monstrueux
Récit érotique écrit par Magic2310 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-06-2005 dans la catégorie A dormir debout
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monstrueux
<p>Depuis toujours, je n'ai pu avoir de rapports dit "normaux" avec mes partenaires pourtant nombreuses. Il m'a toujours fallu discuter et parlementer, insister pour arriver à mes fins.
Presque toujours, après de longs préliminaires (ma spécialité maintenant) je me vois refuser toute pénétration...
Monstrueux. C'est le nom que la médecine donne à mon cas.
Tous les hommes aimeraient être à ma place, beaucoup de femmes fantasment sur moi... personne ne s'imagine les problèmes que cela peut entrainer, les frustrations, la gêne quotidienne... une vie en marge: jamais en maillot de bain, peu de sport, habillé large, attaché à ma cuisse par deux lanières de cuirs, je ne peux me déplacer en cas d'excitation.(Vite un banc public)
Mes mensurations: L 35 cm, diamêtre à la base 10 cm, au gland 7,5... toutes m'ont refusé..enfin presque. Beaucoup d'hommes se flattent de leur engin, pas moi.. c'est malheureusement mon calvaire, mon histoire.
A l'age de 20 ans, effectuant mon service militaire (eh oui ! même pas réformé!)j'ai séjourné dans un petit camp de manoeuvre, près d'un petit village.
Depuis 6 ou 7 mois, nous avions sympatisés avec quelques civils et allions régulièrement nous réunir dans un bar du bourg..
La serveuse, une femme de 30 ans et très très forte, essuyait souvent les quolibets de mes congénaires. Quelque chose m'attirait vers elle, peut être parce qu'elle était aussi compléxée que moi. Elle me dévorait des yeux depuis une dizaine de jours et tous me poussaient à faire quelque chose.
En fin de soirée, peut être émoussé par l'alcool, j'ai entamé une discussion avec elle, au bar. Nous étions seuls.
Elle n'avait pas remarqué mon excitation car je me tenais assis et bien calé derrière le comptoir. J'ai l'habitude. Celle qui se doutent de quelque chose sans s'imaginer la situation deviennent folles, d'autres sont étonnées, voire héberluées ou n'y croient pas tant qu'elle ne m'ont pas vu.
Dans la discution, la barmaide m'a laissé entendre que je lui plaisait beaucoup et qu'elle révait de moi depuis quelque temps..
Surpris par sa franchise, je lui ai demandé depuis quand exactement. Elle m'a alors dit qu'elle pourra me raconter tout ça après son service qui finissait sous peu.
J'ai dû user de mille astuces pour ne pas rentrer avec la troupe dans la caserne et ne pas éveiller ses soupçons.
Eve, c'est son prénom, me fait monter chez elle et je la sent toute chose, les joues rouges, presque timide.
Dans sa chambre, nous nous sommes tout de suite embrassés.
Je me retenais de la coller, évitais qu'elle ne passe ses mains sur mon sexe. Mon treillis assez large ne me trahissait pas.
Nous nous assîmes et de nouveau je lui reposais ma question:
pourquoi avait elle flashé sur moi ?
Sa réponse me combla de plaisir: elle m'avait vu uriner dans un bosquet, un soir de bringue.
En effet, il m'arrive, pour aller plus vite et à chaque fois que je suis trop excité, de ne pas me servir de ma braguette. Je retrousse la bas du pantalon, jusqu'au genou, découvre un peu mon gland et.. me laisse aller.
Eve avait remarqué mon manège et était terriblement excitée depuis. Elle révait de constater elle même mon infirmité.
Elle m'avoua être aussi compléxée par sa poitrine qui était immense et avait du mal à se déshabiller devant ses partenaires..
Nous décidames de se mettre nus ensembles pour se découvrir mutuellement.
Je n'avais jamais encore vu ça. Des seins.. énormes.. tellement
gros qu'elle faisait tout pour le cacher et qui la faisait paraître plus obèse qu'elle ne l'était. Pas des ballons de foot, mais de basket.
Lorque j'ai commencé à enlever mon pantalon, ses yeux se sont arrondis, sa bouche a esquissé un sourir, elle s'est assise.
Etonnée, elle m'a avoué l'avoir plus ou moins imaginée longue mais pas aussi grosse. Elle était fascinée et ne détachait pas ses yeux du membre. Elle approcha sa main, la saisit à deux mains et me demanda si j'avais déjà pu pénétrer quelqu'un avec.
Je lui dis qu'il m'arrivait de pouvoir pénétrer mes partenaires, que peu supportaient cela et que je finissait presque toujours par me masturber devant elles. Je n'ai jamais pu pénétrer entièrement ma patenaire. Lorsque j'arrive à entrer, je ne peux plus bouger car trop large. Je n'ai jamais joui dans ma partenaire, n'arrivant pas à ce degré d'excitation par la pénétration.
Elle me carressait, remontait le long de mon sexe avec ses doigts cherchant à le mesurer. Elle essaya alors de me prendre dans ses mains..ses doigts ne se rejoignirent pas. Elle me dit alors que je ressemblais un peu à un grand gode qu'elle avait vu chez une amie.. mais qui ne s'en servait pas..
Très excitée, elle tenta une fellation. Sa bouche essayait d'introduire mon gland sans y parvenir. J'ai senti qu'elle relevait le challenge.
Ses seins énormes étaient posés sur ses cuisses, aussi longs que mon sexe. Elle me pris entre eux, me masturba.
De son sexe gonflé je voyais couler de la cyprine. Une vraie fontaine. Cela m'excita.
Enfin prête, elle se mit debout sur moi, plusieurs coulées de son jus sur ses jambes..
Je n'ai jamais oublié cette nuit là.
En poussant de petits cris aigus, elle s'assit progressivement sur moi. Elle coulait sur moi. Son odeur m'envahit.
Lorqu'elle pu poser ses genoux sur le lit, la moitiée du chemin était parcouru. Je la sentais très serrée sur moi. Elle se mit alors à faire des mouvements lent et précis, chose qui ne m'était jamais arrivé. A ce stade, c'est souvent la douleur qui s'installe, la peur de continuer, de bouger..la fin d'un rapport pour moi.
Eve grognait. Elle s'enfonçait à chaque fois un peu plus sur moi. Je sentais ses entrailles, chaudes, je touchais son fondement.
Dans un cri, elle s'affala sur moi et j'ai alors senti ses fesses toucher mes jambes. Une première. Elle avait pu me prendre tout entier.
Maintenant elle gémissait en me souriant et n'osait plus bouger. Elle me garda en elle très longtemps avant de reprendre ses mouvements.
Son corps habitué, elle se mit à s'agiter, s'empalant jusqu'à la garde. Elle coulait toujours sur moi.
Cette nouvelle expérience pour moi m'excita au plus haut point. N'y tenant plus, je mis à éjaculer en elle, pour la première fois dans ma partenaire.
Nous sommes restés longtemps, l'un dans l'autre.
Lorsque je me suis retiré, j'ai vu son sexe béant, les levres distendues et dégoulinantes de nos liquides.
Cette aventure a été unique pour moi, n'ayant plus jamais pu renouveler cela avec mes partenaires.
Cela fait 25 ans que je recherche Eve, la femme que dieu m'avait reservé. Celle qui était faite pour moi.
Toutes les autres m'ont déçu, regardé comme un animal de foire, montré du doigt. Toutes ont tout fait pour me voir, m'avoir..
Peu en on eu le cran une fois devant l'obstacle.
Aucune ne m'a jamais satisfait autant qu'Eve, la Femme.
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Presque toujours, après de longs préliminaires (ma spécialité maintenant) je me vois refuser toute pénétration...
Monstrueux. C'est le nom que la médecine donne à mon cas.
Tous les hommes aimeraient être à ma place, beaucoup de femmes fantasment sur moi... personne ne s'imagine les problèmes que cela peut entrainer, les frustrations, la gêne quotidienne... une vie en marge: jamais en maillot de bain, peu de sport, habillé large, attaché à ma cuisse par deux lanières de cuirs, je ne peux me déplacer en cas d'excitation.(Vite un banc public)
Mes mensurations: L 35 cm, diamêtre à la base 10 cm, au gland 7,5... toutes m'ont refusé..enfin presque. Beaucoup d'hommes se flattent de leur engin, pas moi.. c'est malheureusement mon calvaire, mon histoire.
A l'age de 20 ans, effectuant mon service militaire (eh oui ! même pas réformé!)j'ai séjourné dans un petit camp de manoeuvre, près d'un petit village.
Depuis 6 ou 7 mois, nous avions sympatisés avec quelques civils et allions régulièrement nous réunir dans un bar du bourg..
La serveuse, une femme de 30 ans et très très forte, essuyait souvent les quolibets de mes congénaires. Quelque chose m'attirait vers elle, peut être parce qu'elle était aussi compléxée que moi. Elle me dévorait des yeux depuis une dizaine de jours et tous me poussaient à faire quelque chose.
En fin de soirée, peut être émoussé par l'alcool, j'ai entamé une discussion avec elle, au bar. Nous étions seuls.
Elle n'avait pas remarqué mon excitation car je me tenais assis et bien calé derrière le comptoir. J'ai l'habitude. Celle qui se doutent de quelque chose sans s'imaginer la situation deviennent folles, d'autres sont étonnées, voire héberluées ou n'y croient pas tant qu'elle ne m'ont pas vu.
Dans la discution, la barmaide m'a laissé entendre que je lui plaisait beaucoup et qu'elle révait de moi depuis quelque temps..
Surpris par sa franchise, je lui ai demandé depuis quand exactement. Elle m'a alors dit qu'elle pourra me raconter tout ça après son service qui finissait sous peu.
J'ai dû user de mille astuces pour ne pas rentrer avec la troupe dans la caserne et ne pas éveiller ses soupçons.
Eve, c'est son prénom, me fait monter chez elle et je la sent toute chose, les joues rouges, presque timide.
Dans sa chambre, nous nous sommes tout de suite embrassés.
Je me retenais de la coller, évitais qu'elle ne passe ses mains sur mon sexe. Mon treillis assez large ne me trahissait pas.
Nous nous assîmes et de nouveau je lui reposais ma question:
pourquoi avait elle flashé sur moi ?
Sa réponse me combla de plaisir: elle m'avait vu uriner dans un bosquet, un soir de bringue.
En effet, il m'arrive, pour aller plus vite et à chaque fois que je suis trop excité, de ne pas me servir de ma braguette. Je retrousse la bas du pantalon, jusqu'au genou, découvre un peu mon gland et.. me laisse aller.
Eve avait remarqué mon manège et était terriblement excitée depuis. Elle révait de constater elle même mon infirmité.
Elle m'avoua être aussi compléxée par sa poitrine qui était immense et avait du mal à se déshabiller devant ses partenaires..
Nous décidames de se mettre nus ensembles pour se découvrir mutuellement.
Je n'avais jamais encore vu ça. Des seins.. énormes.. tellement
gros qu'elle faisait tout pour le cacher et qui la faisait paraître plus obèse qu'elle ne l'était. Pas des ballons de foot, mais de basket.
Lorque j'ai commencé à enlever mon pantalon, ses yeux se sont arrondis, sa bouche a esquissé un sourir, elle s'est assise.
Etonnée, elle m'a avoué l'avoir plus ou moins imaginée longue mais pas aussi grosse. Elle était fascinée et ne détachait pas ses yeux du membre. Elle approcha sa main, la saisit à deux mains et me demanda si j'avais déjà pu pénétrer quelqu'un avec.
Je lui dis qu'il m'arrivait de pouvoir pénétrer mes partenaires, que peu supportaient cela et que je finissait presque toujours par me masturber devant elles. Je n'ai jamais pu pénétrer entièrement ma patenaire. Lorsque j'arrive à entrer, je ne peux plus bouger car trop large. Je n'ai jamais joui dans ma partenaire, n'arrivant pas à ce degré d'excitation par la pénétration.
Elle me carressait, remontait le long de mon sexe avec ses doigts cherchant à le mesurer. Elle essaya alors de me prendre dans ses mains..ses doigts ne se rejoignirent pas. Elle me dit alors que je ressemblais un peu à un grand gode qu'elle avait vu chez une amie.. mais qui ne s'en servait pas..
Très excitée, elle tenta une fellation. Sa bouche essayait d'introduire mon gland sans y parvenir. J'ai senti qu'elle relevait le challenge.
Ses seins énormes étaient posés sur ses cuisses, aussi longs que mon sexe. Elle me pris entre eux, me masturba.
De son sexe gonflé je voyais couler de la cyprine. Une vraie fontaine. Cela m'excita.
Enfin prête, elle se mit debout sur moi, plusieurs coulées de son jus sur ses jambes..
Je n'ai jamais oublié cette nuit là.
En poussant de petits cris aigus, elle s'assit progressivement sur moi. Elle coulait sur moi. Son odeur m'envahit.
Lorqu'elle pu poser ses genoux sur le lit, la moitiée du chemin était parcouru. Je la sentais très serrée sur moi. Elle se mit alors à faire des mouvements lent et précis, chose qui ne m'était jamais arrivé. A ce stade, c'est souvent la douleur qui s'installe, la peur de continuer, de bouger..la fin d'un rapport pour moi.
Eve grognait. Elle s'enfonçait à chaque fois un peu plus sur moi. Je sentais ses entrailles, chaudes, je touchais son fondement.
Dans un cri, elle s'affala sur moi et j'ai alors senti ses fesses toucher mes jambes. Une première. Elle avait pu me prendre tout entier.
Maintenant elle gémissait en me souriant et n'osait plus bouger. Elle me garda en elle très longtemps avant de reprendre ses mouvements.
Son corps habitué, elle se mit à s'agiter, s'empalant jusqu'à la garde. Elle coulait toujours sur moi.
Cette nouvelle expérience pour moi m'excita au plus haut point. N'y tenant plus, je mis à éjaculer en elle, pour la première fois dans ma partenaire.
Nous sommes restés longtemps, l'un dans l'autre.
Lorsque je me suis retiré, j'ai vu son sexe béant, les levres distendues et dégoulinantes de nos liquides.
Cette aventure a été unique pour moi, n'ayant plus jamais pu renouveler cela avec mes partenaires.
Cela fait 25 ans que je recherche Eve, la femme que dieu m'avait reservé. Celle qui était faite pour moi.
Toutes les autres m'ont déçu, regardé comme un animal de foire, montré du doigt. Toutes ont tout fait pour me voir, m'avoir..
Peu en on eu le cran une fois devant l'obstacle.
Aucune ne m'a jamais satisfait autant qu'Eve, la Femme.
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