Mon week end avec Isolde
Récit érotique écrit par Florence27 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-09-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Mon week end avec Isolde
MON WEEK-END AVEC ISOLDE
Comme je l’ai dit en postant des photos, Isolde une amie suédoise est venue passer le weekend avec moi puisque mon mari est en voyage en Australie et Nouvelle Zélande.
Je connais Isolde depuis plusieurs années, elle est mariée mais est très bi comme moi.
Sachant que je sors peu depuis mon accident de voiture, ayant des difficultés pour marcher, elle a une la gentillesse de venir, depuis ses terres nordiques, passer quelques jours avec moi.
Donc vendredi après midi, j’ai envoyé le chauffeur la chercher à l’aéroport pendant que je faisais livrer quelques denrées agréables, allant bien avec le saumon fumé qu ‘elle apporterait sûrement. Car j’avais bien l’intention que nous n’ayons pas de problème de ravitaillement et que n’ayons pas à sortir du week-end.
Elle est arrivée toute fraîche et pimpante et nous sommes tombées dans les bras l’une de l’autre. Tout en me disant combien elle était heureuse de me revoir je caressais doucement ses jolies fesses. Quand elle eut fini son monologue sa bouche chercha la mienne qu’elle trouva sans difficulté, je me régalais de son haleine mentholée tandis que ma langue s’enroulait autour de la sienne qui vibrait comme une petite anguille. Elle sortie mon chemisier de mon pantalon et sa main allât chercher un de mes seins dont elle commença à tortiller la pointe entre ses doigts. Je sentais que je commençais à mouiller et je devinais qu’il en était de même pour elle. Comme il faisait très chaud je lui ai proposé de prendre un bain ou une douche pour se rafraîchir, ce qui me permettrait de revoir son corps nu et son joli gazon que j’aimais tant ! Elle acceptât avec plaisir car malgré l’air conditionné de la voiture elle avait trop chaud, elle s’est déshabillée tout en en me racontant les dernières nouvelles de nos amis communs ainsi que ces dernières conquêtes, tout pour augmenter l’humidité de mon entre cuisses. Je contemplais sa toison dans laquelle brillaient des gouttelettes d’eau. Je n’ai pas pu résister plus longtemps et me suis déshabillée à mon tour pour la rejoindre. Nous nous sommes enlacée afin de mieux frotter nos pubis l’une contre l’autre, en même temps que je suçais la pointe d’un de ses seins pour la faire durcir tandis que ma main parcourait sa cuisse fuselée du genoux à l’aine, me rendant compte que l’humidité de sa peau n’était pas simplement due à l’eau de la douche…
Elle basculait sa tête en arrière dans un souffle de plaisir et a murmuré :
- Continues c’est si bon !!!!
Nul besoin de me le dire, je trouvais cela délicieux et n’avait qu’une hâte, sentir ses doigts écarter ma fente pour s’enfoncer en moi en attendant que sa langue ne les remplace.
Nous sommes sorties de la salle de bain pour aller directement dans ma chambre, je lui tenais la main pour la conduire vers notre lieu de débauche, je profitais de la fraîcheur et la douceur de sa peau pour imaginer les voluptés que cette main allait me procurer !!!
Une fois dans la chambre j’ai tiré les rideaux pour que la lumière soit plus intime tandis qu’Isolde s’allongeait sur le lit, allongée sur le dos les bras derrière la tête elle écarta ses longues jambes pour me permettre de bien voir sa fente tandis que je m’approchais d’elle, ses lèvres étaient entre ouvertes et luisantes de cyprine. Je n’avais qu’une idée en tête, aller boire à sa source intime !
Je me suis glissée entre ses jambes faisant courir ma langue de ses pieds jusqu’à sa belle toison blonde. Son souffle commençait à avoir un rythme plus accéléré et elle laissait entendre de petits gémissements, j’étais tellement excitée que je sentais mon propre miel inonder le drap et je portais ma main sur mon clitorice dur et douloureux et qui réclamait d’être soulagé.
J’ai fait parcourir du bout de ma langue sa fente déjà bien ouverte et brillante de son jus délectable que j’avalais avec délice.
J’aspirai son clitoris qui gonflait encore et je malmenais le mien dans mon excitation. Isolde poussait des petits cris de plaisir et sa respiration était haletante, son bassin faisait des soubresauts
- Je vais jouir, !!!
Parvint-elle à articuler à moitié consciente parce que submergée par le plaisir !!!
Un flot de cyprine inondât ma bouche et j’avalais avec délectation trois ou quatre gorgées de son nectar.
Ma fente avait besoin de sentir ses lèvres et sa langue venir l’explorer, mais je remontais tout son corps en le couvrant de petits baisers en m’attardant sur ses adorables pointes de seins et cela jusqu'à ce que nos pubis puissent se frotter l’un contre l’autre afin de s’imprégner mutuellement de l’odeur et du goût de nos délectables et abondantes sécrétions intimes. Tandis que nous échangions des baisers profonds et langoureux.
Je me suis allongée sur le dos, jambes bien écartées tandis qu’Isolde s’agenouillait à mes cotés les cuisses largement écartées pou que mes doigts aient un libre accès à sa petite fente surmontée d’une jolie toison blonde. Elle se penchât pour parcourir tout mon corps d’une langue mutines en s’attardant sur mes pointes de seins qui se dressaient fièrement pour atteindre enfin a fente humide et même ruisselante afin d’y chercher mon clitoris ne demandait qu’à être sucé avec fougue et elle n’en manquait pas.
L’heure de l’apéritif étant arrivée nous décidions qu’une petite pose serait la bien venue et que du champagne accompagné de "mezzà" seraient un excellent tonique en vue d'autres jeux. D'un commun accord nous avons décidé de ne pas remettre de vêtements du week-end n'ayant pas à sortir le réfrigérateur étant suffisamment plein de tout ce qu'il fallait pour soutenir un siège!!!
Nous avons pris place dans des chaises longues sur le balcon où la végétation nous protège des regards indiscrets, assises l'une en face de l'autre nous dégustions notre collation tandis que mon orteil allait taquiner sa fente qui se remettait à couler!!!
Elle fermait les yeux, la tête en arrière et laissait échapper des râles de bonheur et de plaisir. Cette vision m'enchantait et je sentais mes seins durcir et mes lèvres inférieures se nacraient de mouille.
Je sentais qu'elle arrivait à l'orgasme et je stoppais mon petit jeu en lui disant :
- Fini toi ma belle j'aime te regarder te masturber!!!
Elle décalottât son clitoris de ses doigts fin, il était tout gonflé son indexe en agaçait la pointe et brusquement un jet de cyprine a fusé hors de ses lèvres si puissamment que mes genoux en furent couverts et que je m'empressais de l'essuyer avec ma main pour me lécher mes doigts, le goût était bien assorti au champagne et une idée me vint à l'esprit.
Après le dîner, je la mettrai en pratique !
Nous avons décidé de rester sur le balcon pour déguster le saumon sauvage fumé qu'elle avait apporté, suivi de quelques plats épicés provenant d'un excellent traiteur chinois le tout bien sur arrosé de champagne, nous avons fait honneur au dîner en restant sages et en parlant de tout et de rien comme les femmes adorent le faire, mode coiffure, sexe etc…
Dès que le repas fut terminé, je l'ai entraîné vers la chambre en raflant la bouteille de champagne et deux verres. J'avais hâte de mettre mon idée en pratique, avec elle en espérant qu'elle marcherait aussi bien q'avec d'autres….
Je lui ai demandé de s'allonger sur le dos en écartant bien les jambes, j'ai glissé un oreiller sous ses reins pour bien remonter son bassin, elle fermait les yeux en attente du plaisir, c'était fort bien elle ne regarderait pas ma préparation, tout en caressant ses petits seins, j'ai pris une grande gorgé de champagne que j'ai gardée en bouche et je suis allée au contact de la jolie fente, j'ai écarté ses lèvres de mes pouces et j'ai posé ma bouche sur le rose de son fruit et soufflant le champagne que j'avais dans la bouche, elle s'est mise à gigoter en sentant le liquide froid et mousseux envahir sa jolie caverne.
- Que fais-tu me demanda-t-elle ?
- Je mélange le nectar de la vigne avec ton nectar à toi.
Elle se tordait dans tous les sens en disant qu'elle n'avait jamais ressenti quelque chose de pareil.
Je lui dis :
- Mais ce n'est pas fini, en approchant le verre de son ouverture pour en récolter ce qui en coulait, comme le m"lange n'est pas encore parfait à mon goût, tu vas te masturber et quand tu couleras bien je remplirai le verre.
Son doigt vint aussitôt caresser son clitoris, j'avoue que je faisais de même avec le mien!!!
Quand le jus translucide a commencé à être assez abondant chez elle comme chez moi de remplissais le verre de ces épanchements, j'ajoutais un peu de champagne et lui tendis la coupe pleine de liquide d'amour elle bût et j'en fis de même. Les bouches pleines de nos senteurs les plus suaves nous nous sommes embrassées avec fougue……
La nuit promettrait d'être longue, mais ce sera une suite à ce début.
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Tout en poursuivant notre baiser nous nous allongeâmes entremêlant nos jambes afin de pouvoir frotter nos pubis, aux toisons humides, l'un contre l'autre. Cela était bon mais pas suffisant pour atteindre l'orgasme. Nous avons décidé de nous asseoir en tailleur, face à face, jambes imbriquées et aussi près que possible l'une de l'autre afin que nos chattes puissent se frotter, les doigts de l'une allant caresser le clito de l'autre ou bien nous nous masturbions en regardant nos doigts s'activer sur nos boutons d'amour. Nous n'avons pas tardé à sentir monter le plaisir et simultanément nous avons eu un violent orgasme projetant sur l'autre un jet puissant de mouille, à peine revenue à la réalité nous avons continué à stimuler cette partie, si délicieuse, de nos corps. Nous avons atteint trois ou quatre moments de félicité la plus totale et nos petits pénis devenait douloureux. Allongées l'une contre l'autre nous avons continué à nous embrasser en jouant avec la pointe, bien tendue, de nos seins. La fatigue se faisant sentir nous nous sommes endormies la tête pleine d'images merveilleuses propices à des rêves érotiques de bonne qualité!!!
Au milieu de la nuit je me suis réveillée et je regardais Isolde dormant comme un bébé. Quel était belle!
Son corps fin détendu, sa respiration régulière, ses cuisses fuselées en le regardant plus attentivement je me suis rendue compte qu'elles étaient brillantes, en effet sa fente laissait suinter un liquide plein de douceur. J'ai commencé à la caresser en partant des genoux pour remonter jusqu'à son pubis, bien que dormant toujours elle a écarté ses cuisses et j'ai pu introduire mon indexe dans son intimité. Il a pénétré sans effort tellement elle était lubrifiée. Elle a ouvert un oeil et m'a dit :
- Ma chérie, je rêvais de toi. Continue c'est si bon !!!
- Laisse toi faire je vais me mettre à couler.
- Quand ma source aura un débit suffisant pour bien mouiller mes cuisses tu viendras me lécher du bout de ta langue jolie langue tandis que je continuerai à chercher ton petit clito pour le faire durcir.
Immédiatement elle s'est pliée en deux pour rapprocher sa bouche de mon sexe en sortant un petit bout de langue prometteur. On aurait dit un petit chat, gourmand, se délectant d'un bol de lait J'ai eu envie de la savourer aussi et je me sui mise en position de 69. Ayant une jambe relevée pour que nos fentes soient faciles à atteindre, nous nous sommes sucées avec fougue. Nous aspirions nos jus respectifs avec avidité, emplissant nos papilles de leur goût si particulier. Je caressais ses petites fesses toutes fermes tandis que se mais écartais mes lèvres intimes pour mieux pouvoir laper ce que produisait en abondance ma fontaine intime. Nous étions l'une et l'autre barbouillées comme un enfant dégustant des cerises.
Nous avons eu ensemble un orgasme fulgurant déclenchant un jet qui vînt emplir nos bouches. Sans même nous essuyer nous avons échangé un baiser profond afin de mieux nous délecter de nos saveurs mélangées, tout en caressant no seins en excitant les pointes qui durcir instantanément.
Toujours enlacées nous avons replongé dans un profond sommeil rempli d'images délicieuses et licencieuses!!!
Un soleil splendide, filtrant des volets, nous a réveillées vers 9 heures. En me regardant Isolde est partie d'un grand éclat de rire, je ne comprenais pas pourquoi jusqu'à ce que je la regarde mieux; elle avait la tête de quelqu'un qui a fait la bringue toute la nuit et de larges cernes soulignaient le bleu profond de ses yeux. Il devait en être de même pour moi ce qui expliquait son hilarité….
Je me suis mise aussi à éclater de rire et nous avons convenu que de folles nuits comme celle que nous avions passé n'étaient plus de notre age!!!
Nous avons donc décidé d'être sages, jusqu'à nouvel avis, sachant que nous ne tiendrions pas notre résolution bien longtemps.
La chaleur commençait à être forte il était donc inutile de nous habiller. Une douche rapide avant le petit déjeuner, pour ensuite prendre un bain que j'imaginais déjà "crapuleux"…
Nous nous sommes installées sur le balcon devant un breakfast copieux pour reprendre les calories perdues dans nos ébats.
Je demandais à Isolde si elle avait du shopping à faire, la bouche pleine elle fit une dénégation de la tête. Quelle était belle, nue dans le soleil, ses petits seins bougeant librement. Elle me demandait des nouvelles de Frédéric, tandis que son pied, sous la table longeait ma cuisse à la recherche de ma toison pour la caresser. Je lui en donnais tandis que mon pied partait explorer son entrecuisse et que je lui demandais des nouvelles de son mari.
- Il est parti dans le grand Nord, au-delà du cercle polaire, pour régler des problèmes sur un chantier. Je ne sais pas si pour meubler ses loisirs il a fait son choix entre une femelle rêne et une laponne, me dit-ele….
- Tu es dégeulasse lui dis-je, Frédéric lui se borne à avoir des vues sur un des pilotes de son avion, une charmante blonde de 28 ans.
- Je pense, que pour une fois, j'irai le chercher au Bourget pour voir la donzelle et tenter éventuellement ma chance!!!
- Tu es tout aussi dégeulasse que moi!
Je l'admis et décidais, pour mettre fin à cette conversation sordide, que l'heure du bain était venue.
Nous nous sommes chamaillées, comme deux gamines, pour le parfum du gel douche.
L'eau coulait et produisait une mousse abondante. En attendant que le bon niveau soit atteint nous prenions la mousse à pleine main et nous faisions comme une bataille de boule de neige en riant comme des folles; pour tomber dans les bras l'une de l'autre et enjamber de concert la baignoire, nos lèvres collées dans un baiser où la langue de l'une jouait à cache cache avec celle de l'autre. Je me retournais pour venir m'assoire entre ses jambes pour qu'elle puisse m'embrasser dans le cou et derrière l'oreille, cela me donne la chair de poule et déclenche en général une inondation dont l'odeur irait se mélanger à celle de la mousse.
Ma main filait vers ma fente, comme attirée par un aimant. Je sentis la sienne venir effleurer un sein pour descendre rejoindre sa consœur. La mienne écartât mes lèvres pour permettre à la sienne d'aller exciter mon clitoris bien qu'il soit douloureux des traitements subis. En même temps je frottais le bas de mon dos contre son blond gazon.
Je sentais le plaisir monter et l'orgasme déferler, ma respiration se faisait plus haletante et son doigt s'agitait de plus en plus vite sur mon bouton d'amour turgescent. L'orgasme déferla comme une immense vague et dans une semi-conscience je poussais un cri de bonheur et laissais ma tête basculer contre la joue d'Isolde. Elle me laissât reprendre mes esprit et me dit :
- Tu ne va pas t'en tirer à si bon compte, ma chérie, parce que dans l'histoire c'est moi qui suis lésée.
- Oui douce Isolde je vais m'occuper de toi comme tu le mérites.
Saisissant en même temps une éponge naturelle et lui demandant de se mettre debout. J'ai commencé à passer doucement l'éponge sur ses jambes fuselées, je remontais lentement, délaissant volontairement son mont de vénus pour aller vers ses seins j'en agaçais la pointe, dessinait des cercles sur les aréoles. Isolde fermait les yeux mais elle ne pue pas s'empêcher de laisser aller sa main vers sa toison pour la peigner lentement. J'écartais cette main furtive pour, de mes pouces écarter ses lèvres pour contempler le rose de leur intérieur et décalotter son bouton d'amour afin de pouvoir l'enrober de mes lèvres avides et le faire durcir de ma langue mutine. La respiration d'Isolde se faisait plus bruyante, plus saccadée, soudain un jet puissant inondât ma bouche et j'en avalais, avec délices, jusqu'à la dernière goutte avant qu'elle ne s'écroule dans mes bras comme un pantin désarticulé.
Etant l'une et l'autre revenues à la réalité nous sommes allées sur le balcon prendre un bain de soleil bien mérité. Et nous nous sommes endormies à l'ombre des parasols…….
Le soleil commençait à décliner quand nous nous réveillâmes, j'ai la chance d'avoir la peau mate mais Isolde avait pris une charmante teinte rose ! Nous avions soif et je suis allé chercher du champagne. Nous nous regardions avec un sourire ironique. Quel bon week-end nous passions !
Cependant et malgré notre décision d'hier, nous avons décidé d'aller dîner dehors cela nous ferait une pose bienfaitrice dans nos jeux pas très sages!
Après une douche commune sous laquelle, j'en étais surprise moi-même, nous n'avons fait que rafraîchir nos épidermes, nous sommes passées à la grave question de savoir comment nous habiller ?
D'un commun accord nous avons dit que compte tenu de la chaleur aucun sous-vêtement n'était nécessaire. J'ai opté pour une jupe longue style gitane afin de cacher les cicatrices de mes gambettes et un chemisier blanc comme la jupe mais peu boutonné devant. Isolde a choisi une robe bleue de la même teinte que ses yeux, elle lui arrivait juste en dessous des fesses et quand je lui ai fait remarquer q'il ne fallait pas quelle se penche ou écarte trop les jambes à moins de vouloir faire profiter tout le monde de la vue de sa blonde toison, ce qui n'aurait pas été pour lui déplaire, elle me répondit :
- Mais ma chérie c'est tellement plus pratique que la tienne pour que tu puisses me caresser dans la voiture !
- Je suis d'accord avec toi mais tu vas encore couler sur le cuir de la banquette et Frédéric va geuler en disant que nous pourrions attendre de ne plus être en voiture pour faire nos cochonneries!
- Il est gonflé car quand on le branle en voiture il ne trouve rien à redire. Mais il est vrai que son sperme coule plus dans nos bouches que
Une fois maquillées et toutes pimpantes, j'ai demandé au chauffeur de nous conduire à Saint Germain des Prés; nous avions l'intention de commencer par un verre au Deux Magots, afin de regarder passer les hommes éventuellement, mais surtout les filles très appétissantes dans leurs tenues estivales et de nous livrer à un de nos jeux favoris à savoir si elle portait un soutien gorge, un slip, était une vraie blonde, épilée totalement ou pas. Jeu très amusant et un peu puéril mais qui passait agréablement le temps en sirotant force champagne-cocktail et ensuite d'aller dîner chez Lipp.
Pas mal d'hommes nous regardaient rire sous cape comme des folles et ayant l'une pour l'autre des gestes qui pouvaient être équivoques, bref ces baves garçons se demandaient si c'était du lard ou du cochon, quelques filles aussi. Pour deux ou trois d'entre elles nous pensions qu'un trio ou un quatuor n'aurait pas été mal, mais nous avions la flemme de draguer ouvertement, si ce n'est lourdement!
Nous avons fait une entrée remarquée dans la célèbre brasserie puis qu'Isolde me précédait et que je lui avais mis sans vergogne la main aux fesses. Je saluais différentes connaissances, le sourire de certains, derrière la civilité de leur propos, exprimait bien le fond de leur pensée.
"Florence avec une nouvelle conquête pendant que son mari est en voyage!!"
Mais je souriais et aurais aimé qu'ils comprennent que ce sourire avenant n'était que l'expression d'un profond mépris car je connaissais les turpitudes et les frasques de certains et certaines, mais dans ce genre de monde l'hypocrisie fait partie des codes.
Nous avons fort bien dîné et décidé qu'une eau de vie de poire serait une excellente transition entre la fin de notre escapade et des jeux moins juvéniles……
Ni une ni deux, le chauffeur nous a conduites dans un club privé dont mon mari est membre
Où tout à loisir, un dégustant une merveilleuse poire, nous avons tranché la question de savoir si nous rentrerions seules où si nous cherchions une voire deux accompagnatrices. Nous avons, vite, tranché la question. C'était trop fatigant et nous étions très bien toutes les deux. Nous nous fîmes donc reconduire au bercail et le trajet de retour nous à permis d'échanger de langoureux baisers, sous l'œil amusé de Benoît (le chauffeur).
Comme je l’ai dit en postant des photos, Isolde une amie suédoise est venue passer le weekend avec moi puisque mon mari est en voyage en Australie et Nouvelle Zélande.
Je connais Isolde depuis plusieurs années, elle est mariée mais est très bi comme moi.
Sachant que je sors peu depuis mon accident de voiture, ayant des difficultés pour marcher, elle a une la gentillesse de venir, depuis ses terres nordiques, passer quelques jours avec moi.
Donc vendredi après midi, j’ai envoyé le chauffeur la chercher à l’aéroport pendant que je faisais livrer quelques denrées agréables, allant bien avec le saumon fumé qu ‘elle apporterait sûrement. Car j’avais bien l’intention que nous n’ayons pas de problème de ravitaillement et que n’ayons pas à sortir du week-end.
Elle est arrivée toute fraîche et pimpante et nous sommes tombées dans les bras l’une de l’autre. Tout en me disant combien elle était heureuse de me revoir je caressais doucement ses jolies fesses. Quand elle eut fini son monologue sa bouche chercha la mienne qu’elle trouva sans difficulté, je me régalais de son haleine mentholée tandis que ma langue s’enroulait autour de la sienne qui vibrait comme une petite anguille. Elle sortie mon chemisier de mon pantalon et sa main allât chercher un de mes seins dont elle commença à tortiller la pointe entre ses doigts. Je sentais que je commençais à mouiller et je devinais qu’il en était de même pour elle. Comme il faisait très chaud je lui ai proposé de prendre un bain ou une douche pour se rafraîchir, ce qui me permettrait de revoir son corps nu et son joli gazon que j’aimais tant ! Elle acceptât avec plaisir car malgré l’air conditionné de la voiture elle avait trop chaud, elle s’est déshabillée tout en en me racontant les dernières nouvelles de nos amis communs ainsi que ces dernières conquêtes, tout pour augmenter l’humidité de mon entre cuisses. Je contemplais sa toison dans laquelle brillaient des gouttelettes d’eau. Je n’ai pas pu résister plus longtemps et me suis déshabillée à mon tour pour la rejoindre. Nous nous sommes enlacée afin de mieux frotter nos pubis l’une contre l’autre, en même temps que je suçais la pointe d’un de ses seins pour la faire durcir tandis que ma main parcourait sa cuisse fuselée du genoux à l’aine, me rendant compte que l’humidité de sa peau n’était pas simplement due à l’eau de la douche…
Elle basculait sa tête en arrière dans un souffle de plaisir et a murmuré :
- Continues c’est si bon !!!!
Nul besoin de me le dire, je trouvais cela délicieux et n’avait qu’une hâte, sentir ses doigts écarter ma fente pour s’enfoncer en moi en attendant que sa langue ne les remplace.
Nous sommes sorties de la salle de bain pour aller directement dans ma chambre, je lui tenais la main pour la conduire vers notre lieu de débauche, je profitais de la fraîcheur et la douceur de sa peau pour imaginer les voluptés que cette main allait me procurer !!!
Une fois dans la chambre j’ai tiré les rideaux pour que la lumière soit plus intime tandis qu’Isolde s’allongeait sur le lit, allongée sur le dos les bras derrière la tête elle écarta ses longues jambes pour me permettre de bien voir sa fente tandis que je m’approchais d’elle, ses lèvres étaient entre ouvertes et luisantes de cyprine. Je n’avais qu’une idée en tête, aller boire à sa source intime !
Je me suis glissée entre ses jambes faisant courir ma langue de ses pieds jusqu’à sa belle toison blonde. Son souffle commençait à avoir un rythme plus accéléré et elle laissait entendre de petits gémissements, j’étais tellement excitée que je sentais mon propre miel inonder le drap et je portais ma main sur mon clitorice dur et douloureux et qui réclamait d’être soulagé.
J’ai fait parcourir du bout de ma langue sa fente déjà bien ouverte et brillante de son jus délectable que j’avalais avec délice.
J’aspirai son clitoris qui gonflait encore et je malmenais le mien dans mon excitation. Isolde poussait des petits cris de plaisir et sa respiration était haletante, son bassin faisait des soubresauts
- Je vais jouir, !!!
Parvint-elle à articuler à moitié consciente parce que submergée par le plaisir !!!
Un flot de cyprine inondât ma bouche et j’avalais avec délectation trois ou quatre gorgées de son nectar.
Ma fente avait besoin de sentir ses lèvres et sa langue venir l’explorer, mais je remontais tout son corps en le couvrant de petits baisers en m’attardant sur ses adorables pointes de seins et cela jusqu'à ce que nos pubis puissent se frotter l’un contre l’autre afin de s’imprégner mutuellement de l’odeur et du goût de nos délectables et abondantes sécrétions intimes. Tandis que nous échangions des baisers profonds et langoureux.
Je me suis allongée sur le dos, jambes bien écartées tandis qu’Isolde s’agenouillait à mes cotés les cuisses largement écartées pou que mes doigts aient un libre accès à sa petite fente surmontée d’une jolie toison blonde. Elle se penchât pour parcourir tout mon corps d’une langue mutines en s’attardant sur mes pointes de seins qui se dressaient fièrement pour atteindre enfin a fente humide et même ruisselante afin d’y chercher mon clitoris ne demandait qu’à être sucé avec fougue et elle n’en manquait pas.
L’heure de l’apéritif étant arrivée nous décidions qu’une petite pose serait la bien venue et que du champagne accompagné de "mezzà" seraient un excellent tonique en vue d'autres jeux. D'un commun accord nous avons décidé de ne pas remettre de vêtements du week-end n'ayant pas à sortir le réfrigérateur étant suffisamment plein de tout ce qu'il fallait pour soutenir un siège!!!
Nous avons pris place dans des chaises longues sur le balcon où la végétation nous protège des regards indiscrets, assises l'une en face de l'autre nous dégustions notre collation tandis que mon orteil allait taquiner sa fente qui se remettait à couler!!!
Elle fermait les yeux, la tête en arrière et laissait échapper des râles de bonheur et de plaisir. Cette vision m'enchantait et je sentais mes seins durcir et mes lèvres inférieures se nacraient de mouille.
Je sentais qu'elle arrivait à l'orgasme et je stoppais mon petit jeu en lui disant :
- Fini toi ma belle j'aime te regarder te masturber!!!
Elle décalottât son clitoris de ses doigts fin, il était tout gonflé son indexe en agaçait la pointe et brusquement un jet de cyprine a fusé hors de ses lèvres si puissamment que mes genoux en furent couverts et que je m'empressais de l'essuyer avec ma main pour me lécher mes doigts, le goût était bien assorti au champagne et une idée me vint à l'esprit.
Après le dîner, je la mettrai en pratique !
Nous avons décidé de rester sur le balcon pour déguster le saumon sauvage fumé qu'elle avait apporté, suivi de quelques plats épicés provenant d'un excellent traiteur chinois le tout bien sur arrosé de champagne, nous avons fait honneur au dîner en restant sages et en parlant de tout et de rien comme les femmes adorent le faire, mode coiffure, sexe etc…
Dès que le repas fut terminé, je l'ai entraîné vers la chambre en raflant la bouteille de champagne et deux verres. J'avais hâte de mettre mon idée en pratique, avec elle en espérant qu'elle marcherait aussi bien q'avec d'autres….
Je lui ai demandé de s'allonger sur le dos en écartant bien les jambes, j'ai glissé un oreiller sous ses reins pour bien remonter son bassin, elle fermait les yeux en attente du plaisir, c'était fort bien elle ne regarderait pas ma préparation, tout en caressant ses petits seins, j'ai pris une grande gorgé de champagne que j'ai gardée en bouche et je suis allée au contact de la jolie fente, j'ai écarté ses lèvres de mes pouces et j'ai posé ma bouche sur le rose de son fruit et soufflant le champagne que j'avais dans la bouche, elle s'est mise à gigoter en sentant le liquide froid et mousseux envahir sa jolie caverne.
- Que fais-tu me demanda-t-elle ?
- Je mélange le nectar de la vigne avec ton nectar à toi.
Elle se tordait dans tous les sens en disant qu'elle n'avait jamais ressenti quelque chose de pareil.
Je lui dis :
- Mais ce n'est pas fini, en approchant le verre de son ouverture pour en récolter ce qui en coulait, comme le m"lange n'est pas encore parfait à mon goût, tu vas te masturber et quand tu couleras bien je remplirai le verre.
Son doigt vint aussitôt caresser son clitoris, j'avoue que je faisais de même avec le mien!!!
Quand le jus translucide a commencé à être assez abondant chez elle comme chez moi de remplissais le verre de ces épanchements, j'ajoutais un peu de champagne et lui tendis la coupe pleine de liquide d'amour elle bût et j'en fis de même. Les bouches pleines de nos senteurs les plus suaves nous nous sommes embrassées avec fougue……
La nuit promettrait d'être longue, mais ce sera une suite à ce début.
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Tout en poursuivant notre baiser nous nous allongeâmes entremêlant nos jambes afin de pouvoir frotter nos pubis, aux toisons humides, l'un contre l'autre. Cela était bon mais pas suffisant pour atteindre l'orgasme. Nous avons décidé de nous asseoir en tailleur, face à face, jambes imbriquées et aussi près que possible l'une de l'autre afin que nos chattes puissent se frotter, les doigts de l'une allant caresser le clito de l'autre ou bien nous nous masturbions en regardant nos doigts s'activer sur nos boutons d'amour. Nous n'avons pas tardé à sentir monter le plaisir et simultanément nous avons eu un violent orgasme projetant sur l'autre un jet puissant de mouille, à peine revenue à la réalité nous avons continué à stimuler cette partie, si délicieuse, de nos corps. Nous avons atteint trois ou quatre moments de félicité la plus totale et nos petits pénis devenait douloureux. Allongées l'une contre l'autre nous avons continué à nous embrasser en jouant avec la pointe, bien tendue, de nos seins. La fatigue se faisant sentir nous nous sommes endormies la tête pleine d'images merveilleuses propices à des rêves érotiques de bonne qualité!!!
Au milieu de la nuit je me suis réveillée et je regardais Isolde dormant comme un bébé. Quel était belle!
Son corps fin détendu, sa respiration régulière, ses cuisses fuselées en le regardant plus attentivement je me suis rendue compte qu'elles étaient brillantes, en effet sa fente laissait suinter un liquide plein de douceur. J'ai commencé à la caresser en partant des genoux pour remonter jusqu'à son pubis, bien que dormant toujours elle a écarté ses cuisses et j'ai pu introduire mon indexe dans son intimité. Il a pénétré sans effort tellement elle était lubrifiée. Elle a ouvert un oeil et m'a dit :
- Ma chérie, je rêvais de toi. Continue c'est si bon !!!
- Laisse toi faire je vais me mettre à couler.
- Quand ma source aura un débit suffisant pour bien mouiller mes cuisses tu viendras me lécher du bout de ta langue jolie langue tandis que je continuerai à chercher ton petit clito pour le faire durcir.
Immédiatement elle s'est pliée en deux pour rapprocher sa bouche de mon sexe en sortant un petit bout de langue prometteur. On aurait dit un petit chat, gourmand, se délectant d'un bol de lait J'ai eu envie de la savourer aussi et je me sui mise en position de 69. Ayant une jambe relevée pour que nos fentes soient faciles à atteindre, nous nous sommes sucées avec fougue. Nous aspirions nos jus respectifs avec avidité, emplissant nos papilles de leur goût si particulier. Je caressais ses petites fesses toutes fermes tandis que se mais écartais mes lèvres intimes pour mieux pouvoir laper ce que produisait en abondance ma fontaine intime. Nous étions l'une et l'autre barbouillées comme un enfant dégustant des cerises.
Nous avons eu ensemble un orgasme fulgurant déclenchant un jet qui vînt emplir nos bouches. Sans même nous essuyer nous avons échangé un baiser profond afin de mieux nous délecter de nos saveurs mélangées, tout en caressant no seins en excitant les pointes qui durcir instantanément.
Toujours enlacées nous avons replongé dans un profond sommeil rempli d'images délicieuses et licencieuses!!!
Un soleil splendide, filtrant des volets, nous a réveillées vers 9 heures. En me regardant Isolde est partie d'un grand éclat de rire, je ne comprenais pas pourquoi jusqu'à ce que je la regarde mieux; elle avait la tête de quelqu'un qui a fait la bringue toute la nuit et de larges cernes soulignaient le bleu profond de ses yeux. Il devait en être de même pour moi ce qui expliquait son hilarité….
Je me suis mise aussi à éclater de rire et nous avons convenu que de folles nuits comme celle que nous avions passé n'étaient plus de notre age!!!
Nous avons donc décidé d'être sages, jusqu'à nouvel avis, sachant que nous ne tiendrions pas notre résolution bien longtemps.
La chaleur commençait à être forte il était donc inutile de nous habiller. Une douche rapide avant le petit déjeuner, pour ensuite prendre un bain que j'imaginais déjà "crapuleux"…
Nous nous sommes installées sur le balcon devant un breakfast copieux pour reprendre les calories perdues dans nos ébats.
Je demandais à Isolde si elle avait du shopping à faire, la bouche pleine elle fit une dénégation de la tête. Quelle était belle, nue dans le soleil, ses petits seins bougeant librement. Elle me demandait des nouvelles de Frédéric, tandis que son pied, sous la table longeait ma cuisse à la recherche de ma toison pour la caresser. Je lui en donnais tandis que mon pied partait explorer son entrecuisse et que je lui demandais des nouvelles de son mari.
- Il est parti dans le grand Nord, au-delà du cercle polaire, pour régler des problèmes sur un chantier. Je ne sais pas si pour meubler ses loisirs il a fait son choix entre une femelle rêne et une laponne, me dit-ele….
- Tu es dégeulasse lui dis-je, Frédéric lui se borne à avoir des vues sur un des pilotes de son avion, une charmante blonde de 28 ans.
- Je pense, que pour une fois, j'irai le chercher au Bourget pour voir la donzelle et tenter éventuellement ma chance!!!
- Tu es tout aussi dégeulasse que moi!
Je l'admis et décidais, pour mettre fin à cette conversation sordide, que l'heure du bain était venue.
Nous nous sommes chamaillées, comme deux gamines, pour le parfum du gel douche.
L'eau coulait et produisait une mousse abondante. En attendant que le bon niveau soit atteint nous prenions la mousse à pleine main et nous faisions comme une bataille de boule de neige en riant comme des folles; pour tomber dans les bras l'une de l'autre et enjamber de concert la baignoire, nos lèvres collées dans un baiser où la langue de l'une jouait à cache cache avec celle de l'autre. Je me retournais pour venir m'assoire entre ses jambes pour qu'elle puisse m'embrasser dans le cou et derrière l'oreille, cela me donne la chair de poule et déclenche en général une inondation dont l'odeur irait se mélanger à celle de la mousse.
Ma main filait vers ma fente, comme attirée par un aimant. Je sentis la sienne venir effleurer un sein pour descendre rejoindre sa consœur. La mienne écartât mes lèvres pour permettre à la sienne d'aller exciter mon clitoris bien qu'il soit douloureux des traitements subis. En même temps je frottais le bas de mon dos contre son blond gazon.
Je sentais le plaisir monter et l'orgasme déferler, ma respiration se faisait plus haletante et son doigt s'agitait de plus en plus vite sur mon bouton d'amour turgescent. L'orgasme déferla comme une immense vague et dans une semi-conscience je poussais un cri de bonheur et laissais ma tête basculer contre la joue d'Isolde. Elle me laissât reprendre mes esprit et me dit :
- Tu ne va pas t'en tirer à si bon compte, ma chérie, parce que dans l'histoire c'est moi qui suis lésée.
- Oui douce Isolde je vais m'occuper de toi comme tu le mérites.
Saisissant en même temps une éponge naturelle et lui demandant de se mettre debout. J'ai commencé à passer doucement l'éponge sur ses jambes fuselées, je remontais lentement, délaissant volontairement son mont de vénus pour aller vers ses seins j'en agaçais la pointe, dessinait des cercles sur les aréoles. Isolde fermait les yeux mais elle ne pue pas s'empêcher de laisser aller sa main vers sa toison pour la peigner lentement. J'écartais cette main furtive pour, de mes pouces écarter ses lèvres pour contempler le rose de leur intérieur et décalotter son bouton d'amour afin de pouvoir l'enrober de mes lèvres avides et le faire durcir de ma langue mutine. La respiration d'Isolde se faisait plus bruyante, plus saccadée, soudain un jet puissant inondât ma bouche et j'en avalais, avec délices, jusqu'à la dernière goutte avant qu'elle ne s'écroule dans mes bras comme un pantin désarticulé.
Etant l'une et l'autre revenues à la réalité nous sommes allées sur le balcon prendre un bain de soleil bien mérité. Et nous nous sommes endormies à l'ombre des parasols…….
Le soleil commençait à décliner quand nous nous réveillâmes, j'ai la chance d'avoir la peau mate mais Isolde avait pris une charmante teinte rose ! Nous avions soif et je suis allé chercher du champagne. Nous nous regardions avec un sourire ironique. Quel bon week-end nous passions !
Cependant et malgré notre décision d'hier, nous avons décidé d'aller dîner dehors cela nous ferait une pose bienfaitrice dans nos jeux pas très sages!
Après une douche commune sous laquelle, j'en étais surprise moi-même, nous n'avons fait que rafraîchir nos épidermes, nous sommes passées à la grave question de savoir comment nous habiller ?
D'un commun accord nous avons dit que compte tenu de la chaleur aucun sous-vêtement n'était nécessaire. J'ai opté pour une jupe longue style gitane afin de cacher les cicatrices de mes gambettes et un chemisier blanc comme la jupe mais peu boutonné devant. Isolde a choisi une robe bleue de la même teinte que ses yeux, elle lui arrivait juste en dessous des fesses et quand je lui ai fait remarquer q'il ne fallait pas quelle se penche ou écarte trop les jambes à moins de vouloir faire profiter tout le monde de la vue de sa blonde toison, ce qui n'aurait pas été pour lui déplaire, elle me répondit :
- Mais ma chérie c'est tellement plus pratique que la tienne pour que tu puisses me caresser dans la voiture !
- Je suis d'accord avec toi mais tu vas encore couler sur le cuir de la banquette et Frédéric va geuler en disant que nous pourrions attendre de ne plus être en voiture pour faire nos cochonneries!
- Il est gonflé car quand on le branle en voiture il ne trouve rien à redire. Mais il est vrai que son sperme coule plus dans nos bouches que
Une fois maquillées et toutes pimpantes, j'ai demandé au chauffeur de nous conduire à Saint Germain des Prés; nous avions l'intention de commencer par un verre au Deux Magots, afin de regarder passer les hommes éventuellement, mais surtout les filles très appétissantes dans leurs tenues estivales et de nous livrer à un de nos jeux favoris à savoir si elle portait un soutien gorge, un slip, était une vraie blonde, épilée totalement ou pas. Jeu très amusant et un peu puéril mais qui passait agréablement le temps en sirotant force champagne-cocktail et ensuite d'aller dîner chez Lipp.
Pas mal d'hommes nous regardaient rire sous cape comme des folles et ayant l'une pour l'autre des gestes qui pouvaient être équivoques, bref ces baves garçons se demandaient si c'était du lard ou du cochon, quelques filles aussi. Pour deux ou trois d'entre elles nous pensions qu'un trio ou un quatuor n'aurait pas été mal, mais nous avions la flemme de draguer ouvertement, si ce n'est lourdement!
Nous avons fait une entrée remarquée dans la célèbre brasserie puis qu'Isolde me précédait et que je lui avais mis sans vergogne la main aux fesses. Je saluais différentes connaissances, le sourire de certains, derrière la civilité de leur propos, exprimait bien le fond de leur pensée.
"Florence avec une nouvelle conquête pendant que son mari est en voyage!!"
Mais je souriais et aurais aimé qu'ils comprennent que ce sourire avenant n'était que l'expression d'un profond mépris car je connaissais les turpitudes et les frasques de certains et certaines, mais dans ce genre de monde l'hypocrisie fait partie des codes.
Nous avons fort bien dîné et décidé qu'une eau de vie de poire serait une excellente transition entre la fin de notre escapade et des jeux moins juvéniles……
Ni une ni deux, le chauffeur nous a conduites dans un club privé dont mon mari est membre
Où tout à loisir, un dégustant une merveilleuse poire, nous avons tranché la question de savoir si nous rentrerions seules où si nous cherchions une voire deux accompagnatrices. Nous avons, vite, tranché la question. C'était trop fatigant et nous étions très bien toutes les deux. Nous nous fîmes donc reconduire au bercail et le trajet de retour nous à permis d'échanger de langoureux baisers, sous l'œil amusé de Benoît (le chauffeur).
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoire plutôt sympa, une fois qu'on a compris le code de lecture et la conjugaison approx... Chère Florence 27, ât est une terminaison propre à l'imparfait du subjonctif !
Dans tes histoires, tu dois écrire simplement "elle accepta" plutôt "elle acceptât".
Ceci dit, parce que ça gâche sincèrement mon plaisir, très bonnes histoires, en général !
Dans tes histoires, tu dois écrire simplement "elle accepta" plutôt "elle acceptât".
Ceci dit, parce que ça gâche sincèrement mon plaisir, très bonnes histoires, en général !