Monsieur le Marquis d’Evans et Ses trois putains !
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-09-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Monsieur le Marquis d’Evans et Ses trois putains !
Compelled au Château (devenu soumis Endymion MDE) - Suite de l'épisode N°496 - Monsieur le Marquis d’Evans et Ses trois putains ! -
Il y avait de l’effervescence et de l’agitation ce matin au Château, un nombre important d’esclaves travaillaient dans cette Noble et Prestigieuse Demeure, à épousseter, à briquer, à laver, d’autres s’afféraient à l’extérieur à tondre les pelouses, à ratisser les allées, à nettoyer les plates-bandes, tous, sous le joug de gardes zélés, distribuant coups de cravache à ceux ou celles qui n’exécutaient pas correctement les ordres donnés. soumis Endymion MDE et ses sœurs de soumission Phryné MDE et Laïs MDE, depuis la veille au soir avaient été enfermés et enchainés dans leur cachot respectif, puis tôt le matin avait regagné l’immense salle de bain où ils furent lavés, épilés, coiffés et manucurés avec une attention toute particulière par deux jeunes et très belles servantes soumises. Madame Marie contrôla leur travail, examina de près les trois esclaves MDE. Sa perversité n’était plus à démontrer. Elle tira sur les lèvres intimes de soumise Phryné MDE, lui écarta la vulve de ses deux mains, la flaira, fouilla sa chatte à deux ou trois reprises, puis elle s’intéressa à la bite du soumis MDE, tira sur le prépuce, décalotta le gland, vérifia qu’aucune souillure ne soit restée dans un quelconque repli de cette nouille bien inutile pour l’heure, puis contrôla le petit trou anal de soumise Laïs MDE après lui avoir imposée de relever les jambes sur sa poitrine…
Etranges sensations pour soumis Endymion MDE, ces postures obscènes et ces vérifications vicieuses lui paraissaient désormais normales et plus forcément très humiliantes, mais plutôt excitantes d’être examiné ainsi. La nudité permanente, l’abandon de toute pudeur l’avait conduit à accepter cette normalité toute particulière imposée au Château. Il avait appris à se livrer, à accepter cette débauche, cette indécence, cette offense à la pudeur. L’enseignement qu’il avait reçu depuis qu’il était arrivé là, commençait à porter ses fruits. Il en était ravi... Monsieur Walter, le Majordome, arriva et il semblait un peu stressé.
- Bon Marie, les trois salopes sont-elles prêtes ?
- Oui oui, Walter, juste un instant encore, il faut que je les habille…
Walter aida Marie à ajuster les lourds colliers d’acier qu’ils fixèrent au cou des trois soumis MDE. Ils eurent aussi de lourds fers aux poignets, reliés entre eux par une courte chaine. Les bras des trois esclaves étaient maintenus attachés dans leur dos. Marie apporta ensuite trois grandes et longues capes de mousseline blanche et fluide en coton cardé. Elles couvraient les épaules des esclaves MDE et descendaient jusqu’à leurs pieds. Enfin, Walter ajusta sur leurs yeux des bandeaux blancs afin de les aveugler totalement. Voilà, les trois salopes étaient prêtes… Tirés par une laisse, Marie et Walter, les emmenèrent en direction de la grande Salle de Réception du Château, ils croisèrent le Maître, tout de blanc vêtu, faisant les cents pas, dans le long couloir capitonné d’épais tapis anciens. Il semblait furieux sinon trépignant.
- Et bien vous en avez pris du temps… tous mes Hôtes sont là…- Mais …- Ca va Marie, pardonne-moi, je m’emporte pour rien…
Le Maitre souleva la cape de soumis Endymion MDE, jeta un œil rapide sur le corps de Son soumis mâle, lui comprima les couilles, puis passa ses mains sous les capes de Ses deux femelles soumises et leur tira le bout des seins.
- Mes chiennes et Mon chien, l’heure est arrivée pour vous de montrer votre fierté de M’appartenir. Quoi que l’on vous fasse, soyez à la hauteur et faites-moi honneur !
Le Maître attrapa les trois soumis MDE fébriles par leur laisse et les entraina à grands pas jusqu’à la Grande Salle de Réception, cette allure rapide et à l’aveugle fit ouvrir les capes posées sur leurs épaules, dévoilant ainsi leur intimité. Il semblait y avoir beaucoup de monde dans cette immense et haute pièce, derrière cette lourde porte en bois massif, ornée de sculptures cubiques, soumis Endymion entendait parler haut et fort, mais lorsque Walter l’ouvrit et annonça triomphant ce qui suit, tout le monde se tut :
- Monsieur le Marquis Edouard d’Evans, et Ses trois putains !
Le Maître avança d’un pas lent et majestueux, tenant haut et court les laisses de Ses esclaves quelque peu angoissés. Il les fit avancer au milieu de ses Hôtes. soumis Endymion MDE sentit déjà des mains le frôler. Le Maître s’arrêta un moment, laissant Ses chiennes et chien se faire palper et tripoter. Une main agile, sans doute féminine, s’était hasardée sous la cape de soumis Endymion MDE. Elle attrapa sa nouille encore flasque, puis la branla seulement deux ou trois fois. Il n’en fallait pas plus, la bite du soumis mâle soumis MDE se redressa et pointa entre les deux pans de la cape. Une bouche s’approcha de son oreille et mordilla son lobe. Une voix suave lui susurra :
- Ne serais-tu point une bonne salope ?
- Oui Madame, je suis une bonne salope, une salope appartenant à Monsieur le Marquis d’Evans ! Lui chuchota en réponse l’esclave MDE.
La femme ria, puis plus fort cette fois-ci, afin que tous ceux présents l’entendent, elle questionna de nouveau avec la même question encore soumis Endymion MDE. Celui-ci, sans sourciller, haussa la voix également et apporta la même réponse afin que tous l’entende. Et tous se mirent à applaudir, tous sauf deux personnes, Monsieur le Marquis d’Evans, le Maître, qui ne voulait pas montrer encore sa fierté, et un Dominant déjà trop afféré, les doigts dans la chatte de soumis Laïs MDE. Il s’extasia à son tour :
- Moi aussi, j’ai trouvé une belle salope, et elle mouille déjà cette petite garce ! Fit il en lui donnant à lécher ses doigts qui venaient d’être retirés de l’intimité de la soumise MDE. Et là encore un tonnerre d’applaudissement !
- Il y en a une troisième ici, écoutez la gémir, à peine lui touche-t-on les tétons !
- Point de pudibonderie ici, ni de réserve, le corps de Mes trois putains sont à Vous, mes chers amis, usez-en, abusez-en trois jours durant ! reprit le Maître radieux, tout en faisant de nouveau avancer Ses trois esclaves dociles, qui déjà bien se sentirent humiliés mais si excités.
Une voix masculine au fond de la vaste salle alors lança :
- Alors que Vos putains soient mises à nu, que leur intimité nous soit dévoilée et que ce chien et ces deux chiennes viennent tour à tour nous la montrer de près !
Le Maître fit un signe de la tête à Marie, en guise d’acquiescement, elle aligna les trois esclaves face aux convives du Maître et ôta leur cape. Toujours la même voix lança encore :
- Que ces chiennes écartent leurs cuisses, qu’elles nous démontrent qu’elles n’ont rien à cacher !
L’excitation était déjà bien présente dans cette vaste pièce, et pas uniquement auprès des Dominantes et Dominants. Le soumis Endymion MDE, était autant humilié qu’excité, sa queue ne débandait plus. Les deux femelles, elles aussi mouillaient. Lui et ses sœurs de soumission furent séparés, déplacés et conduits à différents endroits de cette vaste et luxueuse pièce. Marie et Walter se chargèrent de leur détacher les bras de derrière le dos, leurs imposèrent de mettre les mains sur la tête et d’écarter largement les cuisses. Sitôt installés, des petits groupes se formèrent autour d’eux. Des mains se baladèrent sur leurs corps laissés à disposition. Certains doigts agiles s’insérèrent dans leurs cavités intimes d’autres pincèrent des tétons, ou pour le soumis mâle ses couilles. Parfois encore des ongles s’imprimaient dans leurs chairs provoquant quelques douleurs ou doux frissons. Tous les trois furent palper, tâter, tripoter, manipuler, examiner par plusieurs mains en même temps et les Dominants passaient d’un esclave à l’autre pour découvrir et s’imprégner de ces corps donnés et abandonnés.
Une jeune et belle femme intima un ordre en anglais à soumis compelled MDE, bien qu’ayant par le passé pratiqué cette langue, il ne comprit pas ce qu’elle lui demandait. Un homme s’approcha du soumis et lui fit la traduction.
- Ma femme t’ordonne de te mettre à genoux !
Cette voix masculine, avec un fort accent américain, était à la fois douce, agréable mais aussi quelque peu sévère et autoritaire. Le soumis MDE s’exécuta. Deux doigts glissèrent dans sa bouche, une fois insérés dans cette cavité buccale ils s’écartèrent, imposant à l’esclave MDE d’ouvrir en grand cet orifice. D’instinct, il tira la langue et se mit à lécher le bout des doigts de cette femme. Elle l’encouragea à poursuivre :
- Oh yes, very good !
De son autre main, avec agilité, elle releva sa jupe moulante, puis approcha ses doigts toujours léchés tout près de son sexe, conduisant ainsi la langue de soumis Endymion MDE au contact de ses lèvres intimes. Le soumis MDE lécha alors une première fois subrepticement ce sexe glabre et excité, puis pour la seconde fois, sa langue chercha à glisser entre ces douces lèvres légèrement parfumé. Une main appuya alors sur la nuque du soumis et plaqua sa bouche contre cette vulve chaude et déjà bien humide.
- Allez donnes du plaisir à ma femme, montre ce que tu sais bien faire les choses, caresse lui en même temps les fesses, elle adore ça.
L’homme à l’accent américain avait donné ses directives puis avait fait redresser soumis Endymion MDE. Il l’avait attrapé par derrière par les couilles et lui imposait une posture délicate : cuisses écartées, le corps incliné à quatre-vingt-dix degrés, les reins bien cambrés. Le soumis MDE sentit une langue glisser contre son anus, était-ce celle de l’Américain ? Des doigts pincèrent sévèrement ses tétons, lesquels ? D’autres pressèrent ses couilles, A qui appartenaient-ils ? Tandis que le soumis MDE titillait ce clitoris gonflé de désir, sans plus trop se préoccuper de ce qu’on lui faisait subir !
(A suivre…)
Il y avait de l’effervescence et de l’agitation ce matin au Château, un nombre important d’esclaves travaillaient dans cette Noble et Prestigieuse Demeure, à épousseter, à briquer, à laver, d’autres s’afféraient à l’extérieur à tondre les pelouses, à ratisser les allées, à nettoyer les plates-bandes, tous, sous le joug de gardes zélés, distribuant coups de cravache à ceux ou celles qui n’exécutaient pas correctement les ordres donnés. soumis Endymion MDE et ses sœurs de soumission Phryné MDE et Laïs MDE, depuis la veille au soir avaient été enfermés et enchainés dans leur cachot respectif, puis tôt le matin avait regagné l’immense salle de bain où ils furent lavés, épilés, coiffés et manucurés avec une attention toute particulière par deux jeunes et très belles servantes soumises. Madame Marie contrôla leur travail, examina de près les trois esclaves MDE. Sa perversité n’était plus à démontrer. Elle tira sur les lèvres intimes de soumise Phryné MDE, lui écarta la vulve de ses deux mains, la flaira, fouilla sa chatte à deux ou trois reprises, puis elle s’intéressa à la bite du soumis MDE, tira sur le prépuce, décalotta le gland, vérifia qu’aucune souillure ne soit restée dans un quelconque repli de cette nouille bien inutile pour l’heure, puis contrôla le petit trou anal de soumise Laïs MDE après lui avoir imposée de relever les jambes sur sa poitrine…
Etranges sensations pour soumis Endymion MDE, ces postures obscènes et ces vérifications vicieuses lui paraissaient désormais normales et plus forcément très humiliantes, mais plutôt excitantes d’être examiné ainsi. La nudité permanente, l’abandon de toute pudeur l’avait conduit à accepter cette normalité toute particulière imposée au Château. Il avait appris à se livrer, à accepter cette débauche, cette indécence, cette offense à la pudeur. L’enseignement qu’il avait reçu depuis qu’il était arrivé là, commençait à porter ses fruits. Il en était ravi... Monsieur Walter, le Majordome, arriva et il semblait un peu stressé.
- Bon Marie, les trois salopes sont-elles prêtes ?
- Oui oui, Walter, juste un instant encore, il faut que je les habille…
Walter aida Marie à ajuster les lourds colliers d’acier qu’ils fixèrent au cou des trois soumis MDE. Ils eurent aussi de lourds fers aux poignets, reliés entre eux par une courte chaine. Les bras des trois esclaves étaient maintenus attachés dans leur dos. Marie apporta ensuite trois grandes et longues capes de mousseline blanche et fluide en coton cardé. Elles couvraient les épaules des esclaves MDE et descendaient jusqu’à leurs pieds. Enfin, Walter ajusta sur leurs yeux des bandeaux blancs afin de les aveugler totalement. Voilà, les trois salopes étaient prêtes… Tirés par une laisse, Marie et Walter, les emmenèrent en direction de la grande Salle de Réception du Château, ils croisèrent le Maître, tout de blanc vêtu, faisant les cents pas, dans le long couloir capitonné d’épais tapis anciens. Il semblait furieux sinon trépignant.
- Et bien vous en avez pris du temps… tous mes Hôtes sont là…- Mais …- Ca va Marie, pardonne-moi, je m’emporte pour rien…
Le Maitre souleva la cape de soumis Endymion MDE, jeta un œil rapide sur le corps de Son soumis mâle, lui comprima les couilles, puis passa ses mains sous les capes de Ses deux femelles soumises et leur tira le bout des seins.
- Mes chiennes et Mon chien, l’heure est arrivée pour vous de montrer votre fierté de M’appartenir. Quoi que l’on vous fasse, soyez à la hauteur et faites-moi honneur !
Le Maître attrapa les trois soumis MDE fébriles par leur laisse et les entraina à grands pas jusqu’à la Grande Salle de Réception, cette allure rapide et à l’aveugle fit ouvrir les capes posées sur leurs épaules, dévoilant ainsi leur intimité. Il semblait y avoir beaucoup de monde dans cette immense et haute pièce, derrière cette lourde porte en bois massif, ornée de sculptures cubiques, soumis Endymion entendait parler haut et fort, mais lorsque Walter l’ouvrit et annonça triomphant ce qui suit, tout le monde se tut :
- Monsieur le Marquis Edouard d’Evans, et Ses trois putains !
Le Maître avança d’un pas lent et majestueux, tenant haut et court les laisses de Ses esclaves quelque peu angoissés. Il les fit avancer au milieu de ses Hôtes. soumis Endymion MDE sentit déjà des mains le frôler. Le Maître s’arrêta un moment, laissant Ses chiennes et chien se faire palper et tripoter. Une main agile, sans doute féminine, s’était hasardée sous la cape de soumis Endymion MDE. Elle attrapa sa nouille encore flasque, puis la branla seulement deux ou trois fois. Il n’en fallait pas plus, la bite du soumis mâle soumis MDE se redressa et pointa entre les deux pans de la cape. Une bouche s’approcha de son oreille et mordilla son lobe. Une voix suave lui susurra :
- Ne serais-tu point une bonne salope ?
- Oui Madame, je suis une bonne salope, une salope appartenant à Monsieur le Marquis d’Evans ! Lui chuchota en réponse l’esclave MDE.
La femme ria, puis plus fort cette fois-ci, afin que tous ceux présents l’entendent, elle questionna de nouveau avec la même question encore soumis Endymion MDE. Celui-ci, sans sourciller, haussa la voix également et apporta la même réponse afin que tous l’entende. Et tous se mirent à applaudir, tous sauf deux personnes, Monsieur le Marquis d’Evans, le Maître, qui ne voulait pas montrer encore sa fierté, et un Dominant déjà trop afféré, les doigts dans la chatte de soumis Laïs MDE. Il s’extasia à son tour :
- Moi aussi, j’ai trouvé une belle salope, et elle mouille déjà cette petite garce ! Fit il en lui donnant à lécher ses doigts qui venaient d’être retirés de l’intimité de la soumise MDE. Et là encore un tonnerre d’applaudissement !
- Il y en a une troisième ici, écoutez la gémir, à peine lui touche-t-on les tétons !
- Point de pudibonderie ici, ni de réserve, le corps de Mes trois putains sont à Vous, mes chers amis, usez-en, abusez-en trois jours durant ! reprit le Maître radieux, tout en faisant de nouveau avancer Ses trois esclaves dociles, qui déjà bien se sentirent humiliés mais si excités.
Une voix masculine au fond de la vaste salle alors lança :
- Alors que Vos putains soient mises à nu, que leur intimité nous soit dévoilée et que ce chien et ces deux chiennes viennent tour à tour nous la montrer de près !
Le Maître fit un signe de la tête à Marie, en guise d’acquiescement, elle aligna les trois esclaves face aux convives du Maître et ôta leur cape. Toujours la même voix lança encore :
- Que ces chiennes écartent leurs cuisses, qu’elles nous démontrent qu’elles n’ont rien à cacher !
L’excitation était déjà bien présente dans cette vaste pièce, et pas uniquement auprès des Dominantes et Dominants. Le soumis Endymion MDE, était autant humilié qu’excité, sa queue ne débandait plus. Les deux femelles, elles aussi mouillaient. Lui et ses sœurs de soumission furent séparés, déplacés et conduits à différents endroits de cette vaste et luxueuse pièce. Marie et Walter se chargèrent de leur détacher les bras de derrière le dos, leurs imposèrent de mettre les mains sur la tête et d’écarter largement les cuisses. Sitôt installés, des petits groupes se formèrent autour d’eux. Des mains se baladèrent sur leurs corps laissés à disposition. Certains doigts agiles s’insérèrent dans leurs cavités intimes d’autres pincèrent des tétons, ou pour le soumis mâle ses couilles. Parfois encore des ongles s’imprimaient dans leurs chairs provoquant quelques douleurs ou doux frissons. Tous les trois furent palper, tâter, tripoter, manipuler, examiner par plusieurs mains en même temps et les Dominants passaient d’un esclave à l’autre pour découvrir et s’imprégner de ces corps donnés et abandonnés.
Une jeune et belle femme intima un ordre en anglais à soumis compelled MDE, bien qu’ayant par le passé pratiqué cette langue, il ne comprit pas ce qu’elle lui demandait. Un homme s’approcha du soumis et lui fit la traduction.
- Ma femme t’ordonne de te mettre à genoux !
Cette voix masculine, avec un fort accent américain, était à la fois douce, agréable mais aussi quelque peu sévère et autoritaire. Le soumis MDE s’exécuta. Deux doigts glissèrent dans sa bouche, une fois insérés dans cette cavité buccale ils s’écartèrent, imposant à l’esclave MDE d’ouvrir en grand cet orifice. D’instinct, il tira la langue et se mit à lécher le bout des doigts de cette femme. Elle l’encouragea à poursuivre :
- Oh yes, very good !
De son autre main, avec agilité, elle releva sa jupe moulante, puis approcha ses doigts toujours léchés tout près de son sexe, conduisant ainsi la langue de soumis Endymion MDE au contact de ses lèvres intimes. Le soumis MDE lécha alors une première fois subrepticement ce sexe glabre et excité, puis pour la seconde fois, sa langue chercha à glisser entre ces douces lèvres légèrement parfumé. Une main appuya alors sur la nuque du soumis et plaqua sa bouche contre cette vulve chaude et déjà bien humide.
- Allez donnes du plaisir à ma femme, montre ce que tu sais bien faire les choses, caresse lui en même temps les fesses, elle adore ça.
L’homme à l’accent américain avait donné ses directives puis avait fait redresser soumis Endymion MDE. Il l’avait attrapé par derrière par les couilles et lui imposait une posture délicate : cuisses écartées, le corps incliné à quatre-vingt-dix degrés, les reins bien cambrés. Le soumis MDE sentit une langue glisser contre son anus, était-ce celle de l’Américain ? Des doigts pincèrent sévèrement ses tétons, lesquels ? D’autres pressèrent ses couilles, A qui appartenaient-ils ? Tandis que le soumis MDE titillait ce clitoris gonflé de désir, sans plus trop se préoccuper de ce qu’on lui faisait subir !
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