Mon tour du monde 3
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-09-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mon tour du monde 3
J'étais invité depuis plusieurs années par un copain Tunisien. Un jour de printemps, je venais répondre à sa demande. Il était de la banlieue de Tunis près d'une plage. Il vivait dans une grande villa, certainement construite à l’époque par un français. Sa famille aisée comprenait outre son père et sa soeur célibataire par choix. Le soir je fus reçu comme un roi, repas tunisien bien préparé, relevés comme j'aime.
Le lendemain il voulu me faire visiter la ville arabe (on ne dit pas médina) j'acceptais parce que j'aime marchander avec les Djerbiens (issus de l'île de Djerba, ses habitants sont réputés comme de bon commerçants). Midi approchait et nous sommes rentrés à la maison. La famille se préparait pour aller à un enterrement en France : un oncle y était décédé. Seul les enfant devaient rester à la maison (El dar en arabe) L'oncle ils ne connaissaient pas. Et j'ai eu l'impression qu'ils ne demandaient pas mieux. Le lendemain donc nous nous sommes retrouvés seuls.
Mon copain avait en tête de visiter un copain de classe qu'il n'avait pas vu depuis un an me dit-il. Le soir même, il pris le train en me laissant seul avec sa soeur. Tout d'abord nous en étions gênés, nous ne nous connaissions que peu : un repas et un petit déjeuner pris ensemble ne faisaient pas de nous des amis.
La fille ne nommait Zora. Ce nom n'était pas désagréable : pas plus que la fille d'ailleurs ! Relativement grande, brune aux yeux gris verts et semble-t-il bien fichue. Mais je me disais : pas touche, c'est une musulmane qui va t'envoyer à la pèche en cas de problème. Nous avons pris notre repas du soir en bavardant un peu. Elle était moins sotte que je ne le pensais. Bonnes études, en partie menées en France, à la faculté de Montpellier. Je connaissais un peu cette ville et lui demandais où elle logeait.
Bref nous avions un point en commun. L'heure de se coucher arrivait, elle me conduisit à ma chambre et partit se coucher elle aussi. Le soir je ne m’endors jamais sans lire. Je fus surpris d'entendre frapper à ma porte. C'était elle qui me demandait si tout allait bien puisqu'elle avait vue de la lumière sous ma porte. Elle rentrait et me dit : je ne suis plus vierge depuis longtemps.
Je ne m'attendais pas à cette visite et à cet aveu qui semblait dire : baisons tous les deux maintenant. Elle était vêtue d'une chemise d'homme qui laissaient voir ses jambes et le début de ses cuisses.. Je supposais qu’à part cette chemise elle ne devait pas porter autre chose.
Elle s'assit sur mon lit, me prit le livre, le posait par terre et ouvrit les draps. Pour se rendre compte de l'effet qu'elle me faisait : je commençais à bander. Rassurée elle se couchait près de moi, en se serrant et en lorgnant ma bite. La prenant dans mes bras je l'embrassais, elle répondait et pris d'elle même ma pine dans sa main et se mit à me branler avec beaucoup de maestria. Je ne tardais pas à jouir ! A ce moment elle mis son sexe sur ma bouche en me disant suce moi, j'aime.
Je lui demandais d’enlever cette chemise qui la couvrait encore. Une fois nue je me mis à embrasser son con et insinuais ma langue dans sa fente ouverte. Elle bougeait dans tous les sens surtout lorsque je lui pris son clitoris entre les lèvres, l'aspirant pour mieux lui faire plaisir en léchant lentement. Elle adorait cette caresse et jouit.
Nous nous sommes couché et je continuais à lui branler le sexe et lui mettant un doigt au cul. Elle réagit et me dit qu'elle était vierge de ce coté. J'hésitais donc à lui proposer de l'enculer. Elle me demandait de la faire : mets moi la au cul, j'en ai envie. Avec sa mouille que je mis sur ma bite en la baisant un instant, je pouvais la prendre par le petit trou sans lui faire trop mal. Elle se mis en levrette et ouvrit ses fesse avec ses main en me disant : vas-y je suis prête. Je rentrais doucement pour ne lui faire de mal. Elle ne disait plus rien jusqu'au moment ou elle mi disait : c'est bon, je vais jouir comme ça.
En effet un moment après je sentais son cul en proie aux spasmes ce qui m'a fait jouir aussi. Toute la nuit variant les positions à notre gré, nous avons baisé comme des bêtes. Au petit matin elle se levait en s'étirant et en disant que c'était sa meilleure nuit d'amour depuis sa première baise.
Nous avons remis ça dans l'après midi. Hélas le frère rentrait en nous demandant si tout c'était bien passait. Bien sur avons nous répondu !
Au cours du séjour j'ai pu lui faire l'amour quelques fois jusqu'à ce que ses parents rentrent. C'était une fille très experte en amour…
Le lendemain il voulu me faire visiter la ville arabe (on ne dit pas médina) j'acceptais parce que j'aime marchander avec les Djerbiens (issus de l'île de Djerba, ses habitants sont réputés comme de bon commerçants). Midi approchait et nous sommes rentrés à la maison. La famille se préparait pour aller à un enterrement en France : un oncle y était décédé. Seul les enfant devaient rester à la maison (El dar en arabe) L'oncle ils ne connaissaient pas. Et j'ai eu l'impression qu'ils ne demandaient pas mieux. Le lendemain donc nous nous sommes retrouvés seuls.
Mon copain avait en tête de visiter un copain de classe qu'il n'avait pas vu depuis un an me dit-il. Le soir même, il pris le train en me laissant seul avec sa soeur. Tout d'abord nous en étions gênés, nous ne nous connaissions que peu : un repas et un petit déjeuner pris ensemble ne faisaient pas de nous des amis.
La fille ne nommait Zora. Ce nom n'était pas désagréable : pas plus que la fille d'ailleurs ! Relativement grande, brune aux yeux gris verts et semble-t-il bien fichue. Mais je me disais : pas touche, c'est une musulmane qui va t'envoyer à la pèche en cas de problème. Nous avons pris notre repas du soir en bavardant un peu. Elle était moins sotte que je ne le pensais. Bonnes études, en partie menées en France, à la faculté de Montpellier. Je connaissais un peu cette ville et lui demandais où elle logeait.
Bref nous avions un point en commun. L'heure de se coucher arrivait, elle me conduisit à ma chambre et partit se coucher elle aussi. Le soir je ne m’endors jamais sans lire. Je fus surpris d'entendre frapper à ma porte. C'était elle qui me demandait si tout allait bien puisqu'elle avait vue de la lumière sous ma porte. Elle rentrait et me dit : je ne suis plus vierge depuis longtemps.
Je ne m'attendais pas à cette visite et à cet aveu qui semblait dire : baisons tous les deux maintenant. Elle était vêtue d'une chemise d'homme qui laissaient voir ses jambes et le début de ses cuisses.. Je supposais qu’à part cette chemise elle ne devait pas porter autre chose.
Elle s'assit sur mon lit, me prit le livre, le posait par terre et ouvrit les draps. Pour se rendre compte de l'effet qu'elle me faisait : je commençais à bander. Rassurée elle se couchait près de moi, en se serrant et en lorgnant ma bite. La prenant dans mes bras je l'embrassais, elle répondait et pris d'elle même ma pine dans sa main et se mit à me branler avec beaucoup de maestria. Je ne tardais pas à jouir ! A ce moment elle mis son sexe sur ma bouche en me disant suce moi, j'aime.
Je lui demandais d’enlever cette chemise qui la couvrait encore. Une fois nue je me mis à embrasser son con et insinuais ma langue dans sa fente ouverte. Elle bougeait dans tous les sens surtout lorsque je lui pris son clitoris entre les lèvres, l'aspirant pour mieux lui faire plaisir en léchant lentement. Elle adorait cette caresse et jouit.
Nous nous sommes couché et je continuais à lui branler le sexe et lui mettant un doigt au cul. Elle réagit et me dit qu'elle était vierge de ce coté. J'hésitais donc à lui proposer de l'enculer. Elle me demandait de la faire : mets moi la au cul, j'en ai envie. Avec sa mouille que je mis sur ma bite en la baisant un instant, je pouvais la prendre par le petit trou sans lui faire trop mal. Elle se mis en levrette et ouvrit ses fesse avec ses main en me disant : vas-y je suis prête. Je rentrais doucement pour ne lui faire de mal. Elle ne disait plus rien jusqu'au moment ou elle mi disait : c'est bon, je vais jouir comme ça.
En effet un moment après je sentais son cul en proie aux spasmes ce qui m'a fait jouir aussi. Toute la nuit variant les positions à notre gré, nous avons baisé comme des bêtes. Au petit matin elle se levait en s'étirant et en disant que c'était sa meilleure nuit d'amour depuis sa première baise.
Nous avons remis ça dans l'après midi. Hélas le frère rentrait en nous demandant si tout c'était bien passait. Bien sur avons nous répondu !
Au cours du séjour j'ai pu lui faire l'amour quelques fois jusqu'à ce que ses parents rentrent. C'était une fille très experte en amour…
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