Monsieur le Maire et Marion
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-04-2013 dans la catégorie Plus on est
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Monsieur le Maire et Marion
Chargée de mission dans une municipalité, je suis en plein dans la panade : j'ai
simplement oublié qu'il y avait un chef des travaux vieillissant. Il était aussi
grognon qu'un pendu suicidaire descendu trop tôt de sa corde. Il avait oublié de
donner du travail au personnel ce que j'ai fait à sa place. Bien sur cette affaire est
montée jusqu'au Maire qui a voulu me faire connaître ses foudres.
Me voici dans son bureau, un peu tremblante de la suite donc le plus dur : une
révocation. Cet après midi il était d'un calme olympien. Quand il m'a demandé de
m'asseoir, j'étais les fesses au bord de la chaise.
Vous passez ma dessus la hiérarchie ?
Non, Monsieur le maire, je crois que j'ai au contraire rendu service à la
municipalité.
C'est ce que je crois. Je vous en félicite, mais ne recommencez jamais plus. Compris
mademoiselle
Oui, monsieur le maire.
Dites moi, vous êtes célibataire à votre âge.
Oui, encore, je n'ai pas trouvé l'homme de ma vie.
Dommage pour vous, vous êtes adorable. Si je n'étais pas marié, je vous voudrez dans
mon lit.
Monsieur le maire, allons. Je ne suis pas jeune fille, mais j'ai des principes.
Lesquels ?
Je ne me donne pas comme ça.
Dommage, j'aurais bien aimé passer le reste de l'après midi avec vous à vous montrer
comment faire des choses rares.Tant pis pour vous.
Là il touche ma curiosité. Je sais faire l'amour depuis longtemps, je crois même avoir
tout fait. Bon, j'ai presque 30 ans, je suis seule dans la vie, ma sexualité est en ce
moment totalement plate. En partie plate, j'ai quand même mes godes qui me servent
souvent, surtout le dernier qui me permet les doubles pénétrations, mon rêve.
Il m'a donné des envies. J'ouvre un peu mes jambes. Il le remarque en regardant entre
mes jambes.
J'ouvre un peu plus le compas. Il peut voir ma culotte, gentille culotte de vierge.
J'arrange aussi mes seins en passant mes mains par dessus.
Venez avec moi, mademoiselle.
Il m'emmène chez lui en criant un chérie qui doit s'entendre de dehors. Une femme
d'une trentaine d'année, donc comme moi descend d'un escalier.
Il me présente et ajoute à mon égard : Voilà la nouveauté. Je regarde cette femme qui
dégage un air de sensualité rare.
Nous allons passer un excellent après midi à trois. D'accord.
Mais oui, chéri, tu sais bien que j'aime les filles autant que les garçons. Je réserve
son premier orgasme.
Ainsi Monsieur le Maire, connu pour sa moralité a une femme qu'il partage avec
d'autres. Je ne suis pas contre à priori si je peux jouir. Je préfère les hommes, mais
rien dans ma morale m'interdit d'essayer avec une fille. C'est en plus elle qui fait
le premier pas en venant m'embrasser sur les joues, pas sur la bouche. Elle se
présente comme étant Marion.
Dans leur salon, elle me fait asseoir à ses cotés pendant que son mari commence à lui
enlever les vêtements. Elle est presque nue quand elle se décide à m'embrasser,
normalement sur la bouche. Je ne sais pourquoi, c'est ma langue qui est entrée la
première dans sa bouche. Pendant que le maire s'agite pour caresser entre les jambes
de sa femme, Marion commence à me déshabiller aussi : elle me caresse les seins dès
qu'ils sont visibles. Elle le fait d'une telle façon que je mouille en espérant
qu'elle me branle. Je peux moi aussi lui prendre les seins. Je ne m'en prive pas. Je
remarque surtout que la main du mari est sur la chatte : il la masturbe lentement.
Je n'imaginais pas une seule seconde qu'il baise ainsi. J'espère avoir moi aussi sa
main sur la chatte. Ce n'est pas la sienne qui vient, c'est celle de sa femme. Elle
caresse mon bouton avec tact, elle le fait comme elle doit le faire pour elle. Le
plaisir donné est délicat, plus qu'avec une main masculine. C'est plus long à venir,
mais c'est bon simplement bon.
Je me crispe un peu au moment de l'orgasme provoqué par une autre femme. Elle jouit
également de la masturbation de son époux de maire.
Nous nous levons pour mieux nous embrasser. Lui se met enfin nu. Je regarde avec
ravissement sa queue grosse comme je la aime, pas trop longue. Là c'est dommage pour
la sodomie que j'espère. Il nous prend toutes le deux dans ses bras. Sa langue vient à
la recherche des notre. Ne les trouvant pas il lèche ce qu'il trouve : mon cou. Ses
mains caressent nos fesses. Je sens la sienne dans la raie. Elle trouve le rectum. Ce
coquin entre deux doigts dans mon cul que j'ouvre comme je peux : il y a longtemps que
je n'ai pas eu de chose vivante à cet endroit. Je suppose qu'il doit en faire autant à
sa femme qui gémit.
Je commence à faire ce que je devais lui faire : je la branle comme pour moi.
Marion aussi recommence à me masturber plutôt bien, sauf qu'elle me caresse le
clitoris avec le pouce, réservant les autres doigts à mon vagin. Nous prenons ensemble
la bite du seul homme qui est avec nous. La tâche est partagée sans problème. J'ai
pris le gland, elle caresse le reste du fut du mat. Il ne fait pas long feu, le pauvre
homme. Il lance son sperme très haut. J'ai rarement vu un tel jet de semence.
Maintenant sa femme profite seule de moi.Je rejoint le divan où elle me fait coucher.
J'attendais une autre masturbation, c'est une langue qui vient sur moi. La tête se met
juste entre mes cuisses, me lèche en tétant vers sa cible immédiate. J'en sursaute
presque quand le bout de sa langue est sur le clitoris. C'est au moins aussi bon
qu'avec un homme. Elle ajoute à mon plaisir deux doigts dans le con et un autre dans
le cul. Sa masturbation est riche en plaisirs donnés.
Elle se retourne complètement sans me lâcher au terme d'un mouvement particulièrement
audacieux. Je me trouve avec son sexe presque sur ma bouche. Je doit à peine lever la
tête pour que je lui lèche le con.
Je tâche de faire comme elle. Je suis novice dans cet art nouveau pour moi. Si
j'arrive à sucer son bouton, par contre je ne sais pas me servir des doigts pour les
lui mettre dans les deux trous à la fois. A tout hasard, je choisis le cul. Son petit
trou m'attire je ne sais pas pourquoi.Je fais aller et venir mon doigt lentement. Je
sens qu'elle resserre souvent ses muscle de l'anus. Mais arrive le moment où elle le
serre très fort en jouissant. Nous sommes pleine de transpiration.
La mari, le maire, je ne sais plus qui il est, nous emmène prendre une douche. C'est
lui qui se charge du notre nettoyage. C'est crapuleux au possible. Il commence par
baiser sa femme pour en sortir très vite en venant me la mettre au cul. Marion me
donne sa chatte. Mise en avant comme je suis, je peux sucer ce qu'elle m'offre : son
con.
Je profite ainsi d'une bite au cul, d'une chatte à ma disposition et de l'eau sur le
dos : merveilleux. J'ai la chance que mon enculeur de jouit pas dans le cul. C'est
Marion qui lui demande de lui donner la queue pour la sucer. A son tour, d'être
baissé. Je veux absolument lui mettre une main au cul. Il écarte les jambes. Je peux
ainsi prendre ses couilles et entrer trois doigts dans un cul qui s'ouvre facilement.
Nous finissons ainsi notre séance de baise.
Je me demande comment l'affaire va finir. Le lendemain, Monsieur le maire me demande à
nouveau dans son bureau. Il se lève pour m'embrasser sur la bouche. Je te comme au
grade supérieur. Viens chez moi quand tu veux, tu plaîs beaucoup à ma femme qui
voudrait encore baiser avec toi, même sans moi.
simplement oublié qu'il y avait un chef des travaux vieillissant. Il était aussi
grognon qu'un pendu suicidaire descendu trop tôt de sa corde. Il avait oublié de
donner du travail au personnel ce que j'ai fait à sa place. Bien sur cette affaire est
montée jusqu'au Maire qui a voulu me faire connaître ses foudres.
Me voici dans son bureau, un peu tremblante de la suite donc le plus dur : une
révocation. Cet après midi il était d'un calme olympien. Quand il m'a demandé de
m'asseoir, j'étais les fesses au bord de la chaise.
Vous passez ma dessus la hiérarchie ?
Non, Monsieur le maire, je crois que j'ai au contraire rendu service à la
municipalité.
C'est ce que je crois. Je vous en félicite, mais ne recommencez jamais plus. Compris
mademoiselle
Oui, monsieur le maire.
Dites moi, vous êtes célibataire à votre âge.
Oui, encore, je n'ai pas trouvé l'homme de ma vie.
Dommage pour vous, vous êtes adorable. Si je n'étais pas marié, je vous voudrez dans
mon lit.
Monsieur le maire, allons. Je ne suis pas jeune fille, mais j'ai des principes.
Lesquels ?
Je ne me donne pas comme ça.
Dommage, j'aurais bien aimé passer le reste de l'après midi avec vous à vous montrer
comment faire des choses rares.Tant pis pour vous.
Là il touche ma curiosité. Je sais faire l'amour depuis longtemps, je crois même avoir
tout fait. Bon, j'ai presque 30 ans, je suis seule dans la vie, ma sexualité est en ce
moment totalement plate. En partie plate, j'ai quand même mes godes qui me servent
souvent, surtout le dernier qui me permet les doubles pénétrations, mon rêve.
Il m'a donné des envies. J'ouvre un peu mes jambes. Il le remarque en regardant entre
mes jambes.
J'ouvre un peu plus le compas. Il peut voir ma culotte, gentille culotte de vierge.
J'arrange aussi mes seins en passant mes mains par dessus.
Venez avec moi, mademoiselle.
Il m'emmène chez lui en criant un chérie qui doit s'entendre de dehors. Une femme
d'une trentaine d'année, donc comme moi descend d'un escalier.
Il me présente et ajoute à mon égard : Voilà la nouveauté. Je regarde cette femme qui
dégage un air de sensualité rare.
Nous allons passer un excellent après midi à trois. D'accord.
Mais oui, chéri, tu sais bien que j'aime les filles autant que les garçons. Je réserve
son premier orgasme.
Ainsi Monsieur le Maire, connu pour sa moralité a une femme qu'il partage avec
d'autres. Je ne suis pas contre à priori si je peux jouir. Je préfère les hommes, mais
rien dans ma morale m'interdit d'essayer avec une fille. C'est en plus elle qui fait
le premier pas en venant m'embrasser sur les joues, pas sur la bouche. Elle se
présente comme étant Marion.
Dans leur salon, elle me fait asseoir à ses cotés pendant que son mari commence à lui
enlever les vêtements. Elle est presque nue quand elle se décide à m'embrasser,
normalement sur la bouche. Je ne sais pourquoi, c'est ma langue qui est entrée la
première dans sa bouche. Pendant que le maire s'agite pour caresser entre les jambes
de sa femme, Marion commence à me déshabiller aussi : elle me caresse les seins dès
qu'ils sont visibles. Elle le fait d'une telle façon que je mouille en espérant
qu'elle me branle. Je peux moi aussi lui prendre les seins. Je ne m'en prive pas. Je
remarque surtout que la main du mari est sur la chatte : il la masturbe lentement.
Je n'imaginais pas une seule seconde qu'il baise ainsi. J'espère avoir moi aussi sa
main sur la chatte. Ce n'est pas la sienne qui vient, c'est celle de sa femme. Elle
caresse mon bouton avec tact, elle le fait comme elle doit le faire pour elle. Le
plaisir donné est délicat, plus qu'avec une main masculine. C'est plus long à venir,
mais c'est bon simplement bon.
Je me crispe un peu au moment de l'orgasme provoqué par une autre femme. Elle jouit
également de la masturbation de son époux de maire.
Nous nous levons pour mieux nous embrasser. Lui se met enfin nu. Je regarde avec
ravissement sa queue grosse comme je la aime, pas trop longue. Là c'est dommage pour
la sodomie que j'espère. Il nous prend toutes le deux dans ses bras. Sa langue vient à
la recherche des notre. Ne les trouvant pas il lèche ce qu'il trouve : mon cou. Ses
mains caressent nos fesses. Je sens la sienne dans la raie. Elle trouve le rectum. Ce
coquin entre deux doigts dans mon cul que j'ouvre comme je peux : il y a longtemps que
je n'ai pas eu de chose vivante à cet endroit. Je suppose qu'il doit en faire autant à
sa femme qui gémit.
Je commence à faire ce que je devais lui faire : je la branle comme pour moi.
Marion aussi recommence à me masturber plutôt bien, sauf qu'elle me caresse le
clitoris avec le pouce, réservant les autres doigts à mon vagin. Nous prenons ensemble
la bite du seul homme qui est avec nous. La tâche est partagée sans problème. J'ai
pris le gland, elle caresse le reste du fut du mat. Il ne fait pas long feu, le pauvre
homme. Il lance son sperme très haut. J'ai rarement vu un tel jet de semence.
Maintenant sa femme profite seule de moi.Je rejoint le divan où elle me fait coucher.
J'attendais une autre masturbation, c'est une langue qui vient sur moi. La tête se met
juste entre mes cuisses, me lèche en tétant vers sa cible immédiate. J'en sursaute
presque quand le bout de sa langue est sur le clitoris. C'est au moins aussi bon
qu'avec un homme. Elle ajoute à mon plaisir deux doigts dans le con et un autre dans
le cul. Sa masturbation est riche en plaisirs donnés.
Elle se retourne complètement sans me lâcher au terme d'un mouvement particulièrement
audacieux. Je me trouve avec son sexe presque sur ma bouche. Je doit à peine lever la
tête pour que je lui lèche le con.
Je tâche de faire comme elle. Je suis novice dans cet art nouveau pour moi. Si
j'arrive à sucer son bouton, par contre je ne sais pas me servir des doigts pour les
lui mettre dans les deux trous à la fois. A tout hasard, je choisis le cul. Son petit
trou m'attire je ne sais pas pourquoi.Je fais aller et venir mon doigt lentement. Je
sens qu'elle resserre souvent ses muscle de l'anus. Mais arrive le moment où elle le
serre très fort en jouissant. Nous sommes pleine de transpiration.
La mari, le maire, je ne sais plus qui il est, nous emmène prendre une douche. C'est
lui qui se charge du notre nettoyage. C'est crapuleux au possible. Il commence par
baiser sa femme pour en sortir très vite en venant me la mettre au cul. Marion me
donne sa chatte. Mise en avant comme je suis, je peux sucer ce qu'elle m'offre : son
con.
Je profite ainsi d'une bite au cul, d'une chatte à ma disposition et de l'eau sur le
dos : merveilleux. J'ai la chance que mon enculeur de jouit pas dans le cul. C'est
Marion qui lui demande de lui donner la queue pour la sucer. A son tour, d'être
baissé. Je veux absolument lui mettre une main au cul. Il écarte les jambes. Je peux
ainsi prendre ses couilles et entrer trois doigts dans un cul qui s'ouvre facilement.
Nous finissons ainsi notre séance de baise.
Je me demande comment l'affaire va finir. Le lendemain, Monsieur le maire me demande à
nouveau dans son bureau. Il se lève pour m'embrasser sur la bouche. Je te comme au
grade supérieur. Viens chez moi quand tu veux, tu plaîs beaucoup à ma femme qui
voudrait encore baiser avec toi, même sans moi.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
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Histoire Super excitante et très bien racontée !! Une suite peut-être ??