Monique à la plage
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-01-2011 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Monique à la plage
Monique, ma nièce par alliance est devenue une vrai beauté quand elle a eu 19 ans. Je ne l’avais pas reconnue sur le quai de la gare. Elle me reconnaissait facilement d’après mes photos. Avant de prendre la voiture au parking, elle me tenait le bras: j’étais fier de me balader avec une fille de cette classe, surtout que la plus part des hommes se retournaient sur elle. L’été était là, je l’avais invitée sur la demande de son père pour deux semaines sur la plage. Avant de quitter Montpellier, je voulais savoir si elle avait tout pour se baigner : maillots, crèmes diverses.
- Tu deviens pire que ma mère, tu veux en savoir des choses.
- C’est normal non ?
- Bon, j’ai tout, même si tu veux savoir des préservatifs.
- Des préservatif, à ton âge ?
- Bon, tu ne vas pas me faire d’histoire pour ma virginité qui s’est envolée il y a pas pal de temps.
Je préfère me taire, mais quand même des préservatifs à son âge. Décidément je retarde beaucoup : de mon temps nous disions que quand on prenait un bain de pieds on enlevait ses chaussettes, sinon c’est que la partenaire risquait d’être « chargée » en microbes pas nets.
Nous arrivons chez moi vers 18 heures. Il est encore l’heure d’aller à la plage. Monique se dépêche d’aller poser sa valise dans la chambre. Elle redescend 10 minutes plus tard en maillot deux pièces : je manque tomber par terre, non seulement elle est une belle fille, mais elle est vachement sexy avec sa poitrine pointue, ses hanches larges et ses longues jambes. Je pense que si j’avais 20 ans de moins j’aurais certainement conté fleurette à une nana pareille. Je me suis mis aussi en maillot assez court. C’est elle qui me dit que je lui plais. Allons bon, me voilà plaire à ma nièce, même d’alliance.
La plage est à deux pas, nous y allons à pied. Evidemment les hommes ne se gênent pas pour la regarder et finir de la déshabiller. Elle est tellement pressée d’aller goûter à la grande bleue qu’elle se précipite dans l’eau. Elle nage parfaitement bien, j’ai de la peine à la suivre. Nous sommes trop loin du bord, nous allons nous faire virer par le garde côte. Nous rentrons facilement quand en passant devant un restaurent elle me demande de diner sur la terrasse. Malgré nos tenues légères, la patronne qui me connait un peu sert notre repas qui se passe pour nous en bavardages plus ou moins familiaux. Evidemment les hommes jeunes ou plus âgés la détaillent à tel point qu’elle en a assez. Nous rentrons donc, malgré l’heure. Arrivés chez moi, nous nous installons sur la terrasse au dessus de la maison, sur des chaises longues, nous continuons à bavarder.
- Est-ce que je peux enlever le soutien gorge sans te gêner ?
- Me gêner pour deux seins ? Tu ne me connais pas encore.
Monique enlève son soustif et je vois deux magnifiques seins qui me donnent la trique. Ils sont encore mieux que je ne le pensais. Ils ne méritent que des caresses et des baisers, elle a du voir qu’elle me faisait de l’effet, aussi elle tient à me raconter ses plaisirs sexuels :
- Tu sais, je ne l’ai jamais dit ni à ma mère ni, à plus forte raison à mon père. J’avais 16 ans et demi (elle parle encore en demi année) quand j’ai rencontré Aldo, un type merveilleux qui m’a appris tout ce que je sais en baise, J’aime bien baiser depuis. Je compte bien trouver ici un type qui ne sera pas trop mal, un type comme toi, surtout qui sache bien me faire l’amour. C’est pour ça que j’ai des préservatifs, sinon, je m’en fiche, je prends la pilule.
- Arrête tes histoires, tu me fais bander pour rien !
- Parce que je te fais bander en racontant ma vie ?
- Pas seulement, tu es désirable.
- Et tu me ferais quoi ?
- Ce que tu oserais me demander, je suis sur qu’il y a une foule de petits trucs que tu ne connais pas.
- Si pour toi, se faire mettre par derrière, c’est pas un petit truc : c’est bon.
- Si au lieu de parler tu venais te montrer nue à mes cotés.
- Et voila les hommes de suite il faut se montrer nue.
- Est-ce que tu as envie de baiser ou non ?
- J’ai envie.
Sans plus rien dire, Monique enlève son bas de maillot, je vois un bas ventre rasé qui me permet surtout de vois le début de son sexe, avec ses lèvres qui dépassent. Je me lève et enlève mon slip de bain. Elle voit ma bite bandée. Je sens qu’elle est tentée par ma queue. Je veux l’embrasser et la sucer avant de lui donner ma pine. J’arrive à la prendre dans mes bras, j’approche mes lèvres des siennes, elle ouvre la bouche pour que nos langues se caressent. Elle embrasse mieux que bien. A son âge aucune fille n’embrassait comme elle. Les temps changent. Elle se colle contre moi, ma trique est contre son ventre. Elle en profite pour la caresser avec son ventre. Je la sens gonfler, si elle continue, elle va me faire jouir avant que je le veuille. Je la prends par la taille pour l’allonger sur le sol. Je reste entre ses jambes, ma tête est bloquée entre ses cuisses. Je sort simplement la langue pour lécher l’intérieur de ses cuisses en montant très lentement.
- Oui, c’est bon, je ne connaissais pas ça.
Au moins elle aura appris quelque chose sur les façons de faire plaisir à une femme. Je monte toujours. Je peux maintenant prendre ses deux seins dans mes mains. Ils sont durs d’une part par les caresses et surtout parce qu’ils sont jeunes encore. Je les caresses doucement, je passe mes pouces sur les tétons. Elle ronronne comme une chatte qu’on caresse. Ma tête enfin arrive sur son sexe, ou du moins dans les environs. Je cherche juste son petit trou, je suis certain que son Aldo ne l’a jamais fait. Je lèche son anus avant de la forcer un peu pour que j’entre la moitié de ma langue dans le cul.
- Oui, encore, n’arrête pas, c’est bon.
Elle n’ajoute pas qu’elle ne connaissait pas encore. Je le sais parce qu’elle tenait son entrée fermée hermétiquement. Je continue jusqu’à ce que je sente ses crispations de jouissance. Je me garde bien de sortir pendant qu’elle jouit.
Ce n’est qu’après que je lèche ses lèvres qui me mènent tout droit vers son clitoris. Il est relativement gros, il sort de sa protection, elle bande un peu du bouton. Ma langue lèche à grand coups. Du coup elle tient ma tête. Je la lèche très peu pour la faire jouir encore. Je reste en place et recommence ma succion. Cette fois j’alterne mes coups de langues avec mes lèvres qui le tiennent bien serré. J’ai sous mon menton son vagin. J’ai beau forcer je n’arrive pas à la faire frissonner par là. J’attends sa jouissance pour entrer ma langue dans son con. Là je trouve aussitôt son point faible. Elle jouit je ne sais combien de fois. Je continu jusqu’à moment où elle me demande d’arrêter.
- Tu m’as faite jouir beaucoup, c’est vrai que tu me baises comme je ne l’ai jamais été.
- Je te l’avais dit.
- Tu vas me baiser maintenant ?
- Je ne sais pas encore, et si je t’enculai ?
- Pourquoi pas, j’aime aussi me faire mettre par là.
- Il te le fait souvent Aldo ?
- Pas souvent, mais j’aime.
- Alors je t’enculerai, tu es là pour plusieurs jours, nous pouvons en profiter. Je te sodomiserai, promis.
Elle reste étendue, un peu flapie. Je sens que je vais me contenter de la baiser, je la sodomiserai plus tard. Après tout à 50 ans, je ne me sens pas vieux du tout, je peux encore tirer plusieurs coups à la file.
Je vais sur elle, je sens d’abord ses seins qui me touchent la poitrine. J’ai ma bite entre ses cuisses, tout près de sa grotte aux mille plaisirs. Elle voudrai me la prendre pour me guider, je connais depuis longtemps de genre de chemin. Même un guide sherpa ne pourrai me guider comme moi.
Je suis juste au bord, je lui redemande si elle veut de ma pine : bien sur ! J’entre en elle en plusieurs étapes, j’entre d’abord mon gland, j’arrête pour qu’elle sente la progression, je sens son ouverture s’élargir. Puis, petit à petit, très doucement je la pénètre. Je crois que je fais bien : d’abord pour moi qui n’ai par tiré un coup depuis deux mois et pour elle, pour qu’elle compare avec son Aldo. Je ne suis pas pressé. Je dois mettre au moins 5 minutes pour enfoncer mes 15 centimètres de bite dans son fourreau. Je reste contre le fond de son vagin sans bouger. Je serai bien resté ainsi un bon moment. C’est compter sans elle : elle veux bouger, ma bite est obligée de participer à son plaisir que je sens proche. Au moment où j’étais encore une fois au fond, lors d’un aller et venue, elle jouit. Je reste là où je suis, sans bouger jusqu’à la fin de l’orgasme.
Je sors de son con lentement, je n’ai sur la bite que sa cyprine. Tant mieux, je pourrai l’enculer. Je la fait mettre en levrette. D’elle-même elle écarte ses fesses à deux mains. Elle est posée sur ses deux jambes et sur la tête, ses mains sont sur son sexe pour la branler.
J’ai le bout de la bite sur son cul ouvert. C’est bizarre comme formule, elle refusait ma langue tout à l’heure et maintenant elle accepte mon vit. Je crains qu’elle n’ai pas trop l’habitude de se faire sodomiser, malgré ses dires. Et pourtant j’entre très facilement dans cette fin d’intestin. Elle ronronne encore. J’entre lentement dans son fion. Trop lentement à son gré, elle me fait la lui mettre à fond d’un coup de rein. J’entame les vas et viens. La sodomie alliée à la masturbation la font fouir facilement plusieurs fois.
Elle jouit tant qu’elle me demande de sortir de son ventre. Je le fais et pourtant je n’ai pas joui. Je ne compte plus que sur la masturbation : elle va bien me branler... Mais non. Elle ne me masturbe pas, elle vient me prendre dans la bouche, elle avale le gland, le lèche à peine pour prendre presque toute ma pine dans la bouche. Ses lèvres se transforment en sexe, elle me fait entrer et sortir d’elle comme si véritablement j’étais dans son con. Elle me fait un effet indescriptible. Ca tient et de la baise et de la sodomie. Quand elle sent que je vais jouir, elle me faire sortir la bite, la branle à peine pour la reprendre en bouche et recevoir le sperme. Elle m’étonne de plus en plus, elle garde tout dans la bouche et lentement l’avale avec un plaisir évident.
Nous restons comme nous sommes, assommés par le plaisir. Ce n’est que le soleil levant qui nous réveille. Elle prend ma queue, me fait bander, vient sur moi et entre ma bite dans sa chatte. Nous nous levons, elle prépare un petit déjeuner où le mets le plus utilisé est les fluides de nos corps, moi sa cyprine, elle encore mon sperme.
Nous avons baisé plusieurs fois par jour pendant la quinzaine. Avant de partir elle avoue que je l’ai faite jouir bien mieux qu’Aldo.
- Tu deviens pire que ma mère, tu veux en savoir des choses.
- C’est normal non ?
- Bon, j’ai tout, même si tu veux savoir des préservatifs.
- Des préservatif, à ton âge ?
- Bon, tu ne vas pas me faire d’histoire pour ma virginité qui s’est envolée il y a pas pal de temps.
Je préfère me taire, mais quand même des préservatifs à son âge. Décidément je retarde beaucoup : de mon temps nous disions que quand on prenait un bain de pieds on enlevait ses chaussettes, sinon c’est que la partenaire risquait d’être « chargée » en microbes pas nets.
Nous arrivons chez moi vers 18 heures. Il est encore l’heure d’aller à la plage. Monique se dépêche d’aller poser sa valise dans la chambre. Elle redescend 10 minutes plus tard en maillot deux pièces : je manque tomber par terre, non seulement elle est une belle fille, mais elle est vachement sexy avec sa poitrine pointue, ses hanches larges et ses longues jambes. Je pense que si j’avais 20 ans de moins j’aurais certainement conté fleurette à une nana pareille. Je me suis mis aussi en maillot assez court. C’est elle qui me dit que je lui plais. Allons bon, me voilà plaire à ma nièce, même d’alliance.
La plage est à deux pas, nous y allons à pied. Evidemment les hommes ne se gênent pas pour la regarder et finir de la déshabiller. Elle est tellement pressée d’aller goûter à la grande bleue qu’elle se précipite dans l’eau. Elle nage parfaitement bien, j’ai de la peine à la suivre. Nous sommes trop loin du bord, nous allons nous faire virer par le garde côte. Nous rentrons facilement quand en passant devant un restaurent elle me demande de diner sur la terrasse. Malgré nos tenues légères, la patronne qui me connait un peu sert notre repas qui se passe pour nous en bavardages plus ou moins familiaux. Evidemment les hommes jeunes ou plus âgés la détaillent à tel point qu’elle en a assez. Nous rentrons donc, malgré l’heure. Arrivés chez moi, nous nous installons sur la terrasse au dessus de la maison, sur des chaises longues, nous continuons à bavarder.
- Est-ce que je peux enlever le soutien gorge sans te gêner ?
- Me gêner pour deux seins ? Tu ne me connais pas encore.
Monique enlève son soustif et je vois deux magnifiques seins qui me donnent la trique. Ils sont encore mieux que je ne le pensais. Ils ne méritent que des caresses et des baisers, elle a du voir qu’elle me faisait de l’effet, aussi elle tient à me raconter ses plaisirs sexuels :
- Tu sais, je ne l’ai jamais dit ni à ma mère ni, à plus forte raison à mon père. J’avais 16 ans et demi (elle parle encore en demi année) quand j’ai rencontré Aldo, un type merveilleux qui m’a appris tout ce que je sais en baise, J’aime bien baiser depuis. Je compte bien trouver ici un type qui ne sera pas trop mal, un type comme toi, surtout qui sache bien me faire l’amour. C’est pour ça que j’ai des préservatifs, sinon, je m’en fiche, je prends la pilule.
- Arrête tes histoires, tu me fais bander pour rien !
- Parce que je te fais bander en racontant ma vie ?
- Pas seulement, tu es désirable.
- Et tu me ferais quoi ?
- Ce que tu oserais me demander, je suis sur qu’il y a une foule de petits trucs que tu ne connais pas.
- Si pour toi, se faire mettre par derrière, c’est pas un petit truc : c’est bon.
- Si au lieu de parler tu venais te montrer nue à mes cotés.
- Et voila les hommes de suite il faut se montrer nue.
- Est-ce que tu as envie de baiser ou non ?
- J’ai envie.
Sans plus rien dire, Monique enlève son bas de maillot, je vois un bas ventre rasé qui me permet surtout de vois le début de son sexe, avec ses lèvres qui dépassent. Je me lève et enlève mon slip de bain. Elle voit ma bite bandée. Je sens qu’elle est tentée par ma queue. Je veux l’embrasser et la sucer avant de lui donner ma pine. J’arrive à la prendre dans mes bras, j’approche mes lèvres des siennes, elle ouvre la bouche pour que nos langues se caressent. Elle embrasse mieux que bien. A son âge aucune fille n’embrassait comme elle. Les temps changent. Elle se colle contre moi, ma trique est contre son ventre. Elle en profite pour la caresser avec son ventre. Je la sens gonfler, si elle continue, elle va me faire jouir avant que je le veuille. Je la prends par la taille pour l’allonger sur le sol. Je reste entre ses jambes, ma tête est bloquée entre ses cuisses. Je sort simplement la langue pour lécher l’intérieur de ses cuisses en montant très lentement.
- Oui, c’est bon, je ne connaissais pas ça.
Au moins elle aura appris quelque chose sur les façons de faire plaisir à une femme. Je monte toujours. Je peux maintenant prendre ses deux seins dans mes mains. Ils sont durs d’une part par les caresses et surtout parce qu’ils sont jeunes encore. Je les caresses doucement, je passe mes pouces sur les tétons. Elle ronronne comme une chatte qu’on caresse. Ma tête enfin arrive sur son sexe, ou du moins dans les environs. Je cherche juste son petit trou, je suis certain que son Aldo ne l’a jamais fait. Je lèche son anus avant de la forcer un peu pour que j’entre la moitié de ma langue dans le cul.
- Oui, encore, n’arrête pas, c’est bon.
Elle n’ajoute pas qu’elle ne connaissait pas encore. Je le sais parce qu’elle tenait son entrée fermée hermétiquement. Je continue jusqu’à ce que je sente ses crispations de jouissance. Je me garde bien de sortir pendant qu’elle jouit.
Ce n’est qu’après que je lèche ses lèvres qui me mènent tout droit vers son clitoris. Il est relativement gros, il sort de sa protection, elle bande un peu du bouton. Ma langue lèche à grand coups. Du coup elle tient ma tête. Je la lèche très peu pour la faire jouir encore. Je reste en place et recommence ma succion. Cette fois j’alterne mes coups de langues avec mes lèvres qui le tiennent bien serré. J’ai sous mon menton son vagin. J’ai beau forcer je n’arrive pas à la faire frissonner par là. J’attends sa jouissance pour entrer ma langue dans son con. Là je trouve aussitôt son point faible. Elle jouit je ne sais combien de fois. Je continu jusqu’à moment où elle me demande d’arrêter.
- Tu m’as faite jouir beaucoup, c’est vrai que tu me baises comme je ne l’ai jamais été.
- Je te l’avais dit.
- Tu vas me baiser maintenant ?
- Je ne sais pas encore, et si je t’enculai ?
- Pourquoi pas, j’aime aussi me faire mettre par là.
- Il te le fait souvent Aldo ?
- Pas souvent, mais j’aime.
- Alors je t’enculerai, tu es là pour plusieurs jours, nous pouvons en profiter. Je te sodomiserai, promis.
Elle reste étendue, un peu flapie. Je sens que je vais me contenter de la baiser, je la sodomiserai plus tard. Après tout à 50 ans, je ne me sens pas vieux du tout, je peux encore tirer plusieurs coups à la file.
Je vais sur elle, je sens d’abord ses seins qui me touchent la poitrine. J’ai ma bite entre ses cuisses, tout près de sa grotte aux mille plaisirs. Elle voudrai me la prendre pour me guider, je connais depuis longtemps de genre de chemin. Même un guide sherpa ne pourrai me guider comme moi.
Je suis juste au bord, je lui redemande si elle veut de ma pine : bien sur ! J’entre en elle en plusieurs étapes, j’entre d’abord mon gland, j’arrête pour qu’elle sente la progression, je sens son ouverture s’élargir. Puis, petit à petit, très doucement je la pénètre. Je crois que je fais bien : d’abord pour moi qui n’ai par tiré un coup depuis deux mois et pour elle, pour qu’elle compare avec son Aldo. Je ne suis pas pressé. Je dois mettre au moins 5 minutes pour enfoncer mes 15 centimètres de bite dans son fourreau. Je reste contre le fond de son vagin sans bouger. Je serai bien resté ainsi un bon moment. C’est compter sans elle : elle veux bouger, ma bite est obligée de participer à son plaisir que je sens proche. Au moment où j’étais encore une fois au fond, lors d’un aller et venue, elle jouit. Je reste là où je suis, sans bouger jusqu’à la fin de l’orgasme.
Je sors de son con lentement, je n’ai sur la bite que sa cyprine. Tant mieux, je pourrai l’enculer. Je la fait mettre en levrette. D’elle-même elle écarte ses fesses à deux mains. Elle est posée sur ses deux jambes et sur la tête, ses mains sont sur son sexe pour la branler.
J’ai le bout de la bite sur son cul ouvert. C’est bizarre comme formule, elle refusait ma langue tout à l’heure et maintenant elle accepte mon vit. Je crains qu’elle n’ai pas trop l’habitude de se faire sodomiser, malgré ses dires. Et pourtant j’entre très facilement dans cette fin d’intestin. Elle ronronne encore. J’entre lentement dans son fion. Trop lentement à son gré, elle me fait la lui mettre à fond d’un coup de rein. J’entame les vas et viens. La sodomie alliée à la masturbation la font fouir facilement plusieurs fois.
Elle jouit tant qu’elle me demande de sortir de son ventre. Je le fais et pourtant je n’ai pas joui. Je ne compte plus que sur la masturbation : elle va bien me branler... Mais non. Elle ne me masturbe pas, elle vient me prendre dans la bouche, elle avale le gland, le lèche à peine pour prendre presque toute ma pine dans la bouche. Ses lèvres se transforment en sexe, elle me fait entrer et sortir d’elle comme si véritablement j’étais dans son con. Elle me fait un effet indescriptible. Ca tient et de la baise et de la sodomie. Quand elle sent que je vais jouir, elle me faire sortir la bite, la branle à peine pour la reprendre en bouche et recevoir le sperme. Elle m’étonne de plus en plus, elle garde tout dans la bouche et lentement l’avale avec un plaisir évident.
Nous restons comme nous sommes, assommés par le plaisir. Ce n’est que le soleil levant qui nous réveille. Elle prend ma queue, me fait bander, vient sur moi et entre ma bite dans sa chatte. Nous nous levons, elle prépare un petit déjeuner où le mets le plus utilisé est les fluides de nos corps, moi sa cyprine, elle encore mon sperme.
Nous avons baisé plusieurs fois par jour pendant la quinzaine. Avant de partir elle avoue que je l’ai faite jouir bien mieux qu’Aldo.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très très bon.
Michel
Michel
Wow tes recits me manquait
Ps tu ne pourrais pas ecrire une suite au pensionnat
Ps tu ne pourrais pas ecrire une suite au pensionnat