Monastir - histoire érotique

Monastir, nous venons d’atterrir sur le tarmac.
Il fait chaud en ce mois de Juin.
Lorsque nous avons quitté Paris, il brouillassait et faisait froid, le contraste est brutal.
Une navette nous attend pour nous conduire à l’hôtel club que nous avons réservé.
Un forfait avion + transport + hôtel all-inclusive pour une semaine à un prix très raisonnable.

Quand nous sommes arrivés à la réception et après avoir rempli tous les papiers d’usage, un groom est venu nous chercher pour nous conduire à notre chambre.
L’entrée de l’hôtel était propre et très accueillante, le personnel de la réception fort aimable et toujours souriant, ce qui était de bonne augure pour ce démarrage de notre petite semaine de vacances en Tunisie.
En nous rendant à notre logement nous sommes passé devant une très belle piscine et avons emprunté des allées fleuries, verdoyantes et arborées sur les côtés.
On pouvait distinguer la plage à quelques centaines de mètres, elle semblait être publique car hors du club.
De grands bungalows en dur, de type appartement, composés de plusieurs logements étaient dispersés sur le site.
Le groom nous a ouvert l’un d’entre eux.
Une fois entré dans la chambre nous fûmes agréablement surpris en voyant deux serviettes en forme de canard posées sur le lit ainsi que de multiples pétales de roses.
Climatisé, une grande salle de bain, une chambre spacieuse avec un lit de deux mètres et une terrasse privée, tout était propice à un séjour de rêve.

Notre planning sur place consistait à faire, bronzette et piscine le matin, déjeuner après quelques cocktails le midi, sieste crapuleuse en début d’après-midi et animation local plus tard dans la journée.
Après le diner il y avait un spectacle tous les soirs et une boite de nuit ouverte à partir de 22h.
Nous avions aussi bien sûr prévu de faire un peu de tourisme et quelques excursions.
L’une d’entre elles était une après-midi en dromadaire dans le désert, ou plutôt dans la campagne désertique Tunisienne.

Arrivée le samedi en fin de matinée, nous avons profité du reste de la journée pour nous reposer au bord de la piscine.
Les places sur les transats étaient toutes prise, nous avons vite appris qu’il fallait se lever de bonne heure pour poser sa serviette sur un transat pour en avoir un.
Un coup d’œil vers les femmes déjà présente au bord de la piscine pour savoir si le string et les seins nus était possible.
Quelques-unes le faisaient mais par sécurité nous sommes allés à l’accueil pour demander.
Pas de soucis pour eux dans l’hôtel, cependant à éviter sur la plage car elle était publique.

Nathalie, après avoir étaler sa serviette au sol, s’est donc débarrassé de son haut de maillot, qui ne couvrait guerre grand-chose vu la petitesse du haut et la taille de ses seins, et de son paréo.
Bien évidemment beaucoup de regards se sont posés sur elle, plus ou moins discrètement.
Il faut dire que la voire habillé juste avec un string, même pour moi qui ai l’habitude, donnait envie de plus que regarder.
C’est une femme petite, une peu ronde avec une belle paire de fesses, une bouche « à pipe » et surtout une paire de seins (naturels)énorme.

Les animateurs passaient souvent au bord de la piscine pour « racoler » et trouver des vacanciers pour jouer au golf miniatures, au tennis, au tir à l’arc enfin toutes les animations proposées dans le club.
Je pense aussi qu’ils venaient mater en même temps car nombreux d’entre eux sont venus nous proposer des animations.
Je n’étais pas très fan de ces jeux, alors ma femme y allait seule parfois pendant que moi je me reposais.
Je savais qu’elle allait probablement jouer de ses atouts pour en chauffer quelques-uns, animateurs ou vacanciers.
Ça lui plaisait de les exciter, bien que pour l’instant elle ne faisait qu’allumer gentiment.
Ces petits jeux pimentaient notre séjour et augmentaient notre libido.

Le Mardi après déjeuner nous sommes partis pour notre excursion en dromadaire.
Nathalie s’était habillée soft, un short en toile et un tee-shirt couvrant les épaules.
Nous sommes montés dans un bus, quatre animateurs étaient avec nous et nous étions une dizaine de touristes.
Le véhicule nous a fait traverser la ville pour nous déposer à un endroit où nous attendaient les bêtes à bosse.
Chacun le nôtre, sauf les animateurs.
Ces derniers avaient une technique pour nous faire monter sur les dromadaires, ils joignaient leurs mains sur lesquels nous devions poser un pied et là, ils nous propulsaient pour que l’on retombe dessus.
Ils le faisaient parfois à deux suivant la corpulence de la personne à faire monter.
Une fois tout le monde installé nous avons commencé à marcher en convoi.
Les animateurs montaient parfois derrière nous pendant quelques temps, car eux marchaient à côté.
Ils nous faisaient la description des lieux et de la maigre végétation sur le trajet.
Nous sommes arrivés à un endroit où se trouvait d’autres personnes, des paysans du coin qui venaient se ravitailler en eau dans le puit.
Cela faisait partie de l’excursion car ils avaient préparé un feu pour y faire cuire des galettes et apporté des boissons fraîches.

Plus tard quand nous sommes repartis en direction du bus, environ 45 minutes en dromadaire, Nathalie fermait la marche et moi j’étais quelques bêtes à bosse devant.
Un des animateurs, Fahd 25 ans 1m70 assez frêle, est monté derrière elle et, bizarrement, il y est resté tout le voyage du retour.
Il était collé à ma femme et le mouvement faisait qu’il frottait l’un contre l’autre, sans doute plus que la normale.
Nathalie à sentie doucement mais sûrement quelques chose qui durcissait dans le bas de son dos, au fur et à mesure du frottement.
Il posait parfois la main sur sa cuisse pour lui parler ou lui montrer un truc au loin.
« Ça va la gazelle, tu vas bien ? C’est confortable ? »« Oui merci ça va bien, toi tu à l’air en forme en tout cas » répondit-elle.
Un peu gêné il répondit à voix basse :« Heu pardon désolé, si ça te dérange je descends, y’a pas de soucis, c’est juste que je repensais à toi sur ton transat au bord de la piscine, alors j’ai pas pu contrôler »« Non tu peux rester, ce n’est pas déplaisant »Cette dernière phrase lui a donné des ailes et discrètement ses mains sont passées sous le tee-shirt de Nathalie pour se poser sur son ventre.
« Ça va, ça aussi, je peux ? »« Il est trop tard pour dire non, tu ne penses pas ? » lui dit-elle avec un grand sourire.
Sans répondre ses mains sont doucement remonté vers ses seins qu’il a aussitôt malaxé.
Toujours aux aguets, dès que quelqu’un se retournait il sortait vite ses mains.
Il l’a caressé ainsi pendant tout le voyage, allant même jusqu’à rentrer une main dans le short de Nathalie pour aller lui titiller le clito du bout des doigts.
Elle a passé à son tour une main dans son dos pour aller caresser le sexe tout dur de son compagnon de voyage à travers son short.
« Hummm ça donne envie » lui dit-elle.
« Arrête tu m’excite trop » répondit Fahd.
« Là tu exagère, ce n’est pas toi qui as commencé ? » puis elle renchérit d’un air très salope « Tu vois s’il n’y avait que nous en ce moment, je me serais retourné pour m’empaler sur ta queue »Elle a bien cru qu’il allait éjaculer dans son short tellement il était excité.
« Calme-toi » lui dit-elle, « Garde tes forces pour plus tard, d’ailleurs je crois qu’on arrive bientôt, ça craint si les gens ou mon mari s’aperçoivent que tu bande »« Oui tu as raison, je descends, ça va me faire reprendre mes esprits, et quand tu dis de garder mes forces c’est pour qu’on se voit en douce plus tard ? »« Oui, ça peut se faire. »« Cool la gazelle, je prévois ça et je te dis, au fait et ton mari tu fais comment ? »« Tu as remarqué qu’il ne fait pas de jeux, donc à toi de voir à ce moment-là »
De retour au club, ma femme m’a raconté sa petite aventure.
« Tu es d’accord ? » me demanda-t-elle.
« Je ne t’ai jamais dit non et je n’ai pas envie que ça change, mais c’est vrai que c’est mieux de me le dire avant dans certains cas, comme ça je ne m’inquiéterais pas si tu restes plus longtemps faire un jeu »« Hummm je t’aime trop, viens on va dans la chambre, il m’a donné envie à me caresser comme ça »

Le lendemain matin, Fahd a discrètement dit à ma femme de le rejoindre vers la cabane du golf miniature.
« Dit à ton mari qu’il y a plusieurs personnes qui font un tournoi et que tu as envie d’y aller »Sur chaque air de jeu il y avait un cabanon qui fermait à clé pour ranger les accessoires, Fahd avait prévu de la baiser dans l’un d’eux.
Nathalie a enfilé son haut de maillot et accroché son paréo autour de la taille pour aller rejoindre l’animateur, non sans m’avoir prévenu avant de ce qu’elle allait faire.
« Je crois qu’il a veut me démonter dans un cabanon près du golf » me chuchota-t-elle d’un air coquin.

Arrivé au cabanon il y avait quelqu’un d’autre avec Fahd.
« Il fait quoi ici lui » dit-elle d’un air énervé.
« Non, non t’inquiète pas, c’est Jalil mon pote, il va surveiller dehors que personne ne vienne, on se rend service comme ça entre nous » « Un coup c’est lui, un coup c’est moi »« Ok » répondit-elle rassuré, « Mais j’espère qu’il va pas nous mater »S’approchant d’elle pour l’embrasser, il lui dit :« Je suis presque sûr que ça t’exciterait »Sans lui laisser le temps de répondre, il lui a pris la main pour l’emmener dans le cabanon.
C’était assez petit à l’intérieur, mais qu’importe, à peine entrée Fahd s’est jeté sur ma femme pour l’embrasser, la caresser et la déshabiller.
Il s’est ensuite agenouillé devant elle en lui prenant une jambe pour la passer par-dessus son épaule et pouvoir ainsi coller sa bouche et enfouir sa langue dans sa chatte.
« Hummm tu es fougueux, j’aime beaucoup ça »Il est ensuite remonté en attrapant une capote dans sa poche pour l’enfiler après s’être mis complètement nu aussi.
Il a repris une jambe de ma femme pour l’enrouler sur ses hanches et a fait de même avec la deuxième pendant qu’il la pénétrait.
Le dos plaqué contre le mur en planche du cabanon, les jambes enroulés autour des hanches de l’animateur, Nathalie se faisait pilonner copieusement.
Accroché à son cou, elle gémissait de plaisir à chaque coup de rein.
Lui, fortement excité, l’embrassait goulûment pendant qu’il la baisait.
Leurs langues se mélangeaient, leurs baisers étaient fougueux et leurs mains caressaient le corps de l’autre.
Le cabanon devait bouger sous les coups de boutoir qu’il lui assénait.
Il allait bien profondément en elle puis, ressortait presque jusqu’au gland pour mieux se renfoncer après.
Ses va et vient était puissants, presque bestiale.

Peu de temps après, elle jouissait en lui mordillant le cou et les lobes d’oreilles pour éviter de faire trop de bruit.
Pour un petit gabarit, il avait une belle queue qui la remplissait bien.
Un deuxième orgasme est arrivé peu après le premier, qu’elle a eu du mal à contenir, un long feulement de plaisir est sorti de sa bouche pendant que Fahd se vidait dans son ventre.
Bien qu’il ait éjaculé, il continua à l’embrasser et la lécher partout sur son visage et son cou.
Sa bite était toujours aussi dure.
Il est sorti de ma femme pour changer de capote et, à peine retiré, avant qu’il n’ait eu le temps d’en enfiler une autre, Nathalie s’est accroupie devant lui pour avaler sa queue.
Elle l’a sucé longuement, passant sa langue depuis la base des couilles jusqu’au gland qu’elle enroula.
Elle prenait plaisir à le sucer et lui semblait apprécier aussi la bouche qui s’activait sur son chibre.
« J’ai encore envie de te prendre, tiens » dit-il en lui donnant une serviette, « Met toi à quatre pattes »Il s’est mis à genou derrière elle pour l’enfiler à nouveau.

De mon côté, je m’étais levé pour aller essayer de voir ou étaient les deux amants.
Mon idée était de me rapprocher discrètement du cabanon pour les écouter et peut-être même les regarder.
M’avançant doucement, je voyais le cabanon à environ cinquante mètres.
Je me faufilais tranquillement en me cachant plus ou moins derrière quelques fourré au cas où ils sortent.
« Mince il y a un mec à côté de la cabane. »« On dirait qu’il surveille. »« Il surveille mais je crois qu’il mate aussi le salaud. »« En tout cas ce qu’il voit à l’air de lui plaire car il se tripote la bite sans vergogne. »Je suis resté caché derrière mon bosquet quelques instants essayant d’entendre peut-être des gémissement de plaisir, quand j’ai aperçu deux autres animateurs se diriger vers la cabane ou ma femme se faisait certainement baiser.
Celui qui faisait le guet leur fît signe de s’approcher sans faire de bruit.
Le spectacle devait être à la hauteur car les trois gaillard semblaient fort excités à regarder discrètement par les petites fenêtres.
Au bout d’un certain temps Jalil leur fît comprendre de repartir avant de se faire repérer.
Les deux autres, probablement à contre cœur, se sont éloigné pour retourner à leurs occupations.
Jalil, lui est resté, je n’allais donc pas pouvoir m’approcher plus.

Nathalie était maintenant à quatre pattes et se faisait prendre généreusement, Fahd la tenait par les hanches pour s’enfoncer bien au fond d’elle.
Parfois il s’arrêtait presque pour regarder sa bite la pénétrer doucement, en lui disant qu’elle avait un cul splendide, puis reprenait vite son rythme pour la labourer à nouveau.
Déjà trois fois qu’elle jouissait dans cette position, son assaillant semblait infatigable.
Jalil avait le visage collé aux carreaux, il commençait à parler en arabe à son pote.
« Qu’est-ce qu’il dit » demanda ma femme.
« Rien de grave t’inquiète, il dit juste que tu as l’air bonne et qu’il aurait bien aimé être à ma place sur ce coup-là »Trop excitée à force de jouir, elle s’entendit dire :« Dis-lui de venir que je lui suce la bite pendant que tu me baise »A peine avait-elle finit sa phrase que Jalil, qui comprenait le Français, est entré dans le cabanon pour se mettre à genou devant elle et sortir son sexe tout gonflé.
Plus courte mais plus grosse que celle de son collègue, sa bite s’est aussitôt retrouvée engloutie par la bouche de ma femme.
Fahd à force de limer Nathalie s’est de nouveau vidé dans son ventre.
Aussitôt sorti de sa chatte, son copain Jalil, après avoir mis un préservatif, a pris sa place derrière elle pour la baiser à son tour.
De grands coups de rein frénétique, il semblait vouloir finir avant même d’avoir commencé et quelques dizaines de secondes plus tard il éjaculait à son tour.
Piètre amant celui-là se dit-elle, heureusement que son pote était plus performant.

Quand j’ai aperçu ma femme sortir du cabanon, je suis retourné rapidement vers mon transat.

Elle s’est penchée sur moi pour me rouler une grosse pelle puis m’a dit radieuse :« On va prendre un cocktail et déjeuner. Ça m’a ouvert l’appétit cette séance »
Le repas du midi avalé, nous sommes directement allés dans la chambre ou elle m’a divinement sucé en me racontant sa matinée dans le cabanon.
Je n’ai pas résisté très longtemps entre ses lèvres et me suis vidé au fond de sa gorge.

Le fait d’avoir commencé à faire des bêtises l’avait boostée.
« On va faire un tour dans la boite ce soir ? » me demanda-t-elle.
« Je vois qu’ils ont mis la machine à sexe en route » lui dit-je en riant.

Mini-jupe très courte, tee-shirt très ouvert sur les côtés ainsi que devant et une paire de basket, tel était sa tenue pour ce soir.
Peu de monde dans la discothèque quand nous sommes arrivés.
Quelques animateurs, plusieurs couples et quelques hommes seul qui avait certainement quittaient le lit en douce de leur femme.
Dans les couples il y avait un homme qui plaisait bien à Nathalie et dont la femme semblait arrogante avec un air sainte nitouche et qui tenait son mec à la baguette.
« Son mec je vais me le faire avant de partir » m’avait dit ma femme.
« Ne déconne pas, elle a l’air tellement jalouse qui si elle s’en aperçoit tu risques de casser leur couple »« Ça lui rendrait service, il ne doit pas s’éclater avec une pétasse pareil » me dit-elle en riant.
Je suis presque sûr qu’elle le pensait, mais je n’avais aucun doute sur le fait que si elle se faisait ce mec, elle serait très discrète.
« Je vais déjà le chauffer en douce, on verra bien s’il est réceptif »Au cours de la soirée, discrètement ils ont réussi à discuter un peu.
Il lui fît comprendre que ce soir ce n’était pas possible, sa femme le surveillait trop, mais que demain il trouverait une solution pour venir seul ici.

Vers minuit et demi, alors que je sentais la fatigue m’envahir (Eh oui ça crève de ne rien faire de la journée), Fahd et Jalil sont arrivés en compagnie des deux autres mateurs.
Je me suis dit que c’était le moment de m’éclipser et j’ai dit à Nathalie qu’elle pouvait rester un peu si elle voulait.

Je savais que si ma femme devait se taper un mec, elle sortirait de la boite et je pourrais peut-être avoir plus de chance que ce matin.
Je me suis donc caché en attendant qu’elle sorte.
Je la connais bien et savais que seule en boite elle ne tarderait pas à en enrôler un.

Voyant qu’elle était seule, Fahd est venu vers elle :« Ton mari n’est pas là ? »« Non il vient de partir se coucher »« J’ai adoré ce matin, tu es vraiment un très bon coup » lui dit-il.
« Tu n’es pas mal non plus » répondit-elle « En revanche ton pote, bof bof, c’est pas l’affaire du siècle »Il sourit puis lui dit :« En fait mes deux autres collègues, qui sont avec lui, nous ont maté aussi un peu ce matin et depuis il n’arrête pas de me harceler pour… te rencontrer… enfin tu vois ce que je veux dire »« Pour me sauter, dit le clairement »« Oui… ou juste se faire sucer » « Mais je leur ai dit que ce n’était pas possible, que tu es marié et que tu ne veux pas que tout le monde le sache »Elle lui coupa aussitôt la parole en disant :« Et donc ils t’ont dit qu’ils pourraient tout raconter à mon mari et que s’il allait se plaindre à la direction tu serais viré »« Oui c’est ça » répondit-il presque enjoué qu’elle ai deviné.
Elle éclata de rire et lui dit :« Il manque de conviction votre petit scénario, mais tu sais si tes deux potes veulent se faire sucer, ils n’ont qu’à venir me voir »« Désolé, je crois que je suis mauvais acteur » fit-il.
« Tu es déjà un bon coup, ce n’est déjà pas mal, pour te faire pardonner tu viendras dans ma chambre Vendredi soir dès que tu seras libre »« Mais ton mari ? »« Il sera là et vous me baiserais tous les deux toute la nuit »« Heu… je… oui d’accord, mais il n’est pas jaloux ? »« Il est même très partageur » finit-elle par lui répondre.

Fahd est retourné vers ses collègues, ils ont discuté un peu puis les deux qui voulaient se faire sucer se sont approchés de ma femme.
« Bonsoir » ont-ils dit en cœur.
« Bonsoir » répondit-elle.
Ils semblaient un peu mal à l’aise et ne savaient trop comment l’aborder.
Pour éviter de perdre trop de temps en préliminaire verbaux, Nathalie leur dit :« On va dehors, ce sera plus discret »Sans hésitation ils sont sortis en la suivant.

Un peu à l’écart de tout, caché derrière un bosquet Nathalie était accroupi occupée à sucer les deux bites bien raide qu’elle avait devant elle.
C’est dans cette posture que je l’ai retrouvé, ma progression vers eux pour ne pas me faire remarquer avait pris un peu de temps, je prenais donc le spectacle en cours.
Toujours aussi gourmande, elle avalait leurs queues avec délectation, passant de l’une à l’autre, léchant bien la hampe, enroulant sa langue sur le gland, l’aspirant de ses lèvres pulpeuses, chacun avait droit au même supplice.
Prenant parfois les deux en bouche, suçant un et branlant l’autre, un petit quart d’heure suffit à les faire éjaculer simultanément sur son visage.

La journée qui suivit se passa tranquillement, bronzette et piscine.
Jalil avait bien essayé d’attirer ma femme mais sans résultat.

Le soir dans la discothèque, sachant que Nathalie avait un rencard, j’étais resté à l’extérieur.
Quand l’homme est arrivé vers elle, ils ont discuté un peu puis sont sorti.
Il était grand, brun, environ 35 ans, une belle carrure et une belle gueule.
Il lui avait dit qu’il avait peu de temps car il craignait que sa femme se réveille.

A l’écart de la boite et du reste du club, caché derrière des arbres, ils se sont embrassés langoureusement.
« Humm il embrasse bien » se dit-elle, « Çà se présente pas mal »Après plusieurs minutes à s’embrasser et se caresser, ma femme s’est agenouillée pour lui sortir la bite du pantalon et la porter jusqu’à sa bouche.
Elle entreprît une superbe fellation qui semblait ravir son amant du soir.
Pendant un long moment, elle avala et lécha goulûment son membre en érection, passant sa langue tout le long de sa hampe, le branlant de sa main en même temps puis emprisonnant le gland de ses lèvres en l’aspirant.
Semblant être au bord de l’éjaculation il lui dit :« Je n’ai pas de préservatif, tu en as ? »Se doutant de ça, elle avait prévu.
Elle en sortît un de la poche arrière de sa mini-jupe en Jeans pour lui tendre.
Pendant qu’il enfilait la capote, Nathalie s’est retournée, posant les mains sur un arbre et les fesses nues bien tendues en arrière pour qu’il puisse la pénétrer.
Il s’est collé contre elle pour enfoncer sa queue dans sa chatte.
Aussitôt il a commencé ses va et vient et, entre l’excitation, la peur certainement d’être surpris et le fait de vouloir retourner très vite près de sa femme pour ne pas se faire griller, il mit environ trois minutes à éjaculer avant de se retirer rapidement et de partir presque en courant.

A quelques arbres de là, j’avais été témoin de la scène, imaginant la frustration et probablement la colère de ma femme, je me suis approché d’elle en lui parlant pour ne pas lui faire peur.
« Tu as vu ce goujat ? » me dit-elle, « L’enc…, je lui ai servis de vide couille sans avoir eu le temps d’une once de plaisir »Je l’ai prise dans mes bras pour l’embrasser à mon tour et ensuite lui ai faite reprendre la même position contre l’arbre.
Mon sexe était déjà bien raide et je me suis enfoncé en elle pour la baiser comme elle aurait aimé l’être avec l’autre.
Bien qu’elle n’ait pas fait de bruit, je l’ai senti jouir intensément.

Le lendemain soir comme prévu, Fahd est venu frapper à la porte de notre chambre vers 23h45.
Il était un peu gêné au départ.
Je l’ai très vite mis à l’aise en lui faisant comprendre qu’on était un couple libertin et que l’on faisait ça souvent avec d’autres hommes.
La tenue de Nathalie ne laissait d’ailleurs aucun doute sur ce qui allait se passer ce soir dans la chambre, elle était tout simplement à poil.
Sans plus attendre, elle l’a pris par la main pour l’allonger sur le lit et le déshabiller complètement.
Déjà en érection, elle a englouti son sexe entre ses lèvres pendant que je m’approchais d’elle pour l’embrasser et la caresser partout sur son corps.
Elle a ensuite attrapé une capote qu’elle lui enfila avant de venir s’empaler sur lui.
Accroupi sur lui, elle montait et descendait sur sa queue.
Il lui caressait les seins pendant qu’elle le chevauchait.
Elle s’est allongée sur lui pour l’embrasser goulûment pendant qu’ils s’accouplaient.
Installé derrière eux à les regarder, je voyais bien le sexe de Fahd allé et venir dans la vulve de ma femme.
Je me suis approché encore plus de ses fesses pour les embrasser et titiller son anus.
Son cul était secoué au rythme des coups de reins de son amant Tunisien.
Je me suis approché de son visage alors qu’elle était toujours allongée sur lui, pour qu’elle me suce.
A ma grande surprise, sans aucune hésitation il m’a gobé les couilles pendant que Nathalie me léchait la bite.
J’étais aux anges, deux langues qui s’affairaient sur mon sexe et mes couilles me ravissaient.
Leurs bouches se rencontraient parfois et se mélangeaient, lâchant quelques secondes mon sexe.
Nous avons gardé cette position un long moment pendant lequel Nathalie a joui deux fois.
Elle était radieuse lorsqu’elle prenait du plaisir.
Finalement j’ai attrapé sa tête pour me vider dans sa bouche pendant que Fahd en faisait autant dans son ventre et qu’elle criait une troisième fois de plaisir.

Après une courte pause, je me suis allongé et Nathalie est venue sur moi tête bêche.
Elle me suçait goulûment pendant que moi je lui mangeais la chatte.
Soudain j’ai vu sous mes yeux arriver le braquemart de Fahd pour la pénétrer.
J’ai continué mon cuni, léchant par la même occasion la bite qui baisait ma femme.
J’en profitait aussi pour aller gober ses couilles et les lécher, caresse buccale qu’il semblait apprécier lui aussi.
Nous avons ainsi passé une bonne partie de la nuit à nous éclater et à faire jouir Nathalie une multitude de fois.
Elle fût prise dans toutes les positions par l’un et l’autre et nous fît jouir trois fois chacun.
J’ai sucé Fahd plusieurs fois pendant qu’il léchait la vulve de ma femme et l’ai même fait éjaculer sur mon visage.

Vers quatre heures du matin nous avons dû nous endormir entremêlés les uns contre les autres.

Des gémissements et les mouvements du matelas m’ont réveillé.
Il était six heures, j’ai allumé la petite lampe de chevet et j’ai vu ma femme à quatre pattes qui poussait des râles et des gémissements de plaisir la tête dans le traversin, pendant que Fahd était à genou derrière elle, la tenant par les hanches et lui donnant de grands coups de reins.
Entre deux râles elle me dit :« On t’a réveillé mon amour ? »« Oui un peu, mais c’est un beau spectacle au réveil » lui répondit-je.
« Putain le salaud, il m’encule et c’est trop bon, j’adore sa queue, elle me défonce bien. »Il n’en fallait pas tant pour que mon sexe se dresse.
Je me suis installé alors face au visage de ma femme qui m’a aussitôt prise dans sa bouche pour me sucer.
Le sourire de Fahd en disait long quant au plaisir qu’il prenait à sodomiser ma femme sous mes yeux.
Pour la première fois des mots crus sortaient de sa bouche :« T’aime ça salope te faire enculer devant ton mari »Trop excité et voyant que nous ne disions rien à la suite de ses mots, il s’est déchaîné en la traitant de pute, de chienne, de salope, de gouffre à bites, bref d’un vocabulaire très fleurie mais excusable car fréquent lors de rapports sexuelles intense entre deux ou plusieurs êtres humains.
L’entendre se faire traiter ainsi devant moi m’excitais aussi beaucoup.

Alors qu’il l’enculait depuis pas mal de temps, il est sorti de ses fesses pour retirer sa capote et venir vers nous :« Je veux jouir dans vos bouches » dit-il.
Joignant le geste à la parole il a attrapé nos deux têtes pour les diriger vers sa queue.
Nous l’avons sucé ensemble, l’engloutissant chacun notre tour, le léchant chacun d’un côté de la hampe, mélangeant nos langues autour de son gland.
J’étais moi aussi très excité et je me branlais en le suçant, ce qui fait que, quand son sperme à jailli sur nos langues, j’ai moi aussi éjaculé, mais sur les draps.