Monsieur le Marquis prend possession de soumise Estelle
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-05-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Monsieur le Marquis prend possession de soumise Estelle
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°661) - Monsieur le Marquis prend possession de soumise Estelle -
soumis Endymion MDE venait de comprendre l’importance qu’avait Madame Anna pour le Maître, mais aussi de leurs émotions respectives de se retrouver. Pendant très longtemps encore, ils discutèrent et se rappelèrent de nombreux souvenirs de leur passé commun concernant toute l’enfance du Maître, avec des magnifiques anecdotes d’un enfant à la fois heureux et espiègle. Une des plus insolites que retenue le soumis MDE était celle où le Maitre âgé de 12 ans et alors qu’il était enfant de cœur à l’église du village avait, avec ses copains et après le catéchisme, déboulonné et emporté la statue de Saint-Joseph qui trônait contre un pilier de l’allée centrale. Scandale des bigotes du village ! Hélas, il ne pouvait pas remettre en place la statue puisque par bêtise de gaminerie, il avait jeté la dite statue dans la boutasse (mare profonde) de la cure. Son père, le Marquis de l’époque étant un mécène fort généreux avait financé et donc fait remplacer la statue. Et on n’entendit plus jamais parler de la statue disparue et donc immergée. Mais deux ans plus tard, lors d’une canicule sécheresse, la boutasse se trouva à sec et une bigote qui s’occupait du jardin de la cure, vit un beau matin apparaitre un bras levé (celui de la statue) qui dépassait de la vase. Madame Anna présente ce jour-là dans le jardin de la cure vit la bigote s’agenouiller et entendit celle-ci, les mains jointes dire tout haut en priant : « Miracle, Saint-Joseph est réapparu !’’…
L’esclave MDE était touché de la confiance que lui accordait Monsieur le Marquis, il assistait à ces conversations intimes et insolites, certes en se faisant discret, couché sur le sol, nu aux pieds du Noble. De temps à autre Madame Anna, demandait au soumis MDE de venir près d’elle, près de son chariot, de se tenir à quatre pattes. Alors elle le caressait longuement, comme elle aurait caressé un animal, parfois encore, elle lui tendait du bout des doigts, un biscuit sec. Elle s’amusait de temps à autre, avec lui :
- Fais le beau, tire bien ta petite langue de toutou et viens chercher ce gâteau.
Malgré son âge, Madame Anna était joueuse et n’avait rien perdu de sa douce vivacité perverse…. Ses mains régulièrement se perdaient entre les fesses du chien soumis, lui titillant ses couilles, jouant avec sa nouille, lui se laissait caresser en s’offrant généreusement... Mais déjà le temps était venu de partir, de quitter cette brave femme. Monsieur le Marquis l’embrassa tendrement une dernière fois, en la serrant fort longuement dans ses bras. Anna pleurait, de grosses larmes roulaient sur ses joues. Elle était triste de voir partir son Edouard qu’elle avait tant chéri, elle qui n’avait jamais pu avoir d’enfants. Le reverrait-elle un jour ?
- Porte-toi bien, mon Edouard, Fais attention à toi, prends soin de toi et continue de bien dresser ce petit cabot… !
Ce furent ses derniers mots, Monsieur le Marquis d’Evans triste, et son soumis MDE la quittèrent et regagnèrent le petit port d’un bon pas. Tout en marchant, le Maître dit à Son soumis qu’Anna avait été une douce et merveilleuse nounou. Elle avait été pour lui comme une seconde mère. Il dit encore à Son esclave que lorsqu’Anna avait demandé sa retraite, à feu Monsieur le Marquis, Père du Maître, celui-ci avait acheté pour elle, cette belle propriété sur cette ile Moustique qu’elle aimait tant… Et depuis, elle vivait ici, entourée de tout un personnel, au petit soin pour elle et tout était et encore financé par le Noble.
- Tu t’es bien comporté mon chien avec cette vieille Dame, je te félicite… Tu as constaté la vivacité d’esprit de cette femme alors qu’elle a plus de quatre-vingt-dix ans ? Elle a été, avec les esclaves de mon père, toute aussi perverse que Madame Marie !
Endymion MDE avait aussi et surtout remarqué sa douce perversité, bien présente encore malgré son âge… Jamais, lui, l’esclave MDE ne s’était fait tripoté par une vieille femme. Elle l’avait sollicité tendrement, gentiment, avec malice, sans dureté ni méchanceté. Une belle expérience que lui avait fait vivre le Maître, il garderait un bon souvenir de cette vieille dame... De loin, Monsieur le Marquis et son chien soumis MDE voyait le skipper Etienne faire les cents pas sur le quai, près de l’annexe du Croix Rousse. Il semblait énervé, il regardait sans cesse sa montre, cigarette au bec.
- Je crois qu’il nous attend depuis un bon moment, crois-tu qu’il osera me faire un reproche ? demandait Monsieur le Marquis d’un ton désinvolte, à son soumis.
Lorsqu’Etienne vit le Maître, le skipper se détendit subitement, il devint immédiatement aimable et respectueux.
- Avez-vous passé une bonne journée ? Monsieur le Marquis.
- Excellente et émouvante ! lui répondit-il sèchement, sans plus de commentaire…
Tous les trois regagnèrent le Croix-Rousse. Marie la cuisinière se chargea de l’accueil à bord de Monsieur le Marquis puis de Son chien soumis. Très vite, comme si les minutes étaient comptées, elle le dévêtit, lui posa un collier autour du cou et l’emmenait à quatre pattes, tiré en laisse dans le salon où Madame Gabriella et Monsieur Henri s’occupaient de leur soumise. Estelle était posée à plat dos sur le sol, attachée, jambes tenues pliées et très écartées, bras liés dans le dos, sa chatte très exposée. Le sexe d’Estelle était rouge pourpre comme s’il avait été durement frappé. Au contact de la langue de l’esclave MDE, Estelle se cabra en geignant, comme si ce simple contact la faisait terriblement souffrir pourtant Endymion MDE avait été doux et pleins d’attention.
- Elle a la chatte en feu cette petite chienne, nous l’avons baisé tout l’après-midi, elle a pris des queues et des godes de toutes tailles dans tous ses trous de salope ! Expliqua Monsieur Henri.
Endymion MDE avec attention, poursuivit délicatement son cunnilingus, alors que Monsieur le Marquis se pressait de quitter pantalon et sous-vêtements.
- Elle a pris des queues tout l’après-midi, me dis-tu mon cher Henri, sauf la mienne ! C’est étrange, cette terrible envie subite de la fourrer à mon tour ! Repris Monsieur le Marquis.
Le Noble attrapa Son soumis par son collier, le tirant vers son sexe déjà bien raide.
- Lubrifie ma Noble queue, chien !
L’esclave MDE s’empressa de donner satisfaction aux exigences du Maître, sa bouche maintenant experte, toute entière gobait ce membre déjà bien en forme, En quelques secondes seulement, elle le fit se tendre, et l’amena à son apogée. Monsieur le Marquis donnait encore quelques grands coups de piston dans la gorge de son soumis, puis subitement se retira, poussant Son esclave brutalement, le jetant littéralement comme il aurait jeté un vulgaire mouchoir en papier. Avec empressement, Il se mit à genoux devant celle offerte et l’enfourna d’un trait. La belle Estelle hurla tant de douleur que de plaisir évident. Pour étouffer ces plaintes et cris jouissifs, Madame Gabriella ordonna à Endymion MDE, de venir poser sa bouche contre celle d’Estelle.
- Elle me saoule cette petite garce à gueuler ainsi, baise lui la bouche avec ta langue de pute, je ne veux plus l’entendre ! lança Madame Gabriella.
Mais l’opération fut plus compliquée que prévue, Estelle bougeait la tête en tous les sens comme si elle faisait tout ce qu’elle pouvait pour ne pas laisser éclater son orgasme, tant elle était dans un état d’excitation extrême, si bien que le Maître stoppa ses vas et viens et observa ce qui se passait : Endymion MDE dut lui tenir la tête entre ses mains pour enfin glisser sa langue et la dévorer. Les deux esclaves s’embrassaient maintenant à pleine bouche en se roulant une pelle bien baveuse. Un baiser fougueux au départ, puis devenu langoureux ensuite, comme s’il était le signe fondateur d’une toute nouvelle romance. Un moment magique, une nouvelle intimité partagée devant ces pervers Dominants, une découverte de l’autre, comme l’éclosion d’un nouvel érotisme imposé, comme si les deux esclaves se laissaient envahir par le sentiment miraculeux d’un amour naissant. La nouille du soumis MDE s’était redressée, ses burnes étaient malmenées et comprimées par la main de Madame Gabrielle, tout son corps était en transe. Au seul contact de cette langue cherchant à s’enrouler autour de la sienne, Endymion MDE percevait les sauvages coups de reins qu’imposait, de nouveau, Monsieur le Marquis à cette petite chienne maintenant ruisselante. L’esprit de l’esclave MDE se mit en ébullition, il se mit à gamberger et à repenser à cette conversation qu’il avait entendu entre Madame Gabriella et le Maître, celle portant sur la nécessité de faire saillir et engrosser soumise Estelle, un jour venu. L’idée de devenir cet esclave mâle géniteur faisait son chemin, fallait-il encore qu’il y soit autorisé, sinon sélectionné, et surtout, qu’il ait encore une paire de couilles ce jour-là, tant la pression exercée maintenant sur son sac à foutre, lui fit craindre d’être châtré sous peu. Il souffrait, suffoquait même, mais bandait encore fermement…
Monsieur le Marquis, qui avait donc repris ses vas et viens cadencés, prenait son temps. En appui sur ses bras tendus, les jambes jointes, ses orteils arrimés au sol, Il embrochait la petite femelle, agaçait et tourmentait sa chatte, la pénétrant violemment, se retirant lentement. Un coït empreint d’une volonté dominante sans faille, d’un contrôle total, d’une possession sans limite, il voulait que cette chienne renonce et accepte coute que coute, Sa volonté de faire d’elle, une chienne, une petite pute de chienne ! Et au moment même où il la sentit défaillir, ses coups de reins décuplèrent, jusqu’à ce qu’il jouisse en elle, longuement, abondamment et copieusement …
La soirée fut calme à bord du Croix-Rousse, les Dominants comme les deux esclaves étaient éreintés par tant de jouissances. Dès le dîner terminé, unanimement ils décidèrent de passer rapidement au lit. Madame la cuisinière encagea le sexe du soumis mâle MDE, puis elle confia Endymion MDE aux deux skippers :
- Il faut le laisser tranquille cette nuit, il a besoin de se reposer ! Demain matin, dès le jour levé, l’un de vous deux ira l’installer sur le pont supérieur, l’attachera debout, membres en croix…
Les deux skippers prirent bonne note des ordres reçus, Ils attrapèrent Endymion MDE par un bras l’entrainant dans le poste de pilotage. Sous l’une des deux couchettes, ils le firent allonger sur un petit matelas, l’attachèrent d’un pied à une lourde chaine, lui déposèrent une simple mais rêche couverture sur le dos et lui souhaitèrent de beaux et vicieux rêves...
(A suivre…)
soumis Endymion MDE venait de comprendre l’importance qu’avait Madame Anna pour le Maître, mais aussi de leurs émotions respectives de se retrouver. Pendant très longtemps encore, ils discutèrent et se rappelèrent de nombreux souvenirs de leur passé commun concernant toute l’enfance du Maître, avec des magnifiques anecdotes d’un enfant à la fois heureux et espiègle. Une des plus insolites que retenue le soumis MDE était celle où le Maitre âgé de 12 ans et alors qu’il était enfant de cœur à l’église du village avait, avec ses copains et après le catéchisme, déboulonné et emporté la statue de Saint-Joseph qui trônait contre un pilier de l’allée centrale. Scandale des bigotes du village ! Hélas, il ne pouvait pas remettre en place la statue puisque par bêtise de gaminerie, il avait jeté la dite statue dans la boutasse (mare profonde) de la cure. Son père, le Marquis de l’époque étant un mécène fort généreux avait financé et donc fait remplacer la statue. Et on n’entendit plus jamais parler de la statue disparue et donc immergée. Mais deux ans plus tard, lors d’une canicule sécheresse, la boutasse se trouva à sec et une bigote qui s’occupait du jardin de la cure, vit un beau matin apparaitre un bras levé (celui de la statue) qui dépassait de la vase. Madame Anna présente ce jour-là dans le jardin de la cure vit la bigote s’agenouiller et entendit celle-ci, les mains jointes dire tout haut en priant : « Miracle, Saint-Joseph est réapparu !’’…
L’esclave MDE était touché de la confiance que lui accordait Monsieur le Marquis, il assistait à ces conversations intimes et insolites, certes en se faisant discret, couché sur le sol, nu aux pieds du Noble. De temps à autre Madame Anna, demandait au soumis MDE de venir près d’elle, près de son chariot, de se tenir à quatre pattes. Alors elle le caressait longuement, comme elle aurait caressé un animal, parfois encore, elle lui tendait du bout des doigts, un biscuit sec. Elle s’amusait de temps à autre, avec lui :
- Fais le beau, tire bien ta petite langue de toutou et viens chercher ce gâteau.
Malgré son âge, Madame Anna était joueuse et n’avait rien perdu de sa douce vivacité perverse…. Ses mains régulièrement se perdaient entre les fesses du chien soumis, lui titillant ses couilles, jouant avec sa nouille, lui se laissait caresser en s’offrant généreusement... Mais déjà le temps était venu de partir, de quitter cette brave femme. Monsieur le Marquis l’embrassa tendrement une dernière fois, en la serrant fort longuement dans ses bras. Anna pleurait, de grosses larmes roulaient sur ses joues. Elle était triste de voir partir son Edouard qu’elle avait tant chéri, elle qui n’avait jamais pu avoir d’enfants. Le reverrait-elle un jour ?
- Porte-toi bien, mon Edouard, Fais attention à toi, prends soin de toi et continue de bien dresser ce petit cabot… !
Ce furent ses derniers mots, Monsieur le Marquis d’Evans triste, et son soumis MDE la quittèrent et regagnèrent le petit port d’un bon pas. Tout en marchant, le Maître dit à Son soumis qu’Anna avait été une douce et merveilleuse nounou. Elle avait été pour lui comme une seconde mère. Il dit encore à Son esclave que lorsqu’Anna avait demandé sa retraite, à feu Monsieur le Marquis, Père du Maître, celui-ci avait acheté pour elle, cette belle propriété sur cette ile Moustique qu’elle aimait tant… Et depuis, elle vivait ici, entourée de tout un personnel, au petit soin pour elle et tout était et encore financé par le Noble.
- Tu t’es bien comporté mon chien avec cette vieille Dame, je te félicite… Tu as constaté la vivacité d’esprit de cette femme alors qu’elle a plus de quatre-vingt-dix ans ? Elle a été, avec les esclaves de mon père, toute aussi perverse que Madame Marie !
Endymion MDE avait aussi et surtout remarqué sa douce perversité, bien présente encore malgré son âge… Jamais, lui, l’esclave MDE ne s’était fait tripoté par une vieille femme. Elle l’avait sollicité tendrement, gentiment, avec malice, sans dureté ni méchanceté. Une belle expérience que lui avait fait vivre le Maître, il garderait un bon souvenir de cette vieille dame... De loin, Monsieur le Marquis et son chien soumis MDE voyait le skipper Etienne faire les cents pas sur le quai, près de l’annexe du Croix Rousse. Il semblait énervé, il regardait sans cesse sa montre, cigarette au bec.
- Je crois qu’il nous attend depuis un bon moment, crois-tu qu’il osera me faire un reproche ? demandait Monsieur le Marquis d’un ton désinvolte, à son soumis.
Lorsqu’Etienne vit le Maître, le skipper se détendit subitement, il devint immédiatement aimable et respectueux.
- Avez-vous passé une bonne journée ? Monsieur le Marquis.
- Excellente et émouvante ! lui répondit-il sèchement, sans plus de commentaire…
Tous les trois regagnèrent le Croix-Rousse. Marie la cuisinière se chargea de l’accueil à bord de Monsieur le Marquis puis de Son chien soumis. Très vite, comme si les minutes étaient comptées, elle le dévêtit, lui posa un collier autour du cou et l’emmenait à quatre pattes, tiré en laisse dans le salon où Madame Gabriella et Monsieur Henri s’occupaient de leur soumise. Estelle était posée à plat dos sur le sol, attachée, jambes tenues pliées et très écartées, bras liés dans le dos, sa chatte très exposée. Le sexe d’Estelle était rouge pourpre comme s’il avait été durement frappé. Au contact de la langue de l’esclave MDE, Estelle se cabra en geignant, comme si ce simple contact la faisait terriblement souffrir pourtant Endymion MDE avait été doux et pleins d’attention.
- Elle a la chatte en feu cette petite chienne, nous l’avons baisé tout l’après-midi, elle a pris des queues et des godes de toutes tailles dans tous ses trous de salope ! Expliqua Monsieur Henri.
Endymion MDE avec attention, poursuivit délicatement son cunnilingus, alors que Monsieur le Marquis se pressait de quitter pantalon et sous-vêtements.
- Elle a pris des queues tout l’après-midi, me dis-tu mon cher Henri, sauf la mienne ! C’est étrange, cette terrible envie subite de la fourrer à mon tour ! Repris Monsieur le Marquis.
Le Noble attrapa Son soumis par son collier, le tirant vers son sexe déjà bien raide.
- Lubrifie ma Noble queue, chien !
L’esclave MDE s’empressa de donner satisfaction aux exigences du Maître, sa bouche maintenant experte, toute entière gobait ce membre déjà bien en forme, En quelques secondes seulement, elle le fit se tendre, et l’amena à son apogée. Monsieur le Marquis donnait encore quelques grands coups de piston dans la gorge de son soumis, puis subitement se retira, poussant Son esclave brutalement, le jetant littéralement comme il aurait jeté un vulgaire mouchoir en papier. Avec empressement, Il se mit à genoux devant celle offerte et l’enfourna d’un trait. La belle Estelle hurla tant de douleur que de plaisir évident. Pour étouffer ces plaintes et cris jouissifs, Madame Gabriella ordonna à Endymion MDE, de venir poser sa bouche contre celle d’Estelle.
- Elle me saoule cette petite garce à gueuler ainsi, baise lui la bouche avec ta langue de pute, je ne veux plus l’entendre ! lança Madame Gabriella.
Mais l’opération fut plus compliquée que prévue, Estelle bougeait la tête en tous les sens comme si elle faisait tout ce qu’elle pouvait pour ne pas laisser éclater son orgasme, tant elle était dans un état d’excitation extrême, si bien que le Maître stoppa ses vas et viens et observa ce qui se passait : Endymion MDE dut lui tenir la tête entre ses mains pour enfin glisser sa langue et la dévorer. Les deux esclaves s’embrassaient maintenant à pleine bouche en se roulant une pelle bien baveuse. Un baiser fougueux au départ, puis devenu langoureux ensuite, comme s’il était le signe fondateur d’une toute nouvelle romance. Un moment magique, une nouvelle intimité partagée devant ces pervers Dominants, une découverte de l’autre, comme l’éclosion d’un nouvel érotisme imposé, comme si les deux esclaves se laissaient envahir par le sentiment miraculeux d’un amour naissant. La nouille du soumis MDE s’était redressée, ses burnes étaient malmenées et comprimées par la main de Madame Gabrielle, tout son corps était en transe. Au seul contact de cette langue cherchant à s’enrouler autour de la sienne, Endymion MDE percevait les sauvages coups de reins qu’imposait, de nouveau, Monsieur le Marquis à cette petite chienne maintenant ruisselante. L’esprit de l’esclave MDE se mit en ébullition, il se mit à gamberger et à repenser à cette conversation qu’il avait entendu entre Madame Gabriella et le Maître, celle portant sur la nécessité de faire saillir et engrosser soumise Estelle, un jour venu. L’idée de devenir cet esclave mâle géniteur faisait son chemin, fallait-il encore qu’il y soit autorisé, sinon sélectionné, et surtout, qu’il ait encore une paire de couilles ce jour-là, tant la pression exercée maintenant sur son sac à foutre, lui fit craindre d’être châtré sous peu. Il souffrait, suffoquait même, mais bandait encore fermement…
Monsieur le Marquis, qui avait donc repris ses vas et viens cadencés, prenait son temps. En appui sur ses bras tendus, les jambes jointes, ses orteils arrimés au sol, Il embrochait la petite femelle, agaçait et tourmentait sa chatte, la pénétrant violemment, se retirant lentement. Un coït empreint d’une volonté dominante sans faille, d’un contrôle total, d’une possession sans limite, il voulait que cette chienne renonce et accepte coute que coute, Sa volonté de faire d’elle, une chienne, une petite pute de chienne ! Et au moment même où il la sentit défaillir, ses coups de reins décuplèrent, jusqu’à ce qu’il jouisse en elle, longuement, abondamment et copieusement …
La soirée fut calme à bord du Croix-Rousse, les Dominants comme les deux esclaves étaient éreintés par tant de jouissances. Dès le dîner terminé, unanimement ils décidèrent de passer rapidement au lit. Madame la cuisinière encagea le sexe du soumis mâle MDE, puis elle confia Endymion MDE aux deux skippers :
- Il faut le laisser tranquille cette nuit, il a besoin de se reposer ! Demain matin, dès le jour levé, l’un de vous deux ira l’installer sur le pont supérieur, l’attachera debout, membres en croix…
Les deux skippers prirent bonne note des ordres reçus, Ils attrapèrent Endymion MDE par un bras l’entrainant dans le poste de pilotage. Sous l’une des deux couchettes, ils le firent allonger sur un petit matelas, l’attachèrent d’un pied à une lourde chaine, lui déposèrent une simple mais rêche couverture sur le dos et lui souhaitèrent de beaux et vicieux rêves...
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