Mon sulfureux secret
Récit érotique écrit par MyPiratQueen [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mon sulfureux secret
Dans ce récit autobiographique, je vous livre mon sulfureux secret, et mon exception. Vous y découvrirez un pétage de verrou: comment la CPE a finalement accepté de coucher avec un homme de la moitié de son âge !
Deux ans après, le jeune Loup est toujours dans mon lit, comme un alpha ayant pris toute sa mâle envergure... Mais ça vous le saurez en lisant les prochains épisodes, et commençons d'abord par le commencement...
Entrez, c'est ouvert !
Au réveil, j'ouvre mes mails sur mon site de rencontres libertines, désireuse de voir si l'on a pensé à m'écrire des mots doux durant mon sommeil.
Et là, surprise, entre un gros lourd onomatopesque, un graveleux fonetik. Oooh! Mais quel joli texte ! Tricheur ! Tu ne l'as pas écrit pour moi, je l'ai vu passer dans les fantasmes (hé hé !)
Merdicum, tu n'as même pas 30 ans et un prénom qui sort de l'ordinaire. Je m'arrache les yeux en essayant de te reconnaître sur la photo. Zut, je n'y arrive pas, tant pis, je clique. Et vas-y que je mate, et je scrute. Je ne reconnais pas ton visage, que tu affiches sans la moindre pudeur jeune Loup à belle plume.
Et ça ne loupe pas : malgré mon silence radio tu vois bien que je suis venue mater ton profil. Et une nouvelle missive pour mon joli réveil, tu as mis les bouchées doubles et cette fois c'est bien à moi que tu parles. Je tente l'esquive de base:
"je n'entretiendrai aucune relation libertine avec un homme qui pourrait être mon fils".
Bouchée triple, c'est vrai que tu écris bien, petit con. Alors j'avoue : avec ton prénom qui ne cours pas les rues, je suppute que tu sois un ancien élève du temps où je bossais au bahut, dont tous les noms de l'ordinateur sont gravés dans ma mémoire. Tu acceptes l'interrogatoire et non, ton nom de famille ne me parle pas (coup de bol, car finalement, tu m'inspires avec tes bons mots).
Je propose que tu m'ouvres tes photos et si je ne te reconnais pas, je t'ouvrirai aussi, et si tu me reconnais, tu me le dis et tu retournes dans le grand Vortex.
Parfait, on ne se connait pas! Mais je tourne autour du pot et me tâte encore, le verrou est tenace.
Arrive l'été, et un festival au village voisin. Tu me demandes :
"tu y seras ?"
Évidemment!
Je note ton numéro... Juste pour boire un coup dis-je, il y aura mon ex, mon fils et tous nos amis... Interdiction formelle de m'approcher sauf si j'envoie un SMS pour se rencarder.
Réflexion en inspirant à pleins poumons les gazs de voiture mêlés à la poussière qui vole sur le parking du festival: "même ça ça m'avait manqué !" (Nous sommes au lendemain du confinement.) Oh, oui! Je suis d'humeur guillerette!
Premier concert main dans la main avec mon fils que j'ai la joie de retrouver alors qu'il est chez son père. Puis Picon mon Amour commence à peine que le loustic demande à aller dormir (ha, tu vois ça avec ton père !)
Ambiance du feu de dieu, ça fait 2 ans que personne n'avait eu droit à un concert. Vilaine je me réjouis que mon ex va le passer dans le camion avec le petit: la voie est libre ! Je me dis que si je te croise je te chope par le bras pour aller guincher. Mais non. Picon, c'est fini et ma copine rentre coucher sa Minus et l'autre est en pleine conversation.
SMS : tu me paies un coup au bar?
Et voilà, on se rencontre, et la bière que tu m'offres ne sera pas ma première ce soir.
Maintenant je te suis à ta voiture. Misère, tu croises des amis et Miss Scherlock me reconnaît. Ça m'énerve un tantinet. Mais tu ris: oui, Scherlock est une maline et ta réputation n'est plus à faire parmi tes amis, ils savent bien que tu te tapes leurs mères (génial, et tu trouves ça rassurant? Alors Miss Scherlock va pouvoir raconter à toute votre génération que le jeune Loup se tape la CPE!)
Mais rien à faire, le diable et les vapeurs de l'alcool mènent la danse ce soir et nous arrivons à ton alcôvemobile Je crois que tu fouilles sous ma jupe en m'embrassant, adossée contre le coffre.
Ça ne me plaît pas, il y a tellement de voitures qui passent. Et je critique l'inconfort pour faire l'amour dans une voiture. Alors tu m'offres de m'allonger sur la banquette arrière et toi, à genoux dehors, tu cherches la fontaine.
Diable, tu sais y faire... Les vagues me submergent, les flots rincent ta banquette et ma jupette (je ne parle même pas de l'état de cette petite culotte que j'ai essorée comme une serpillière avant de la mettre dans mon sac où elle diffuse une odeur insoutenable... Tu me fais jouir à répétition, et puis nous reprenons le chemin du festival : non, on ne peut pas aller chez moi, j'ai ma copine ardéchoise à récupérer cul nu sous ma robe de cyprine, c'est malin ! Petit crochet par le cimetière où nous cherchons en riant dans le noir le robinet pour faire un brin de toilette avant de retourner dans la foule !
Revint septembre, l'été indien et la rentrée. Souvent tu m'attends sur les berges de la rivière, nu, caressant distraitement ta belle trique. Alors pour ces petits rendez-vous, le temps file à toute allure. J'arrive et me rafraichit un peu à l'onde claire. Je t'envoie une petite giclée... Mais ce n'est pas à la rivière que tu veux te baigner. Tu plonges en moi, je me coule dans tes bras, jusqu'à ce que le réveil sonne. Alors, où qu'en soient nos ébats je me lève d'un bond et pars en courant rejoindre ma vie.
Ce furent nos premières fois, et depuis j'ai pris goût à ta fraîcheur de jeune Loup. Et que ne ferais je pas avec toi qui me fait sentir à la fois insouciante jouvencelle ou belle et forte comme la dame de Haute Savoie? Oui, touchée coulée, la dame, en disant que mon antre est ton refuge pour t'évader des affres mondains, qu'entre mes cuisses tu trouves un havre, et depuis tu sais que la porte est ouverte, et où j'ai caché la clé des champs...
Deux ans après, le jeune Loup est toujours dans mon lit, comme un alpha ayant pris toute sa mâle envergure... Mais ça vous le saurez en lisant les prochains épisodes, et commençons d'abord par le commencement...
Entrez, c'est ouvert !
Au réveil, j'ouvre mes mails sur mon site de rencontres libertines, désireuse de voir si l'on a pensé à m'écrire des mots doux durant mon sommeil.
Et là, surprise, entre un gros lourd onomatopesque, un graveleux fonetik. Oooh! Mais quel joli texte ! Tricheur ! Tu ne l'as pas écrit pour moi, je l'ai vu passer dans les fantasmes (hé hé !)
Merdicum, tu n'as même pas 30 ans et un prénom qui sort de l'ordinaire. Je m'arrache les yeux en essayant de te reconnaître sur la photo. Zut, je n'y arrive pas, tant pis, je clique. Et vas-y que je mate, et je scrute. Je ne reconnais pas ton visage, que tu affiches sans la moindre pudeur jeune Loup à belle plume.
Et ça ne loupe pas : malgré mon silence radio tu vois bien que je suis venue mater ton profil. Et une nouvelle missive pour mon joli réveil, tu as mis les bouchées doubles et cette fois c'est bien à moi que tu parles. Je tente l'esquive de base:
"je n'entretiendrai aucune relation libertine avec un homme qui pourrait être mon fils".
Bouchée triple, c'est vrai que tu écris bien, petit con. Alors j'avoue : avec ton prénom qui ne cours pas les rues, je suppute que tu sois un ancien élève du temps où je bossais au bahut, dont tous les noms de l'ordinateur sont gravés dans ma mémoire. Tu acceptes l'interrogatoire et non, ton nom de famille ne me parle pas (coup de bol, car finalement, tu m'inspires avec tes bons mots).
Je propose que tu m'ouvres tes photos et si je ne te reconnais pas, je t'ouvrirai aussi, et si tu me reconnais, tu me le dis et tu retournes dans le grand Vortex.
Parfait, on ne se connait pas! Mais je tourne autour du pot et me tâte encore, le verrou est tenace.
Arrive l'été, et un festival au village voisin. Tu me demandes :
"tu y seras ?"
Évidemment!
Je note ton numéro... Juste pour boire un coup dis-je, il y aura mon ex, mon fils et tous nos amis... Interdiction formelle de m'approcher sauf si j'envoie un SMS pour se rencarder.
Réflexion en inspirant à pleins poumons les gazs de voiture mêlés à la poussière qui vole sur le parking du festival: "même ça ça m'avait manqué !" (Nous sommes au lendemain du confinement.) Oh, oui! Je suis d'humeur guillerette!
Premier concert main dans la main avec mon fils que j'ai la joie de retrouver alors qu'il est chez son père. Puis Picon mon Amour commence à peine que le loustic demande à aller dormir (ha, tu vois ça avec ton père !)
Ambiance du feu de dieu, ça fait 2 ans que personne n'avait eu droit à un concert. Vilaine je me réjouis que mon ex va le passer dans le camion avec le petit: la voie est libre ! Je me dis que si je te croise je te chope par le bras pour aller guincher. Mais non. Picon, c'est fini et ma copine rentre coucher sa Minus et l'autre est en pleine conversation.
SMS : tu me paies un coup au bar?
Et voilà, on se rencontre, et la bière que tu m'offres ne sera pas ma première ce soir.
Maintenant je te suis à ta voiture. Misère, tu croises des amis et Miss Scherlock me reconnaît. Ça m'énerve un tantinet. Mais tu ris: oui, Scherlock est une maline et ta réputation n'est plus à faire parmi tes amis, ils savent bien que tu te tapes leurs mères (génial, et tu trouves ça rassurant? Alors Miss Scherlock va pouvoir raconter à toute votre génération que le jeune Loup se tape la CPE!)
Mais rien à faire, le diable et les vapeurs de l'alcool mènent la danse ce soir et nous arrivons à ton alcôvemobile Je crois que tu fouilles sous ma jupe en m'embrassant, adossée contre le coffre.
Ça ne me plaît pas, il y a tellement de voitures qui passent. Et je critique l'inconfort pour faire l'amour dans une voiture. Alors tu m'offres de m'allonger sur la banquette arrière et toi, à genoux dehors, tu cherches la fontaine.
Diable, tu sais y faire... Les vagues me submergent, les flots rincent ta banquette et ma jupette (je ne parle même pas de l'état de cette petite culotte que j'ai essorée comme une serpillière avant de la mettre dans mon sac où elle diffuse une odeur insoutenable... Tu me fais jouir à répétition, et puis nous reprenons le chemin du festival : non, on ne peut pas aller chez moi, j'ai ma copine ardéchoise à récupérer cul nu sous ma robe de cyprine, c'est malin ! Petit crochet par le cimetière où nous cherchons en riant dans le noir le robinet pour faire un brin de toilette avant de retourner dans la foule !
Revint septembre, l'été indien et la rentrée. Souvent tu m'attends sur les berges de la rivière, nu, caressant distraitement ta belle trique. Alors pour ces petits rendez-vous, le temps file à toute allure. J'arrive et me rafraichit un peu à l'onde claire. Je t'envoie une petite giclée... Mais ce n'est pas à la rivière que tu veux te baigner. Tu plonges en moi, je me coule dans tes bras, jusqu'à ce que le réveil sonne. Alors, où qu'en soient nos ébats je me lève d'un bond et pars en courant rejoindre ma vie.
Ce furent nos premières fois, et depuis j'ai pris goût à ta fraîcheur de jeune Loup. Et que ne ferais je pas avec toi qui me fait sentir à la fois insouciante jouvencelle ou belle et forte comme la dame de Haute Savoie? Oui, touchée coulée, la dame, en disant que mon antre est ton refuge pour t'évader des affres mondains, qu'entre mes cuisses tu trouves un havre, et depuis tu sais que la porte est ouverte, et où j'ai caché la clé des champs...
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'aime décidément beaucoup ton écriture... Et plus encore tes desirs...
Lestat
Lestat
Ruisselante descente ascensionnelle est en réalité la suite, mais publié en poème avant cette histoire... Et les autres ne sauraient tarder, merci Olga T
Une belle entrée en matière. Vivement la suite!