stage pour lui demander s’il était possible de me changer d’établissement, ce qui ne fut pas le cas car je ne pus à la fois pas donner de bonnes raisons et aussi car toutes les écoles n’enseignait pas l’art.
Evidemment, au soir, il vint me parler, il m’expliquait que ça lui faisait bizarre, surtout d’avoir des photos en sous-vêtements de sa prof ! Je lui demandais de les garder pour lui, il affirma que oui.
Le lendemain, je me sentais un peu plus à l’aise, et il agit avec moi comme les autres élèves, alors que la sonnerie de midi retentis, il vint près de moi me poser une question, où plutôt trouvait un moyen face aux autres pour sortir après eux, mais ce ne fut qu’un prétexte pour venir me parler.
- Je me posais une question. Me dit-il.
- Oui ? Dis-je en tentant de garder mon rôle de professeur.
- C’est illégal de sortir avec sa prof non ?
Je rougis et il ajouta alors :
- Je rigole, je te taquine ! J’en profite pour venir te parler hors contexte professeur-élève !
Et il partit, je le regardais partir, il me plaisait bien, sur le moment, dans ma tête je me demandais ce que j’avais fait au bon dieu pour qu’il me fasse ça !?
Au soir, il revint me parler et m’avouait qu’il ne m’avait pas dit ça vraiment pour rire, que je lui plaisais bien, qu’on avait échangé tellement de message depuis si longtemps qu’en me voyant son cœur avait flanché, je lui expliquais que ce n’était pas possible pour l’instant… Il ajoutait qu’il savait qu’il ne me déplaisait pas, que sinon lors de nos conversations plus « chaudes » je ne lui aurait jamais envoyée ce genre de photos… Je lui rappelais à quel point il avait insisté et les stratagèmes qu’il avait utilisé !
Il me renvoyait l’une de mes photos et me dit :
- Tu n’as pas peur que je la montre ?
- Bien sûr que si ! Mais stp ne fais pas ça !
- Tu m’en refais une ?
- Non…
- Ou alors j’ai une autre idée !
- Laquelle ?
- On pourrait se voir ce soir, non ?
- Ca ne serait pas raisonnable !
- Pas longtemps, une demi-heure !
- Pourquoi faire ?
- Parler !
- Ok, une demi-heure, pas plus !
- Promis ! Je démarre.
Dit-il en se déconnectant, un quart d’heure plus tard, il était devant chez moi et klaxonnais, je sortis et rentrait dans sa voiture, oui, il est majeur que croyez-vous ?
Très vite il prit la parole :
- Vraiment, j’aimerais me mettre avec toi ! Lorsque je t’ai vue, je l’ai su !
- Mais ce n’est pas possible pour le moment !
- Mais pourquoi ? On ne dira rien !
- C’est trop important pour moi !
- T’exagères, je suis certain que tu en as envie !
- …
- Tu en as envie ou pas ?
- Oui…
- Ben alors ?
- Non, pas maintenant !
Il semblait vexé, il dit alors :
- C’est l’heure, la demi-heure est passée, à demain « madame » dit-il insistant sur le madame.
Je rentrais à la fois vexée et triste de sa réaction, je partis prendre ma douche et lorsque je revins, j’avais un message :
« Si tu ne veux pas que les autres voient tes photos, je te propose de ne pas avoir de sous-vêtements demain ! On vérifiera ça sur le côté du bâtiment à 8h10. Bonne soirée. »
Je voyais très bien où il voulait dire et bien que je répondais, j’eus plus de réponse, même lorsque je le vis connecté. J’eu du mal à m’endormir, je pensais trop, je ne savais pas quoi faire !
Le lendemain matin, j’allumais mon PC et vérifiait si je n’avais pas reçu de réponse, mais non, je finis par me résigner, en colère de m’être faite piégée… Je lui demandais juste d’attendre ! Je ne mis donc pas de sous-vêtement, j’avais mon jeans et un tee-shirt, en espérant que … Mes bouts ne pointent pas !
Je partis donc à l’école et allait sur le côté du bâtiment, il vint près de moi et me demandait de lui montrer, je me sentis mal, il le vit et me dit :
- Je ne te demande pas de te déshabiller, mais tire un peu ton pantalon juste pour voir que tu as rien et tu fais pareil avec ton tee-shirt.
- Je me senti « soulagée » si je peux dire cela ainsi.
J’étirais donc mon pantalon, il ne vit rien, juste assez pour voir que je n’avais pas de dessous à cet endroit et découvrait un épaule, il me dit :
- Oui, mais c’est peut-être un soutien-gorge sans bretelles ! Je veux être sur moi !
- Mais…
- Je rigole ! Dit-il en m’interrompant, avant d’ajouter : tu pointes !
- …
Je voulais me cacher et il partit, me laissant ainsi.
Les cours commencèrent et son regard était insistant, je n’étais vraiment pas à l’aise durant tout ce temps, en sortant de classe il dit « Au revoir madame » avec un large sourire…
Une fois rentrée et qu’il me vit connectée, il vint me parler.
- Alors ça t’a fait quoi ?
- Je n’aime pas ! Tu ne peux pas faire ça !
- Et je le fais …
- Arrête ça stp !
- On pourrait se voir ?
- Maintenant ?
- Oui.
- Ok… Dis-je ne sentant pas avoir trop le choix.
- Mais tu restes comme tu étais en cours hein !
- Je suppose que tu ne me laisse pas le choix ?
- Non lol allais, je démarre !
Et très vite, j’entendis klaxonner devant chez moi, je sortis et rentrais dans sa voiture, la tête baissée, je ne parlais pas, lui conduisais et on s’arrêtait une rue plus loin de chez moi, là où il pouvait se garer tranquillement, sous un lampadaire lumineux.
- Tu as repensée à ma demande ? Me dit-il.
- Tu m’as fait faire ça, pour ça ?
- Oui… Puis, ça m’excitait !
- Mais on ne peut pas pour l’instant sortir ensemble !
- Je m’en fou moi ! Tu étais prête juste avant que tu sois ma prof ! On serait sorti ensemble, tu m’aurais quitté quand tu m’aurais vu en classe ?
- Non !
- Et ben c’est pareil !
- Non, ça ne l’es pas !
Il s’approchait de moi et me fit signe de me taire, il passait son index autour de mon sein, il le touchait sans le toucher, il vérifiait que je n’avais rien remis…
- J’ai tant envie de toi !
- Je ne suis de toute manière pas prête à ça, tu le sais !
- Oui, ça va, t’inquiètes pas, je connais ton histoire, mais ça n’empêche pas !
- …
Étant donné que pendant des semaines chaque jour, nous nous parlions des heures, il connaissait un peu mon histoire, ou plutôt cette histoire qui s’était passé quelques mois plus tôt, ce mec qui m’avait rendue folle amoureuse de lui, qui m’avait déflorée derrière ma voiture pour ensuite me repousser et ne me plus me donner signe de vie…
- Mais, je veux vraiment être avec toi !
- Attend alors …
- Non !
- Pourquoi tu insistes ?
- Parce que je n’en peux plus de te voir tous les jours !
- Tu en seras d’autant plus content après… Répondis-je.
- Alors, je te propose que tu m’offres un lot de compensation !
- Lequel ? Dis-je en rigolant un peu.
- Une branlette pardi ! Dit-il comme si c’était normal.
- Après ça, fini la pression ?
- Le temps de la branlette, oui.
Il sortit son sexe, beaucoup plus gros que celui de mon ex et je mis ma main timidement dessus, il mit sa main sur ma main et me fit serrer plus fort, je commençais les va et viens, il me regardait dans les yeux, me souriait puis retirait ma main.
- Alors, c’était dur ?
- Non… Gênant…
- Pourquoi gênant ? Je ne t’ai pas touché que je sache. Dit-il.
- Je n’ai pas l’habitude…
- Ah oui, c’est vrai, faudra la prendre ! Me dit-il large sourire !
Il me ramenait chez moi et me dit :
- Demain, pareil, mais avec une robe !
- Mais, tu avais dit …
- Je n’ai rien dit… Je te veux, tu ne veux pas, je te montre que je ne suis pas content.
Il relevait la fenêtre et démarrait me faisant un signe de la main, je rentrais chez moi, je me sentais humiliée…
Et j’ai donc continuée dans ce sens, des études pour pouvoir à mon tour aussi apporter mon savoir, le problème était la branche où je voulais me lancer, j’aimais certains cours mais je devais en plus donner d’autres que je ne maitrisais pas !
Je finis par me diriger vers les arts, cela me plaisais vraiment !
Ces études me permirent de casser ma timidité, ou du moins, tenter de la combattre, ce qui ne fut pas facile ! Surtout lors de mon dernier stage où je me retrouvais face à des élèves quelques années plus jeunes que moi et qui pour certains, on se croisait en boite ou dans un café…
Je suis petite, je mesure 1m60 et pèse 51/52kg, de long cheveux châtains… Il parait que j’ai un joli petit fessier et je n’ai pas beaucoup de sein par contre.
Alors que j’arrivais le premier jour de stage, que j’allais avec cette classe de dernière année enseignée l’histoire de l’art, après m’être présentée, au fait je m’appelle Coralie, je pris la présence des élèves.
Et je reconnus un nom, lorsque je le citais, je reconnus l’élève… Un sentiment de honte m’apparut, et de malaise ! La journée fut très longue, d’ailleurs une fois rentrée chez moi, je sonnais à ma maitre de stage pour lui demander s’il était possible de me changer d’établissement, ce qui ne fut pas le cas car je ne pus à la fois pas donner de bonnes raisons et aussi car toutes les écoles n’enseignait pas l’art.
Evidemment, au soir, il vint me parler, il m’expliquait que ça lui faisait bizarre, surtout d’avoir des photos en sous-vêtements de sa prof ! Je lui demandais de les garder pour lui, il affirma que oui.
Le lendemain, je me sentais un peu plus à l’aise, et il agit avec moi comme les autres élèves, alors que la sonnerie de midi retentis, il vint près de moi me poser une question, où plutôt trouvait un moyen face aux autres pour sortir après eux, mais ce ne fut qu’un prétexte pour venir me parler.
- Je me posais une question. Me dit-il.
- Oui ? Dis-je en tentant de garder mon rôle de professeur.
- C’est illégal de sortir avec sa prof non ?
Je rougis et il ajouta alors :
- Je rigole, je te taquine ! J’en profite pour venir te parler hors contexte professeur-élève !
Et il partit, je le regardais partir, il me plaisait bien, sur le moment, dans ma tête je me demandais ce que j’avais fait au bon dieu pour qu’il me fasse ça !?
Au soir, il revint me parler et m’avouait qu’il ne m’avait pas dit ça vraiment pour rire, que je lui plaisais bien, qu’on avait échangé tellement de message depuis si longtemps qu’en me voyant son cœur avait flanché, je lui expliquais que ce n’était pas possible pour l’instant… Il ajoutait qu’il savait qu’il ne me déplaisait pas, que sinon lors de nos conversations plus « chaudes » je ne lui aurait jamais envoyée ce genre de photos… Je lui rappelais à quel point il avait insisté et les stratagèmes qu’il avait utilisé !
Il me renvoyait l’une de mes photos et me dit :
- Tu n’as pas peur que je la montre ?
- Bien sûr que si ! Mais stp ne fais pas ça !
- Tu m’en refais une ?
- Non…
- Ou alors j’ai une autre idée !
- Laquelle ?
- On pourrait se voir ce soir, non ?
- Ca ne serait pas raisonnable !
- Pas longtemps, une demi-heure !
- Pourquoi faire ?
- Parler !
- Ok, une demi-heure, pas plus !
- Promis ! Je démarre.
Dit-il en se déconnectant, un quart d’heure plus tard, il était devant chez moi et klaxonnais, je sortis et rentrait dans sa voiture, oui, il est majeur que croyez-vous ?
Très vite il prit la parole :
- Vraiment, j’aimerais me mettre avec toi ! Lorsque je t’ai vue, je l’ai su !
- Mais ce n’est pas possible pour le moment !
- Mais pourquoi ? On ne dira rien !
- C’est trop important pour moi !
- T’exagères, je suis certain que tu en as envie !
- …
- Tu en as envie ou pas ?
- Oui…
- Ben alors ?
- Non, pas maintenant !
Il semblait vexé, il dit alors :
- C’est l’heure, la demi-heure est passée, à demain « madame » dit-il insistant sur le madame.
Je rentrais à la fois vexée et triste de sa réaction, je partis prendre ma douche et lorsque je revins, j’avais un message :
« Si tu ne veux pas que les autres voient tes photos, je te propose de ne pas avoir de sous-vêtements demain ! On vérifiera ça sur le côté du bâtiment à 8h10. Bonne soirée. »
Je voyais très bien où il voulait dire et bien que je répondais, j’eus plus de réponse, même lorsque je le vis connecté. J’eu du mal à m’endormir, je pensais trop, je ne savais pas quoi faire !
Le lendemain matin, j’allumais mon PC et vérifiait si je n’avais pas reçu de réponse, mais non, je finis par me résigner, en colère de m’être faite piégée… Je lui demandais juste d’attendre ! Je ne mis donc pas de sous-vêtement, j’avais mon jeans et un tee-shirt, en espérant que … Mes bouts ne pointent pas !
Je partis donc à l’école et allait sur le côté du bâtiment, il vint près de moi et me demandait de lui montrer, je me sentis mal, il le vit et me dit :
- Je ne te demande pas de te déshabiller, mais tire un peu ton pantalon juste pour voir que tu as rien et tu fais pareil avec ton tee-shirt.
- Je me senti « soulagée » si je peux dire cela ainsi.
J’étirais donc mon pantalon, il ne vit rien, juste assez pour voir que je n’avais pas de dessous à cet endroit et découvrait un épaule, il me dit :
- Oui, mais c’est peut-être un soutien-gorge sans bretelles ! Je veux être sur moi !
- Mais…
- Je rigole ! Dit-il en m’interrompant, avant d’ajouter : tu pointes !
- …
Je voulais me cacher et il partit, me laissant ainsi.
Les cours commencèrent et son regard était insistant, je n’étais vraiment pas à l’aise durant tout ce temps, en sortant de classe il dit « Au revoir madame » avec un large sourire…
Une fois rentrée et qu’il me vit connectée, il vint me parler.
- Alors ça t’a fait quoi ?
- Je n’aime pas ! Tu ne peux pas faire ça !
- Et je le fais …
- Arrête ça stp !
- On pourrait se voir ?
- Maintenant ?
- Oui.
- Ok… Dis-je ne sentant pas avoir trop le choix.
- Mais tu restes comme tu étais en cours hein !
- Je suppose que tu ne me laisse pas le choix ?
- Non lol allais, je démarre !
Et très vite, j’entendis klaxonner devant chez moi, je sortis et rentrais dans sa voiture, la tête baissée, je ne parlais pas, lui conduisais et on s’arrêtait une rue plus loin de chez moi, là où il pouvait se garer tranquillement, sous un lampadaire lumineux.
- Tu as repensée à ma demande ? Me dit-il.
- Tu m’as fait faire ça, pour ça ?
- Oui… Puis, ça m’excitait !
- Mais on ne peut pas pour l’instant sortir ensemble !
- Je m’en fou moi ! Tu étais prête juste avant que tu sois ma prof ! On serait sorti ensemble, tu m’aurais quitté quand tu m’aurais vu en classe ?
- Non !
- Et ben c’est pareil !
- Non, ça ne l’es pas !
Il s’approchait de moi et me fit signe de me taire, il passait son index autour de mon sein, il le touchait sans le toucher, il vérifiait que je n’avais rien remis…
- J’ai tant envie de toi !
- Je ne suis de toute manière pas prête à ça, tu le sais !
- Oui, ça va, t’inquiètes pas, je connais ton histoire, mais ça n’empêche pas !
- …
Étant donné que pendant des semaines chaque jour, nous nous parlions des heures, il connaissait un peu mon histoire, ou plutôt cette histoire qui s’était passé quelques mois plus tôt, ce mec qui m’avait rendue folle amoureuse de lui, qui m’avait déflorée derrière ma voiture pour ensuite me repousser et ne me plus me donner signe de vie…
- Mais, je veux vraiment être avec toi !
- Attend alors …
- Non !
- Pourquoi tu insistes ?
- Parce que je n’en peux plus de te voir tous les jours !
- Tu en seras d’autant plus content après… Répondis-je.
- Alors, je te propose que tu m’offres un lot de compensation !
- Lequel ? Dis-je en rigolant un peu.
- Une branlette pardi ! Dit-il comme si c’était normal.
- Après ça, fini la pression ?
- Le temps de la branlette, oui.
Il sortit son sexe, beaucoup plus gros que celui de mon ex et je mis ma main timidement dessus, il mit sa main sur ma main et me fit serrer plus fort, je commençais les va et viens, il me regardait dans les yeux, me souriait puis retirait ma main.
- Alors, c’était dur ?
- Non… Gênant…
- Pourquoi gênant ? Je ne t’ai pas touché que je sache. Dit-il.
- Je n’ai pas l’habitude…
- Ah oui, c’est vrai, faudra la prendre ! Me dit-il large sourire !
Il me ramenait chez moi et me dit :
- Demain, pareil, mais avec une robe !
- Mais, tu avais dit …
- Je n’ai rien dit… Je te veux, tu ne veux pas, je te montre que je ne suis pas content.
Il relevait la fenêtre et démarrait me faisant un signe de la main, je rentrais chez moi, je me sentais humiliée…
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