Mon vieux voisin.
Récit érotique écrit par Laurencec [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-12-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Mon vieux voisin.
Mon vieux voisin.
Bonjour à tous. Je viens vous raconter un moment inattendu, surprenant qui tente à prouver que la sexualité des hommes n’a pas de limite d’âge.
Dès lors ou il a poussé la porte de mon bureau, je me suis dit qu’il portait le vice dans son regard. Sa façon de reluquer mon corsage, de s’essuyer la bouche baveuse du revers de la main avec, de surcroît, le bruit lié au geste. Sans parler de sa tenue, cette salopette bleu marine à bretelles, le genre salopette de travail, que même mon grand-père ne portait plus. Son visage ne m’était cependant pas inconnu, sans pour autant me souvenir. Peut-être me rappelait-il quelqu'un tout simplement.
L’homme était passé durant mes vacances, mais s'était montré insistant, ne voulant traiter qu’avec moi ! Je ne savais pourquoi et ne lui posais pas la question, espérant qu’il me dirait lui-même la raison de cette volonté. Il était soucieux de vendre son bien devenu trop grand pour lui depuis le décès de son épouse. Je lui expliquai donc la démarche et le rôle de notre agence dans la transaction. Ce n'est que lorsque j’ai vue son adresse que les choses se sont
éclaircies ! Évidemment que cet homme me disait quelque chose ! C'était le voisin de mes parents à l’époque de leur première maison.
Je devais avoir une quinzaine d'années à
L’époque. Il réapparaissait ! Avec trente ans de plus, bien entendu. Il frôlait les quatre-vingts printemps maintenant. Immédiatement, de vagues souvenirs me revenaient ! et pas forcément les meilleurs. Maman me faisait rentrer alors que Paul (notre voisin) était derrière la haie de troènes séparant nos terrains, me regardant sur la balançoire. À cette époque, je ne voyais rien de mal malgré les propos de maman qui parlait de lui avec mon père en des termes peu élogieux. Bref, le papi avait trente ans de plus et gardait les mêmes manières, les mêmes mimiques qu’à l’époque. Face à lui, la petite fille innocente avait grandi et comprenait mieux le sens des propos de sa maman qui évitait simplement de laisser sa gamine en présence de ce type pour le moins louche. Lui aussi m’avait reconnue et c'est bien pour cela qu’il me voulait comme interlocutrice privilégiée !
Lorsqu'il m’a rappelé que la dernière fois qu'il m'avait vue, j'étais haute comme trois pommes, j’ai prétendu ne pas me souvenir ;
C’était certainement dit dans l’optique de nos futurs rendez-vous. Nous nous sommes quittés en ayant fait le tour de la question, professionnellement j’entends et un rendez-vous était pris pour le début de la semaine suivante en vue d’une visite plus approfondie de son bien. Je dois admettre y avoir beaucoup pensé le week-end venu ! De vagues souvenirs refaisaient surface et, parmi eux, un certain soir où, seule à la maison, je vivais mes premiers émois de petite exhibitionniste ! Je fouillai ma mémoire et des bribes d’images me revenaient les unes après les autres.
Clairement, ce soir-là, je m'amusais devant le miroir de ma grande garde-robe à me dandiner dans les dessous de maman bien plus élaborés que mes petites culottes d'adolescente. Je me souvenais avoir observé une lumière vive par la fenêtre de ma chambre. Sans trop le montrer, j'avais regardé dans cette direction et repéré Paul par-dessus le troène, fumant sa cigarette. Cette lueur, qui m'avait interpellée, émanait de son briquet alors qu’il allumait une cigarette. Ignorant sa présence, j'avais poursuivi mon petit manège, plutôt excitée. Je m’exhibais ainsi devant mon vieux voisin ! Plus je fouillais ma mémoire et plus certains moments du passé resurgissaient. Il y avait cette fois aussi où je désherbais un parterre en petite jupe et fus surprise par sa présence ! Il y avait prescription trente ans plus tard, mais tout cela m'intriguait ! Je me demandais au fond si, comme moi, il se souvenait.
Le jour venu, j’ose dire que je n’en menais pas large en me présentant à son domicile. Rien n'avait changé, si… la hauteur des troènes derrière lesquels il me matait trente ans plus tôt. J’avais pris soin de mettre une tenue simple et surtout non provocante. La visite s’est déroulée tout à fait normalement. Une maison vieillotte comme il en existe beaucoup encore. Une cuisine rustique qui aurait mérité un bon rafraîchissement. Je suis toujours étonnée de voir ces vieux éviers de cuisine carrés, émaillés, avec leur robinet qui se prolonge par un flexible d’une vingtaine de centimètres et l’odeur commune à toutes ces maisons des années trente, une odeur de vieux, comme je dis toujours. Paul m'a proposé un jus
d’orange alors que je faisais le point, ma calculatrice à la main devant la table de cuisine.
Très serviable, mes craintes du départ s’estompaient, je reprenais confiance en moi. Je me suis assise, acceptant son invitation. Nous avons discuté un moment, il m’a évidemment parlé du bon vieux temps, ne cachant pas ce qu’il pensait de ma maman : une très belle femme, très enviée dans le quartier. Quelques minutes plus tard, nous étions sur le point de nous quitter et faisions le tour du petit jardin. Je ne m’y attendais pas le moins du monde lorsqu'il m'a mise mal à l’aise… Je regardais cette fameuse clôture de troènes et Paul m'a demandé si je me souvenais lorsqu’il me regardait m’amuser à cet endroit ! La rougeur de mes joues a dû me trahir ! Je lui ai répondu « non pas trop », mais de manière peu convaincante à mon avis. Paul a affiché un sourire narquois et j’ai aperçu toute la perversion au travers de son regard. Je
M’empressai de pousser la barrière de sortie, ne sachant que répondre. Je saluai Paul dont le regard en disait long et je m’engouffrai dans la voiture, fuyant cette situation inconfortable.
Quelques jours ont passé avant que Paul ne se manifeste à nouveau pour accepter le contrat au prix proposé. J’ai donc pris rendez-vous avec lui pour réaliser quelques photos et introduire son pavillon dans notre catalogue. Honnêtement, je ne sais pas ce qui m’a pris ce jour-là ! J’admets qu’il m’avait troublée et que son regard vicieux ne me laissait pas de marbre. D’humeur coquine, j’ai pensé pouvoir m'amuser un peu en l’allumant gentiment ! Un homme de 78 ans ne pouvait forcément pas aller bien loin malgré son air robuste. Certainement l’envie de me délecter de ce regard vicieux qui, au fond, me faisait un drôle d’effet. La jupe courte et moulante était peut-être un peu exagérée, j'en conviens. Nous avions rendez-vous en fin d'après-midi.
Dès le matin, en me préparant, je pensais déjà au regard qu’il porterait sur mes fesses bien moulées dans cette petite jupe… Elle me moulait tellement que l'on apercevait la lisière de mes bas au travers du tissu. Plus la journée avançait, plus je piaffais d’impatience à l’idée de croiser ce regard de vice Lard. Sur la route, je prenais soin de remonter correctement mes bas et, comme si cela ne suffisait pas, j'ai cru bon d’ouvrir le premier bouton de mon chemisier blanc, offrant ainsi une jolie profondeur a mon décolleté. Décidément, parfois l’excitation vous fait faire de ces choses. Paul m'a accueillie avec courtoisie m’expliquant tout de suite qu'il avait fait le ménage pour le bien des photos. Je posai le dossier ouvert sur la table de la cuisine. Je me suis mise à lui relire les grandes lignes et là, déjà, je frissonnais ! Je relevai le visage ! Le bougre ne m’écoutait que très peu, aspiré par mon chemisier qui bâillait sous son nez ! Certes, j’aurais pu, j’aurais dû me redresser ! Les mains à plat de chaque côté du document, je baissais la tête, ignorant son regard fixe et sa bouche entrouverte. Il était complètement à l’arrêt sur ma poitrine. Dès lors, j’avais moi-même peine à expliquer clairement le contenu du dossier. Derrière mes franges, je regardais le bas de sa personne, oui, j'avoue que je me demandais si Paul bandait. En même temps, vous admettrez que la vision de cette salopette et des charentaises n’avait rien de bien glamour…
J’ai repris mes esprits et poursuivi les explications de rigueur. Paul, loin d’être attentif, traînait les pieds sur place me proposant un jus d’orange frais. Acceptant, j’ai ainsi échappé à ce regard lubrique qui, pourtant, me donnait des frissons. Une fois de plus, nous avons échangé un peu sur des sujets banals jusqu’à ce que je propose, à mon tour, de terminer le dossier en réalisant quelques photos des diverses pièces afin de présenter au mieux sa maison à de potentiels clients. Nous avons commencé par la cuisine, là où nous nous trouvions, cherchant le meilleur angle de vue. Puis le séjour, orné de ses illustres meubles que l’on ne trouve que chez les antiquaires. C’est en arrivant dans la chambre à coucher que j'ai réalisé ! La porte était grande ouverte et, face à moi, une toute aussi vieille armoire que celle du séjour. Très ressemblante, mis à part que sur celle-ci trônait un immense miroir.
L’image que me renvoyait la glace m'a littéralement mise en fusion ! Paul, un mètre derrière moi, se penchait sur le côté en me matant les fesses. Peut-être avait-il remarqué la vision de mes bas au travers du tissu de ma jupe ? Le voir ainsi chercher à se rincer l’œil m’a mise dans un état… Après tout, laisser un homme de cet âge me mater les fesses, les seins, c'est plutôt flatteur, non ? : de la chair fraîche à ses yeux et, probablement, un des derniers grands plaisirs que la vie pouvait lui offrir !
Toujours est-il que le plaisir était partagé ! Voir ce vieil homme me manger des yeux, au point d’en baver, avait sur moi un certain effet ! C’est donc avec une certaine désinvolture que j’ai quitté la pièce, et surtout en dandinant de la croupe, certaine qu’il avait le regard Collé sur mes rondeurs… Quelques photos du jardin, subissant au passage ses remarques sur sa voisine du temps jadis, et nous rejoignons la cuisine où j'avais laissé quelques affaires. Paul s’empresse alors de me servir un second jus de fruit. J’ai remis mon appareil photo dans sa pochette, prenant soin de me pencher sur la table, gardant les jambes bien tendues sur mes talons hauts. Je lui offrais là une dernière vue sur mes fesses tendues. La porte du frigidaire se referme et là… surprise !
Une main, sa main qui vient se loger sous ma jupe avec force ! Celle-ci me lève littéralement du sol et me propulse le ventre sur la table ! À peine ai-je eu le temps de râler, lui demandant ce qu’il fait, que déjà ses doigts ont écarté mon string et me fouille la chatte. Je râle, me débats, remue les jambes vivement afin de protester, mais Paul râle que je suis encore plus baisable que ma mère ! Ses gros doigts me fouillent et finissent par me faire ronronner de plaisir. Le coude appuyant sur mon dos, son poids me bloquait, j'étais à sa merci ! Son doigt me pilonnait violemment et j'ai fini par cesser de gesticuler, de me débattre me laissant aller à ce plaisir envahissant j’ouvrais les cuisses lui offrant mon minou en pâture. Il est vieux, mais malin ! Il a vite compris que je ne me sauverai pas et a retiré son coude de mon dos.
Quelques secondes se passent avant de le sentir derrière moi tirer sèchement sur mon string, il s’y est repris à plusieurs fois pour m’en débarrasser avant de me retrousser la jupe sur les hanches et de m’écarter les cuisses pour se mettre à me dévorer la raie à grands coups de langue. Paul connaît au moins la manière de donner du plaisir à une femme. Ventre sur la table, je l’entends grogner comme un chien en furie sur son os tout en me bouffant le minou. Instinctivement, je ne peux qu'apprécier et tendre les fesses. L’instant est magique, je me sens au bord de l'orgasme de ses pouces, il m’ouvre la raie et cette langue baveuse qui me mange, me lèche de mon minou à mon anus tout en ruminant. Je cambre les fesses comme je le peux acceptant le plaisir que cette langue me donne et C’est alors qu’il se recule et me retourne avec autorité ! Non, il ne va tout de même pas ? Eh bien si ! Paul a descendu sa salopette défraîchie et a extirpé sa queue somme toute de jolie taille en râlant qu'il allait me baiser. J’étais assise sur la table et Paul m’a poussé à m’allonger en me saisissant les jambes et me tirant les fesses sur le bord de la table. Grande ouverte, les mollets sur ses avant-bras, il est entré en moi avec force et bien profond, mon vieux cochon a déboutonné mon chemisier me sortant les seins. Il C’est alors mit à les presser, les pincer pendant que sa queue s'activait en moi sous mes râles incontrôlés. Je gémissais tout en le regardant baver et me dévorer des yeux.
– Petite salope, tu aimes ma bite de vieux cochon, j’ai l’impression de baiser ta mère, petite allumeuse !
Sous de tels propos, je perdais pied et je rugissais de plaisir. Les jambes ouvertes, je les maintenais par-dessous, m'offrant au mieux sur le bord de la table qui grinçait à chaque coup de reins. Ce vieux cochon, la bedaine en avant, me baisait plutôt bien et plus que sa queue, ses mots, son visage grimaçant me donnaient du plaisir. Je m'attendais à ce que mon vieux cochon se vide en moi, lui qui s’abstenait depuis si longtemps ! Je me tenais les jambes en l’air, ouverte à ses coups de reins, mais je n'étais pas au bout de mes surprises !
Paul, sortant de mon con, m’a tiré par le bras, me redressant de la table.
– À genoux, ma petite salope ! Suce-moi la bite !
Tout en râlant, il me poussait une main ferme sur l’épaule à m’agenouiller au sol, il me plaquait de sa main gauche contre son ventre. Sa main droite tenait alors sa queue bien raide, me la fourrant dans la bouche. J’avais beau essayer de le repousser, Paul avait une force inouïe. Je lui suçai la queue, contrainte et forcée, à genoux dans la cuisine, cuisses ouvertes et, bientôt, j'y pris plaisir me mettant les doigts dans la chatte cherchant à apaiser la fièvre de mon bas ventre ! Quel grondement... quelle force. J’ai bien compris qu'il allait se vider dans ma bouche, mais je n'avais ni la force ni l'envie de me retirer. Ce gros salopard vicieux s'est vidangé dans ma bouche en me traitant de belle salope qui aimait la bite !!! Sans lâcher prise, il râlait son bonheur alors que son foutre me dégoulinant le long du cou et courait entre mes seins. Je pensais étouffer tellement il me forçait la bouche mais, heureusement, il a lâché prise.
Je respirai enfin, je reprenais mon souffle tandis qu'il remontait sa salopette sans plus se soucier de moi. À mon tour, je me relevai, m’essuyant tans bien que mal la bouche. Je tirai sur ma jupe pour reprendre une image correcte. Paul me tendait un papier éponge en me disant de m’essuyer. Je n'avais aucune réponse, encore sous l’emprise de ce vieillard ! J'ai rassemblé mes affaires et il m'a accompagnée à la voiture me mettant la main aux fesses tout en me disant merci. À la vitre de la voiture, il m'a dit que j'avais bien fait du chemin depuis la petite ado qui allumait son vieux voisin nu à sa fenêtre… J'ai souri et l’ai salué avant de filer toute perturbée par ce moment tout aussi inattendu qu’intense ! Et dire que je vais revoir Paul pour de prochaines visites…
Ps : bien que mes histoires sont vécues, pour le confort et le bien être de mon/mes lecteurs. Je passe sous silence les moments disgracieux qui cassent le charme d’un récit. Mettre un préservatif, etc. cela n’empêche que la protection reste de mise !
Bonjour à tous. Je viens vous raconter un moment inattendu, surprenant qui tente à prouver que la sexualité des hommes n’a pas de limite d’âge.
Dès lors ou il a poussé la porte de mon bureau, je me suis dit qu’il portait le vice dans son regard. Sa façon de reluquer mon corsage, de s’essuyer la bouche baveuse du revers de la main avec, de surcroît, le bruit lié au geste. Sans parler de sa tenue, cette salopette bleu marine à bretelles, le genre salopette de travail, que même mon grand-père ne portait plus. Son visage ne m’était cependant pas inconnu, sans pour autant me souvenir. Peut-être me rappelait-il quelqu'un tout simplement.
L’homme était passé durant mes vacances, mais s'était montré insistant, ne voulant traiter qu’avec moi ! Je ne savais pourquoi et ne lui posais pas la question, espérant qu’il me dirait lui-même la raison de cette volonté. Il était soucieux de vendre son bien devenu trop grand pour lui depuis le décès de son épouse. Je lui expliquai donc la démarche et le rôle de notre agence dans la transaction. Ce n'est que lorsque j’ai vue son adresse que les choses se sont
éclaircies ! Évidemment que cet homme me disait quelque chose ! C'était le voisin de mes parents à l’époque de leur première maison.
Je devais avoir une quinzaine d'années à
L’époque. Il réapparaissait ! Avec trente ans de plus, bien entendu. Il frôlait les quatre-vingts printemps maintenant. Immédiatement, de vagues souvenirs me revenaient ! et pas forcément les meilleurs. Maman me faisait rentrer alors que Paul (notre voisin) était derrière la haie de troènes séparant nos terrains, me regardant sur la balançoire. À cette époque, je ne voyais rien de mal malgré les propos de maman qui parlait de lui avec mon père en des termes peu élogieux. Bref, le papi avait trente ans de plus et gardait les mêmes manières, les mêmes mimiques qu’à l’époque. Face à lui, la petite fille innocente avait grandi et comprenait mieux le sens des propos de sa maman qui évitait simplement de laisser sa gamine en présence de ce type pour le moins louche. Lui aussi m’avait reconnue et c'est bien pour cela qu’il me voulait comme interlocutrice privilégiée !
Lorsqu'il m’a rappelé que la dernière fois qu'il m'avait vue, j'étais haute comme trois pommes, j’ai prétendu ne pas me souvenir ;
C’était certainement dit dans l’optique de nos futurs rendez-vous. Nous nous sommes quittés en ayant fait le tour de la question, professionnellement j’entends et un rendez-vous était pris pour le début de la semaine suivante en vue d’une visite plus approfondie de son bien. Je dois admettre y avoir beaucoup pensé le week-end venu ! De vagues souvenirs refaisaient surface et, parmi eux, un certain soir où, seule à la maison, je vivais mes premiers émois de petite exhibitionniste ! Je fouillai ma mémoire et des bribes d’images me revenaient les unes après les autres.
Clairement, ce soir-là, je m'amusais devant le miroir de ma grande garde-robe à me dandiner dans les dessous de maman bien plus élaborés que mes petites culottes d'adolescente. Je me souvenais avoir observé une lumière vive par la fenêtre de ma chambre. Sans trop le montrer, j'avais regardé dans cette direction et repéré Paul par-dessus le troène, fumant sa cigarette. Cette lueur, qui m'avait interpellée, émanait de son briquet alors qu’il allumait une cigarette. Ignorant sa présence, j'avais poursuivi mon petit manège, plutôt excitée. Je m’exhibais ainsi devant mon vieux voisin ! Plus je fouillais ma mémoire et plus certains moments du passé resurgissaient. Il y avait cette fois aussi où je désherbais un parterre en petite jupe et fus surprise par sa présence ! Il y avait prescription trente ans plus tard, mais tout cela m'intriguait ! Je me demandais au fond si, comme moi, il se souvenait.
Le jour venu, j’ose dire que je n’en menais pas large en me présentant à son domicile. Rien n'avait changé, si… la hauteur des troènes derrière lesquels il me matait trente ans plus tôt. J’avais pris soin de mettre une tenue simple et surtout non provocante. La visite s’est déroulée tout à fait normalement. Une maison vieillotte comme il en existe beaucoup encore. Une cuisine rustique qui aurait mérité un bon rafraîchissement. Je suis toujours étonnée de voir ces vieux éviers de cuisine carrés, émaillés, avec leur robinet qui se prolonge par un flexible d’une vingtaine de centimètres et l’odeur commune à toutes ces maisons des années trente, une odeur de vieux, comme je dis toujours. Paul m'a proposé un jus
d’orange alors que je faisais le point, ma calculatrice à la main devant la table de cuisine.
Très serviable, mes craintes du départ s’estompaient, je reprenais confiance en moi. Je me suis assise, acceptant son invitation. Nous avons discuté un moment, il m’a évidemment parlé du bon vieux temps, ne cachant pas ce qu’il pensait de ma maman : une très belle femme, très enviée dans le quartier. Quelques minutes plus tard, nous étions sur le point de nous quitter et faisions le tour du petit jardin. Je ne m’y attendais pas le moins du monde lorsqu'il m'a mise mal à l’aise… Je regardais cette fameuse clôture de troènes et Paul m'a demandé si je me souvenais lorsqu’il me regardait m’amuser à cet endroit ! La rougeur de mes joues a dû me trahir ! Je lui ai répondu « non pas trop », mais de manière peu convaincante à mon avis. Paul a affiché un sourire narquois et j’ai aperçu toute la perversion au travers de son regard. Je
M’empressai de pousser la barrière de sortie, ne sachant que répondre. Je saluai Paul dont le regard en disait long et je m’engouffrai dans la voiture, fuyant cette situation inconfortable.
Quelques jours ont passé avant que Paul ne se manifeste à nouveau pour accepter le contrat au prix proposé. J’ai donc pris rendez-vous avec lui pour réaliser quelques photos et introduire son pavillon dans notre catalogue. Honnêtement, je ne sais pas ce qui m’a pris ce jour-là ! J’admets qu’il m’avait troublée et que son regard vicieux ne me laissait pas de marbre. D’humeur coquine, j’ai pensé pouvoir m'amuser un peu en l’allumant gentiment ! Un homme de 78 ans ne pouvait forcément pas aller bien loin malgré son air robuste. Certainement l’envie de me délecter de ce regard vicieux qui, au fond, me faisait un drôle d’effet. La jupe courte et moulante était peut-être un peu exagérée, j'en conviens. Nous avions rendez-vous en fin d'après-midi.
Dès le matin, en me préparant, je pensais déjà au regard qu’il porterait sur mes fesses bien moulées dans cette petite jupe… Elle me moulait tellement que l'on apercevait la lisière de mes bas au travers du tissu. Plus la journée avançait, plus je piaffais d’impatience à l’idée de croiser ce regard de vice Lard. Sur la route, je prenais soin de remonter correctement mes bas et, comme si cela ne suffisait pas, j'ai cru bon d’ouvrir le premier bouton de mon chemisier blanc, offrant ainsi une jolie profondeur a mon décolleté. Décidément, parfois l’excitation vous fait faire de ces choses. Paul m'a accueillie avec courtoisie m’expliquant tout de suite qu'il avait fait le ménage pour le bien des photos. Je posai le dossier ouvert sur la table de la cuisine. Je me suis mise à lui relire les grandes lignes et là, déjà, je frissonnais ! Je relevai le visage ! Le bougre ne m’écoutait que très peu, aspiré par mon chemisier qui bâillait sous son nez ! Certes, j’aurais pu, j’aurais dû me redresser ! Les mains à plat de chaque côté du document, je baissais la tête, ignorant son regard fixe et sa bouche entrouverte. Il était complètement à l’arrêt sur ma poitrine. Dès lors, j’avais moi-même peine à expliquer clairement le contenu du dossier. Derrière mes franges, je regardais le bas de sa personne, oui, j'avoue que je me demandais si Paul bandait. En même temps, vous admettrez que la vision de cette salopette et des charentaises n’avait rien de bien glamour…
J’ai repris mes esprits et poursuivi les explications de rigueur. Paul, loin d’être attentif, traînait les pieds sur place me proposant un jus d’orange frais. Acceptant, j’ai ainsi échappé à ce regard lubrique qui, pourtant, me donnait des frissons. Une fois de plus, nous avons échangé un peu sur des sujets banals jusqu’à ce que je propose, à mon tour, de terminer le dossier en réalisant quelques photos des diverses pièces afin de présenter au mieux sa maison à de potentiels clients. Nous avons commencé par la cuisine, là où nous nous trouvions, cherchant le meilleur angle de vue. Puis le séjour, orné de ses illustres meubles que l’on ne trouve que chez les antiquaires. C’est en arrivant dans la chambre à coucher que j'ai réalisé ! La porte était grande ouverte et, face à moi, une toute aussi vieille armoire que celle du séjour. Très ressemblante, mis à part que sur celle-ci trônait un immense miroir.
L’image que me renvoyait la glace m'a littéralement mise en fusion ! Paul, un mètre derrière moi, se penchait sur le côté en me matant les fesses. Peut-être avait-il remarqué la vision de mes bas au travers du tissu de ma jupe ? Le voir ainsi chercher à se rincer l’œil m’a mise dans un état… Après tout, laisser un homme de cet âge me mater les fesses, les seins, c'est plutôt flatteur, non ? : de la chair fraîche à ses yeux et, probablement, un des derniers grands plaisirs que la vie pouvait lui offrir !
Toujours est-il que le plaisir était partagé ! Voir ce vieil homme me manger des yeux, au point d’en baver, avait sur moi un certain effet ! C’est donc avec une certaine désinvolture que j’ai quitté la pièce, et surtout en dandinant de la croupe, certaine qu’il avait le regard Collé sur mes rondeurs… Quelques photos du jardin, subissant au passage ses remarques sur sa voisine du temps jadis, et nous rejoignons la cuisine où j'avais laissé quelques affaires. Paul s’empresse alors de me servir un second jus de fruit. J’ai remis mon appareil photo dans sa pochette, prenant soin de me pencher sur la table, gardant les jambes bien tendues sur mes talons hauts. Je lui offrais là une dernière vue sur mes fesses tendues. La porte du frigidaire se referme et là… surprise !
Une main, sa main qui vient se loger sous ma jupe avec force ! Celle-ci me lève littéralement du sol et me propulse le ventre sur la table ! À peine ai-je eu le temps de râler, lui demandant ce qu’il fait, que déjà ses doigts ont écarté mon string et me fouille la chatte. Je râle, me débats, remue les jambes vivement afin de protester, mais Paul râle que je suis encore plus baisable que ma mère ! Ses gros doigts me fouillent et finissent par me faire ronronner de plaisir. Le coude appuyant sur mon dos, son poids me bloquait, j'étais à sa merci ! Son doigt me pilonnait violemment et j'ai fini par cesser de gesticuler, de me débattre me laissant aller à ce plaisir envahissant j’ouvrais les cuisses lui offrant mon minou en pâture. Il est vieux, mais malin ! Il a vite compris que je ne me sauverai pas et a retiré son coude de mon dos.
Quelques secondes se passent avant de le sentir derrière moi tirer sèchement sur mon string, il s’y est repris à plusieurs fois pour m’en débarrasser avant de me retrousser la jupe sur les hanches et de m’écarter les cuisses pour se mettre à me dévorer la raie à grands coups de langue. Paul connaît au moins la manière de donner du plaisir à une femme. Ventre sur la table, je l’entends grogner comme un chien en furie sur son os tout en me bouffant le minou. Instinctivement, je ne peux qu'apprécier et tendre les fesses. L’instant est magique, je me sens au bord de l'orgasme de ses pouces, il m’ouvre la raie et cette langue baveuse qui me mange, me lèche de mon minou à mon anus tout en ruminant. Je cambre les fesses comme je le peux acceptant le plaisir que cette langue me donne et C’est alors qu’il se recule et me retourne avec autorité ! Non, il ne va tout de même pas ? Eh bien si ! Paul a descendu sa salopette défraîchie et a extirpé sa queue somme toute de jolie taille en râlant qu'il allait me baiser. J’étais assise sur la table et Paul m’a poussé à m’allonger en me saisissant les jambes et me tirant les fesses sur le bord de la table. Grande ouverte, les mollets sur ses avant-bras, il est entré en moi avec force et bien profond, mon vieux cochon a déboutonné mon chemisier me sortant les seins. Il C’est alors mit à les presser, les pincer pendant que sa queue s'activait en moi sous mes râles incontrôlés. Je gémissais tout en le regardant baver et me dévorer des yeux.
– Petite salope, tu aimes ma bite de vieux cochon, j’ai l’impression de baiser ta mère, petite allumeuse !
Sous de tels propos, je perdais pied et je rugissais de plaisir. Les jambes ouvertes, je les maintenais par-dessous, m'offrant au mieux sur le bord de la table qui grinçait à chaque coup de reins. Ce vieux cochon, la bedaine en avant, me baisait plutôt bien et plus que sa queue, ses mots, son visage grimaçant me donnaient du plaisir. Je m'attendais à ce que mon vieux cochon se vide en moi, lui qui s’abstenait depuis si longtemps ! Je me tenais les jambes en l’air, ouverte à ses coups de reins, mais je n'étais pas au bout de mes surprises !
Paul, sortant de mon con, m’a tiré par le bras, me redressant de la table.
– À genoux, ma petite salope ! Suce-moi la bite !
Tout en râlant, il me poussait une main ferme sur l’épaule à m’agenouiller au sol, il me plaquait de sa main gauche contre son ventre. Sa main droite tenait alors sa queue bien raide, me la fourrant dans la bouche. J’avais beau essayer de le repousser, Paul avait une force inouïe. Je lui suçai la queue, contrainte et forcée, à genoux dans la cuisine, cuisses ouvertes et, bientôt, j'y pris plaisir me mettant les doigts dans la chatte cherchant à apaiser la fièvre de mon bas ventre ! Quel grondement... quelle force. J’ai bien compris qu'il allait se vider dans ma bouche, mais je n'avais ni la force ni l'envie de me retirer. Ce gros salopard vicieux s'est vidangé dans ma bouche en me traitant de belle salope qui aimait la bite !!! Sans lâcher prise, il râlait son bonheur alors que son foutre me dégoulinant le long du cou et courait entre mes seins. Je pensais étouffer tellement il me forçait la bouche mais, heureusement, il a lâché prise.
Je respirai enfin, je reprenais mon souffle tandis qu'il remontait sa salopette sans plus se soucier de moi. À mon tour, je me relevai, m’essuyant tans bien que mal la bouche. Je tirai sur ma jupe pour reprendre une image correcte. Paul me tendait un papier éponge en me disant de m’essuyer. Je n'avais aucune réponse, encore sous l’emprise de ce vieillard ! J'ai rassemblé mes affaires et il m'a accompagnée à la voiture me mettant la main aux fesses tout en me disant merci. À la vitre de la voiture, il m'a dit que j'avais bien fait du chemin depuis la petite ado qui allumait son vieux voisin nu à sa fenêtre… J'ai souri et l’ai salué avant de filer toute perturbée par ce moment tout aussi inattendu qu’intense ! Et dire que je vais revoir Paul pour de prochaines visites…
Ps : bien que mes histoires sont vécues, pour le confort et le bien être de mon/mes lecteurs. Je passe sous silence les moments disgracieux qui cassent le charme d’un récit. Mettre un préservatif, etc. cela n’empêche que la protection reste de mise !
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14 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Votre remarque à la fin de votre histoire sur le fait de se protéger m'a beaucoup plus, car justement je mettais posé la question en me disant ' faut vraiment avoir aucune conscience pour avoir des rapports non-protégées.
Votre histoire est bien raconté. Mais je n'ai pas pris de plaisir à la lire, car ce n'est pas mon truc que de baiser avec un grand-père de soixante dix huit ans ? Je n'ai aucune envie de m'imaginer entrain d'avoir un rapport avec mon grand-père qui à soixante huit ans. Rien que d'y penser cela me donne envie de vomir.
Votre histoire est bien raconté. Mais je n'ai pas pris de plaisir à la lire, car ce n'est pas mon truc que de baiser avec un grand-père de soixante dix huit ans ? Je n'ai aucune envie de m'imaginer entrain d'avoir un rapport avec mon grand-père qui à soixante huit ans. Rien que d'y penser cela me donne envie de vomir.
Et oui, les vieux.
C'est les préférés de mon épouse.
Je suis candauliste, et je partage ma chérie avec les hommes qu'elle veut.
Elle a 39 ans, moi 55.
Nous sommes en couple depuis 10 ans.
Ma chérie aime les plus âgée.
Ma femme a un régulier de 72 ans depuis quasiment le début de notre rencontre.
Il vient 2/3 fois par semaine baiser ma chérie devant moi où pas.
Il fait partie un peu de la famille.
Il est le géniteur de notre petit garçon de 8 ans.
Étant stérile, d'un commun accord, nous lui avons proposé de mettre enceinte ma femme pour nous permettre d'avoir cet enfant que l'on ne pouvait pas avoir.
Moi, je suis le papa, lui reste l'amant régulier de mon épouse.
Ma femme aussi rencontre d'autres hommes pour son plaisir.
Plus âgées qu'elle.
Depuis 10 ans et notre rencontre, elle a eu 157 partenaires différents.
Je tiens les comptes, lol.
Le plus vieux 82 ans, le plus jeunes 45.
Nous sommes de plus en plus amoureux.
C'est notre mode de vie et nous sommes heureux comme ça.
C'est les préférés de mon épouse.
Je suis candauliste, et je partage ma chérie avec les hommes qu'elle veut.
Elle a 39 ans, moi 55.
Nous sommes en couple depuis 10 ans.
Ma chérie aime les plus âgée.
Ma femme a un régulier de 72 ans depuis quasiment le début de notre rencontre.
Il vient 2/3 fois par semaine baiser ma chérie devant moi où pas.
Il fait partie un peu de la famille.
Il est le géniteur de notre petit garçon de 8 ans.
Étant stérile, d'un commun accord, nous lui avons proposé de mettre enceinte ma femme pour nous permettre d'avoir cet enfant que l'on ne pouvait pas avoir.
Moi, je suis le papa, lui reste l'amant régulier de mon épouse.
Ma femme aussi rencontre d'autres hommes pour son plaisir.
Plus âgées qu'elle.
Depuis 10 ans et notre rencontre, elle a eu 157 partenaires différents.
Je tiens les comptes, lol.
Le plus vieux 82 ans, le plus jeunes 45.
Nous sommes de plus en plus amoureux.
C'est notre mode de vie et nous sommes heureux comme ça.
Très belle histoire qui va droit au cœur d'un septuagénaire comme moi. L'action est suggérée, progressive, un peu comme des préliminaires, puis c'est l'acmé le rêve de tout homme. C'est bon de savoir qu'une femme peut ressentir cela, je suis un peu déculpabilisé d'être excité. Mes histoires sont plus fantasmagoriques, la vôtre est tellement réelle...
Vous avez raison. Écrire c'est romancer, rendre intéressant un vécu. Si vous ne trouviez pas necessaire de d'écrire la mise en place d'une capote vous avez bien fait d'écarter ce détail.
Le principal, c'est que vous donnez envie, de vous en mettre u coup aussi.
Malong
Le principal, c'est que vous donnez envie, de vous en mettre u coup aussi.
Malong
Bonjour et merci à tous pour vos com.
Il me semble que mon adresse est visible pour vous madame qui aimeriez échanger sur le sujet
Il me semble que mon adresse est visible pour vous madame qui aimeriez échanger sur le sujet
Sublime
J'adorerais échanger avec vous sur gmail
et peut être aller plus loin en restant dans le domaine du virtuel bien entendu
J'adorerais échanger avec vous sur gmail
et peut être aller plus loin en restant dans le domaine du virtuel bien entendu
quand j'étais étudiante j'ai rencontré beaucoup d'hommes agés ,c'était de loin les plus gentils
Une merveille comme tjrs
un fidèle
un fidèle
Super récit! Très excitant! Je suis moi même agent immobilier donc j'ai bien visualisé les scènes.
Je déduis que tu as 45 ans au moment de cette aventure. C'est exact?
Ta perversité est très excitante, la lubricité du vieil homme aussi, bref j'ai beaucoup aimé!
Alexandre auteur Inavouable
Je déduis que tu as 45 ans au moment de cette aventure. C'est exact?
Ta perversité est très excitante, la lubricité du vieil homme aussi, bref j'ai beaucoup aimé!
Alexandre auteur Inavouable
Une aventure très chaude et très bien racontée. Finalement la patience paire
Merci à vous, toujours agréable de vous lire....
Bonjour j’ai bien aimé ton récit tu nous fais vivre l’instant c’est très excitant. J’aime bien les détails et ton ressenti. Merci pour ce petit moment de plaisir. Je vais lire les autres récits. Excellente journée.
Beau récit bravo
Très excitant ..j'aimais les hommes plus âgés à 17 ans, jeu un amant de 38 puis un autre de 42. À 18 ans j'ai été la maîtresse d'un ami de mon père de 52 ans c'était un peintre brésilien monté comme un âne. 33 ans plus tard, avec min mari on est passé le voir chez sa copine, il était alité et rées mal en point je suis restée seule avec lui dans sa chambre, je lui ai caressé sa verge , il a bondé aussitôt, il m'a dit qu n'y avait plus que ça qui marchait. J'ai enlevé mon slip et je me suis empalée sur sa bite bien raide....