Monsieur 3 - histoire érotique

Monsieur 3
Revenons un peu en arrière. Lorsque j’ai déposé Marie à proximité de la demeure de Jacques, je l’ai vu de dos avec ses petits talons aiguilles et son imper. Devant la porte d’entrée et avant de sonner, elle a enlevé son imper et c’est nue qu’elle a sonné. Je n’en revenais pas, voir une femme nue, ma femme, attendre comme çà que l’on ouvre une porte m’a excité. Je bandais ferme, et me suis dépéché de rentrer me mettre à poil et me branler comme un jeune collégien. J’ai déchargé et n’ai pas débandé. Le téléphone s’est mis à vibrer et c’était Jacques.
-merci d’avoir déposé Marie et j’éspère que tu as en as bien profité de mater ma chienne et tu as pu constater qu’elle est sublime. Et tu n’étais pas seul à profiter de ce spectacle, les voisins d’en face n’ont rien manqué et se sont bien rincés les yeux.
En pièce jointe, il y avait une photo de Marie assise, nue et cuisses bien écartées en train de signer un document. Je n’arrivais pas à me concentrer sur une émission télé, allais-je commander un film porno pour me branler et soulager ? Rien de tout cela, de voir cette photo et de m’imaginer n’importe quoi suffisait pour me branler. Une heure plus tard, nouvelle vibration de mon téléphone, Jacques voulait m’envoyait une vidéo de Marie sa chienne. Elle était à genoux en train de prendre en bouche une bite de bonne taille. On entendait jacques lui demander de mettre un doigt dans sa chatte et de lui dire si elle est mouillée.
-oui Monsieur, je suis trempée et j’ai envie d’une queue dans ma chatte.
Et j’ai vu Marie aspirer au plus profond de sa bouche la queue de cet homme. Elle bavait, et je reconnais qu’elle s’y prenait bien et que j’aurais bien voulu être à la place de beau noir. Il râlait de plaisir, et au moment d’éjaculer, a maintenu la tête pour qu’elle ne puisse pas bouger. Elle a eu tout son foutre en bouche, l’a montré à la caméra avant de tout avaler. Fin de la vidéo. Et un mot de Jacques que je pourrai récupérer Sa chienne Marie le lendemain à 17 heures à la gare de Strasbourg. Je vous dis pas combien de fois j’ai éjaculé et que je ne tiendrais pas le coup. Le reste de l’épisode de ce premier week-end chez le maitre de Marie sera ce que Marie a bien voulu me raconter.
Nous retrouvons Marie qui franchit la porte de la demeure de Monsieur. Une dame, qui devait être la gouvernante a pris l’imper de Marie, l’a mené au salon et lui a demandé de se mettre en position d’attente dos à la porte. Rester immobile dans cette position de longues minutes fut la première épreuve pour Marie. Sans qu’elle ne l’entende entrer, Monsieur donna deux coups de baguette aux fesses de Marie.
-aie,aie pourquoi me frappez-vous Monsieur
-sache que tu n’as pas de questions à me poser et un nouveau coup de baguette, mais plus fort, aux fesses. Mais puisque tu veux le savoir, je n’étais pas content quand tu m’as envoyé la photo lors de ton achat de talon aiguille, tu étais trop pudique dans ta tenue et que les talons n’étaient pas bien haut. Et tu verras que tu perdras rapidement toute pudeur quand je te l’ordonnerai. Ma chienne doit attiser l’envie d’être baisée.
-mais Monsieur, je travaillais ce jour et pour les talons je ne savais pas ce que vous vouliez. Je n’en porte jamais pour ne pas être plus grande que mon mari
Et un nouveau coup de baguette
--prends place à table. Réponds au questionnaire et lis à haute voix le contrat que j’ai préparé et si tu as une question, c’est le moment car après tu ne discuteras plus mes ordres. Pour le questionnaire Il fallait simplement répondre oui ou non à plein de situations sexuelles et y mettre une note de 1 à 5. J’ai demandé à Marie quelles type de questions, elle resta évasive car c’était très personnel et extrème. Marie lut et posa quelques questions. Au point numéro 5, il était stipulé quand elle était assise, elle ne devait pas croiser les jambes, écarter les cuisses et si elle portait une jupe, relever celle-ci pour être cul-nu sur le tissu du mobilier. Instinctivement, elle a écarté les jambes pour être conforme au contrat. Le pont numéro 6 signifiait qu’elle autorisait Monsieur à la prendre en photo et la filmer à visage découvert et que ces images pourront être diffusées ou vendues. Elle ne voulait pas. Jacques l’a convaincu qu’elle sera fière d’être sa chienne et que toute façon elle aura perdu toute pudeur, et qu’il ne changera pas ce point 6 ni le supprimera. Elle a posé quelques restrictions concernant les punitions et le mot choisi pour tout arrêter sera « Gilles ». Elle a signé son contrat et Monsieur a immortalisé ce moment par une photo, photo qui me fut envoyé. Pour immortaliser ce moment, la gouvernante a apporté une bouteille de champagne et deux coupes.
-buvons à ton éducation et dans deux semaines, tu seras officiellement ma chienne lors d’une réception. Tu devras, à ce moment me dire ce que tu voudras avoir comme signe d’appartenance en plus du collier que je te mettrai et que tu porteras quand je te l’ordonnerai.
Monsieur s’est installé au fauteuil, et comme décrit dans le contrat, Marie s’est agenouillé à ses pieds. Au bout d’un moment, il a demandé à la gouvernante (qui n’était pas choqué de voir Marie ainsi) de faire venir Omar. C’est un bel homme noir qui s’est présenté. Monsieur m’a dit de mettre à genoux, de prendre la queue d’Omar en bouche et de lui montrer qu’elle savait la prendre correctement. Marie a baissé pantalon et boxer et c’est une queue comme elle n’a jamais vu qu’elle devait avaler. Elle s’est appliquée à vouloir aller le plus profondément dans sa gorge pour ne pas décevoir Monsieur. Mais cette queue était grosse et longue. Elle eut un haut-le cœur. Monsieur n’a pas apprécié et c’est un nouveau coup de baguette qui a touché ses fesses. Elle n’a pas bronché malgré la douleur mais ce coup l’a fait mouiller. Monsieur m’a demandé de mettre un doigt dans sa chatte et de lui dire si elle mouillait.
-oui Monsieur, je suis trempée et j’ai envie d’une queue dans ma chatte.
Omar a déchargé dans la bouche de Marie et elle a tout avalé.
Ensuite Monsieur a emmené Marie dans une autre pièce dédiée au dressage des chiennes comme il disait. Omar suivait derrière. Omar a pris les poignées de Marie et les a attachés à une corde qu’il a tiré pour tendre les bras de Marie le plus haut possible. Il mit des attaches aux chevilles et avec un mousqueton les fixait à des anneaux scellés au sol. Marie se retrouva immobilisé les jambes écartés.
-je vais allonger tes tétons pour les rendre hypersensibles et voyants.
Il posa des seringues qui aspiraient les tétons de Marie. Elle reconnut être excitée par cette opération malgré une légère douleur. Elle osa demander une queue dans sa chatte et Monsieur lui répondit que personne ne la baisera ce soir et qu’en plus elle devait résister car il ne voulait pas qu’elle jouisse. Au bout d’un ¼ d’heure, Monsieur a enlevé les tétons, ils avaient pris du volume et en effet étaient sensibles. Monsieur les caressaient, les pinçaient. Marie gémissait de plaisir. Elle était plus que jamais décidée d’être une bonne chienne pour connaitre de tels moments de plaisir et d’envie. Elle donnerait n’importe quoi pour être baisée. Pour terminer cette soirée, Marie suivit Monsieur jusqu’à la chambre à coucher et dut se coucher au pied du lit. Le lendemain matin, après le petit-déjeuner, Monsieur lança à Marie (nue, bien sûr) son imper et ils sont partis en voiture. Monsieur déposa Marie dans un institut de beauté, lui prit son imper et simplement dit à l’employée « la totale en n’oubliant pas son trou du cul et la raie »Elle a eu droit à l’épilation, manucure et maquillage. Au retour de Monsieur, il a simplement dit
- regarde bien comme tu es, chaque fois que nous nous verrons tu seras maquillée comme çà, une vraie chienne en chaleur.
Il lui a rendu son imper, avec comme consigne de ne pas le boutonner et ils sont partis à pied lui acheter d’autres talons aiguilles beaucoup plus haut. La vendeuse ne savait plus où regarder, marie ne pouvant plus rien cacher de son anatomie. Elle m’a dit qu’elle mouillait abondamment et que l’on sentait son odeur de chienne. Il a ensuite emmené Marie dans ses nouveaux talons aiguilles dans un magasin de prêt à porter. Elle avait du mal à le suivre, marcher avec de telles chaussures n’était pas aisé. Pas de cabine d’essayage pour Marie. Et c’est nu dans les allées qu’elle a enfilé une dizaine de robes. Il a opté pour une robe légère assez sage. Au moment de payer, il a demandé à la vendeuse d’apporter une retouche à cette robe, il fallait ôter les doublures. Elle lui a fait remarquer qu’elle va être transparente.
-justement, c’est ce que je veux lui a t’il répondu.
En sortant, ils sont allés dans un magasin que Marie ne connait pas, un sex-shop. Elle a dû y aller seule, l’imper ouvert. Elle devait demander la commande Monsieur Jacques et acheter un plugg anal
-mais, je ne sais pas ce que c’est et quel modèle prendre
-le vendeur sait ce qu’il te faut, t’as qu’à lui demander.
Marie mit quelques minutes pour franchir cette porte. En entrant, quelques clients mâles se mirent à la siffler et marie toute penaude alla directement à la caisse demander la commande de Monsieur et un conseil pour l’achat de ce plugg, tout çà en chuchotant. Il était sympa, connaissant sans doute bien Monsieur, et l’a dirigé vers le rayon en lui donnant immédiatement le bon objet. Il avait remarqué que Marie était troublée et savait aussi qu’elle reviendra souvent alors pour une première pour elle, il n’allait pas la charger en allusion lourde ou autre.
En sortant, Monsieur l’a a demandé d’ouvrir sa bouche et il lui a fourgué un crachat qu’elle a avalé.
-C’est tout pour le moment, je te mène à la gare, tu descendras à Strasbourg, Gilles t’y attendra. Tu lui remettras cette enveloppe, tu gardes le paquet et tu porteras les vêtements qui s’y trouvent lors de notre prochain RDV que je te fixerai par SMS. Rends-moi le plugg, c’est moi qui vais te préparer ton trou du cul la prochaine fois.
ET c’est nue sous son imper que Marie fut conduite à la gare. Tous les regards des mâles fixaient Marie ainsi maquillée, en talon aiguille et en imper. Ces regards essayaient de voir ce qu’elle portait en-dessous, l’imper baillait et s’ouvrait dans sa marche. Une fois installée dans le compartiment, Marie a pensé au contrat, a relevé son imper pour être cul nu sur le siège
C’est à 17heures que j’ai retrouvé Marie à la gare et je n’ai pu que faire ce que tous les mâles ont fait, je l’ai maté.
-waouh, tu es toute en beauté Marie, et je suis heureux que tu sois de retour. J’ai envie de toi, de te faire l’amour
-ne te réjouis pas trop vite, je suis la chienne de Monsieur, j’ai signé un contrat et si je ne le respecte pas, il me punira.
C’est sur la pointe des pieds que je l’ai quand même embrassé. Ces talons aiguilles doivent bien avoir 10 cm ou plus.