Mon tonton baiseur 2
Récit érotique écrit par Chaudeminette [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-07-2008 dans la catégorie Plus on est
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Mon tonton baiseur 2
<p>Bonjour, je m'appelle Fleur et je vous ai raconté comment je me suis fait dépuceler par mon oncle Maxime. Maintenant je vais vous raconter comment Maxime et ma tante (sa femme Mathilde) m'ont soumis sexuellement.
Un jour pendant les grandes vacances, ma tante appelle ma mère pour lui demander si elle veut bien que je vienne passer une semaine de vacances avec eux dans leur maison au bord de la mer. Ma mère lui dit qu'elle me posera la question et qu'elle la rappellerait plus tard. Elle me demande, je lui dis oui. Donc ma mère rappelle ma tante et c'est décidé je pars demain. Mon oncle Maxime vient me chercher. Le lendemain arrive, je dis au revoir à mes parents et on prend la route. Maxime me parle très peu. On arrive à destination et arrivé dans l'entrée de la maison, Maxime me dit :
Tu te déshabilles et tu mets un bandeau sur les yeux et je te guiderais.
Je me mets toute nue ?
Oui toute nue. Et arrête de poser des questions.
Je me déshabille et maxime me met le bandeau. Il me prend le bras et me guide dans la maison.
Il fait chaud et la situation commence à m'exciter. D'un seul coup, on s'arrête, il me lâche et j’entends une porte soit qu'on ouvre ou qu'on referme, je ne sais pas trop. Pendant une minute ou deux, plus un bruit. Puis d'un seul coup, je sens une main qui me caresse les épaules, elle descend vers mes seins me les malaxe, pince mes tétons. Je sens une bouche qui me lèche le cou et qui elle aussi descend vers mes nibards. Les dents mordillent mes pointes, me les suçottent. C'est bon. J'ai chaud et je ne sais même pas qui me donne ce plaisir. La main de la personne écarte mes cuisses et fouille ma chatte toute trempée. Les doigts me pincent le clito et rentrent dans mon vagin. La bouche suit le même chemin que la main. Je sens une langue titiller mon petit bouton rose. Elle le taquine, apparemment c’est une langue qui sait y faire. Elle lèche la fente de mon vagin et aspire mon jus qui coule. Je suis toujours debout et je ne tiens plus sur mes jambes. C'est trop bon.
OUIIII, C'est bonnn. Je vais devenir folle. J'aime, encoreeee.
J'avais les jambes bien écartées et les mains m'écartèrent les fesses et la bouche vient me lécher mon anus. C'était délicieux.
D'un seul coup on m'emmena vers un lit et on m'allongea les jambes repliées vers le haut. Je sentis une bite se promener sur ma chatte, et ensuite s'enfonçait dans mon vagin. La pénétration était douce, lente. Elle devait mesurait plus de 20 cm. Et elle était grosse même si je ne la voyait pas je sentait que mon vagin était écartelé. Les vas et viens se faisaient en douceur, au début j'ai eu peur d'avoir mal avec un si gros engin mais à présent je couinais comme une folle. J'avais chaud dans mes entrailles et je ne voulais qu'une seule chose... :
OUIIII, plus vite, plus fort. J'aime ta grosse bite, c'est bon. Défonce moi. J'en veux plus.
J'étais une folle, à croire que mon corps était possédé. La personne ne se fit pas prier. La cadence accéléra et je fus secouée comme un prunier. On m'avait agrippé les hanches et la bite était bien encrée au fond de ma chatte. Quand l'orgasme arriva, je ne parlais plus mais crier :
OOHH, AAHH, OUIIII, AAAAHHH.
La personne s'en alla et je restais allongé sur le dos. Je m'assoupis.
Quelque temps après, je sentis une bouche me lécher le vagin. Je n'avais pas besoin de ça, j'étais encore toute humide et rien qu'en effleurant mon clito, je ressentais des décharges dans tout mon ventre. Cela ne dura pas longtemps. Une personne s'allongea et me prit le corps pour que je lui monte dessus. On m'écarta les lèvres du vagin et une queue d'une bonne taille, mais pas la même que tout à l'heure, s'y introduit. Les coups de boutoirs furent des le départ violent. Je sentis qu'on m'écarté les fesses et qu'un autre pénis cherchait à se faire une place dans mon anus :
Non, pas ça. Sil vous plait. J'ai peur. Ca va me faire mal.
Chuuttt, tais toi et laisse toi faire. Dit Maxime.
Le gland de l'autre pénis avait réussi à s'introduire dans mon cul. Il s'enfonça progressivement mais ce n'était pas facile car mon oncle donnait de grand coup de boutoirs. Quand d'un seul coup, mon enculeur donna un coup de rein et s'enfonça jusqu'à la garde. Et ils se déchaînèrent comme des sauvages dans mes orifices. Je me sentais pénétré de partout. Je n'avais pas mal, mais je me sentais malmenée. Les bites de mes partenaires me défonçaient littéralement. J'avais l'impression qu'une guerre s'était engagée entre eux deux et que mes trous étaient leur terrain de bataille. Je criais ma jouissance et mon désespoir de ne pas pouvoirs les contrôler. Mon sexe et mon cul étaient en ébullition et à chaque coup de boutoirs un bruit de succion se faisait entendre. Je ne savais pas lequel de mes deux trous mouillait le plus. Mais je sentais mon orgasme approcher de plus en plus vite. A chaque va et vient et à chaque fois que je me sentais écartelé, j'avais l'impression de ne plus m'appartenir. Je sentis la bite dans mon vagin faire des soubresauts et j'entendis ma tante qui elle s'occupait de mon cul avec un gode ventouse jouir en criant. Malgré mon étonnement (pour ma tante) Les vagues du plaisir arrivèrent et je jouis comme jamais. On s'allongea tous les trois et je repartis dans les bras de Morphée. Je vous raconterais la prochaine fois le reste de ma semaine. Bisous et à bientôt.
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Un jour pendant les grandes vacances, ma tante appelle ma mère pour lui demander si elle veut bien que je vienne passer une semaine de vacances avec eux dans leur maison au bord de la mer. Ma mère lui dit qu'elle me posera la question et qu'elle la rappellerait plus tard. Elle me demande, je lui dis oui. Donc ma mère rappelle ma tante et c'est décidé je pars demain. Mon oncle Maxime vient me chercher. Le lendemain arrive, je dis au revoir à mes parents et on prend la route. Maxime me parle très peu. On arrive à destination et arrivé dans l'entrée de la maison, Maxime me dit :
Tu te déshabilles et tu mets un bandeau sur les yeux et je te guiderais.
Je me mets toute nue ?
Oui toute nue. Et arrête de poser des questions.
Je me déshabille et maxime me met le bandeau. Il me prend le bras et me guide dans la maison.
Il fait chaud et la situation commence à m'exciter. D'un seul coup, on s'arrête, il me lâche et j’entends une porte soit qu'on ouvre ou qu'on referme, je ne sais pas trop. Pendant une minute ou deux, plus un bruit. Puis d'un seul coup, je sens une main qui me caresse les épaules, elle descend vers mes seins me les malaxe, pince mes tétons. Je sens une bouche qui me lèche le cou et qui elle aussi descend vers mes nibards. Les dents mordillent mes pointes, me les suçottent. C'est bon. J'ai chaud et je ne sais même pas qui me donne ce plaisir. La main de la personne écarte mes cuisses et fouille ma chatte toute trempée. Les doigts me pincent le clito et rentrent dans mon vagin. La bouche suit le même chemin que la main. Je sens une langue titiller mon petit bouton rose. Elle le taquine, apparemment c’est une langue qui sait y faire. Elle lèche la fente de mon vagin et aspire mon jus qui coule. Je suis toujours debout et je ne tiens plus sur mes jambes. C'est trop bon.
OUIIII, C'est bonnn. Je vais devenir folle. J'aime, encoreeee.
J'avais les jambes bien écartées et les mains m'écartèrent les fesses et la bouche vient me lécher mon anus. C'était délicieux.
D'un seul coup on m'emmena vers un lit et on m'allongea les jambes repliées vers le haut. Je sentis une bite se promener sur ma chatte, et ensuite s'enfonçait dans mon vagin. La pénétration était douce, lente. Elle devait mesurait plus de 20 cm. Et elle était grosse même si je ne la voyait pas je sentait que mon vagin était écartelé. Les vas et viens se faisaient en douceur, au début j'ai eu peur d'avoir mal avec un si gros engin mais à présent je couinais comme une folle. J'avais chaud dans mes entrailles et je ne voulais qu'une seule chose... :
OUIIII, plus vite, plus fort. J'aime ta grosse bite, c'est bon. Défonce moi. J'en veux plus.
J'étais une folle, à croire que mon corps était possédé. La personne ne se fit pas prier. La cadence accéléra et je fus secouée comme un prunier. On m'avait agrippé les hanches et la bite était bien encrée au fond de ma chatte. Quand l'orgasme arriva, je ne parlais plus mais crier :
OOHH, AAHH, OUIIII, AAAAHHH.
La personne s'en alla et je restais allongé sur le dos. Je m'assoupis.
Quelque temps après, je sentis une bouche me lécher le vagin. Je n'avais pas besoin de ça, j'étais encore toute humide et rien qu'en effleurant mon clito, je ressentais des décharges dans tout mon ventre. Cela ne dura pas longtemps. Une personne s'allongea et me prit le corps pour que je lui monte dessus. On m'écarta les lèvres du vagin et une queue d'une bonne taille, mais pas la même que tout à l'heure, s'y introduit. Les coups de boutoirs furent des le départ violent. Je sentis qu'on m'écarté les fesses et qu'un autre pénis cherchait à se faire une place dans mon anus :
Non, pas ça. Sil vous plait. J'ai peur. Ca va me faire mal.
Chuuttt, tais toi et laisse toi faire. Dit Maxime.
Le gland de l'autre pénis avait réussi à s'introduire dans mon cul. Il s'enfonça progressivement mais ce n'était pas facile car mon oncle donnait de grand coup de boutoirs. Quand d'un seul coup, mon enculeur donna un coup de rein et s'enfonça jusqu'à la garde. Et ils se déchaînèrent comme des sauvages dans mes orifices. Je me sentais pénétré de partout. Je n'avais pas mal, mais je me sentais malmenée. Les bites de mes partenaires me défonçaient littéralement. J'avais l'impression qu'une guerre s'était engagée entre eux deux et que mes trous étaient leur terrain de bataille. Je criais ma jouissance et mon désespoir de ne pas pouvoirs les contrôler. Mon sexe et mon cul étaient en ébullition et à chaque coup de boutoirs un bruit de succion se faisait entendre. Je ne savais pas lequel de mes deux trous mouillait le plus. Mais je sentais mon orgasme approcher de plus en plus vite. A chaque va et vient et à chaque fois que je me sentais écartelé, j'avais l'impression de ne plus m'appartenir. Je sentis la bite dans mon vagin faire des soubresauts et j'entendis ma tante qui elle s'occupait de mon cul avec un gode ventouse jouir en criant. Malgré mon étonnement (pour ma tante) Les vagues du plaisir arrivèrent et je jouis comme jamais. On s'allongea tous les trois et je repartis dans les bras de Morphée. Je vous raconterais la prochaine fois le reste de ma semaine. Bisous et à bientôt.
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