Mon véritable amant - histoire érotique

Il me cherche depuis longtemps. Il a dans les 40 ans, j’en ai 25, je sais qu’il est marié. Je me demande s’il me veut comme ça, juste pour une fois, ou s’il me veut comme maitresse attitrée. Il ne me déplait pas du tout, je me laisserai faire, mais, il y a un mais, si ne n’est que pour une fois, je préfère conserver mon copain actuel qui me fait bien l’amour avec ma copine, cette fole qui s’est entichée de moi et que je contente souvent pour son plaisir et pour le mien surtout. Si je sors avec le nouveau, je dois dire adieu à ma vie un peu dissolue, tellement agréable. Il est des endroits où je suis certaine de le voir, je m’habille en conséquence, jeans un peu serrés, t-shirt collant pour faire ressortir ma poitrine.
Il est bien là où je l’ai déjà aperçu : dans le bistrot du coin,, accoudé au bar buvant une bière. Je fais celle qui ne le voit pas, qui le snobe un peu. Je passe mes mains sous mes seins, pince légèrement les tétons. Je laisse tomber mes mains entre mes jambes, je fais comme si je me masturbais. Là je le regarde longuement. Il vient vers moi, m’offre un verre que j’accepte bien sur. L’après midi ne fait que commencer, je suis la plus belle, la plus sexy, bref la seule baisable à la ronde. Je regarde son annuaire et l’alliance : oui il est marié.
- Et votre femme si je vous dis oui ?
- Elle reste ma femme !
- Et moi, après cette première fois ?
- Ca dépend de vous.
- Et de vous aussi. Si je ne jouis pas comme je veux je laisse tomber.
- C’est normal.
- Je n’ai pas compris pour votre femme, je serais votre amante et nous baiserions ensemble, vous la baiseriez quand ?
- Comme maintenant quand elle en a envie.
- Ca veut rien dire quand elle en a envie, si elle veut trop baiser, je reste en plan.
- Pas du tout, je peux parfaitement baiser deux femmes.
- Et si je veux baiser avec elle, j’aime les femmes aussi.
- Je le lui demanderai, je ne sais pas si elle voudra faire l’amour avec une autre femme.
Finalement je cède, il me plait trop, j’ai envie de lui, et puis une fois ça n’engage à rien. Je dis oui, nous nous levons pour aller dans un hôtel proche. Jusqu’à présent nous n’avons fait que parler, même pas un baiser.
Dans la chambre assez cossue tout change, nous nous embrassons comme de véritables amoureux, nos langues sont aussitôt à la manœuvre. Je me colle le pubis contre lui, j’écarte un peu les jambes pour que ma chatte soit contre une de ses cuisses : je me masturbe légèrement, c’est bon alors j’appuie plus fort. Je sens ses mains qui du dos descendent vers mes fesses. Une main sur chaque fesses appuie sur elles en les caressant. Je mouille follement. Je sais que mon copain m’aurait déjà baisé ou serait en train. Lui, traine en route, commence juste à m’enlever le t-shirt. Il embrasse mes seins longuement. Quand je mets ma tête renversée, il m’embrasse dans le cou revient sur ma poitrine, descend encore sur mon ventre. Sa langue va à la découverte du nombril. Il défait la ceinture du jean, descend la fermeture éclair prend la taille du jean pour la faire glisser. Il fait tomber et le pantalon et le string à la fois. Je suis nue devant lui, mon premier homme connaissant bien les femmes.
Il est à mes pied, je sais pourquoi, j’écarte un peu les jambes, sa langue vient aussitôt à la découverte de ma chatte. Je suis contre sa tête, je n’ai même pas senti sa bite. Je le déshabille comme je peux : mal. J’ai quand même dans ma main une belle bite gonflée à souhait. J’espère qu’il me fera jouir plusieurs fois. Je le branle lentement, je ne veux pas qu’il jouisse trop vite, ce serait bête, je perdrai un orgasme.
Il me fait coucher. Je reste immobile le temps pour lui de parachever sa nudité. Je ne regarde que la queue, elle fait plus que me plaire, j’ai envie d’elle n’importe où, dans la bouche le vagin ou le cul.
Enfin il se couche à l’envers, j’ai sa bite presque sur la bouche et ma chatte très près de la sienne. De près elle me plait encore plus. Je me tourne pour l’embrasser juste au bout. Il en profite pour venir avaler le clitoris. Deux doigts au moins dans mon puits me donne un avant gout de la suite. Il les fait aller et venir dans mon ventre pendant que sa langue dans sa bouche me lèche le bouton peu habitué à de telles caresses simples et efficaces. Je ne tiens pas longtemps, je sens mon sexe avoir les contractions de l’orgasme. Je n’ai pas eu le temps de la faire jouir pour connaitre son gout, en tout cas, elle est agréable à sucer et lécher. Ce n’est que partie remise, il continue sur mon clitoris, seuls ses doigts ont changé de lieu. Ils sont maintenant dans le cul. Qu’il sait bien me branler cet endroit que je me caresse souvent. Je ne tiens pas plus longtemps encore une fois.
Cette fois il est à mes cotés. Je sens ses mains se promener sur mes seins. Il en remets une autre sur la chatte. lentement, sans appuyer, il me branle encore puis il se tourne pour venir sur moi. Je voulais le guider mais il est le plus fort, c’est lui seul qui entre sa queue dans ma boite à jouir. Je lève mes jambes pour que mes talons soient sur ses fesses. Je les y croise. Je fais corps avec lui. Il me la met à fond. Il ressort rapidement pour recommencer. Je sais que je gémis tellement il me fait du bien. C’est magnifique d’avoir sa bite dans le ventre. Je ne pense plus à rien qu’à ce qu’il me fait.
Dommage, je jouis trop vite. Lui continu à me limer, heureusement qu’il sait bien baiser, il me fait jouir longuement plusieurs fois. Il ne jouit pas et c'est tant mieux. Il me tourne sur le ventre. J’attend cet instant depuis un bon moment. Il écarte mes jambes, sans rien demander il pose sa pine sur mon cul. Enfin il va m’enculer. Il entre doucement, je le sens à peine, sauf quand son gland passe totalement : j’ai un peu mal. Quand le reste de sa queue est dans mon ventre, là je recommence à avoir les bonnes sensations. Il grossit dans l’anus, il me fait encore plus de bien qu’en me baisant. Il passe sa main sur ma chatte pour trouver le clitoris qu’il maltraite en me donnant ce plaisir inimitable d’être branlée par un connaisseur. Je ne tiens pas longtemps. Je jouis encore juste au moment où je le sens me donner tout son jus. Dommage, j’en aurai voulu dans la bouche. Quand il sort du cul il a du sperme encore autour de sa bite : je me précipite pour prendre un peu de semence. Elle est très bonne.
Nous arrêtons de baiser, il faut dire que nous sommes en train depuis plus de 3 heures. Nous nous pressons un peu. Je lui demande si ce soir il va baiser sa femme : oui, pourquoi pas ?
Nous devons nous revoir après demain après midi, vers 17 heures. Il me tarde d’y être. J’espère que je resterai sa maitresse, je ne demande pas qu’il m’épouse, je serai une mauvaise femme en le trompant souvent avec ma copine. Je ne lui en ai pas parlé, j’espère qu’il acceptera que je baise avec elle. Après tout il baise son épouse, alors pourquoi je ne baiserai pas une fille qui me plait : elle n’a pas de bite.