Monique, ma cousine
Récit érotique écrit par Hétéro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-02-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Monique, ma cousine
Le bavardage a des avantages énormes.
Mon cousin éloigné me parla un jour de ma cousine Monique, qu’il ne devait normalement pas connaître. Celle qui s'était, il y a quelques mois de ça, donnée à moi plus que facilement.
Pour le mettre dans sa poche, Monique se livra carrément à un jeu sexuel.
Ils déjeunaient ensemble dans un petit restaurant, quand elle lui prit la bite dans la main et la caressa avec beaucoup de savoir-faire. Comme tout homme normalement constitué, il commença à bander. Elle lui sortit alors l'engin de dessous la nappe, pour le prendre en entier dans sa main. Voulant aller encore plus loin, elle lui saisit une main, la passa sous sa jupe et la mena vers sa chatte pour se faire masturber. Il jouit sans rien dire ; s’essuyant la main sur la nappe, elle lui proposa d'aller chez elle.
Pensant avoir conquis la belle, une fois arrivés, mon cousin l'embrassa normalement. Elle répondit bizarrement, en refusant sa langue. Après tout, se dit-il, comme il ne cherchait pas particulièrement la bouche, le sexe suffirait. Il déshabilla la fille, qui cette fois-ci, le laissa faire facilement. Elle lui laissa d’ailleurs ensuite, faire tout ce qu'il voulait. Il lui présenta sa bite dans tous ses trous et elle accepta tout, même ce qu'il n’attendait pas : son cul. Leur relation dura un bon moment, jusqu'au jour où Monique le demanda en mariage. Pas question de se lier à cette greluche ! et le cousin s'en alla, la laissant à son imagination.
Sans avoir été au courant de cette relation, un jour, je recevais Monique chez moi. Nous déjeunâmes, bavardâmes de tout, y compris de politique. Là nous n’étions pas du même bord. Ce fut elle qui me parla de baise. Me décrivant vaguement ce qu'elle aimait et ce qu'elle n'aimait pas, là, nous nous rejoignîmes.
Je pense avoir oublié de vous dire, que je suis une fille.
Je n'aime pas tellement les hommes. Je me préfère seule et je crois que comme beaucoup de filles, je possède ce qu'il faut en guise de godes.
Monique décrivit ses fellations, son excitation de sentir une bite bandée dans sa bouche. Elle me confia aimer se branler en suçant, puis me raconta l'effet que lui donnait la semence, en la recevant d’abord dans sa bouche, puis en avalant le sperme.
Moi qui n'ai jamais, au grand jamais sucé une queue, elle arriva à m'exciter. C'est dire…
Je l'imaginais parfaitement accroupie devant une pine, la léchant, la dévorant lentement. Il me sembla voir ses mains caresser la queue, les passer entre les jambes comme elle le décrivait si bien, afin d’entrer un ou deux doigts dans le cul de celui qu'elle mangeait.
Je fus trempée en l’écoutant. Je ne m'imaginais pas être dans son cas, mais simplement en train de la lécher elle. J'aurais bien aimé la sucer, la faire jouir. Mais comment arriver à mes fins ?
S’apprêtant à partir, elle se leva, m'embrassa. Je déviai ma bouche sur la sienne. Elle comprit vite mon avance. Elle n'avait jamais fait l'amour avec une autre. J’allais l'instruire à ma façon…
Au début, elle résista bien un peu à ma langue, qui essayait d'entrer dans sa bouche. Finalement, le contact de ma langue sur ses lèvres la décida. Je ne pensais jamais qu'elle embrasserait si bien ! Je lui tins le menton, le cou. Nos visages se renversèrent pour mieux s'embrasser. Ma cuisse gauche passa entre les siennes, frotta son entrejambe. Elle en cherchait ? J’allais lui en donner !
Je m’écartai à peine de son corps, pour passer ma main sur son bas-ventre. Je fis avec elle comme avec les autres : faire courir mon index sur sa fente.
Je la sentis se tendre vers moi : j'avais gagné !
Passant derrière elle, je lui caressai les seins, puis descendis une autre main sur sa chatte. Petit à petit, je relevai sa jupe, éliminant ainsi, tout obstacle entre nous.
Si ! Il en resta un : un string lâche.
Mon index passa entre le peu de tissu et la cuisse. J'y découvris… un pubis poilu, comme j'aime…
Ma main prit possession de sa motte. Elle était sacrément mouillée : mon bonheur…
Ce fut elle qui prit alors la bonne décision, en enlevant ses vêtements. J’ai aimé la découvrir nue. M'accroupissant, je me retrouvai juste à la hauteur de sa chatte odorante. Mon nez noyé dans ses poils, ma langue dans la fente, je débusquai son bouton.
Qu’il était doux…
Je le dégustai comme un bonbon, quand arriva l'inévitable que je recherchais. Elle partit dans un orgasme, que je n'imaginais même pas. Je restai devant elle, en y maintenant ma langue.
Entourant ses fesses de mes mains, elle était à moi !
J’allais enfin pouvoir lui faire tout ce que je voulais.
Je la fis jouir deux ou trois fois, avant de la « forcer » à me rendre la pareille. Couchées et bien enlacées, nos bouches ne se quittèrent plus. Seules nos mains étaient mobiles sur le corps de l'autre. Je n’aurais jamais pensé qu'elle me caresserait aussi bien, du haut au bas de mon dos. Me tournant à peine, je pris ses tétons dans ma bouche. Ils étaient durs, comme j’en ai peu connu. Ma main droite descendit vers sa chatte toujours encore mouillée. Je glissai deux doigts dans son intimité, où ils furent bien accueillis. Monique chercha aussi ma moule, que je lui offris volontiers. C'est qu'elle savait bien branler ! Je me laissai aller, en jouissant dans sa main.
Je la voulus encore et me renversai sur elle. Elle comprit vite mon intention de nous donner en 69.
Mon visage renoua avec sa chatte. Je la léchai comme le ferait un petit chien. Je sentis enfin sa langue sur moi, d’abord sur mes lèvres intimes, puis entre elles et les cuisses. Enfin, elle fouilla le vagin.
Je la guidai sur l'autre chemin. Elle comprit en me léchant le périnée, puis doucement l'anus. Que j'aime cette caresse intime…
Monique se déchaîna, en me mettant deux doigts dans le con. Ce fut bon, remarquablement bon… Je m’entendis gémir, en jouissant longuement.
Depuis, nous ne nous séparons que rarement, si ce n’est que pour aller avec une autre fille.
Mon cousin éloigné me parla un jour de ma cousine Monique, qu’il ne devait normalement pas connaître. Celle qui s'était, il y a quelques mois de ça, donnée à moi plus que facilement.
Pour le mettre dans sa poche, Monique se livra carrément à un jeu sexuel.
Ils déjeunaient ensemble dans un petit restaurant, quand elle lui prit la bite dans la main et la caressa avec beaucoup de savoir-faire. Comme tout homme normalement constitué, il commença à bander. Elle lui sortit alors l'engin de dessous la nappe, pour le prendre en entier dans sa main. Voulant aller encore plus loin, elle lui saisit une main, la passa sous sa jupe et la mena vers sa chatte pour se faire masturber. Il jouit sans rien dire ; s’essuyant la main sur la nappe, elle lui proposa d'aller chez elle.
Pensant avoir conquis la belle, une fois arrivés, mon cousin l'embrassa normalement. Elle répondit bizarrement, en refusant sa langue. Après tout, se dit-il, comme il ne cherchait pas particulièrement la bouche, le sexe suffirait. Il déshabilla la fille, qui cette fois-ci, le laissa faire facilement. Elle lui laissa d’ailleurs ensuite, faire tout ce qu'il voulait. Il lui présenta sa bite dans tous ses trous et elle accepta tout, même ce qu'il n’attendait pas : son cul. Leur relation dura un bon moment, jusqu'au jour où Monique le demanda en mariage. Pas question de se lier à cette greluche ! et le cousin s'en alla, la laissant à son imagination.
Sans avoir été au courant de cette relation, un jour, je recevais Monique chez moi. Nous déjeunâmes, bavardâmes de tout, y compris de politique. Là nous n’étions pas du même bord. Ce fut elle qui me parla de baise. Me décrivant vaguement ce qu'elle aimait et ce qu'elle n'aimait pas, là, nous nous rejoignîmes.
Je pense avoir oublié de vous dire, que je suis une fille.
Je n'aime pas tellement les hommes. Je me préfère seule et je crois que comme beaucoup de filles, je possède ce qu'il faut en guise de godes.
Monique décrivit ses fellations, son excitation de sentir une bite bandée dans sa bouche. Elle me confia aimer se branler en suçant, puis me raconta l'effet que lui donnait la semence, en la recevant d’abord dans sa bouche, puis en avalant le sperme.
Moi qui n'ai jamais, au grand jamais sucé une queue, elle arriva à m'exciter. C'est dire…
Je l'imaginais parfaitement accroupie devant une pine, la léchant, la dévorant lentement. Il me sembla voir ses mains caresser la queue, les passer entre les jambes comme elle le décrivait si bien, afin d’entrer un ou deux doigts dans le cul de celui qu'elle mangeait.
Je fus trempée en l’écoutant. Je ne m'imaginais pas être dans son cas, mais simplement en train de la lécher elle. J'aurais bien aimé la sucer, la faire jouir. Mais comment arriver à mes fins ?
S’apprêtant à partir, elle se leva, m'embrassa. Je déviai ma bouche sur la sienne. Elle comprit vite mon avance. Elle n'avait jamais fait l'amour avec une autre. J’allais l'instruire à ma façon…
Au début, elle résista bien un peu à ma langue, qui essayait d'entrer dans sa bouche. Finalement, le contact de ma langue sur ses lèvres la décida. Je ne pensais jamais qu'elle embrasserait si bien ! Je lui tins le menton, le cou. Nos visages se renversèrent pour mieux s'embrasser. Ma cuisse gauche passa entre les siennes, frotta son entrejambe. Elle en cherchait ? J’allais lui en donner !
Je m’écartai à peine de son corps, pour passer ma main sur son bas-ventre. Je fis avec elle comme avec les autres : faire courir mon index sur sa fente.
Je la sentis se tendre vers moi : j'avais gagné !
Passant derrière elle, je lui caressai les seins, puis descendis une autre main sur sa chatte. Petit à petit, je relevai sa jupe, éliminant ainsi, tout obstacle entre nous.
Si ! Il en resta un : un string lâche.
Mon index passa entre le peu de tissu et la cuisse. J'y découvris… un pubis poilu, comme j'aime…
Ma main prit possession de sa motte. Elle était sacrément mouillée : mon bonheur…
Ce fut elle qui prit alors la bonne décision, en enlevant ses vêtements. J’ai aimé la découvrir nue. M'accroupissant, je me retrouvai juste à la hauteur de sa chatte odorante. Mon nez noyé dans ses poils, ma langue dans la fente, je débusquai son bouton.
Qu’il était doux…
Je le dégustai comme un bonbon, quand arriva l'inévitable que je recherchais. Elle partit dans un orgasme, que je n'imaginais même pas. Je restai devant elle, en y maintenant ma langue.
Entourant ses fesses de mes mains, elle était à moi !
J’allais enfin pouvoir lui faire tout ce que je voulais.
Je la fis jouir deux ou trois fois, avant de la « forcer » à me rendre la pareille. Couchées et bien enlacées, nos bouches ne se quittèrent plus. Seules nos mains étaient mobiles sur le corps de l'autre. Je n’aurais jamais pensé qu'elle me caresserait aussi bien, du haut au bas de mon dos. Me tournant à peine, je pris ses tétons dans ma bouche. Ils étaient durs, comme j’en ai peu connu. Ma main droite descendit vers sa chatte toujours encore mouillée. Je glissai deux doigts dans son intimité, où ils furent bien accueillis. Monique chercha aussi ma moule, que je lui offris volontiers. C'est qu'elle savait bien branler ! Je me laissai aller, en jouissant dans sa main.
Je la voulus encore et me renversai sur elle. Elle comprit vite mon intention de nous donner en 69.
Mon visage renoua avec sa chatte. Je la léchai comme le ferait un petit chien. Je sentis enfin sa langue sur moi, d’abord sur mes lèvres intimes, puis entre elles et les cuisses. Enfin, elle fouilla le vagin.
Je la guidai sur l'autre chemin. Elle comprit en me léchant le périnée, puis doucement l'anus. Que j'aime cette caresse intime…
Monique se déchaîna, en me mettant deux doigts dans le con. Ce fut bon, remarquablement bon… Je m’entendis gémir, en jouissant longuement.
Depuis, nous ne nous séparons que rarement, si ce n’est que pour aller avec une autre fille.
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