Monique et la bicyclette
Récit érotique écrit par Momonique [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-09-2024 dans la catégorie A dormir debout
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Monique et la bicyclette
Cela s'est passé il y a deux ans, alors que nous étions en vacances dans l'Hérault, chez un oncle de mon mari. Tous les mardis, il y avait un marché dans la petite ville située près de la ferme de l'oncle. Celle-ci se trouvait à 5 km, en pleine campagne. J'avais remarqué une vieille bicyclette et j'ai demandé à la tante :
-Tata, est-ce que je peux utiliser ton vélo pour aller au marché ?
-Oui, mais demande à ton oncle de gonfler les pneus. Je ne l'ai pas utilisé depuis ma prothèse du genou.
L’oncle gonfla les pneus et me dit :
-Fais attention, ta tante tient beaucoup à ce vieux vélo.
-Ne t’inquiète pas, j’y ferai attention.
Avant que je parte, la tante m’a appelée :
-Monique, viens voir, j’ai quelque chose que tu dois prendre au marché pour moi.
-Oui, j’arrive,” ai-je répondu.
Elle m’a alors murmuré à l’oreille :
-Cette bicyclette est magique. Je te conseille de ne pas mettre de protège slip dans ta culotte -Voyons, Tata ! ai-je répliqué. Elle a souri d’un air malicieux et a ajouté :
-Tu verras. Et n’oublie pas de me ramener des melons pour ce midi.
J’enfourchai la bicyclette et commençai à pédaler, sachant que la route jusqu’à la ville était assez plate. Dès que je m’assis sur la selle, je ressenti une sensation étrange. Les ressorts à l’arrière de la vieille selle semblaient affaissés, donnant l’impression qu’ils ne supportaient plus grand chose. Mais ce qui me surprit le plus , c’était l’avant de la selle, usé par le temps. Une bosse s’était formée, remontant directement contre ma vulve, ce qui me fit immédiatement comprendre pourquoi ma tante m’avait fait cette recommandation étrange.
Voici une version révisée et non sexualisée :
Au bout de quelques tours de pédale, je sentis mon corps s'adapter à la position sur la selle. Mon bas-ventre s'était ajusté naturellement pour trouver une position plus confortable, libérant le clitoris. Le frottement de la selle devenait de plus en plus agréable, presque comme une douce caresse intime au fur et à mesure que je pédalais.
Je me demandais si la sensation allait s'intensifier en augmentant la cadence. En effet, en pédalant plus rapidement, je ressentis une montée d'émotions qui me surprit par son intensité.
La situation était si forte que j’étais submergée par un plaisir inattendu. Si j’avais été en compagnie de quelqu’un je pense que nous aurions pu être tentés de nous arrêter à l’abri d’un buisson pour un moment de complicité
J’arrivai enfin à la ville, perdue dans mes pensées, et il me fallut ralentir pour apaiser mes émotions. En descendant du vélo au marché, je remarquai que la selle était légèrement humide. En vérifiant mon short, je découvris une auréole le long de ma fente. Mon t-shirt, trop court, ne suffisait pas à dissimuler cette marque. Je décidai alors de me camoufler derrière mon vélo, le poussant lentement, pour éviter les regards indiscrets et reprendre contenance.
J'arrivai finalement à la ville, n'ayant pas vu les kilomètres défiler. Il me fallut ralentir pour calmer mes émotions. En descendant du vélo au marché, je remarquai que la selle était humide. En examinant mon short, je vis une auréole le long de ma fente. Comme mon t-shirt n'était pas assez long pour couvrir cette marque, je me cachai derrière mon vélo, le poussant discrètement pour me camoufler.
Je flânais au marché, achetant un peu de viande et regardant les vêtements, lorsque je tombai sur un marchand de melons.
-Bonjour, monsieur,
-Bonjour madame.
-Pourriez-vous me donner trois melons bien mûrs pour le dessert ?
-Bien sûr, je vais vous les choisir. Mais n'est-ce pas le vélo de Claudine ? demanda-t-il d'un air malicieux en jetant un coup d'œil vers l'auréole visible sur mon short.
-Oui, c'est le sien. Je suis sa nièce par alliance.
-Ah, je vois. D'habitude, après son tour de vélo, elle venait choisir les melons avec moi dans la camionnette, ajouta-t-il avec un sourire encore plus malicieux. Vous voulez venir voir ?
Je rougissais, consciente qu'il savait ce que le vélo pouvait procurer comme sensation.
-Non, merci. Vous êtes très aimable, mais je me contenterai de mes melons.
-Vous savez, c’est dans les vieux pots qu’on fait la meilleure soupe. Et il ne faut pas laisser votre petit minou avoir faim ; un peu de lait lui ferait du bien, dit-il en souriant.
La tentation était grande. Mes émotions étaient encore vives, et j’étais intriguée par son offre.
-Allez, ma petite dame, j’ai de beaux poireaux dans ma camionnette. Si vous prenez le poireau, je vous offrirai les melons.
Nous étions devenues assez proches, et la tante de mon mari me confia qu'autrefois, elle avait été infidèle à son mari, ayant eu des aventures. De mon côté, je partageai avec elle que son neveu était candauliste et qu'il me partageait avec d'autres. Je compris alors pourquoi elle avait demandé des melons, sachant que c'était le seul vendeur sur le marché et que je m’y rendais avec son vélos magique.
Après réflexion, j'acceptai la proposition du marchand, ce qui le surprit visiblement. Il dit alors :
-Ah, je vois que les traditions familiales se transmettent. Faites le tour discrètement, un peu plus loin, derrière les véhicules avec votre vélos . René, surveille mon stand pendant que je vais boire un verre.
Je fis le tour du marché et appuyai mon vélo contre le mur derrière son véhicule. Il m'attendait, la porte latérale de son van ouverte. Bien qu'il ait dépassé la soixantaine, il conservait un certain charme. Je montai dans le van, et il referma doucement la porte derrière moi, sans faire trop de bruit.
L’endroit n’était pas très glamour, entouré de cucurbitacés. Il me dit :
-Allez, montre-moi tes melons.
Je levai mon t-shirt, les sortai de mon soutien-gorge et les découvrit, les embrassant goulûment.
Je lui dis :
-C'est à mon tour de découvrir, montre-moi ton poireau.
En baissant son pantalon et son caleçon, je découvris non pas un poireau, mais une grosse courgette. Je comprenais alors vraiment pourquoi ma tante avait fait cette demande.
Il me fit me tourner et abaissa mon short ainsi que ma culotte.Il me demanda de me pencher en avant, en me tenant avec les mains sur les sièges avant du van. Je me retrouvai en position inclinée, un jambe légèrement surélevée sur un cageot.
Il n’eut pas de difficulté à me pénétrer, grâce à l’effet que m’avait procurer la selle. Il me prit vigoureusement et rapidement, ce qui me plaisait. Je gémis et atteignis l’orgasme très rapidement, aidée par la sensation laissée par le vélo. Lui aussi arriva rapidement, se retirant faute de préservatif, et éjacula sur mes fesses.Je sentis plusieurs éclats chauds et épais sur ma peau.
Il m’essuya avec du papier essuie-tout. En se rhabillant, nous échangeâmes quelques mots :
-Tu es aussi charmante et accueillante que ta tante.
-Merci, et toi, tu es encore bien vigoureux. C’est dommage que nous n’ayons pas plus de temps, sinon…
Il ouvrit la porte latérale du van, me donna mes melons et me donna une tape amicale sur les fesses en me disant :
-Allez, sauve toi.
Je repartis sur mon vélo en direction du domaine campagnard de la tante. Malgré tout, ce vélo me procurait le même effet au retour. Cette fois, je pédalais doucement, appréciant le massage original.
Soudain, je ressentis une sensation étrange, comme si j'étais observée, et j'entendis un bruit de "zzz zzz zzz" derrière moi. Grâce au vieux rétroviseur en plastique du vélo, je vis un cycliste qui me suivait, regardant mon gros derrière. Je décidai alors de le dandiner davantage sur la selle, en toute décontraction.
Je pensais qu'il s'impatientait derrière moi, probablement un cycliste chevronné car je n'avançais pas très vite. Il me doubla finalement, et je n'eus pas le temps de vérifier si son cuissard était gonflé à l'entrejambe. J'arrivai alors à destination. Ma tante était dehors, occupée à s'occuper de ses jardinières de fleurs.
Elle me regarda, remarqua mon short mouillé et sourit d'un air complice.
-Alors, comment était le vélo ? demanda-t-elle.
-Il est sensationnel, répondis-je.
-Tu as des melons ?
-Oui, en effet.
-As-tu vu Jeanjean ? Il devait sûrement être fatigué, sinon tu serais complètement souillée.
-Il a fait son affaire sur mes fesses, lui répondis-je en souriant.
-Dommage que je ne puisse plus utiliser mon vélo à cause de mon genou. Je me souviens que je dégoulinais de sa semence longtemps après.
-C’est vrai qu’il a fait une grosse éjaculation.
— C'était vraiment le bon temps, dit-elle avec nostalgie. Et ce n'est pas le tonton avec ses deux figues sèches, qui se lève à peine tous les trente-six du mois, qui va me satisfaire.
-Je peux vous conduire au marché en voiture la semaine prochaine, si vous le souhaitez.
-Vraiment, tu ferais ça ? dit elle.
-Oui, je sais combien vous appréciez les poireaux…
-Tata, est-ce que je peux utiliser ton vélo pour aller au marché ?
-Oui, mais demande à ton oncle de gonfler les pneus. Je ne l'ai pas utilisé depuis ma prothèse du genou.
L’oncle gonfla les pneus et me dit :
-Fais attention, ta tante tient beaucoup à ce vieux vélo.
-Ne t’inquiète pas, j’y ferai attention.
Avant que je parte, la tante m’a appelée :
-Monique, viens voir, j’ai quelque chose que tu dois prendre au marché pour moi.
-Oui, j’arrive,” ai-je répondu.
Elle m’a alors murmuré à l’oreille :
-Cette bicyclette est magique. Je te conseille de ne pas mettre de protège slip dans ta culotte -Voyons, Tata ! ai-je répliqué. Elle a souri d’un air malicieux et a ajouté :
-Tu verras. Et n’oublie pas de me ramener des melons pour ce midi.
J’enfourchai la bicyclette et commençai à pédaler, sachant que la route jusqu’à la ville était assez plate. Dès que je m’assis sur la selle, je ressenti une sensation étrange. Les ressorts à l’arrière de la vieille selle semblaient affaissés, donnant l’impression qu’ils ne supportaient plus grand chose. Mais ce qui me surprit le plus , c’était l’avant de la selle, usé par le temps. Une bosse s’était formée, remontant directement contre ma vulve, ce qui me fit immédiatement comprendre pourquoi ma tante m’avait fait cette recommandation étrange.
Voici une version révisée et non sexualisée :
Au bout de quelques tours de pédale, je sentis mon corps s'adapter à la position sur la selle. Mon bas-ventre s'était ajusté naturellement pour trouver une position plus confortable, libérant le clitoris. Le frottement de la selle devenait de plus en plus agréable, presque comme une douce caresse intime au fur et à mesure que je pédalais.
Je me demandais si la sensation allait s'intensifier en augmentant la cadence. En effet, en pédalant plus rapidement, je ressentis une montée d'émotions qui me surprit par son intensité.
La situation était si forte que j’étais submergée par un plaisir inattendu. Si j’avais été en compagnie de quelqu’un je pense que nous aurions pu être tentés de nous arrêter à l’abri d’un buisson pour un moment de complicité
J’arrivai enfin à la ville, perdue dans mes pensées, et il me fallut ralentir pour apaiser mes émotions. En descendant du vélo au marché, je remarquai que la selle était légèrement humide. En vérifiant mon short, je découvris une auréole le long de ma fente. Mon t-shirt, trop court, ne suffisait pas à dissimuler cette marque. Je décidai alors de me camoufler derrière mon vélo, le poussant lentement, pour éviter les regards indiscrets et reprendre contenance.
J'arrivai finalement à la ville, n'ayant pas vu les kilomètres défiler. Il me fallut ralentir pour calmer mes émotions. En descendant du vélo au marché, je remarquai que la selle était humide. En examinant mon short, je vis une auréole le long de ma fente. Comme mon t-shirt n'était pas assez long pour couvrir cette marque, je me cachai derrière mon vélo, le poussant discrètement pour me camoufler.
Je flânais au marché, achetant un peu de viande et regardant les vêtements, lorsque je tombai sur un marchand de melons.
-Bonjour, monsieur,
-Bonjour madame.
-Pourriez-vous me donner trois melons bien mûrs pour le dessert ?
-Bien sûr, je vais vous les choisir. Mais n'est-ce pas le vélo de Claudine ? demanda-t-il d'un air malicieux en jetant un coup d'œil vers l'auréole visible sur mon short.
-Oui, c'est le sien. Je suis sa nièce par alliance.
-Ah, je vois. D'habitude, après son tour de vélo, elle venait choisir les melons avec moi dans la camionnette, ajouta-t-il avec un sourire encore plus malicieux. Vous voulez venir voir ?
Je rougissais, consciente qu'il savait ce que le vélo pouvait procurer comme sensation.
-Non, merci. Vous êtes très aimable, mais je me contenterai de mes melons.
-Vous savez, c’est dans les vieux pots qu’on fait la meilleure soupe. Et il ne faut pas laisser votre petit minou avoir faim ; un peu de lait lui ferait du bien, dit-il en souriant.
La tentation était grande. Mes émotions étaient encore vives, et j’étais intriguée par son offre.
-Allez, ma petite dame, j’ai de beaux poireaux dans ma camionnette. Si vous prenez le poireau, je vous offrirai les melons.
Nous étions devenues assez proches, et la tante de mon mari me confia qu'autrefois, elle avait été infidèle à son mari, ayant eu des aventures. De mon côté, je partageai avec elle que son neveu était candauliste et qu'il me partageait avec d'autres. Je compris alors pourquoi elle avait demandé des melons, sachant que c'était le seul vendeur sur le marché et que je m’y rendais avec son vélos magique.
Après réflexion, j'acceptai la proposition du marchand, ce qui le surprit visiblement. Il dit alors :
-Ah, je vois que les traditions familiales se transmettent. Faites le tour discrètement, un peu plus loin, derrière les véhicules avec votre vélos . René, surveille mon stand pendant que je vais boire un verre.
Je fis le tour du marché et appuyai mon vélo contre le mur derrière son véhicule. Il m'attendait, la porte latérale de son van ouverte. Bien qu'il ait dépassé la soixantaine, il conservait un certain charme. Je montai dans le van, et il referma doucement la porte derrière moi, sans faire trop de bruit.
L’endroit n’était pas très glamour, entouré de cucurbitacés. Il me dit :
-Allez, montre-moi tes melons.
Je levai mon t-shirt, les sortai de mon soutien-gorge et les découvrit, les embrassant goulûment.
Je lui dis :
-C'est à mon tour de découvrir, montre-moi ton poireau.
En baissant son pantalon et son caleçon, je découvris non pas un poireau, mais une grosse courgette. Je comprenais alors vraiment pourquoi ma tante avait fait cette demande.
Il me fit me tourner et abaissa mon short ainsi que ma culotte.Il me demanda de me pencher en avant, en me tenant avec les mains sur les sièges avant du van. Je me retrouvai en position inclinée, un jambe légèrement surélevée sur un cageot.
Il n’eut pas de difficulté à me pénétrer, grâce à l’effet que m’avait procurer la selle. Il me prit vigoureusement et rapidement, ce qui me plaisait. Je gémis et atteignis l’orgasme très rapidement, aidée par la sensation laissée par le vélo. Lui aussi arriva rapidement, se retirant faute de préservatif, et éjacula sur mes fesses.Je sentis plusieurs éclats chauds et épais sur ma peau.
Il m’essuya avec du papier essuie-tout. En se rhabillant, nous échangeâmes quelques mots :
-Tu es aussi charmante et accueillante que ta tante.
-Merci, et toi, tu es encore bien vigoureux. C’est dommage que nous n’ayons pas plus de temps, sinon…
Il ouvrit la porte latérale du van, me donna mes melons et me donna une tape amicale sur les fesses en me disant :
-Allez, sauve toi.
Je repartis sur mon vélo en direction du domaine campagnard de la tante. Malgré tout, ce vélo me procurait le même effet au retour. Cette fois, je pédalais doucement, appréciant le massage original.
Soudain, je ressentis une sensation étrange, comme si j'étais observée, et j'entendis un bruit de "zzz zzz zzz" derrière moi. Grâce au vieux rétroviseur en plastique du vélo, je vis un cycliste qui me suivait, regardant mon gros derrière. Je décidai alors de le dandiner davantage sur la selle, en toute décontraction.
Je pensais qu'il s'impatientait derrière moi, probablement un cycliste chevronné car je n'avançais pas très vite. Il me doubla finalement, et je n'eus pas le temps de vérifier si son cuissard était gonflé à l'entrejambe. J'arrivai alors à destination. Ma tante était dehors, occupée à s'occuper de ses jardinières de fleurs.
Elle me regarda, remarqua mon short mouillé et sourit d'un air complice.
-Alors, comment était le vélo ? demanda-t-elle.
-Il est sensationnel, répondis-je.
-Tu as des melons ?
-Oui, en effet.
-As-tu vu Jeanjean ? Il devait sûrement être fatigué, sinon tu serais complètement souillée.
-Il a fait son affaire sur mes fesses, lui répondis-je en souriant.
-Dommage que je ne puisse plus utiliser mon vélo à cause de mon genou. Je me souviens que je dégoulinais de sa semence longtemps après.
-C’est vrai qu’il a fait une grosse éjaculation.
— C'était vraiment le bon temps, dit-elle avec nostalgie. Et ce n'est pas le tonton avec ses deux figues sèches, qui se lève à peine tous les trente-six du mois, qui va me satisfaire.
-Je peux vous conduire au marché en voiture la semaine prochaine, si vous le souhaitez.
-Vraiment, tu ferais ça ? dit elle.
-Oui, je sais combien vous appréciez les poireaux…
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'ai adoré votre histoire très bien écrite, Monique. Votre description du plaisir clitoridien que vous éprouvez sur cette vieille selle de bicyclette est un délice à lire. J'aime que vous fassiez cas du plaisir humide que vous éprouvez en pédalant de plus en pus vite.
Dans l'excitation croissante que j'ai prise à vous lire, j'ai eu l'impression de voir votre vulve se liquéfier...Pardonnez moi mes mots crus.
Continuez d'écrire et me faire rêver.
Dans l'excitation croissante que j'ai prise à vous lire, j'ai eu l'impression de voir votre vulve se liquéfier...Pardonnez moi mes mots crus.
Continuez d'écrire et me faire rêver.
Je comprends ce plaisir à bicyclette..
Même pour un homme,il peut y avoir le début du plaisir suivant la position.
.. belle histoire.
Ça donne vraiment le désir de vous découvrir plus.
Rudy
Même pour un homme,il peut y avoir le début du plaisir suivant la position.
.. belle histoire.
Ça donne vraiment le désir de vous découvrir plus.
Rudy
Ma chère Monique, c'est toujours très excitant et bandant de te lire 😘
Cyrille
Cyrille